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Lucie menacée

Chapitre 4

Voyeur / Exhibition
Lundi, 6h, elle se réveille, elle a rêvé de sa journée à la plage. Elle sent son bas ventre chaud. Elle se lève, passe sous la douche pour se rafraichir et retourne dans sa chambre. Comme prévu, un nouveau mail non lu apparait à l’écran-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Nouvelle semaine    Une nouvelle semaine commence pour toi. Pour te prouver ce dont je suis capable, je t’ai joint une photo de tes activités d’hier.(Lucie arrête la lecture du mail et ouvre la photo. On la voit, les seins cachés par les mains de Matthieu dans la mer. Un téléobjectif a du être nécessaire.)J’espère que tu en as bien profité. Vu qu’ils te plaisent, je t’interdis de leur dire non à quoi que ce soit. Si tu refuses une de leur demande, je le saurais, crois moi.Tu auras, cette semaine, une mission par jour. Celles-ci seront de plus en plus difficiles mais si tu réussis, tu seras récompensée ce week end.Mission du Lundi : après les cours, tu iras dans un sexshop, celui de ton choix. Tu choisiras un gode avec une base équipé d’une ventouse. Tu prendras aussi un rosebud. N’hésite pas à demander conseil au vendeur.
M. Exes-----Lucie passe sa journée à éviter les deux lascars. Armel est distante, cela l’inquiète. Le midi, elle ne rejoint pas Lucie pour manger. Elles se croisent avant de reprendre les cours. Armel prend la parole— « Matthieu m’a expliqué ce que tu leur as proposé dans l’eau hier » dit elle l’air fachée.— « Mais non, ils m’ont forcé. Je ne voulais pas ». Lucie était en larme— « Pourtant, ce n’est pas des cris de peur que j’ai entendu depuis la plage. Tu n’es qu’une trainée. Ils m’ont dit que quand tu es arrivée tu n’avais même pas de sous vêtements. Ca aussi ils t’ont forcé à le faire ? ». Lucie ne savait plus quoi répondre— « Laisse tomber, trouve toi des copines comme toi, des nymphos. Ne vient plus me parler ». Armel était triste elle aussi de perdre une amie mais c’était trop.Lucie n’ajoute rien, elle est complètement déboussolée. Comme par hasard, Julien arrive à ce moment là.— « Vous êtes des enfoirés, vous m’avez forcé et maintenant, je perd ma meilleure amie »— « Forcée ? Tu plaisante j’espère. Et pour Armel, il ne fallait pas lui mentir, elle a le droit de connaitre ta vraie nature. »— « …. »— « Viens te consoler dans mes bras. » lui dit Julien, grand sourire aux lèvres.Alors que Lucie allait l’envoyé chier, elle se souvient du mail de ce matin. Elle se reprend et s’approche de Julien qui l’enlace, l’embrassant sur les lèvres et lui essuyant ses larmes. Elle aperçoit alors Armel qui lui fait un doigt d’honneur et s’en va furieuse.— « Comment va notre salope dévergondée ? » questionna Matthieu qui arrive au même instant. « Tu es encore nue sous tes fringues aujourd’hui ? »— Lucie est contrainte de répondre positivement. « Oui, je suis allergique au sous vêtements ».
— Les 2 garçons rigolent « Tant que tu n’es pas allergique à nos bites !!! »Matthieu lui met une claque appuyée sur les fesses et prend la direction de la salle de cours. Le cours se passe sans perturbation. Lucie est troublée, elle est triste aussi d’avoir perdu son amie. Elle se retrouve en fond de salle. Julien lui demande ce qu’elle va faire ce soir ; Elle lui répond qu’elle rentre chez elle après les cours.A 17 heures, elle prend le bus, direction le centre ville. Elle n’a encore jamais osé franchir la porte d’un magasin de luxure. Lorsqu’elle rentre, elle a l’impression que le vendeur la détaille de haut en bas. Elle découvre les multiples accessoires existant dans ce monde. Jamais elle n’aurait imaginé que des godes de cette taille se vendaient. Elle en trouve un de taille moyenne, 18cm, assez large et à ventouse. 45€ tout de même. Elle n’avait que 60€ sur elle. Elle demande au vendeur de lui ouvrir la vitrine pour prendre l’engin.Ensuite, elle cherche après le fameux « rosebud » demandé dans le mail. Elle ne sait pas à quoi çà ressemble. Des hommes douteux rentrent et sortent, avec des piles de DVD. Certains descendent au sous sol après avoir payé en caisse. Il est indiqué « Cinéma ». Surement un endroit sordide se dit elle. Après 10 minutes à parcourir les rayons, elle se sent obligée de demander au vendeur :— « Excusez moi, je cherche un objet mais je ne sais pas à quoi çà ressemble. » dit elle en chuchotant.— « Bien sur. Par contre, vous me paraissez très jeune, puis je voir votre pièce d’identité ? »— Lucie sort sa carte, le vendeur lit tout haut « Lucie H., née en 1996, habitant à… Merci bien. Alors que cherches-tu ? »— Le tutoiement soudain la déstabilisa « euh… je cherche un rosebud pour une copine »— « Oui pour une copine, pas de problème. Alors voici les modèles »Elle découvre alors ce que c’est. Une sorte de cône, plus ou moins gros, avec une embase ornée d’un bijoux, destiné à être inséré dans l’anus.— « Quelle taille préfères-tu … pour ton amie ? » lui demande t’il en la dévisageant.— « Celui là s’il vous plait. » en désignant le plus petit.— « Tu sais, après une ou deux utilisation, elle ne sentira plus rien, je te conseille de prendre plus gros » et sans attendre de réponse, il prend un rosebud de taille moyenne, qui parait énorme à Lucie.Elle suit le vendeur jusqu’à la caisse. Heureusement, personne d’autre n’est présent dans cette zone se dit elle.— « 45 et 30, ce qui te fait 75€. »— « Je suis désolé mais je n’ai que 60€, vous n’auriez pas un modèle à ventouse moins cher ? » demanda t’elle au vendeur en désignant le phallus en silicone.— « Non ma ptite, mais tu peux repasser demain avec les 75€ si tu veux. Ce serait un plaisir. »— « Je ne peux pas, j’en ai besoin aujourd’hui absolument et je n’aurais pas plus d’argent demain. »— « On peut trouver un arrangement si tu veux. ».— Lucie compris tout de suite où il voulait en venir « Je ne suis pas une pute, vous ne profiterez pas de moi pour de l’argent ! ».— « Je te propose quelque chose, si tu ne veux rien échanger contre de l’argent, je te propose un essayage, j’ai des tenues fantastiques au sous sol. Tu les essayes et si l’une te va, je te l’offre en plus de tes achats. OK ? »— « Ca me parait plus convenable, je n’ai pas le choix de toute façon. » dit elleLucie suit le vendeur au sous sol, il y a une pièce sombre, avec de la moquette sale au sol. Un petit canapé, des miroirs sur chaque mur et une penderie avec plusieurs tenues, des robes, des déguisements d’infirmière… Il lui propose d’abord une robe « sage » très décolletée et très courte. Lucie demande où peut elle essayer cet habit.— « La cabine d’essayage est ici. Vu le cadeau que je te fais, tu peux bien te changer face à moi »Elle est encore prise au piège, mais si elle n’accomplit pas sa mission, elle en subira les répercussions. Elle se positionne de dos au vendeur et enlève son débardeur. Ce qu’elle n’a pas vu, c’est que grâce aux miroirs, il voit très bien la poitrine de la jeune femme. Elle enfile la robe, par-dessus sa jupe, puis enlève celle-ci. Lucie est bandante ! Elle se retourne face à son donateur, ses seins tendent le tissu au maximum, le décolleté descend presque jusqu’au nombril et ses fesses sont moulées au maximum. On aperçoit tout de suite l’absence de toute autre protection entre la peau et la robe.— « Bien, superbe. Enfile la deuxième, elle t’ira encore mieux ».— Alors que Lucie allait renfiler sa jupe par-dessous, il intervient « Qu’est-ce que tu fais, vient près de moi et change toi ici ».Lucie s’approche, vaincue. Elle lève doucement la première robe et se cache aussi tôt les seins d’un bras et le pubis de la main.— « Dépêche toi, j’ai des clients qui attendent »Elle attrape l’autre robe en essayant de rester cachée mais en se penchant pour la ramasser, le vendeur admire ses fesses et ses lèvres qui se dessinent entre ses jambes serrées. Elle enfile la robe blanche.— « OK super, je te l’offre, rhabille toi et on remonte ».Lucie est soulagée de ne pas avoir à essayer de nouveaux vêtements et de ne pas devoir s’exhiber plus longtemps devant ce jeune gérant de sexshop. Ce qu’elle ne remarque pas, c’est que le dos nu descend jusqu’à la naissance de sa raie. La robe est de plus très transparente. Elle se dépêche de sauter dans sa jupe et de remettre son top. Elle est obligée de monter les escaliers devant le vendeur qui ne manque pas une miette du spectacle.    Arrivée à l’accueil, trois hommes attendent pour régler leurs achats. Ils font un clin d’œil à Lucie qui demande au gérant de les encaisser d’abord.— « Finissons notre affaire d’abord. Alors, un god ventouse, un rosebud et une robe sexy. 147€, offert par la maison. A bientôt Lucie H. Et merci pour notre marché ! »Elle est humiliée au plus haut point. Elle est suivie du regard de ces 3 hommes le temps de prendre le sachet et de filer rapidement vers la sortie. Une fois dehors, elle jette un coup d’œil rapide aux alentours pour vérifier que personne qu’elle ne connaisse ne soit dans les parages. Puis elle court prendre son bus pour rentrer chez elle.
-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Lundi    J’espère que cette première mission s’est bien passée ? Tu m’enverras les photos de tes achats. Tu les laisseras ensuite en évidence dans la penderie de ta chambre.Par contre, je vois que tu n’as pas compris tout ce que je t’avais dit. Tes 2 nouveaux amants attendent une entière honnêteté de ta part et ils t’ont demandés ce que tu faisais ce soir. Tu aurais pu les prévenir que tu allais faire des achats dans un sexshop…Je ne te compte pas de mauvais point cette fois ci mais tu devras leur montrer la photo de tes nouveaux jouets demain. Avec un peu de chance, ils t’aideront à les essayer !M. Exes-----    Comment vont-ils prendre çà, je leur dirai « JE SUIS UNE SALOPE » ce serait pareil pensa t’elle. Il faut trouver une stratégie pour que la photo leur apparaisse comme un accident. Lucie a une idée. En attendant, elle déballe ses achats « gratuits » et les positionne sur son lit. Elle prend la photo et l’envoie tout de suite par mail. Le retour ne se fait pas attendre.-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Re : Lundi    Je vois que tu as bien choisis. Je pensais que tu prendrais un plus petit rosebud mais peut être que ton deuxième trou a déjà été élargi dimanche ? Passons à ta journée de demain.Mardi : tu as sport il me semble. Tu va porter ton rosebud toute la journée. Si quelqu’un le remarque dans les douches, débrouille toi. Tu es la spécialiste des excuses bidons non ? Je te conseille de t’entrainer à le porter dès ce soir.M. Exes-----Lucie se mit nue. Elle admira son corps dans le miroir de sa penderie. Ses poils recommençaient à pousser mais elle n’avait plus le droit de se raser. Elle caresse son doux duvet et ses seins fermes. Le rosebud brillait fièrement sur son lit, elle le prend, pose une jambe sur son lit et tente d’insérer l’objet entre ses fesses. N’ayant pas pensé à prendre de lubrifiant au sexshop, elle lèche ses doigts pour les imbiber de salive avant d’en enduire son œillet crispé. L’objet avance lentement dans cet orifice et après une dernière poussée douloureuse, il se cale dans son petit cul.    La sensation est bizarre se dit elle. Ni gênante ni plaisante. Elle enfile un vieux pyjama qu’elle affectionne particulièrement pour sa douceur et descend prendre son repas. Lors de sa descente des escaliers, elle sent le sextoy bouger en elle. Comment va-t-elle le supporter toute une journée ! A table, sur sa chaise, elle remue à cause de la gêne occasionnée. En allant se coucher, elle extrait l’objet avec difficulté. Elle s’endort après avoir longuement caressé le god fraichement acheté.    Mardi. Lucie répète l’opération de la veille pour s’insérer le rosebud. Elle le fait sans conviction, sans excitation. Elle range le god et la robe dans son armoire et embarque les emballages dans son sac de cour. Le cours de sport a lieu à 8h. Aujourd’hui c’est basket, à chaque sprint, elle se tortille en ressentant le mouvement dans ses fesses. Elle subit les moqueries de ses 2 amants du dimanche qui lui demande si elle a fait fort la veille. Dans les douches, elle fait en sorte de s’accroupir plutôt que de se pencher mais le rosebud manque de sortir de lui-même. Elle a de la chance quand même, personne ne remarque la présence du bijou.    Par contre, des railleries fusent sur l’absence de poils sur son pubis « Alors t’es redevenue une gamine ? » « Tu t’es trouvé un mec »… Armel la regarde d’un air moqueur en chuchotant avec son nouveau groupe d’amies. Lucie doit aussi penser à Matthieu et Julien à qui elle a mentit la veille. Elle envoie un texto : « Coucou chéri, voici mes nouvelles acquisitions. Je t’aime » et elle joint la photo prise la veille. Elle envoie çà à Matthieu et Julien.    Au réfectoire, ils se dépêchent de rejoindre sa table.— « Salut Lucie ca va ? » dit Julien— « Oui ca va et vous ? »— « Oui, tu nous envois de belles photos ! » répond Matthieu.— « Ah bon ? Je n’ai rien envoyé » en semblant ne rien savoir.— « Regarde »Julien tend son téléphone aux yeux de Lucie qui lui demande d’effacer immédiatement ce cliché.— « Et qui est ce ‘chéri ‘ ? » lui demande Julien— « Ca ne vous regarde pas, je me suis juste trompé de destinataire. C’est privé » dit elle faussement énervée.— « Et bien çà restera entre nous si tu es sage » lui intime Matthieu.— « On en reparlera. Pour l’instant on garde la photo. A plus tard ». Et ils sortent de la cantine.Dans quel pétrin me suis-je fourrée se demande Lucie. Elle repense à la scène de la veille, au sexshop. Que va-t-elle devoir faire avec ce magnifique god. Elle se dit qu’elle aurait peut être bien besoin de lubrifiant au cas où. Mais elle ne veut pas retourner dans ce lieu morbide et ce vendeur qui risque encore de profiter d’elle.— « Tiens qui voilà, Lucie ! », elle avait tout de même décidé de s’y rendre— « Je tiens à vous dire que ce qui c’est passé hier n’est pas prêt d’arriver à nouveau. Je viens juste acheter du lubrifiant. » dit elle sure d’elle.— « Mais bien sur. Voilà qui devrait te convenir » lui dit le vendeur en lui tendant un tube rouge.— « Combien ? »— « 18€ ma belle »Lucie paye et s’empresse de repartir du magasin. Son téléphone vibre. Sa mère, elle répond.— « Coucou chérie, juste pour te prévenir que ce soir, ton père et moi sortons diner au restaurant et ton frère fait une soirée chez des potes à lui ».— « Ok pas de problème »— « Je t’ai préparé un bon repas, tu n’auras plus qu’à le réchauffer au micro ondes. A demain »— « A demain Maman. Bisous »Lucie est soulagée. Une petite soirée seule ne lui fera pas de mal.    Elle rentre chez elle, la maison est calme, silencieuse. Un nouveau mail.-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet : Alors ?    Alors petite salope, tu as aimé avoir un objet dans ton petit cul toute la journée ? Tu as montré ce bijou à tes camarades ?Mon ami m’a dit que tu étais repassée par son magasin. Je pense que tu as raison d’acheter du gel, tu pourras passer plus rapidement à des vrais calibres.M. Exes-----    Elle répond qu’elle a montré comme convenu la photo et qu’ils risquaient de la faire chanter avec et que maintenant, elle était seule et compter se reposer ce soir.-----Expéditeur : lycée-st-joseph@lsj.comObjet :Ce soir.    C’est bien, tu comprends que je fais çà pour ton bien ? Pour que tu comprennes quelle est ta vraie nature. Sinon, vu que tu es seule ce soir, tu va passer la soirée nue, lumières allumées, volets ouverts. Les consignes pour demain arriveront dans la nuit.M. Exes-----
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