Ce vendredi soir reste marqué d’une pierre blanche pour moi...On est en juillet, en vacances pour ma part, et 22 belles années au compteur.Ce vendredi soir j’ai fêté mon anniversaire avec ma petite famille, mes meilleurs copains. Noémie ma meilleure amie bien sur, Coralie , Benoît et mon beau chien MAX ,(bâtard mais beau).Pour finir le repas, 2 cafés bien serrés n’ont pas réussis à nous faire digérer le repas de ma douce maman, alors nous nous sommes imposés une petite balade à quatre, au clair de lune, et des lunes je comptais bien en voir ce soir, si possible avec les étoiles !Moi une seule idée en tête, devinez quoi ? Remarquez chaude comme je l’étais, j’aurais pu mettre le feu aux alentours, tout le monde s’en était aperçu, mon cher père m’avait fait les gros yeux toute la soirée un sourire en coin quand même... Nous voila rendu au pied d’un volcan ( tranquille en auvergne c’est courant !) Un petit lac a remplacé la lave de jadis, mais je vous rappelle que ce soir le volcan, le vrai c’est moi!! Coralie sort de sa poche quelques feuilles, du tabac, du s..., une magique cigarette se profile entre ses doigt, Noémie se serre contre moi elle frissonne un peu et Benoît qui n’a de cesse de la dévorer des yeux.Un nuage de fumée nous enveloppe...je m’étends par terre, relève ma jupe discrètement...je suis vraiment excitée.Elle me caresse les cheveux, moi ses jambes...les garçons commencent à glousser d’envie...Allez debout ! Un petit streap les mecs ? Ma robe s’enlève vite. Rien dessous. A genoux devant Benoît , je lui ordonne qu’il se lève, je dégrafe son short, je lui descend son slip, et enfin un sexe bien masculin pénètre ma bouche. Je vous laisse imaginer la suite.Noémie et Coralie s’en donnait à coeur joie comme on dit, pendant que Benoît explorait mon corps sans rien oublier, ce soir la j’étais sa chienne, il a bien profiter de la situation, MOI AUSSI. Il devait être cinq heure du matin quand nous sommes rentrés, Coralie raccompagnant Noémie chez elle, enfin chez elle je croisJe me suis gardée encore cinq minute Benoît dans mes bras, un petit câlin pour lui faire comprendre que c’était bien, vraiment bien, je crois qu’il à compris.Un sourire coquin, des yeux brûlés de fatigue et de plaisir, un baiser sur mes lèvres et au revoir.Mais j’ai le feu moi, tu veux pas dormir ici ?On monte dans sa voiture, et une fois de plus j’empoigne son sexe, couchée sur le siège, il prend ma bouche pour un sexe, il m’inflige des vas et vient rapide et profond, ma main le repousse gentiment pour mieux apprécier, Didier se calme un peu et me laisse manoeuvrer de plus en plus a ma guise, c’est que je sais y faire avec ça...il commence à gémir...je retire de ma bouche son sexe et le branle habillement, je veux voir sa bite éjaculer son spermeIl commence à suffoquer, son sexe explose se semence, elle vient s’étaler sur mon visage, coule sur mes lèvres, tombe sur mes seins...Didier se branle encore un peu sur moi, frotte sa verge sur mon visage, de mon côté je m’applique à étaler tout son sperme sur mon buste ,sur mes seins Ce qui excite beaucoup mon amant...Il se r’habille, moi j’enfile ma robe, il fait un petit pipi, moi je l’imite...ma chatte est toute chaude, mon clitoris électrisé, oh là là qu’elle soirée mais c’était bon...J’ai bien failli me jeter sur son sexe quand il faisait pipi, quitte a me faire passer pour une nympho...
Ma chatte aurait bien supporter une culotte, j’ai l’entrejambe complètement inondée Allez au lit, je n’en pouvais plus et je commençais à divaguerBenoît me donne un dernier bisous et s’en va. 06H10, je longe la piscine, j’ai d’abord envie d’y plonger, mais ma peau toute entière est imprégnée de d’odeur masculine de Benoît, et j’ai encore envie de la respirer pour m’endormir.Et la c’est la catastrophe : mes parents déjeunent dans la cuisine et ne doivent pas me voir dans cet état .je contourne la maison, rentre par le garage, emprunte le couloir, prends l’escalier, ( ne pas marcher sur Max qui dort au pied de l’escalier )direction ma chambre, la robe sous le lit, et, enfin ma couette.A ce moment je prie que Max ne vienne pas japper a ma porte...erreur fatale, pire, encore, ma mère rentre dans ma chambre, se penche sur moi, me fait un sourire malicieux et me dit -? A ce soir ma chérie, bonne nuit !!! on rentrera en fin d’après midi, je prends le portable, si tu as besoin tu téléphones !-? Merci...maman...J’entends la voiture démarrer, mon coeur bat la chamade, je me fais l’impression d’avoir 15 ans et d’être rentrer trop tard.... Il est déjà sept heure du mat, mes paupières sont lourdes de fatigue, mais je n’arrive pas a trouver le sommeil...je pense encore a Benoît, ma main reste coller a mon sexe qui mouille de plaisir, je me surprends d’envie de mettre quelque chose dedans, de gros ,de chaud, de lourd...j’ai bien envie de me prendre un gode pour finir d’assouvir le feu en moi...oui mais de gode je n’en ai pas... 7h30, la couette au sol, les jambes écartées et repliées, je torture mon clitoris, un belle tache gluante s’est formée sous mes fesses, le bonheur est dans le sexe...Je n’en peux plus de tout se plaisir accumuler ce soir...mais que c’est bon...ma masturbation frénétique me fait découvrir des plaisir intenses, pas inconnues mais différents, tous les sens de mon corps étaient concentraient sur ma jubilation sexuelle, mes mains s’activaient avec talents, ma bouche se devait de respirer, lécher mes mains mutines, et laisser échapper des bruits de femelles en chaleur inassouvie... Un grattement a la porte, c’est Max sûrement que j’ai dérangé avec tout mon cinéma...J’ouvre la porte de ma chambre.. -Max !. ne gratte pas la porte tu vas l’abîmer ! Allez oust va dehors. Il se met debout contre la porte en jappant pour faire joujou avec moi...2 ou 3 minutes à batailler, je cède, il gagne sur moi ,ça aura mis fin au moins à mes émois érotiques.Je remonte ma couette sur mon lit pour me glisser dessous. Max se met a mes pieds, debout en reniflant les odeurs si bien répandue dans la chambre par mes soins...Il s’agite sur le lit, me lèche le visage. Tendrement je le repousse, mais ce coquin de chien revient sur moi, me fouille avec sa truffe dans le cou, les cheveux, tente de glisser son nez sous la couette attiré par toutes les arômes qui se dégagent se dessous à force de remuer.La situation me laisse un grand sourire aux lèvres.J’ai l’impression qu’il est aussi excité que je l’étais tout à l’heure. Il a une femelle qu’il connaît bien sous son nez, la, juste sous lui, en chaleur exactement comme lui.Il me cherche, me lèche de nouveau, au point que nos langues se croisentJ’essaye de le tenir coucher a mes cotés, rien n’y fait, le mettre dehors, ou l’enfermer au garage ! il faut vraiment que je prenne une décision , il devient vraiment trop entreprenant .Je suis assez excitée comme çà et je n’ai pas l’intention de devenir sa chienne
-Bon Max ça suffit maintenant ! suffit je vais te foutre au garage si tu.... Et de nouveau il est contre moi , de nouveau sa langue court sur mon visage, il s’appuie fort sur moi, il veut me dominer et il a tellement de force que je suis sur le point de céder.Et puis quoi encore !!!Il cherche comment faire pour atteindre son but...me passe carrément dessus, mes mains ne savent plus par ou le repousser.Je place une main sous son ventre pour le soulever et le jeter hors du lit .Il se débat tellement pour me prouver que c’est lui le maître, que ma main glisse sur son ventre et vient toucher son sexe.Mon dieu quel engin ! je suis si surprise que je n’enlève même pas ma main ,bien au contraire.Inconsciemment ou pas , ma main se replace sur son sexe...je le frotte tout doucement espérant le calmer ou peut être mieux connaître ses intentions...Je suis complètement folle.Voilà que je me mettais à délirer en tenant ce sexe dans ma mainBon assez, ça suffit ! il faut que je revienne à la raison, que je reprenne mes esprits -Max ,arrête ! je t’en prie arrête ; je crie mais le commandement n’y est plus , le timbre de ma voie à changé , je sens qu’il se passe quelque chose en moi...Je commence a me tortiller dans tous les sens et lutte contre cet amant, violeur en puissance...Le jeux reste taquin et drôle , mais tout de même très érotique. Il s’excite de plus en plus sur moi, quelques mouvements de son bassin me rappelle ma soirée ave mon copain..Il réussit a glisser sa tête sur mon pubis à moitié couvert par la couette, me lèche de nouveau ....hum !!!!!! quelle langue...Un rire nerveux me prends...mes yeux rougis de fatigue regarde son sexe au dessus de mon visage, ses testicules ballottant en tout sens...ma main reprend ’inconsciemment’ possession de son membre viril et le caresse...Il me donne envie de le branler .Il s’agite sérieusement quand ma main a commencé à le secouer en serrant de plus en plus fort son pénisJe me dis que çà va sûrement le calmer...la masturbation que confère ma main se fait plus réelle, plus approfondie...Mes yeux sont rivés sur son pénis, il est si près de moi que je pourrais le prendre dans ma boucheIL se met à accentuer ses coups de reins, son sexe cherchant dans le vide le ventre de sa femelle .Alors que mon autre main se met a lui palper les bourses, un jet de sperme jaillit sur mon ventre -Oh mon dieu que c’est bon ! que c’est chaud !... Ce n’est pas possible !ce n’est pas moi qui ai dit ça.Ma main continue pourtant à le branler, pendant qu’avec l’autre j’étale son sperme sur mon ventre, mon pubis et le fais rentrer dans ma chatte...Oh non ! oh c’est pas vrai...je suis devenue complètement folle.....Voilà que maintenant , je me masturbe en regardant son engin décharger sur moi, je suis une vraie névrosée , une femme complètement malade de sexeUne nymphomane quoi !!!!!Pendant qu’ une de mes mains caresse et secoue le sexe de Max , l’autre est partie à l’aventure sous la couette ,cherchant mon clitoris torturé par l’envie pour commencer avec lui une ronde infernale qui je suis sûre finira par me faire hurler de plaisir. Je sens venir du fond de mon corps des picotements , prémices de jouissance si longtemps retenue.....
