Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par Anonyme
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 47 J'aime
  • 0 Commentaire

Loic d'Angers

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le week-end venu, nous sommes allés chez ses parents à Tours. Nous y avons vu Daniel, le frère de son père, qui la dévorait des yeux le salaud. Ce n’était pas prévu et cette confrontation me glaça. Il avait de la chance me dis-je, alors qu’il était persuadé que c’était l’inverse. De retour dimanche, nous avons déliré sur la route sur cet oncle charmeur de 45 ans, bel homme, qui avait bêtement ignoré que la petite victime qu’il avait allumée sans vraiment le savoir était devenue une jeune femme épanouie et gourmande, même de lui au moins en rêve.
Henri, bien sûr, vint. Il est venu une demi-heure après notre arrivée. Elodie, émoustillée par sa rencontre avec son oncle et nos propos croustillants sur la route avait cette fois accepté de retirer sa culotte. Ce fut pour moi à la fois un soulagement et une terrible angoisse, sentiment paradoxal fait d’excitation et de crainte. Fuite en avant. J’ai servi le café et ai prétexté devoir compléter le niveau d’huile dans la voiture pour les laisser. Je suis remonté une bonne demi-heure après, en faisant beaucoup de bruit. Elodie avait le regard brillant des moments de grande excitation. Henri était rouge… Je me doutais bien qu’ils n’étaient pas passés à l’acte, mais ils avaient du se caresser, s’embrasser. Ils auraient tout le temps le lendemain, et tous les jours qui allaient suivre. Qu’avais-je fait, qu’avais-je osé ? Je me pris pour un fou, un fou qui pourtant bandait fort. Paradoxe encore. Terrible paradoxe d’une envie hors norme, excitante parce qu’elle était hors norme, et angoissante aussi pour cela.
Quand Henri fut parti, je me suis précipité sur elle pour caresser son sexe velu. Plein de sève, naturellement, mais apparemment rien d’autre.
— Je n’ai pas couché avec lui si c’est ce que tu veux vérifier… — Il t’a embrassée ?— Oui, embrassée, caressée…— Et toi ? Tu l’as touché ?— Oui…
Elle m’embrassa, comme toujours quand elle était embarrassée.
— Si tu es jaloux, je le comprendrais, fit-elle.— Tu l’as sucé ?— Un peu…— Il a éjaculé ?
Elle ne répondit pas. Je caressai avidement son sexe humide et surmontait péniblement mon angoisse. L’excitation se fit enfin la plus forte, et je me sentis libéré, surexcité.
— Ma petite putain me trompe en suçant le propriétaire ? Ma petite salope a fait une pipe à un autre homme que moi ? Dis-moi, il en a une grosse ?
Elle fouilla dans mon pantalon et saisit ma queue, dure comme du bois.
— Grosse, mais pas plus que la tienne. Par contre, il a de très grosses… couilles, comme un taureau ! Cela fait bizarre. Et quelle quantité il a expulsé ! Il n’est peut-être pas normal de ce côté là… En tout cas, ça m’a excitée comme une folle.— Tu pars avec moi au travail demain ?
Elle se recula, bras tendus autour de mon cou.
— J’ai rendez-vous demain après-midi pour un entretien. Si tu le veux toujours, je resterai demain matin ici…— C’est lui qui viendra, ou toi qui iras ? Demandai-je la gorge nouée.— Chéri… c’est toi qui as dit que tu voulais ça dans nos draps, mais si tu préfères…— Non, c’est très bien ! Dis-je en l’interrompant. Si tu as envie comme ça c’est le principal. Dis-moi, toi, des mots crus s’il te plaît, j’en ai besoin, là, maintenant… dis-moi que tu es une salope…
C’est à ce moment que j’ai remarqué que son chemisier était taché. Cela m’a fouetté, et a définitivement dissipé toute cette angoisse paradoxale qui étouffait une fois encore mon excitation. Je l’ai prise le soir, et surtout le matin avant de partir. Elle allait juste après faire l’amour avec Henri qui piaffait d’impatience en attendant de prendre ma place toute chaude, le salaud, et je voulais qu’elle garde les traces de moi. C’était stupide, mais je l’ai voulu comme ça.
Ce fut la semaine la plus étrange de ma vie. Je vivais un peu cela comme un rêve. Elodie a reçu Henri chaque matin, et deux après-midi juste avant que je ne rentre. Moi qui croyais qu’à partir de quarante ans on ne pouvait plus souvent ! Chaque midi, elle me téléphonait et me racontait ce que je voulais qu’elle raconte, pudiquement ou crûment selon mon degré d’excitation, c’est moi qui décidais.
Le lundi soir, elle était venue me chercher au travail après son entretien. Elle m’a serrée fortement et j’ai éprouvé un sentiment très étrange de sentir ce corps si connu et si adoré, que je savais avoir été possédé la matin même, pour la première fois, par un quinquagénaire viril qui l’avait souillée. Elle serrait tendrement son cocu de mari et j’ai eu terriblement envie d’elle.
*****
Le plus bizarre fut le premier soir où je rentrai juste après qu’Henri ait regagné son appartement. Il m’évitait alors que Elodie lui avait dit dimanche que j’étais d’accord et que cela m’excitait qu’elle me fasse cocu avec lui. Elle était encore au lit, nue, une énorme tache s’étalant sur le drap entre ses cuisses ouvertes et me tendait les bras. Son sexe velu, sa belle toison noire était totalement englués d’un sperme épais qui continuait lentement à s’échapper d’entre ses lèvres. Même dans les films X, je n’avais jamais vu ça. Cela aurait du me dégoûter, mais c’était là le même cadeau que j’avais fait lundi matin à Henri, que cela n’avait visiblement pas gêné. Ça m’a violemment excité. Je me suis allongé sur elle, nous nous sommes longuement câlinés, puis je l’ai fait parler pour faire taire cette angoisse stupide qui à nouveau m’envahissait et affectait mon érection. Enfin, n’en pouvant plus, je l’ai pénétrée, souillée, inondée et l’ai pistonnée comme un fou. Elle gémissait vivement, ses doux gémissements émis au rythme du bruit de clapotis que faisait mon membre dans son vagin plein de sperme. J’y ai ajouté le mien, puis suis allé me doucher, en proie à ces vifs sentiments paradoxaux qui ne m’ont pas vraiment quitté de la semaine.
Elodie m’a fait rire en m’exhibant en fin de semaine l’épaisse serviette qu’elle n’oubliait plus d’utiliser pour mettre sous elle, pour éviter de changer chaque jour les draps, toujours son sens pratique. Elle est vite devenue la « serviette d’Henri ».
Je n’ai vu Henri que le dimanche matin suivant, en lui rendant visite. Un peu inquiet de m’apercevoir en ouvrant sa porte, je l’ai rassuré d’un sourire et lui ai dit que j’allais faire un peu de vélo, pour m’entretenir, jusqu’à midi, que la place était libre, chaude, et qu’Elodie l’attendait. Dès lors, il ne se cacha plus, ne se gêna plus. Elle eut ses règles et se refusa à l’un comme à l’autre, comme d’habitude, pour se rattraper ensuite avec ferveur. Elle aimait ça, ne s’en cachait pas, et convainquit Henri, réticent au départ, de me laisser parfois les regarder quand vraiment j’en avais envie. Ce fut plus torride que tout ce que j’avais imaginé. Ma belle petite jeune femme nue contre cet homme un peu ventru, bien conservé à part cela, aux étonnantes couilles velues pendantes qui produisaient en quantité industrielle un sperme épais que le vagin étroit de Elodie, saturé, expulsait rapidement et abondamment, et qui se répandait sur la serviette sous ses fesses. Elle était excitée, jouissait à répétition, bien plus qu’avec moi je devais bien me l’avouer. J’étais fasciné par son sexe pénétré, ses lèvres velues dessinant un O autour de la grosse bite d’Henri dont les grosses couilles balançaient lourdement sous lui. Tous mes sens étaient à la fête, la vue bien sûr, même l’odeur si délicieusement musquée de l’amour, et plus encore l’ouïe enchantée par les sons qu’elle produisait en faisant l’amour : elle respirait fort, bruyamment au rythme où on la prenait. A chaque expiration, un petit son plaintif et parfois un « oui » murmuré. Quand son plaisir montait, des gémissements brefs accompagnaient le rythme jusqu’à un plainte continue annonçant son orgasme couronné d’une longue plainte aiguë, accompagnée de spasmes et de tremblements de son menton. Elle préférait de loin la position du missionnaire, lui permettant son jeu favori d’embrasser à pleine bouche. En levrette, elle lançait souvent une main cherchant à toucher celles posées sur ses flancs ou ses hanches.
J’aimais la prendre ensuite, souillée, et laissait la place à Henri quand il en voulait encore. Elodie était aux anges : être prise ainsi plusieurs fois de suite lui procurait des orgasmes à répétition. La serviette était parfois à tordre et… nous ne payions plus de loyer. Après trois mois de chômage, elle retrouva un emploi de comptable, bien payé, dans un grand magasin. Notre vie sexuelle ne s’assagit pas pour autant. Ce qu’elle ne pouvait plus faire le matin, elle le refaisait au moins deux soirs par semaine, parfois avec nous deux, à la file. Elodie n’avait pourtant pas changé. Elle restait cette adorable épouse, tendre, affectueuse, complice, pleine d’humour et adorant le mien.
*****
C’est alors qu’un soir où exceptionnellement elle avait repoussé Henri venus nous rejoindre dès notre arrivée en lui demandant de nous laisser seuls, elle me reparla de son oncle Daniel… J’ai eu un pincement au cœur, une bouffée de jalousie. Il l’avait contactée par téléphone, l’avait invitée à passer seule un week-end chez lui, disant s’être séparé de sa femme, la tante Nicole, pourtant si gentille. Elodie m’avoua avoir été vivement excitée par cet appel mais avoir été très déçu par les propos qu’il lui avait tenus à mon endroit. S’il avait envie d’elle, il jouissait surtout par avance de me cocufier, disant que je ne la méritais pas, qu’ils allaient s’éclater dans mon dos alors que je resterais seul chez nous, et d’autres méchancetés. Elle avait failli lui répondre que j’étais un cocu heureux et excité, mais se reprit. C’était trop personnel. Elle avait conscience qu’il me voulait du mal, et cela a cassé son désir. Elle déclina l’invitation en lui disant que c’était trop tard, qu’il aurait du le lui proposer avant son mariage, et qu’elle m’adorait. Puis elle m’embrassa amoureusement.
— Je ne te ferais jamais du mal, me dit-elle. Nos jeux sexuels sont excitants, je fais la putain par jeu, j’ai un client régulier, je te fais « cocu » sans te trahir puisque tu aimes bizarrement cela et qu’on le veut comme ça, tous les deux, mais je ne ferai rien dans ton dos.— C’est pourtant ton premier fantasme, et tu éprouves du désir pour lui.— Oui, mais pas comme ça. Tant pis pour lui. Je t’aime. Dis moi.. On forme un couple bizarre nous deux, non ? Tu es le meilleur des maris, quelle chance j’ai.
Ce soir là, nous avons fait l’amour tendrement, en amoureux, poussant nos confidences, nos désirs. Elle me parla du bébé qu’elle voulait de moi. Elle me demanda si je n’éprouvais vraiment aucune jalousie vis à vis d’Henri.
— Tu vois, quand on n’avait que le gode pour jouer, je disais que c’était mes copains, notamment Thierry qui en pince pour toi. A ce moment là, j’avais vraiment envie que tu l’acceptes à mes côtés dans ton lit. Erreur, j’aurais été très jaloux, c’est sûr. Si tu fais avec un autre comme moi, je me dirais pourquoi ne pas me préférer ? Mais si tu fais avec des hommes plus âgés, différents, ce n’est plus pareil. Et puis… il y a un côté très pervers, un peu bestial qui fouette mon excitation. Putain, cocu, ces mots m’excitent avec un vieux, pas un jeune. Et puis, il est un peu ton client puisque tu te prostitues avec lui pour le loyer, et une prostituée mariée, c’est violemment excitant ! Non, je ne suis pas jaloux. C’est bizarre, mais c’est comme ça.— Moi aussi j’ai des goûts bizarres, et ils se complètent, heureusement ! Jouer à me prostituer m’excite beaucoup ! — Hi, hi ! Tu veux augmenter ton chiffre d’affaires ? — Idiot !
Je jouais avec ses poils, palpait ses seins fermes.
— Non… Mais je vais bientôt arrêter la pilule, le bébé. Je ne pourrais plus jouer, plus recevoir de sperme autre que le tien. Tu vas peut-être me maudire, mais.. Je vais devoir devenir sage. Mais rassures-toi, je serai toujours ta petite putain prêt à tout ! Alors, ne va pas voir d’autres femmes, hein ! Si tu n’es pas jaloux, et même si ça te semble étonnant par rapport à ce que tu me laisses faire, je n’aimerais pas du tout être cocue…
Je réalisais que la platitude d’une vie sexuelle conformiste n’allait pas être vraiment facile à accepter. Quand on a l’habitude de manger épicé, un plat sans sel…
— Tu veux l’arrêter quand cette pilule ?— J’aimerais après mes règles de la semaine prochaine.— Tu sais que j’ai étudié ça dans mon cursus. Après cinq ans de pilule, ça ne démarrera pas tout de suite. Regarde ta sœur, il lui a fallu six mois pour être enceinte. Le premier mois sans, sûr que tu ne risques rien.
Etait-ce parce qu’elle savait qu’elle allait s’assagir, mais jusqu’à ses règles, elle fit preuve d’un appétit féroce. Henri y trouva son compte quotidien, mais moi, elle m’épuisa. C’est à ce moment là, en l’imaginant sans protection, qu’une idée tout aussi bizarre que les autres me trotta dans la tête. Avec le recul, ce fut sans doute malsain, mais notre couple était hors norme et l’avenir me montra qu’il résista à tout. Elle prévint Henri, effondré, et arrêta la pilule. Je la pris tous les jours la première semaine. Si j’avais oublié (et comment aurais-je pu oublier !) elle m’aurait violé. La posséder ainsi, arroser ainsi son ventre sans protection décuplait mon désir.
*****
Diffuse en direct !
Regarder son live