Cette partie de jambes, ou plutôt de pattes en l’air avait totalement retournée Gaëlle : Elle ne fantasmait plus que sur ce superbe être mi-homme mi-loup, au corps d’Apollon et au sexe infernal. La jeune femme attendit une petite semaine pour se remettre de cet événement. Elle voulait y retourner, mais cette fois-ci, ce serait la Belle qui dominerait la Bête. Gaëlle savait que la créature n’était pas qu’un être sauvage et lubrique : elle ressentait des émotions, et la jeune femme voulait lui faire plaisir. Elle acheta quelques vêtements sexys et de la lingerie en dentelle noire, qui faisait fantasmer tout les hommes, et des bottes sanglées en cuir. En revenant de l’Université, elle décida de passer la soirée dans la petite maison du Loup. Ses parents et son frère étaient absent, et elle en profita pour choisir sa tenue : porte-jarretelles, gants en satin, collants, mini-jupe et un chemisier noir au décolleté plongeant. Quelques touches de parfum, du maquillage, une jolie frange et un coup de ciseau aux poils pubiens, et elle parti en direction de la maison. Les lumières de la chambre étaient allumés, comme si le Loup savait qu’elle allait venir. Gaëlle pénétra dans le jardin abandonné, s’essuya les pieds sur le paillasson miteux et tourna la poignée. Elle alluma la lumière du couloir et lança un petit « coucou ! » et obtint un aboiement en réponse. La jeune femme s’avança jusque dans la chambre ; la chambre était éclairée par une centaine de bougie disposée le long des murs et une odeur de rose planait dans la pièce. L’Homme-Loup était assit au pied du lit, et lança un regard tendre à la sublime rousse qui venait d’entrer dans la pièce. Elle laissa tomber son sac à main par terre, et commença à se déshabiller. Elle défit les boutons de son chemisier, dévoilant son soutien-gorge. L’animal tendit les bras pour attraper la jeune femme ; ses mains si humaines touchèrent les seins de Gaëlle, qui imita l’animal en posant ses mains sur les pectoraux du Loup, mais elle le repoussa pour le faire tomber sur le dos. Elle lui lança un regard hautain, suivi d’un rictus en coin tout aussi hautain. Elle s’agenouilla et attrapa d’une main ferme les testicules de l’Animal. « Tu t’es bien remis mon salaud hein ? » déclara Gaëlle en touchant les bourses grosses comme des pamplemousses. L’énorme sexe rouge de la bête jaillit au contact des gants en satin de la jeune femme sur ses couilles. Gaëlle plongea le visage vers la paire de gonade et les lécha avec avidité. Chaque coup de langue donnait au Loup un spasme de plaisir, mais l’animal n’avait encore rien vu. Gaëlle attrapa les cuisses du Loup et les souleva, pour dévoiler son sanctuaire des sanctuaires : un anus d’une propreté irréprochable, beige et ferme. La jeune femme inséra sa langue dans le trou du Loup, qui serra les poings alors que Gaëlle lui bouffait le cul. Le goût de son fion était doux et agréable ; plus agréable que celui des ex-copines de Gaëlle. Alors que le Loup allait jouir, Gaëlle appuya un doigt sur l’anus humide de l’animal. Elle inséra son majeur dans le fion du Loup, qui laissa échapper un râle de plaisir. Gaëlle continua de doigter le Loup, tout en saisissant son gland et en lui disant : « Tu jouiras quand je t’en donnerais l’ordre, ma chienne ! » susurra la jeune femme suivit d’un clin d’œil. Le Loup se concentra pour faire redescendre son sperme et faire durer le plaisir. Gaëlle monta d’un cran et inséra son index en plus de son majeur dans le petit anus serré de l’animal, qui cria comme un loup hurlant à la lune. Pour continuer la torture du bonheur, Gaëlle remonta la tête et lécha l’urètre humide de la créature, tout en lui chatouillant le fondement. Le loup ne pu résister plus longtemps et éjacula dans la bouche de Gaëlle, qui avala le foutre chaud et délicieusement sucré de l’animal. Elle retira ses doigts du fion de l’animal et les fourra dans la bouche de son soumis. Elle se releva, toujours aussi hautaine et déclara : « Je croyais t’avoir interdit de jouir sans mon autorisation… je vais devoir te punir, petite pute ! »Elle leva sa jupe pour montrer sa chatte trempée par la cyprine, et fit signe au Loup de se lever. Gaëlle s’installa à quatre pattes sur le lit, en retirant sa jupe et son soutien-gorge. Elle écarta ses fesses rebondies et ouvrit son anus. Elle précisa : « Tu a le droit d’utiliser mon cul ce soir, et uniquement mon cul ! » Le sexe du Loup se durcit incroyablement dès qu’il entendit ses mots. Le Loup attrapa Gaëlle dans la position du culte, en plançant ses jambes devant celles de Gaëlle, pour qu’elle puisse ressentir les coups de ses couilles taper contre sa chatte poilue. Le bout du gland pénétra doucement dans le fion de la jeune femme, puis l’énorme saucisse de 25cm pénétra tout entière. Gaëlle ressentit le choc et cria de surprise, de jouissance et de douleur. Se prendre un énorme sexe dans le cul n’était pas une expérience qu’elle avait souvent vécue, en vérité elle n’avait jamais touché de sexe aussi imposant. Le Loup se déchaîna totalement, ses bourses de nouveau pleine frappait de plus en plus fort la chatte de Gaëlle alors que son sexe ramonait le fion serré de cette dernière. Gaëlle ne cessait de crier, et le Loup accéléra de plus en plus. Elle criait « Oui ! » à chaque mouvement du Loup, jusqu’à ce qu’elle éjacule et trempe les draps, mais ça n’arrêta pas le Loup, qui semblait impossible a arrêter. Plus Gaëlle criait, puis il aboyait et enfonçait son sexe démesuré dans les entrailles de la rousse, jusqu’à ce que son « bulbus glandis » soit à l’intérieur de l’anus de Gaëlle. Il libéra un litre de semence dans le petit intérieur de Gaëlle qui manqua de tourner de l’œil. Le loup se retira et s’allongea en position fœtale, le sexe rétracté. Gaëlle tremblait et transpirait comme jamais. Son anus dillatée laissait couler un liquide mousseux blanc et délicieux, le sperme de son amour de Loup, sur la couette du lit. Quelque chose traversa l’esprit de Gaëlle : Plus jamais un homme ne pourrait lui faire ressentir quelque chose après ça, seul une bête de sexe comme ce Loup, qu’elle décida d’appeler Milo, pourrait la faire jouir. La jeune femme se rhabilla, embrassa la truffe de Milo et quitta la maison, en boitant. Elle décida qu’elle ne pouvait pas être la seule à profiter de son petit Loup, et élabora un plan : amener Madenn, une charmante jeune femme, meilleure amie de Gaëlle et très coincée et la faire baiser avec Milo. Le lendemain, Gaëlle appela Madenn et l’invita chez elle : Madenn était une jeune femme plutôt grande et fine, blonde et le buste constellé de tâches de rousseur, avec deux grands yeux émeraudes qui illuminait son visage. Madenn arriva le matin, aux alentours de 10h ; elle portait une charmante chemise bleue, un jean bien serré et de jolies nattes de chaque côté de la tête. Gaëlle accueillie son amie et lui offrit un verre de jus d’orange, alors qu’elle s’installait dans le salon. « - Alors, quoi de neuf ?— Bah pas grand-chose, appart un truc ; en gros, tu vois la maison dans le chemin ? T’as du passer a côté normalement en venant.— Ouais, je vois.— Y’a un truc de taré dedans, et j’ai envie de te montrer cet aprèm’, mais surprise, tu sauras pas ce que c’est ! » dit Gaëlle en lui faisant un clin d’œil Les deux jeunes femmes continuèrent de discuter de tout et de rien. Pendant le repas du midi, Madenn demanda : « - Tu veux pas me dire ce que c’est le truc de la maison là ?— Tututut, c’est une surprise ! tu verra une fois là bas, ça devrait te plaire je pense. » Madenn était de plus en plus intriguée et voulait connaître le fin mot de cette histoire. Vers 14h, Gaëlle attrapa Madenn par la main et l’emmena à la maison, lui promettant une surprise qu’elle ne serait pas prêtre d’oublier. Gaëlle n’avait mis qu’un débardeur et un mini-short, c’était Madenn qui allait devoir baiser, pas elle, bien qu’elle ait envie d’un ménage à trois, ou au moins d’une relation saphique avec Madenn. La jeune blonde ne semblait pas très rassurée à l’idée de rentrer dans cette vieille maison abandonnée, mais son amie réussit à la convaincre. Gaëlle l’emmena dans la chambre, où Milo l’attendait. Madenn écarquilla les yeux en voyant cet Apollon lupin trôner en face d’elle
