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LA LOUVE

Chapitre 1

Zoophilie
‘’ LA LOUVE ‘’
Une fois mes études supérieures terminées et mon diplôme en poche, j’étais de retour à la maison, une petite ferme dans l’Ardèche. Quand on passe un temps plus ou moins long en ville on finit toujours par prendre des habitudes de citadines. En plus de ma manière d’être, de m‘habiller, je faisais maintenant beaucoup attention à mon corps, à mon intimité dont je prenais grand soin. Je ne portais jamais de culotte, je ne les supportais pas, et je me rasais régulièrement le con. Je faisais aussi attention à ce que je mangeais, histoire de préserver la ligne. De plus je pratiquais beaucoup de sport, surtout du jogging, et j’étais décidée à conserver ces bonnes habitudes d’autant plus que la forêt toute proche était un véritable encouragement pour ce genre d’activité. Pour courir je portais un magnifique short rose et noir qui me couvrait juste le haut des cuisses et fermait dans l’entrejambe par trois boutons pression, à la manière de certains bodys, et un petit haut de même couleur pour les seins. Comme la forêt était sillonnée par une multitude de petits sentiers, que je connaissais bien pour les avoirs souvent empruntés du temps où j’étais encore une petite sauvageonne, j’avais pris le premier chemin qui s’était présenté à moi. Pour cette première sortie je n’avais pas l’intention de faire un grand circuit, mais courir juste dans les alentours de la ferme pour faire un petit décrassage. Le paysage n’avait pas tellement changé et la forêt était toujours aussi dense, idéale pour la promenade, la découverte de la nature. Il n’était pas encore neuf heures et je venais à peine de faire une centaine de mètres et déboucher sur une toute petite clairière, une crique plutôt, tant le sentier était accidenté, plein de coudes et de nœuds, quand j’étais tombée presque nez à nez avec un grand chien blanc et une petite chienne, un couple de bâtards, en pleine copulation. Le chien la montait avec une telle lubricité et la chienne semblait y prendre un tel plaisir, que très vite une foultitude de souvenirs aussi salaces que faunesques me submergèrent. J’étais toute à cette scène inattendue, si insolite et si lubrique à la fois, que je n’avais pas vu, ou trop tard, la grosse racine sur le sentier. Lorsque mon pied s’y était engouffré, stoppant net mon élan, j’avais fais un véritable vol plané avant de retomber lourdement de tout mon long. Pendant quelques instants, complètement sonnée, je ne réalisais pas exactement ce qui m’était arrivé. Heureusement qu’en dehors de quelques égratignures à un genou, je n’avais rien de cassé. Fesses au sol, les jambes écartées à demi-relevées, mon regard allait d’une de mes baskets encore accrochée à la racine, au couple de chiens encore en pleine action. La scène était si excitante que j’avais fini par glisser instinctivement une main entre mes cuisses. J’avoue que j’aurai donné cher pour être à la place de la chienne et me faire limer de la sorte. Dans ma chute, les boutons pression de mon body avaient tous les trois sauté mettant à nu mon sexe, rosâtre, fortement pigmenté et renflé comme si j’allais mettre bas. Même les moelleux intérieurs de mes fesses étaient maintenant à l’air libre. J’étais toute à ces constations lorsque les grognements du grand chien me glacèrent le sang. Avec son pelage blanc et sa tête de loup des neiges, ses crocs dehors, ses oreilles dressées et son poil hérissé, il me renvoya aussitôt l’image du gros chien sauvage, du ‘Loup blanc’, le premier mâle qui m’avait séduite alors que j’étais encore jeune adolescente. La tête levé il avançait lentement vers moi en traînant derrière lui la chienne. Je mentirai en disant que je n’avais pas peur. A un mètre environ il s’arrêta en me fixant de ses yeux rouges et en grognant toujours. Libérée, la chienne détala rapidement en lâchant de petits jappements. Son phallus tout rose pendant entre ses pattes de derrière, encore dégoulinant de sperme et aussi gros que celui d’un jeune baudet, le chien avança encore un peu entre mes jambes puis se mit à me flairer bruyamment. Alors que sa grosse tête touchait presque la mienne, que son souffle chaud sur mon visage me rappelait cette inimitable odeur des mâles en rut, je ressentis des gouttes de son sperme chaud tomber sur le haut de mes cuisses. Cela m’excitait au plus haut point. Je savais que je mouillais comme une fontaine, que j’étais prête à l’amour, aussi prête qu’une louve en chaleur face à un mâle solitaire, pourtant je n’osais bouger de peur de le provoquer, de commettre l’irréparable. Puis reconnaissant sans doute l’odeur de la femelle que j’étais, une femelle ayant déjà copulé avec d’autres chiens, d’autres mâles, une odeur qui ne partira sans doute jamais tant mes chairs en ont été fortement imprégnées, il se mit à me lécher le visage. Des coups de langues très doux, lents, généreux, comme s’il cherchait à me transmettre un message, à me dire qu’il m’acceptait, alors que son grand corps tout en muscle touchait presque le mien. Dieu comme je me sentais petite, faible, impuissante devant autant de force, de virilité. Puis soudain, je ressentis une brusque chaleur entre mes cuisses, un chaud liquide sous mes fesses. Mon corps fiévreux et ma vive émotion venaient de me trahir... Attiré sans doute par l’odeur de mon urine, le chien baissa sa grosse tête entre mes jambes puis se mit à me renifler bruyamment. Un premier coup de langue qui me fit frissonner tout le corps, puis le chien s’était mis à me lécher le bas des cuisses trempées et la peau des fesses, lentement, consciencieusement. Le contact de son museau froid et de sa langue chaude, était si excitant que je frissonnais de tout le corps. Mais dès que j’esquissais un mouvement, le chien se mettait à grogner doucement tout en continuant à me lécher la peau des fesses jusqu’à n’en laisser aucune trace. Puis sans transition, il se mit à me lécher le sexe… Dès son premier coup de langue j’avais soulevé le bassin en écartant encore davantage les jambes. Dieu que c’était bon de ressentir cette langue chaude, glissante, visqueuse et collante à la fois, aller et venir avec le même rythme entre mes petites lèvres enflées, mes chairs ouvertes, offertes, languies par le désir. Plus je mouillais, des jouissances même, et plus la langue du chien allait profondément en moi à la recherche de mes mouillures. A demi allongée je le laissais faire, admirant ses muscles saillant sous sa peau, le bout rose de son phallus maintenant dans son fourreau. Même si je ressentais une petite frustration de ne pouvoir copuler avec lui, là, tout de suite, l’exquis contact de sa langue avec mes chairs corrompues, répondait parfaitement à mes envies. Le corps à l’abandon et les yeux à demi fermés, je goûtais avec paillardise à l’un des plus voluptueux plaisirs du sexe...A un moment, le chien redressa la tête et me regarda. La langue pendante laissant s’écouler un petit filament blanc, mes dernières mouillures, il finit par s’allonger en glapissant tout doucement. A quatre pattes moi aussi et mon petit body remonté jusqu’à hauteur de mes seins, je m’étais à mon tour rapprochée lentement de lui, nos têtes se touchant presque alors qu’une de mes mains lui caressait avec douceur le cou, comme l’aurait sans doute fait n’importe quelle femelle avec son mâle. Pendant un moment rien ne se passa, puis j’entendis du bruit, des grognements et d’autres glapissements derrière moi qui me firent aussitôt tourner la tête. Nous étions entourés par une meute de chiens regroupés autour d’un immense mâle noir, fébriles, agités, impatients sans doute de nous rejoindre... Le ventre noué par la peur, j’avais fermé les yeux et baissé la tête en rentrant mon cou, essayant de me faire la plus petite possible. Malgré la gravité de ma situation, du danger, je savais que j’étais en train de vivre une aventure extraordinaire, une expérience hors du commun. Puis très vite je ressentis un reniflement bruyant et un museau froid collé au bas de mes fesses alors qu’une langue chaude et très douce s’était mise à me lécher avec délicatesse le sexe. Un chien était en train de me renifler. Déjà très émoustillée, je sentis aussitôt une immense vague de désir me saisir tout le corps. ‘Loup blanc’, releva la tête et grogna en fronçant son museau et en montrant ses crocs, mais un grognement encore plus fort, plus profond, certainement celui du mâle dominant, lui répondit. Très vite, alors que ‘Loup blanc’ semblait accepter la situation, d’énormes pattes me saisirent fortement par les hanches et m’attirèrent vers l’arrière tout en me relevant un peu plus la croupe alors que le bout chaud d’un gros phallus fouinait déjà entre mes petites chairs. Le chien me mettait à sa hauteur, agençait au mieux nos parties pour permettre un parfait accomplissement coïtal. En femelle avertie je le laissais faire, à peine si j’avais écarté un peu plus les jambes. En chaleur comme toute femelle montée par un mâle en rut, je m’étais mise à râler et à gémir dès que j’avais senti le gros phallus venir en moi lors du tout premier assaut. Impatiente de tout recevoir j’étais fébrilement allée à sa rencontre jusqu’à ce que la grosse verge heurte avec véhémence mon utérus, m’arrachant aussitôt un cri de douleur, de plaisir et de bonheur à la fois. Il y avait si longtemps que je n’avais pas copulé avec un chien qu’il me semblait que c’était la première fois que cela m’arrivait. Ses pattes sur mes hanches, de véritables mâchoires d’acier, me tiraient vers l’arrière, plaquaient mes fesses contre son ventre, large, robuste, velu, chaud, et maintenaient nos sexes fortement collés l’un à l’autre. Tendus à l’extrême, mes muqueuses, mon vagin, prenaient le pli, épousaient les formes, s’adaptaient à ce gros phallus. Puis très vite, le chien commença à me limer avec une lubricité sans égale. Le corps à l’abandon entre des pattes qui me maintenaient fermement, soumise comme toute femelle montée par un mâle aussi fougueux, je me laissais enivrer par la délicieuse symphonie de nos sexes, de nos corps haletants, de son souffle chaud sur ma nuque. Je savourais chaque enchevêtrement, chaque viol de mes chairs, chaque soubresaut de cette copulation si sensuelle, si voluptueuse. Nos sexes allaient et venaient l’un à l’autre avec force, ne se quittaient que pour se retrouver aussitôt avec plus de force, plus de véhémence, m’arrachant râles et gémissements de plaisir. Depuis un moment déjà il me semblait que le phallus avait presque doublé de volume, mais il continuait de glissait en moi avec facilité et profondément, avec toujours cette force et cette sauvagerie propres aux accouplements faunesques. Les entrailles en feu, j’allais à la rencontre du gros phallus avec une insatiable faim, une avidité de sexe inapaisable, dévorante. Je recevais chaque assaut de mon fougueux mâle comme autant de jouissances qui m’irradiaient tout le corps, faisaient frémir toutes les fibres de mon être. Je baignais dans une voluptueuse euphorie et goûtais avec délice, jusqu’à l’enivrement, aux plus vifs des plaisirs sexuels. A chaque assaut, chaque sauvage pénétration de ce phallus de fauve qui s’enfonçait brutalement dans mes entrailles, je râlais et geignais de plaisir comme une vieille bête, une louve insatiable. Lorsque le chien arrêta ses assauts, le bout de son phallus collé fortement à mon utérus et ses boules dans mon vagin aussi enflés que des balles de tennis, je savais qu’il allait, qu’on allait jouir. Aussitôt son phallus, tel un geyser, lança un énorme jet de sperme chaud qui m’inonda tout le vagin, alors que mon corps était saisit d’interminables petits soubresauts comme s’il était traversé de part en part par une lente décharge électrique. Une rare et violente jouissance qui m’avait arraché de véritables larmes et des gémissements de bête. Nos sexes toujours étroitement collés l’un à l’autre, le chien se retourna puis s’allongea, m’obligeant à en faire autant… Le cœur palpitant, sursautant de plaisir à chaque mouvement, chaque nouvelle giclée de sperme, je n’avais pu m‘empêcher, comme toute femelle après un tel coït, de porter un doux regard sur ce mâle qui m’avait fait tant vibrer et qui continue à le faire. Tout au fond de mon être, mêlé à autant de plaisir, j’avais ressenti une petite tristesse…La petite chienne qui s’était tantôt accouplée avec ‘Loup blanc’ fut la première à nous rejoindre, à me lécher le visage, les jambes, avant de s’allonger près de nous. Peu à peu, les autres l’imitèrent. Nous étions en plein rituel de meute. Une dizaine de chiens et de chiennes. Avec une sociabilité rare, spontanée, insoupçonnable chez de telles bêtes, ils acceptaient ma compagnie, ma venue dans leur groupe, leur meute. Le gros chien noir, mon fougueux mâle, mon amant, me libéra enfin, puis se mit à son tour à me lécher le visage avant de s’allonger tout contre moi, une de ses grosses pattes reposant sur une de mes fesses. Pour moi c’était de la tendresse, mais pour lui c’était certainement un signe de possession. J’étais sa nouvelle femelle et tous les autres devaient le savoir… Le soleil était au zénith et dardait ses rayons de plomb sur la clairière quand la meute décida de partir. Après une dizaine de mètres, le grand chien noir s’arrêta, se retourna et me regarda une dernière fois, avant de repartir à toute vitesse rejoindre les autres chiens. Sans raison, ou peut-être la cheville qui me faisait un peu mal, je m’étais mise à pleurer, à pleurer, à pleurer …
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