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Le Loup-Garou

Chapitre 1

Zoophilie
Gaëlle passait depuis toujours devant cette petite maison, pour aller à l’arrêt de bus menant au travail. Jamais elle n’aurait pu imaginer quoi que ce soit sur cette vieille maison, qu’elle a toujours cru abandonnée, bien qu’elle soit toujours propre. Alors qu’elle suivait le petit chemin campagnard menant à l’arrêt de bus, elle le vit. Elle se frotta les yeux pour voir si elle n’hallucinait pas : on aurait dit un furry ou un loup-garou. Il se tenait dans l’entrée dans la maison, et arborait un magnifique poil gris soyeux, dessinant parfaitement sa musculature imposante : ses abdominaux et ses pectoraux étaient magnifiquement imposant, bien plus beaux que ceux des camarades de Gaëlle.
Elle paniqua légèrement, et sentit son cœur battre la chamade. La créature ne la quittait pas des yeux, mais en semblait pas menaçant. Gaëlle accéléra la marche, tout en prenant attention à ce que l’animal ne la suive pas. Une fois dans le bus, elle cogitait sur ce qu’elle avait vu : un fétichiste ? Une « prank » ? Un mutant alien venu de la dimension Z ? Elle finit par oublier tout ça une fois en cours : elle ne raconta ça à personne, puis finit par se dire qu’elle avait hallucinée : elle n’avait pas mangé, elle était crevée, et elle pensait à Mika, le garçon qu’elle aimait. Mais alors qu’elle reprenait le petit chemin de campagne menant chez elle, elle revit ce loup. Elle écarquilla les yeux et sentit son rythme cardiaque s’accélérer. Elle ne réfléchit pas, et pris ses jambes à son cou. Malheureusement pour elle, l’étrange créature fut présente chaque jour de la semaine. Le mercredi après-midi, Gaëlle alla chercher son grand frère pour lui montrer la bête. Mais une fois en face de la maison, la porte était fermée à clé.« - Tu délire blondasse…— Mais je te JURE qu’il était là et que la porte était ouverte !— C’est ça oui, et la marmotte met le chocolat dans le papier d’alu »
Tout ceci chamboula légèrement Gaëlle, qui était devenu presque paranoïaque, et qui voyait encore l’animal, bien que toutes les personnes qui étant passée devant la maison n’ai rien vu. Le vendredi matin, elle n’avait pas cour, et décida donc de visiter la maison. Elle avait enfilé seulement un jean et un t-shirt : pas besoin de cosplayer Indiana Jones pour visiter une maison ! Et concernant la bête, elle n’aura qu’à s’armer d’un baton.
Ce matin, l’animal n’était pas présent, mais la porte était ouverte, par chance. Elle ouvrit le petit portail à la serrure cassée, saisit une grosse branche et suivit le chemin de gravier. L’intérieur de la maison semblait tout à fait classique, et n’était même pas sale, ou cassée. Elle se stoppa sur le pas de la porte pour observer l’intérieur de la maison. Elle demanda « Y’a quelqu’un ?! » mais aucune réponse ne lui parvint. Elle avança encore de quelques pas, puis se stoppa net : elle venait de sentir un souffle chaud lui chatouillait le cou. Elle se retourna d’un coup et sentit son cœur s’arrêter : L’homme-loup se tenait en face d’elle et bloquait la porte. La 1ère chose qui vint à l’esprit de Gaëlle, au lieu d’hurler, fut d’observer la beauté virile de la créature. Ses muscles étaient superbement dessinés, autant sur son corps que sur ses bras et ses jambes. Son visage lupin était magnifique : gris argenté, ses yeux bleus turquoise avaient un air innocent, sa petite truffe humide, et deux crocs pointus dépassant de son museau.
Gaëlle déglutit pour essayer de se calmer et tendit la main pour toucher le torse de l’animal ; la créature frissonna quand la main de la jeune rousse toucha ses pectoraux. : Ils étaient si épais ! La créature était beaucoup plus grande que la jeune femme (bien que ce ne fût pas une naine, du haut de son mètre 70), il mesurait presque 2m. Gaëlle l’observa des pieds à la tête, mais remarqua une bosse accompagnée d’un trou sur le dessus, ainsi qu’une énorme paire de gonade dépourvue de poil, à l’instar de son ventre et de sa poitrine. Gaëlle sentit la créature poser ses mains humaines sur ses hanches, puis remonter jusqu’à son imposante poitrine, moulés par son t-shirt. Gaëlle apprécia le contact des mains douches de l’animal sur son délicieux 75E, mais se sentit extrêmement gênée, et puis : est-ce un humain ou un animal ? Est-ce légal ou terriblement dégoutant ?
Le loup rapprocha sa tête de celle de Gaëlle et introduit sa langue râpeuse dans sa bouche, mais la sensation ne plu pas du tout à la jeune femme, qui recula d’un coup. Le loup bascula la tête sur le côté, avec un œil circonspect. Gaëlle murmura « non non non ! Ne t’inquiète pas ! », et caressa la nuque de l’animal. Elle ignorait pourquoi, mais cet homme-loup l’excitait terriblement, de part son charme bestial et de sa carrure imposante ; Elle due faire un choix : Elle qui se déclarait bisexuelle et extrêmement libérée en terme de sexualité, accepterait-elle de faire l’amour avec cette créature improbable ou trouverait-elle ça répugnant ? Bien qu’il fut battit comme une statue grecque, son apparence restaient relativement animale. Elle s’imagina dans sa tête un ange et une démone peser la pour et le contre : c’était peut-être de la zoophilie, mais au final, il fallait bien une 1ère fois à tout non ? Et puis merde, ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas fait l’amour, surtout à un Apollon de ce genre !
Elle souleva son t-shirt, libérant ses sublimes seins : légèrement pendent mais d’une forme parfaite et de petits tétons durcie par l’excitation. Le Loup eu une expression de surprise, parfaitement humaine. Il contourna la jeune femme et saisit sa main, pour l’emmener dans une des pièces de la maison. C’était une chambre aux volets fermés, éclairée par un lustre électrique. Un lit aux draps blancs attendait les deux protagonistes. Gaëlle ferma la porte derrière elle, puis se retourna pour voir l’homme-loup assit. Elle s’approcha de lui puis s’agenouilla, et approcha sa bouche de ses parties intimes. Son sexe ne s’étend pas encore déployé, elle caressa et lécha sensuellement ses bourses. Elles avaient une forme et une texture délicieuse, et leurs tailles impliquaient qu’elles étaient bien remplies. Gaëlle n’eu qu’à donner quelques coups de langue pour faire jaillir l’imposant sexe canin rouge vif de l’animal. La forme de la bite de l’animal était clairement celle d’un loup ou d’un chien, mais elle semblait fonctionner comme celle d’un homme, et la jeune rousse la saisit à deux mains, sa langue faisant le tour du gland. L’homme-loup laissa échapper un râle de plaisir, alors que la rouquine continuait de parcourir le contour de son épais gland du bout de la langue.
Elle englouti la moitié de l’énorme sexe de la créature, et sentit un spasme le parcourir du bout de la queue jusqu’au bout du museau. L’homme-loup replaça délicatement une des mèches rousses de Gaëlle, puis la saisit par le crâne et enfonça son sexe plus profondément. La jeune rousse sursauta, mais continua de sucer la bête. Elle lui massait les testicules d’une main, et passait l’autre entre ces cuisses ; elle sentait ses parties intimes s’humidifier. Soudain, le loup se retira et poussa un cri rauque de jouissance : un énorme et puissant jet de semence brûlante vint s’écraser sur le visage de la jeune femme. La consistance du foutre était bien différente de celle d’un homme : au lieu d’un liquide visqueux et légèrement translucide, c’était un liquide épais et brûlant, blanc, et très grosse quantité.
Gaëlle crachota quelque peu, mais eu un grand sourire en voyant le visage de l’homme-loup, les oreilles basses, les yeux fermés. La jeune femme vit l’énorme sexe de l’animal rougir de plus belle, toujours aussi vigoureux, et sauta sur l’occasion. Elle baissa son pantalon, puis sa petite culotte blanche, libérant une touffe châtain et un vagin en parfait état. Elle changea de place avec le loup, qui approcha sa truffe humide de la chatte de Gaëlle. Il se mit sur la pointe des pieds, les jambes écartées, le sexe pointant vers le plafond. Gaëlle s’allongea sur le lit, les fesses à moitié au bord, et saisit entre ses pieds la grosse bite brûlante de l’homme-loup. Elle astiqua de haut en bas la queue de l’animal, alors qu’il la ramonait avec sa langue râpeuse. Après une petite minute de « footjob », le loup se releva, se plaça sur Gaëlle et se prépara à la pénétrer. Il commença par frotter le bout de sa queue contre les lèvres de la jeune femme, puis la pénétra d’un coup. Elle retint un cri en posant une main sur sa bouche, mais elle ne pu se retenir : bon dieu, que c’était bon !
Jamais quelqu’un ne lui avait fait l’amour comme ça ! Elle sentit les couilles de l’animal taper contre ses grosses fesses rondes, elle sentit l’énorme pénis rouge taper au fond de sa chatte et elle sentit la langue du loup entourer son téton droit. Le loup se retira, attrapa Gaëlle et la souleva sans difficulté, puis s’allongea pour se faire chevaucher par la jeune rousse. C’était tellement bon qu’elle se laissa faire baiser : Le loup se déchaînait complètement, et en profitait pour jouer avec le clitoris de Gaëlle, résultant en un jet de cyprine sur le visage de l’homme-loup. Gaëlle se caressait allégrement son imposante poitrine, qui sautait de haut en bas de son corps. Le loup s’agrippa aux draps et serra les dents, en s’enfonçant aussi profondément que possible : il libéra une énorme quantité de sperme dans le petit con de Gaëlle. « - Oui putain ! » Gaëlle descendit du sexe du loup et se nettoya l’entre-jambe et les poils, recouverts de l’épaisse semence blanche. Le loup restait allongé, son sexe redevenu mou se rétractait. Gaëlle se rhabilla, essuya la sueur de son front puis ouvrit la porte ; elle envoya un baiser au loup, qui lui rendit un « sourire », puis elle rajouta « Si tu baise toujours comme ça, je reviendrais ! »
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