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Loup et Renarde

Chapitre 1

Zoophilie
// Ce premier chapitre ne comportera que des scènes entre personnages d’apparence humaine. Mais plus tard... L’instinct animal fera surement changer les choses...
Je me nomme Alex et suis un jeune Loup-garou ! Claire, ma petite amie, est une Kitsune (une renarde-garou). Nous sommes ensemble depuis plusieurs semaines maintenant et j’ai bien envie d’aller plus loin avec elle !
Je lui propose donc de passer un weekend en tête à tête au foyer. J’ai gentiment demandé à la meute de ne pas approcher, je veux l’endroit pour nous deux seulement ! Le foyer ? C’est le nom que nous donnons au grand chalet que j’occupe avec ma meute quand nous voulons nous regrouper, ou passer des soirées ensemble. C’est spacieux et ça nous donne de bonnes excuses pour quitter nos maisons quand on veut aller chasser.
Claire va arriver d’ici peu, j’ai installé une lumière un peu tamisée pour créer une ambiance romantique, voir plus… Je ne sais pas ce que nous allons faire ce weekend mais je suis sur que l’on va bien s’amuser. Reste à voir à quel point !
Je suis dans le salon, en train de placer quelques coussins sur les canapés. Soudain je sens un frottement dans mon dos ! Pas besoin de me retourner, je sais que c’est elle, sous sa forme animale. Elle frotte sa tête jusqu’à ce que son museau passe sous mon bras. Je caresse sa joue avec ma main et me retourne pour lui faire face. Elle reprend forme humain et m’embrasse doucement. Je l’admire de haut en bas : Elle porte un t-shirt ample mauve et jean taille basse.
— Bonjour mon Loup, me dit-elle en se serrant dans mes bras. Je vois que tu nous prépare un weekend parfait ! — Ah ça, ça dépendra que de toi ! Tu voudrais faire quoi pour commencer ?— Hmmm… Un film romantique pour commencer, ça donnera le ton !— Parfait !
Sur ce, on s’installe dans l’un des canapés qui font face à la télé. Je suis assis sur un bord, les jambes croisées sur la petite table basse. Claire s’est allongée dans l’espace restant, en posant sa tête sur mon épaule. Alors que le film commence, je passe mon bras droit autour d’elle et caresse son épaule. Elle peut se lover un peu plus contre moi. Mais doucement, je laisse ma main glisser le long de son bras, toujours en caressant sa peau délicate du bout de mes doigts.
Je me rends alors compte que je n’écoute plus le film. Tout mon esprit est concentré sur ma main. Je descend, doucement, vers sa taille, son haut est légèrement remonté, je peux alors caresser son ventre du plat de ma main. J’entends son souffle s’accélérer légèrement. Mais ma main descend inexorablement jusqu’à la limite de son jean, je parcours cette ligne du bout de mon index. Elle se tend contre moi, son corps cherche à s’étendre, à me donner une plus grande zone à caresser. La tension est montée d’un cran et je serais prêt à parier qu’elle se mord la lèvre en ce moment.
Je décide de la faire languir d’avantage ! J’utilise à nouveau toute la paume de ma main mais cette fois pour remonter doucement sous son haut. Centimètres par centimètres je monte encore et encore. Je sens soudain une douceur particulière et une forme qui ne laisse aucun doute : ma main a atteint cette poitrine et elle n’a pas dû juger utile de mettre de sous-vêtements à ce niveau là ! Ça laisse présager la suite… Je me saisi alors à pleine paume de son sein gauche et je l’entends gémir contre moi. Elle se tourne alors légèrement, m’offrant plutôt son sein droit, afin de placer son visage dans mon coup. Je peux sentir son souffle rapide et chaud contre moi.
— Tu en veux plus ? lui murmurais-je.
Pour toute réponse elle hoche de la tête, toujours lovée au chaud contre moi. Je la soulève alors et avant que son esprit embrumé n’ait pu s’en rendre compte, elle est allongée sur le dos, sur moi. Sa tête repose sur mon épaule. De cette façon, mes mains ont pleinement accès à toutes les zones sensibles de son corps. Ne perdant pas une seconde, ma main droite repasse sous son t-shirt pour atteindre sa poitrine, tandis que la gauche va caresser le bas-ventre de la demoiselle. Je finis par m’attaquer aux boutons du jean que je défais rapidement pour faire progresser ma main plus bas encore… Et ce n’est qu’à moitié surpris, mais avec une grande satisfaction, que je sens qu’ici non plus aucun sous-vêtement ne viendra me barrer le passage. Mes doigts progressent jusqu’à atteindre un fin et doux duvet. Plus que quelques centimètres la séparent du plaisir et elle le sait bien ! Son corps aussi puisque sa main droite viens de se poser sur la mienne, pour me faire empoigner plus fermement la tendre sphère que je tiens depuis tout à l’heure.
— Vas-y, s’il te plait… me demande-t-elle dans un souffle.
Je tourne légèrement sa tête avec mon épaule pour l’embrasser passionnément au moment où ma main gauche entre en contact avec d’autres lèvres, toutes aussi chaudes et accueillantes. Notre baiser étouffe son feulement tandis que son corps tout entier bouge à l’unisson de mes doigts qui viennent de trouver son point faible : ce petit bouton sensible, plus petit qu’un bourgeon, réveille en elle des sensations formidables ! Et je ne me prive pas de jouer avec pendant plusieurs minutes avant qu’elle ne se cambre, arrivée au paroxysme de son plaisir. Elle retombe ensuite sur moi, encore tremblante mais satisfaite. Sa respiration est saccadée et elle est à peine consciente mais je l’entends murmurer :
— À moi maintenant…
Il lui faut quelques minutes pour se remettre de ses émotions. Elle s’est retournée, sur le ventre, toujours allongée sur moi. Ces quelques minutes sont principalement des bisous et des mots tendres échangés entre nous. Mais petit à petit, je sens de plus en plus d’envie dans ses baisers ! Le feu l’anime à nouveau !
— Hmmm je sens que je suis pas la seule à avoir aimé ça ! dit-elle avec un sourire mutin.
Oh ! C’est vrai que depuis tout à l’heure elle doit sentir une bosse sous son ventre : la sentir vibrer sous mes doigt m’a bien émoustillé, et c’est un faible mot ! Nos regards sont figés l’un dans l’autre durant quelques secondes avant qu’elle ne se laisse doucement glisser à genoux face au canapé, entre mes jambes. Ses bras sont restés tendus et ses mains sont donc sur mon torse. A ce niveau, plus besoin de parler, nos yeux en disent long sur notre désir mutuel. Elle veut me rendre la pareille et elle est déterminée !
(Suite bientôt)
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