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Le long chemin de la soumission

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Bonjour, je m’appelle Maud, j’ai 18 ans. Je vais vous raconter mon histoire.
Pour bien comprendre, je vais commencer par vous préciser ma situation.
Je vis avec mon père dans un appartement, ma mère nous ayant abandonnée à ma naissance.
Mon père, bien que gentil, est souvent absent car son travail est très prenant. Je ne manque de rien mais j’ai vite appris à me débrouiller par moi-même.
Bien que ce soit interdit avant 20 ans, cela fait maintenant 2ans que je sors régulièrement en boite avec une copine de classe, vu qu’elle a 21 ans cela ne pose aucun problème. Avec un peu de maquillage et quelques fringues bien choisies... il est facile de tromper le "videur".
Tout commence d’ailleurs par ça, une sortie en boite.
Comme d’habitude, je prétexte à mon père que je vais dormir chez ma copine. Le soir venu, on se change, on se maquille un peu et hop...direction la discothèque.
J’avais choisi pour l’occasion un top noir avec des brillants et un cœur formant le décolleté, une minijupe bleue foncée, des bas collants noir brillant et une paire de botte en cuir haute à talon.
Et pour les dessous, un soutien en dentelle pigeonnant et un string.
La nuit se passe sans problème, l’ambiance est bonne, le DJ est excellent...bref, une bonne soirée. Je dansais comme une folle sur la piste.
Sauf qu’entretemps....
Mon père était rentré plus tôt ce soir là et à voulu prendre de mes nouvelles en téléphonant chez ma copine. La mère de celle-ci, ne sachant pas trop quoi répondre..lui avoua le « méfait ».
J’étais sortie prendre l’air 5min, une voiture c’est arrêtée à ma hauteur. C’était mon père.

Je ne vous dis pas mon angoisse à ce moment là.
Par la fenêtre de la voiture, il m’avait lancé un glacial : « monte dans la voiture! »
A l’entendre comme cela, Je me suis exécutée sans me faire prier.
En voiture, l’ambiance était très froide. Mon père affichait un regard sévère.
Alors qu’on roulait normalement, j’ai constaté qu’on ne prenait pas la direction de l’appartement.
— « Où est-ce que tu m’emmènes Papa? »
Shlak! C’était le bruit de la fermeture centralisée..me bloquant dans la voiture.
« Puisque tu te sens plus âgée, je pense qu’il est temps pour toi de te découvrir!
Je vois que tu aimes t’habiller pour attirer les regards, parfait.
Dans la boite à gant tu trouveras un masque et une paire de menotte.
Prends le tout, met les menottes à tes poignets et pose le masque sur tes yeux! »
« Mais papa? »
« Tais-toi! À partir de maintenant il n’y a plus de papa, il y a monsieur! »
« Mais.... »
Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’il me fila une claque...
La larme à l’œil j’obéis.
Après quelques minutes j’étais menottés et les yeux bandés.
« Ecarte tes jambes, tu ne devras plus les avoir aussi serrée en ma présence! »
« Oui »
Une 2e gifle plus forte cingla
« Oui qui? »
« Oui....monsieur »
« Bien, tu vas apprendre à obéir. Dorénavant que je m’adresserai à toi, je t’appellerai ma petite pute, ma petite salope »
J’avais le souffle coupé. Mon père qui me traite de la sorte..je n’en revenais pas.
«Ecarte les jambes j’ai dit! »
J’écartais mes jambes comme demandé. Ne voyant rien, je me demandais ce qu’il faisait...
« Joli, très joli vue.... » Dit t’il
J’étais rouge de honte.
Sa main s’était posée sur ma cuisse et remontait ma mini jupe, je devinais qu’il voyait à présent mon string en dessous de mes bas.
J’étais en larme
« S’il te plait papa, arrête...je ne le ferai plus je te le promets »
Une 3e gifle stoppa net mes envies d’insister.
« Tu ne porteras plus de petite culotte jusqu’à nouvel ordre, c’est bien compris ma petite putte? »
« Oui...monsieur »
Je me demandais où il nous conduisait..J’avais surtout honte de me savoir ainsi attachée, exposée de la sorte avec sa main sur ma cuisse.
« Allo, Marc? J’arrive dans quelques minutes, est-ce que tout est prêt?
Ok, parfait, à tout de suite »
Qui était ce Marc? Qu’est-ce qui était prêt?? Je n’allais pas tarder à le découvrir.
La voiture ralenti et s’arrêta.
« Ne bouge pas petite pute! »
Il est sorti de la voiture puis a ouvert la porte de mon côté.
« Viens par ici » dit-t’il en me prenant le bras.
Il le serrait très fortement.
On est entré dans ce que je supposais être une maison.
« Voici la pute que je t’apporte Marc. Tout est à faire, elle doit être dressée et éduquée. Je te la laisse pour la nuit et la journée de demain. »
Quoi? Je cauchemarde? Mon père...non ce n’était pas possible.
En partant il m’avait chuchoté à l’oreille « Tu vas commencer ton apprentissage ma petite putte, après tu ne seras plus la même »
J’étais debout, les yeux toujours masqué et les mains toujours attachée par les menottes.
Une voix grave : « Voyons ce que nous avons là »
« Lève les mains et pose les sur ta tête, salope! »
Parce que je ne me suis pas exécutée plus rapidement....une douleur cinglante me transperça de part en part. Je venais de goûter à un coup de badine sur les fesses.
En larme j’ai posé donc mes mains sur ma tête, telle une personne arrêtée par la police qui va se faire fouiller.
En fait de fouille, rapidement une main c’était posée sur moi, puis une deuxième.
Glissant sur mon dos, mes hanches...puis une des mains fit glisser ma mini jupe sur le sol.
L’autre main avait déjà fait glisser la glissière de mon top.
J’étais debout, en collant, string et soutif, aveugle et totalement à la merci d’une personne que je ne connaissais pas.
Dans quel guêpier mon père m’avait enfermée???
Il s’est approché de moi et me susurra à l’oreille :
« Ma petite pute....ton père m’a confiée une partie de ton éducation, je t’ai à ma merci pour toute la nuit et demain. Si tu ne m’obéis pas à la lettre, tu le sentiras passer...avec douleur, si tu m’obéis, peut-être te laisserai-je prendre un peu de plaisir. J’ai carte blanche, sauf pour ta virginité »
Comment pouvais t’il savoir que j’étais encore vierge?? Je ne l’avais jamais dit à mon père.
Il a fait glisser mon soutif sur le sol et je n’ai pas su m’empêcher de bouger mes mains....bien mal m’en pris, une violent douleur m’ôta toute envie de continuer.
Mes fesses brulaient, les larmes coulaient de mes yeux.
« Je t’ai dit de laisser tes mains sur ta tête salope! »
Une main, rugueuse, glissa sur ma poitrine dénudée, soupesa mes seins.
J’étais rouge de honte, mais mon corps me trahissait..Mes têtons étaient devenu dur d’excitation.
Bien entendu il l’a remarqué...
« Bien, je vois que ton père avait raison, tu es une belle salope » dit t’il en me triturant les tetons.
Cela continua pendant un certains temps...il les malaxait, les soupesait,..
Ensuite sa main est descendue sur mon ventre et glissa entre mes jambes.
Il pressa et frotta...je sentais mon string glisser entre mes lèvres qui devenaient de plus en plus humide. C’est qu’il m’excitait le bougre.
Il a ôté mon masque et j’ai mis un certains temps à pouvoir distinguer les choses qui m’entouraient.
« Tu vas dans la salle de bain, lave toi bien partout et change toi! Tes vêtements sont sur le tabouret. Dépêche-toi, tu as 15minute. Compris sale putte? »
« Oui Monsieur »
Je vis enfin mon tourmenteur, il était de taille moyenne, d’une 50aines d’années, un regard vicieux...bref, pas mon style. Mais je n’avais pas le choix.
La salle de bain n’avait pas de fenêtre...pas de chance, je ne pouvais même pas tenter de m’échapper.
Après ma douche et après m’être soigneusement lavée (mes fesses me faisaient toujours mal), j’ai ouvert le paquet...Il est fou, je ne vais pas revêtir ce genre de fringues....
Malheureusement si, je n’ai pas le choix.
Le paquet contenait une mini jupe en latex ultra courte, une paire de bas résille avec une ouverture sur l’arrière, des escarpins à talon très haut, un top en cuir...qui laissait mes seins à l’air...et pas de string ou de culotte.
« Quel horreur » je me suis dit. « Je vais ressembler à une putte »
Il a frappé à la porte.
« Ho! la putte, il te reste 5min pour sortir! Dépêche-toi! »
N’ayant pas le choix, j’ai enfilée les vêtements et je suis sortie de la salle de bain.
Il était devant moi, me défiant du regard.
« Ne me regarde pas! Regarde le sol petite putte! »
« Très joli...beaucoup plus joli que tes anciennes fringues...suis moi maintenant, nous allons commencer ton initiation »
Je le suivais dans la maison, on descendait dans ce qui devait être une cave mais qui se révélât être une immense salle.***
Les murs étaient revêtu d’un drap bordeaux ; pas de fenêtres ; un éclairage passif mêlant lumières et bougies ; sur un pan de mur, je distinguais une croix, sur un autre un étalage d’objet divers que je ne connaissait pas, je pouvais toutefois distinguer différentes formes de fouets ; une table en bois brut très massive trônait au milieu de la pièce ; une sorte d’établis avec des chaines, cordes, menottes,...et des annaux étaient fixées au plafond, sols et murs à divers endroit ; il y avait aussi un grand divan en cuir noir...
J’étais transit de peur.
« Et alors! Tu comptes prendre racine? Ramène ton joli cul de putte ici! »
Il m’indiqua la croix.
Alors que je m’en approchais, il me saisit par le bras et me plaqua face au mur. Ses mains saisirent mes poignets et il les attacha à des menottes métalliques reliées par une chaine à la croix.
Il fit de même avec mes jambes.
J’étais maintenant face au mur, jambes et bras en croix...
Je l’entendais fouiller sur l’établi et il s’approcha de moi.
« Je vais te bâillonner, je n’ai pas envie d’entendre tes jérémiades.. »
Alors qu’il me parlait il m’enfonça une balle dans la bouche reliée par deux cordons de cuir qu’il serra derrière ma tête.
Il serra si fort que je ne pouvais plus dire un mot.
Il glissa un doigt rugueux entre mes fesses..Frottant avec force sur mon petit trou.
J’étais en larmes, mais je sentais aussi une certaines excitation monter en moi.
« Ma petite putte, je vais bien m’amuser avec toi...si tu te montres gentille je te laisserai même y prendre du plaisir, mais avant cela, il faut d’abord que je te brise! »
Dit-il en remontant la mini jupe en latex que je portais, dénudant mes fesses.
Ces paroles me faisaient froid dans le dos.
Il s’éloigna....puis une forte douleur se fit sentir sur mes fesses, une autre, encore...encore....
J’ai compté 20 coups de fouets zébrant mes fesses.
A chaque coup, je mordais la balle de toutes mes forces, mon visage était en larmes.
Il me détacha les chevilles et rallongea les chaines de mes poignets.
Ensuite, il me recula le bassin pour de nouveau attacher mes chevilles, quelques centimètres plus loin.
J’exposais maintenant mon cul.
« Je vais continuer et alterner les fouets, tu vas ainsi goûter aux plaisirs de la souffrance. »
A peine avait t’il prononcés ses mots que les lanières des fouets cinglèrent mes fesses
Je ne me souviens plus du nombre de coup de fouets que j’ai reçu...mais après un long moment de torture, il s’arrêta net et me massas mes fesses endolories de douleurs avec une crème.
Le massage eu pour effet de calmer la brulure des coups.
Il me détacha de la croix et me transporta sur la table en bois.
Là il m’attacha les bras, toujours face contre la table, mais mes jambes étaient pliée, écartée et attachées au sol. Formant un coin.
« Je te présente Rex, mon fidèle compagnon »
Rex??? Mon dieu, un chien! Ce type est fou!
Rex était un dogue allemand, de très grande taille.
Avec ses mains, il écarta mes fesses, exposant mon petit trou.
Un doigt rugueux le massa légèrement, je ne pu empêcher un râle de plaisir sortir de ma bouche bâillonnée.
« Tiens donc...on dirait que ma petite putte aime ça »...
Le salaud, il le savait et en profitait.
« Ton père m’a bien précisé que ta virginité devait être préservée...mais il ne m’a pas interdit de m’occuper de ton petit trou de putte! »
Son doigt força l’entrée, écartant mes sphincters avec force.
Il fit une série de va et viens, tournant de temps en temps...je sentais mon trou du cul s’ouvrir petit à petit.
Un 2 e doigt s’introduit, un 3e ensuite...
Je n’en pouvais plus, des vagues de plaisir montaient en moi, je gémissais en continu, je sentais ma chatte dégouliner.
Il frotta ses doigts sur mes fesses puis les écartas encore plus.
« Viens Rex! Viens goûter à cette putte »
Le chien, obéissant, se dressa sur ses deux pattes avant et je sentis sa langue râpeuse me lécher le trou du cul...encore et encore.
Cette langue longue et râpeuse me faisait un effet fou, alors que j’étais dégoutée, révulsée à l’idée de subir cette perversion, je pouvais sentir ma chatte dégouliner de plaisir, mes seins étaient durci comme jamais...j’aimais ça.
« Mon dieu, je deviens folle...je me mets à apprécier cette perversion »
Mon bourreau le savait, je prenais du plaisir...et pour y couper court il m’asséna une fessée qui me fit redescendre sur terre bien vite.
Le chien avait maintenant fini...j’étais soulagée.
Mais déjà je sentais un liquide froid et gras couler sur mon cul.
Il posa devant moi une série d’objet oblongue de taille différente...il y en avait 5, du plus petit au monstrueusement gros.
« Tu vois ces plugs? Je vais tous les utiliser...et quand j’en aurai fini avec, ton cul sera aussi accueillant et ouvert que ta chatte de putte »
Il prit le premier et l’enfonça d’un coup dans mon cul.
Un étouffement de douleur sortis de ma bouche.
Il joua avec, le faisant entrer et sortir, effectuant des rotations de plus en plus larges...puis m’enfonça le second, plus large.
De temps en temps il rajouta du gel pour mieux « huiler » mon cul comme il le disait.
Je sentais mes sphincter se dilater, s’étirer...il allait me déchirer complètement.
Déjà le 4e était à l’œuvre. Il était un peu différent des autres, long, très long, recourbé et s’élargissant au fur et à mesure.
Il me ramona avec pendant un long moment.
Je ressentais à nouveau des vagues de plaisir monter en moi.
Il prit le dernier, il avait une base très large et était de forme conique.
Il l’appuya fortement sur mon cul ravagé, je pouvais sentir sa force...et je sentais les dernières barrières de mon cul céder sous la pression exercées.
D’un coup il se glissa profondément.
J’hurlais sous mon bâillon tellement la douleur était intense, elle me déchirait les entrailles.
Il prit un rouleau de scotch et le fixa sur mon cul de telle manière que ce plug ne pouvait pas sortir.
Il me détacha à nouveau, retira mon bâillon dégoulinant de salive.
À quatre pattes sale putte, tu es ma chienne à présent.
Il attacha un collier de chien à mon cou et tira sur la laisse.
Je le suivais à travers la pièce, jusqu’au divan.
Il s’assit confortablement..Pendant que je restais à ses pieds.
Mon cul me faisait souffrir, je sentais la douleur s’effacer petit à petit..Mais à chaque mouvement, il me faisait mal.
« Voyons voir si tu sais te servir de ta bouche » dit-il
« Déboutonne mon pantalon et suce moi! Et tu as intérêts à t’appliquer »
Je dégrafais son pantalon et baissa son slip. Son pénis était déjà tendu et prêt à l’action.
Il était grand et veineux.
Voyant que je trainais, il attrapa ma tête et força l’entrée de ma bouche avec sa bitte.
« Suce moi salope! »
J’avais déjà sucé mon ex petit copain...mais là ce n’était pas pareil. Avec ses mains il poussa ma tête et enfonçait son pénis au plus profond de ma gorge. M’étouffant presque avec.
Il accélérait le mouvement, je le suçais du mieux que je pouvais et ça devait lui plaire vu qu’il émettait des râles de plaisir.
A un certain moment, il poussa sur ma tête de toutes ses forces, calant sa bite au plus profond de ma gorge...et éjacula avec violence.
J’ai cru que j’allais vomir..
Son sperme coulait à flot au fond de ma gorge.
« Avale sale pute...avale tout!»
Il éjacula à plusieurs reprises, je pouvais sentir son jus couler par la commissure de ma bouche.
Il retira ses mains et ordonna d’un ton sec « nettoie ma bite salope, je veux qu’elle soit propre »
Je léchais sa bite avec application, craignant sa colère. Chaque goute de sperme était nettoyée. J’avais le gout de son foutre en bouche.
« Il y a encore du travail à ce niveau là...mais c’est déjà pas mal.
Lève toi chienne, tiens toi debout et regarde le sol »
J’avais du mal à me lever...mon cul ainsi bourré me tiraillait de douleurs et de plaisir...car ma chatte était à nouveau occupée à dégouliner sur mes bas résille.
Il attacha des pinces à mes têtons quoi pointaient...et y relia des petits poids.
La douleur était intense.
« Tu vas les garder pendant un certains temps salope! »
« Maintenant tourne toi et baisse toi que je te retire le plug »
Sans me faire prier je m’exécutais.
Il retira le plug...et je sentis que mon trou ne se refermait pas....
« Parfait parfait, maintenant tu as un trou de putte »
Il me poussa sur le divan, cabré et remonta ma mini en latex à hauteur de ma taille.
Découvrant mes résilles...trempée.
« Mais je vois que cette salope à pris du plaisir, on dirait que tu commences à aimer ça! »
Ho que oui pensais-je intimement...la douleur se mélangeait avec le plaisir intense
Il enfonça sa bite violemment au plus profond de mon cul, me ramonant à nouveau d’un va et viens rapide.
Donnant des coups de butoirs, toute sa bite glissant au fond. Je pouvais sentir ses couilles taper sur ma chatte détrempée.
Ses mains me tenant fermement par les hanches.
Les poids fixés à mes seins suivaient le mouvement de son va et vient...apportant un subtil mélange de douleurs et de jouissance.
Je ne pouvais m’empêcher de laisser libre cour à ma jouissance, j’étais à sa merci.
De temps à autre il m’assena des claques bien marquées sur mes fesses rougies par les nombreux coups de fouets.
Puis il joui à nouveau, la bite bien ancrée au fond de moi. Je sentais le liquide chaud couler dans mes intestins. Ma chatte et mon cul était en feu, je n’en pouvais plus.
« Nettoie moi la bite salope! »
Sans attendre, d’un geste quasi mécanique j’étais à genoux lui dévorant la bite. Lechant la moindre goutte de sperme.
Un petit peu de son sperme s’échappa de mon trou béant et se rependit sur le sol....
« Lèche le sol salope, il ne faut rien gaspiller »
Telle une chienne j’étais à quatre pattes, lapant le sol.
Il avait brisé en moi les dernières barrières de mon auto-détermination. Je n’étais que son objet et il pouvait faire de moi ce qu’il voulait.
J’étais exténuée, fatiguées...mon corps meurtrit me faisait sentir que les jouissances multiples l’épuisait aussi.
« Lève toi et viens ici, on a presque terminé pour cette nuit »
Il m’enfonça à nouveau le gros plug dans mon cul déjà bien dilaté et le fixa à nouveau avec du tape pour qu’il ne sorte pas.
Il retira les pinces de mes seins...mon dieu que ça faisait du bien.
Mais ce moment fut bref, car il les remplaça par d’autres pinces, plates celle-là, reliée à une chaine aussi. Chaine qui passait par mon cou mais un peu courte, ce qui relevait mes têtons aplatit.
Puis il fixa 2 autres poids sur la chaine...provoquant ainsi une double douleur.
Ma poitrine faisait penser à une mini table tellement les pinces aplatissait mes seins
D’un côté le tiraillement vers le haut et d’un autre le poids vers le bas...
Il m’attacha ensuite à la croix, mais cette fois-ci face à lui, la mini en latex toujours remontée sur mes hanches, bras et jambes écartées.
« Tu vas dormir comme cela jusqu’à demain matin, ensuite on reprendra ton éducation de putte. Rex sera ton gardien pour la nuit.... » Dit t’il avec un sourire sadique.
J’avais mal partout. Au fesses principalement suites aux nombreux coups de fouets, cravaches, que j’avais reçue. Au cul suite aux traitements violent qu’il avait subit pour qu’il se dilate. Aux seins car les poids et la chaines me faisaient souffrir en permanence.
Sans compter le dégout interne que je ressentais...j’ai été « prêtée » par mon propre père à un pervers sadique qui abuse de moi.
Mais ce traitement je l’aimais aussi, jamais je n’avais autant jouis de ma vie, j’ai eu de multiples orgasmes d’une telle intensité.
La lumière s’éteint et j’étais plongée dans la pénombre.
La fatigue était telle que je ne ressentais plus les douleurs et la honte...Morphée m’accueilli dans ses bras.
Quelque chose d’humide et froid me tira de mon sommeil.
Rex me léchait la chatte, attiré par les odeurs de jouissance de la veille sans doute.
Incapable de bouger, je n’avais d’autre choix que de me laisser faire.
Sa langue rugueuse passait et repassait sur les mailles des bas résilles, provoquant en moi une montée de plaisir. Ce salaud tortillait sa longue lange entre mes jambes écartées....je me mordais les lèvres de plaisir. A chaque coup de langue, mon corps réagissait par un spasme de plaisir, faisant bouger les poids de mes seins endoloris.
Ce clebs allait me faire jouir à coup de langue.
Après plusieurs minutes passée à subir les assauts de sa langue, je jouis à nouveau...mes bas résille étaient trempé, ça dégoulinait sur mes cuisses.
Ce qui n’arrêta pas le chien pour autant, non content de son acte, il me lécha les cuisses...me nettoyant complètement.
Enfin, après plusieurs instants, il retourna se coucher près du divan.
Avec tout cela, je ne savais pas l’heure qu’il était. Plongée dans le noir, attaché à cette croix, offerte aux moindres désirs pervers de mon geôlier, j’avais perdu le fil du temps.
A moitié endormie, je fus réveillé par de la lumière.
Il était de retour.
« Alors? Ma petite putte à bien dormi? Rex t’a bien gardée? »
« Oui »
Il me retourna une claque
« Oui qui? Salope »
« Oui monsieur, excusez moi monsieur »
Il me décrocha me remit la laisse autour du coup et s’installa dans le divan...j’étais couchée à ses pied, à côté de Rex.
« Voici ton petit déjeuner ma salope » dit-t’il en me tendant une gamelle remplie d’une bouillie étrange.
« Mange ça comme une bonne chienne! »
Je ne me fis pas prier, même si ça ne paraissait pas ragoutant, j’avais une faim de loup.
Ne pouvant me servir de mes mains, je mangeai comme un chien, avec la langue.
Mon visage était recouvert de cette bouillie.
« Bouge pas, Rex va te nettoyer ça »
A peine avait t’il fini sa phrase que Rex me lécha le visage, nettoyant ainsi les traces de nourriture.
Je me sentais honteuse, dépravée. Accepter ce genre de traitement, comment pouvais-je me laisser aller ainsi....
« Lève toi salope, je n’aime pas attendre »
Ces mots coupèrent ma réflexion..Il était sans pitié.
Il me traina sur une sorte de tabouret ou il me fixa les chevilles sur les pieds arrière. Le tabouret avait une assise conique, ce qui avait pour effet de pousser le plug un peu plus encore.
Une ceinture passait sur mes cuisses, me retenant assise.
Il attacha mes mains à une paire de menotte, reliée à une chaine qui remontait au plafond.
D’un coup sec il tira sur la chaine, entrainant mes mains vers le haut.
Bras tendu au maximum, étirée car je ne pouvais pas relever mes cuisse d’un millimètre à cause de la ceinture qui les retenais.
Il détacha les pinces de mes seins.
A nouveau une vague de chaleur et de plaisir remonta dans mon ventre.
« Hier soir on a travaillé ton cul de salope...voyons voir ce que nous pouvons faire avec tes nichons »
Mes seins? Mais ils sont déjà hyper douloureux après le traitement que j’ai subis...mon dieu qu’allait-il encore inventer?
Il glissa ses doigts sur mes tetons..Qui étaient devenu hypersensible.
Puis il prit des glaçons et les fit tourner lentement sur le bout de mes seins.
Le froid de la glace combinée à la chaleur de mes seins était intense...tendue comme je l’étais sur ce tabouret, mes muscles essayaient en vain de se contracter de plaisir...je fermai les yeux et commençais à couiner de plaisir.
« Alors ma petite putte, on apprécie? »
« Oui monsieur, merci monsieur »
« Bien, je vois que tu as retenu la leçon »
Alors que je commençais à nouveau à être proche de l’orgasme, une violente douleur me traversa la poitrine. Suivie d’une autre, et encore une....il enchaina les coups de fouets avec violence, zébrant ma poitrine.
J’hurlais de douleurs, les larmes m’aveuglant.
« Je vais te fouetter 15fois les seins, j’irai de plus en plus fort. A chaque cri, je rajoute 5 coups de cravache. Montre-moi que tu es une bonne petite putte. »
Je n’avais pas le choix, soit je subissais, soit je souffrirais encore plus...ce type est un sadique.
Il commença sa série...je mordais mes lèvres pour ne pas crier, la douleur était de plus en plus intense, elle me déchirait de part en part. Je ne voyais plus rien tellement les larmes coulaient de mes yeux.
Le dernier coup tomba...enfin il avait fini.
« Je suis fier de toi ma petite putte, tu t’es montrée très forte »
« Merci monsieur »
« Maintenant tes petits seins sont prêt pour la suite »
La suite???? J’étais à moitié sonnée par la douleur, je n’avais plus aucune réaction.
Je n’ai même rien senti quand il perça mes tetons avec une aiguille et quand il enfila deux anneaux à travers le trou qu’il venait de faire.
Mes seins étaient tendus à l’extrême, rouge, zébré de partout...et mes têtons étaient ornés d’un anneau.
« Voilà, maintenant tu es une vrais putte...comme on les aimes »
« Merci monsieur »..d’un ton presque mécanique.
Il desserra la ceinture qui me calait sur le tabouret et retira les liens qui me retenaient.
« Lève toi, je vais te retirer ce plug »
Il retira le plug doucement, délicatement...prolongeant le plaisir.
Maintenant mon cul restait légèrement ouvert.
« Tu es prête à recevoir les honneurs de tes maitres maintenant »
« Oui monsieur » de mes maitres????
« Va te laver, et remet tes vêtements...pas ceux que tu avais pour venir, je les ai brulés, mais ceux que tu portes actuellement, ce sera ta nouvelle garde robe..ta garde robe de putte »
Je fis couler un bain chaud pour me relaxer après cette soirée mouvementée.
Mes muscles étaient tous endoloris, les douleurs au cul, aux seins, aux fesses...j’étais en mille morceaux.
Je me mis à pleurer comme une madeleine, repensant à tous les outrages qu’il m’avait fait subir. Et pourtant quelle jouissance il m’avait donné. Je contemplais dans la glace mes seins, ornés de leurs anneaux.
Puis je remis mes bas résille (il m’avait donnée une nouvelle paire, les autres étaient remplis de bave de chien, du jus de ma chatte,...), ma mini en latex et le top qui laissait mes seins à l’air libre. Je me contemplais à nouveau dans la glace...c’est vrai que je suis une putte. Je me suis laissé aller à jouir comme la dernière des salopes. Et je ne le regrette même pas.
Il frappa à la porte.
« Ton chauffeur est arrivé, sors de la petite putte, il est temps pour toi de partir »
Il me raccompagna à la porte ou m’attendait un grand noir, vêtu d’un costard cravate, debout devant une limousine.
Il m’embrassa sur la bouche et me susurra à l’oreille : « sois bien sage ma putte, on se reverra bientôt. »
En voiture
La limousine était conformable, mais les sièges étaient légèrement inclinés vers le bas, ce qui rendait ma chatte visible, vu la minuscule jupe en latex que je portais.
Bien entendu le chauffeur ne se privait pas de jeter un coup d’œil...et j’avoue n’avoir rien fait pour l’en dissuader, bien au contraire, j’écartais même les cuisses afin de lui offrir une plus belle vue.
La voiture s’arrêta sur ce qui semblait être un parking d’autoroute.
Le chauffeur descendit et s’installa à l’arrière, face à moi.
« Bien la putte, il est temps de payer la course de ton chauffeur. »
Machinalement je m’approchai de lui, je lui déboutonnai le pantalon et sorti son pénis de son slip.
Un monstre...ce type était bâti comme un âne. Il avait une bite 2 fois plus grande que celle de mon tourmenteur.
Je m’empressai de la lécher goulument, m’appliquant à lui prodiguer la meilleure sensation.
Sa main glissa le long de ma jupe et un doigt se faufila dans mon petit trou ouvert.
Il me doigta le cul sans ménagement alors que je lui pompais allègrement son immense pénis.
« Bouffe moi la queue salope, je veux la voir glisser tout entière »
Dit-il en poussant sur ma tête, forçant sa bite au plus profond de ma gorge.
Elle était si grande qu’elle toucha ma glotte, je dus me retenir de vomir.
Pendant ce temps là il besognait mon cul, avec 3 doigts à présent.
Déjà je commençais à ressentir le plaisir coulé en moi.
Je pompais de plus en plus fort sur sa queue, le suçant à fond.
Ma tête glissait de haut en bas le long de son manche de plus en plus vite.
« STOP salope...je n’ai pas envie de jouir dans ta bouche, tourne toi et viens empaler ton cul sur mon dard »
J’obéis et il glissa son monstre au fond de mes entrailles.
Etrangement, je ne ressentais plus de douleurs...mais que du plaisir.
Son énorme bite me ravageait le cul et j’en jouissais pleinement.
Il me martela l’anus, m’éclatant encore un peu plus la pastille.
Je miaulais de plaisir sous ses coups de buttoirs.
Puis il déchargea son fouttre dans le tréfonds de mes entrailles.
La chaleur et la quantité de son jus était proportionnelle à la taille de sa queue...
Dès qu’il eu retiré sa bite, je me tournai et l’englouti dans ma bouche, suçant la moindre goutte de son jus, léchant le gland pour y récolter les dernières gouttes.
J’avais appris à aimer ça en 24h...
Pour éviter de tacher la sellerie de la limousine, je serrais les fesses le plus possible.
« Il y a des lingettes dans le mini bar, utilise les et ne me salit pas les sièges, compris salope? »
« Oui monsieur »
La voiture redémarra, après plusieurs minutes de route, j’étais enfin arrivée chez moi.
Il faisait tard, plus personne n’étais dans la rue et j’espérais que personne ne sorte et ne me croise vêtue de la sorte.
(À suivre)
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