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Lucile amoureuse salope

Chapitre 7

Travesti / Trans
7 – Femme, femme, femme.
Maria dévisageait Jeanne et Lucile et son sexe trahit ce qu’elle ressentait. Elle trouvait leur couple splendide et l’une comme l’autre très élégante. C’était quelque chose qui la gênait et qui l’excitait beaucoup. Elle se demandait toujours pourquoi elle choisissait généralement des habits aux teintes trop criardes ou trop vives. Au Brésil, ça passait inaperçu mais, ici, en France, c’était un peu différent.
— Quand je vous vois toutes les deux, je me dis que j’aurais vraiment besoin de cours d’élégance. J’en ai un peu mare de passer pour une pute partout où je vais.— Oh, mais tes bas et ton porte-jarretelles sont très élégants. Contredit Lucile sans quitter des yeux sa verge gonflée. C’est ce rose qui ne te va pas. Pour le reste tu… tu es époustouflante.— C’est ce que m’a dit Jeanne, répondit la brésilienne en plongeant son regard dans celui de l’intéressée.
Incapable de prendre part à la conversation tellement la beauté de Maria la subjuguait, Jeanne laissa sa femme entretenir seule la conversation.
— Oh, mais Jeanne est très bonne conseillère, elle sait toujours avec certitude ce qui va ou pas à quelqu’un. Elle ne se trompe jamais et en matière de vêtements, on peu lui faire confiance ; il n’y a qu’a regarder comment elle s’habille !— Elle te conseille parfois ?— Bien sûr, quand je vais faire des courses en sa compagnie, je lui demande toujours son avis. Elle n’a pas peur de dire ce qui ne va pas et, de manière générale, je me range à son avis. Et même quand elle se choisit des dessous simples, pour tous les jours, elle le fait avec soin.— J’avoue que je suis un peu curieuse, Jeanne, tu voudrais bien me montrer ?
Angélique avait observé la rencontre et attendait de voir ce qui allait se passer. L’extraordinaire érection de Maria ne lui avait pas échappée même si elle ne pouvait la voir qu’à la dérobée. Elle sentait que quelque chose se passait et ça l’excitait tellement qu’elle passa une main sous sa jupe, directement dans son string.Jeanne à la demande ferme de Lucile retira son chemisier, dévoilant sa poitrine masculine, et laissa glisser au sol sa jupe en lin. Elle portait un string Sliggo noir, bien choisi, sans doute une taille « trop grande » qui contenait bien sa petite bite en érection et une paire de bas autofixants bon marchés mais dont le liserait était bien assortis au motif de la culotte.
— Tu es splendide, articula doucement Maria. C’est que du premier prix ?— Oui, à peu près, mais c’est pour tous les jours, répondit Jeanne flattée. Et je ne suis pas aussi jolie que toi. Il me manque un peu de poitrine, visiblement, et ta silhouette est un peu plus féminine que la mienne.— Oui, c’est parce que je prends des hormones depuis longtemps… Répondit Maria sans plus de précision. Tu n’y as jamais songé ?— Je ne suis femme que depuis quelques jours, avoua Jeanne honteuse. J’y pense mais j’en ai peur aussi ; je ne sais pas trop.— Tu as quel âge ?— vingt-huit ans bientôt, pourquoi ?— Parce qu’il est préférable d’effectuer sa transformation avant trente ans. Si c’est ce que tu veux, c’est le dernier carat. Mais tu es très belle comme ça aussi, tu sais.
— Je ne sais pas de quoi vous parlez, mais ça a l’air de vous plaire, les cochonnes ! S’exclama Angélique qui avait décidée de réapparaitre. Comment voulez vous que Maria essaye ce que j’ai à lui proposer si vous me la mettez dans cet état !— Oh, mais c’est à cause de Jeanne, répliqua Lucile, mais rassure toi, elle va faire ce qu’il fait pour réparer sa faute ! N’est-ce pas Jeanne ?— Euh, oui Madame Lucile, tout de suite, répondit le travesti en s’accroupissant devant la verge dressée.
Jeanne fit tout ce qu’elle pouvait pour faire jouir Maria au plus vite. À force de sucer la grosse verge de Willy, leur voisin black, deux ou trois fois par semaine, elle commençait à avoir une certaine habitude et était capable de s’enfoncer elle-même sa verge monstrueuse au fond de la gorge. Maria était positivement impressionnée, elle tint l’arrière de la tête de Jeanne pour lui baiser la bouche. Cette dernière se laissa faire mais peu à peu, elle eut envie de baiser autre chose. Comprenant qu’il existait une relation de domination entre Lucile et Jeanne, elle demanda à la jeune femme si elle pouvait user du cul de sa soumise. Comme la réponse fut positive, Jeanne abandonna sa fellation, baissa sa culotte en se redressant et, prenant appui sur le banc de la cabine d’essayage, tendit son cul à la jolie shemale. La pénétration, quoique rapide et sans préparation, se fit sans difficulté et une fois bien en place Maria ramona le cul de Jeanne sans ménagement. Il faut dire que le travesti avait porté durant toute la matinée plug de 7 cm de large et que sa rondelle commençait à s’habituer aux pénétrations brutales. Par ailleurs, Jeanne était tellement excitée qu’elle mouillait du cul avant de se faire enculer. La verge de Maria lui titillait la prostate et lui remplissait complètement l’anus. Si elle avait d’abord tapé au fond de son rectum, ce n’était plus le cas. La douleur associée avait totalement disparue et Jeanne réalisa que le gland devait maintenant explorer son colon à chaque fois que le pubis rasé de la brésilienne venait s’écraser sur son cul. Avant de jouir, Maria se retira de son cul et la fit se remettre à genoux pour lui forcer la bouche et lui remplir la gorge. Jeanne s’appliqua à l’aspirer jusqu’à la dernière goûte et à lui rendre une allure plus saine. Après vérification de l’état de propreté de l’engin ramolli, Angélique tendit à Maria l’ensemble soutien-gorge et culotte que Jeanne avait conseillé.
La rencontre avec Maria n’avait pas laissé Jeanne indifférente et en revenant vers chez elle, en compagnie de Lucile, elle se demandait ce qu’il fallait faire pour avoir une poitrine. Cette idée commençait à l’obséder mais elle n’en parla pas à sa femme. Elles étaient chargées de paquets contenant leurs achats vestimentaires ainsi qu’un martinet sur lequel Lucile avait craqué. Elle avait hâte de l’essayer et quand elles furent chez elles, Lucile trouva rapidement un bon prétexte pour corriger avec son cocu travesti. Elle ne lui en mit qu’une petite dizaine de coups mais les lanières de cuir laissèrent de fines zébrures rouges qui lui donnèrent envie de l’enculer avec son gode ceinture.
Le lendemain matin, Marc avait vraiment mal au fesses mais il ne pouvait pas faire autrement que d’aller travailler. Pour couronner le tout, Lucile lui imposa le port du plug et c’est avec une démarche peu alerte qu’il rentra dans son bureau.
— Et bien mon vieux ! S’exclama Jean-Paul, pour quelqu’un qui s’est pris une journée de repos, t’as pas l’air d’en mener bien large.— Mmm, si, ça va.— Dis donc, je me demandais ; t’as décidé de quelque chose pour me présenter ta femme ? Franchement, depuis l’autre jour, j’n’arrête pas d’y penser.— Je t’ai dis, c’est elle qui décide…— Ouai, je sais toi t’es un cocu, soumis et travesti, mais ça n’avait pas l’air de te gêner et ça ne t’empêche pas de me la présenter, non ?— Non, bien sûr, mais c’était pas franchement le moment jusqu’à aujourd’hui. Elle était un peu indisposée.— Oh, je vois, répondit Jean-Paul bien loin de s’imaginer vraiment la nature exacte de l’indisposition.
Comme ils s’étaient mis chacun au travail, leur discussion n’alla pas plus loin et vers onze heure, Marc reçut sur son portable la photo d’une bite pénétrant un trou du cul. Il était maintenant évident que Lucile allait mieux et cette image le soulagea. Dans la foulée, il reçut d’autres photos prises de plus loin sur lesquelles Lucile était parfaitement reconnaissable. Elle avait dû confier son appareil à ses collègues car sur une première série, elle se faisait prendre en levrette par un petit jeune dans son bureau et dans une seconde série, toujours au même endroit et dans la même position, c’était un homme d’une quarantaine d’année qui la baisait. Comme le jeune, il avait simplement baissé son pantalon et son slip et Lucile avait simplement relevé sa jupe.Se disant que s’il recevait ce message c’était qu’elle avait fini, il se permit de l’appeler.
— Allo, Chérie, ça va mieux, on dirait. Ça me fait plaisir. Merci pour les photos.— …— Non, le haut-parleur est coupé et oui, Jean-Paul est là, pourquoi ?— …— Voilà, c’est fait.— Allo, Jean-Paul, vous m’entendez ?— Euh, oui, très bien, Lucile.— Bon, mon cocu de mari, m’a dit l’autre jour que vous aimeriez me rencontrer, c’est bien ça ?— Oh, oui, ce serait un plaisir de faire plus ample connaissance avec vous, je ne vous ai aperçu qu’une fois et nous avons à peine été présenté…— Il vous a expliqué que lui et moi nous avions comme contrat qu’il n’intervienne pas dans le choix de mes amants ?— Euh, oui, il m’a dit que c’était vous qui choisissiez et je ne voulais pas vous forcer la main. Simplement, je me disais que nous aurions pu déjeuner ou diner ensemble, tous les trois…— N’essayez pas de me faire croire que vous voulez me voir uniquement pour manger ! Vous avez envie de me sauter et comme mon mari est cocu vous voulez tenter votre chance.— Euh… oui, c’est vrai, mais j’aimerai qu’il soit là, voyez vous. Bien que, dans les faits ça ne se voit pas car nous travaillons ensemble de manière très égalitaire, Marc n’en reste pas moins mon supérieur hiérarchique. Et je vous avoue que, quelque part, baiser la femme de mon chef ça m’exciterait à mort.— C’est ce qui vous motive ? Ce n’est donc pas une idée de lui ; vous me le confirmez ?— Ah non, c’est moi qui insiste auprès de lui pour vous voir ; lui n’est pour rien là dedans. Je vous l’assure.— Heureusement pour lui car si Marc avait enfreint aux règles, il aurait été sévèrement puni.— Puni ?!— Oui, puni. Vous avez de la chance car votre fantasme m’amuse et je consens à vous rencontrer pour vous donner l’occasion de sauter la femme de votre chef mais avant j’aimerai que vous enculiez Marc, qu’en le faisant vous fassiez des photos ou un petit film avec son Smartphone et que vous me l’envoyez avant midi.— Que j’encule Marc ?! Avant midi ?!— Et bien quoi ? Ça n’est pas très difficile, vous savez. Et puis enculer son chef ça doit être bien aussi, non ?— C’est que je ne suis pas franchement attiré par les hommes, vous savez.— Vous voulez mon cul, oui ou non ?— Et bien oui ! Oui, c’est sûr, je vous trouve…— Bien ! Alors, sachez que je suis actuellement en train d’éduquer mon cocu pour en faire, quand cela me chante, une bonne petite pute et le transformer à ma guise en femme. Et je peux vous garantir que, quand Marc s’efface pour laisser la place à Jeanne, la femme qui apparaît est de toute beauté.— C’est que je ne l’ai jamais vu en femme, je ne peux pas trop juger.— Écoutez, vos états d’âmes ne m’intéressent pas. C’est ça ou rien, mais je compte sur vous pour me prouver vos motivations. Envoyez moi ce que je vous demande avant midi et vous pourrez venir chez nous vendredi soir. Ça vous va ?— Je suppose que vous ne laissez pas d’autre choix…— Ne vous lamentez pas, je suis certaine que vous y prendrez plaisir malgré ce que vous pensez. Et puis après, vous pourrez vous vanter d’avoir baisé la femme de Marc. En plus, si c’est bien, nous pourrons recommencer. Vous savez, j’ai deux types d’amants : les réguliers et les occasionnels mais pour devenir régulier, il a bien fallu un jour être occasionnel. C’est logique, non ?— Euh, oui… répondit Jean-Paul un peu désorienté.— Bon voilà qui est parfait. Mon cocu chéri ?— Oui, mon amour ?— Ne tarde pas ce soir car je suis d’astreinte ce soir et je devrais partir de la maison vers sept heures.— Comment ça d’astreinte ?— Et bien j’ai finalement accepté ma deuxième fonction dans l’entreprise et nous avons la visite de notre partenaire britannique. Je dois assister Robert dans des négociations sur les marges. Du coup, nous avons un dîner d’affaire et il est plus que probable que je sois obligée de passer la nuit avec mon client.— Et alors, combien ?— 2 000 € quoi qu’il arrive et 5 000 € si le client accepte nos conditions. Oh, j’oubliais, Robert aimerait rencontrer Jeanne un de ces jours ; j’ai l’impression que Marcel lui en a vanté les mérites. Je lui ai dit que l’on verrait ça après les vacances car tout de suite ça me paraît un peu précipité. En plus, je voudrais que tu sois parfaite car il est très exigeant mon Bobby.— Oui, si tu veux, ma Chérie.— Bon ne traine pas ce soir ; sois là vers cinq heures qu’on ai le temps de se voir un peu.— Promis, je sortirais tôt.
Lucile raccrocha et le silence se fit dans leur bureau. Marc resta songeur devant les demandes et exigences de sa femme. Il jeta un coup d’œil en direction de son collègue qui le regardait de plus en plus bizarrement. Jean-Paul se demandait si le jeu en valait vraiment la chandelle. Il ne s’était jamais tapé de mec ; ce n’était vraiment pas son truc. Il cherchait des arguments, observait attentivement son collègue et finit par se dire que Marc n’était pas vraiment un mec. Il se leva, ferma la porte à clé et s’approcha du bureau de Marc.
— Lève toi et fous toi à poil ; je crois qu’il est temps que je fasse une nouvelle expérience.
Marc ne dit rien, il savait que c’était Jeanne l’esclave qui rentrait en scène. Il se leva et, après s’être déchaussé, il retira son costume et sa chemise. Il portait se jour là un ensemble de chez Angélique avec porte-jarretelles et bas noir avec string assorti. Jean-Paul commença à comprendre l’avis de Lucile sur la femme qui se cachait en Marc. Toujours sans rien dire, Marc ouvrit le petit sac à dos qui l’accompagnait tous les jours depuis le début de sa féminisation et en sortit une paire d’escarpins à talons qu’il passa à ses pieds.
— Pas mal, sourit Jean-Paul, pas mal du tout… Jeanne ? C’est ça ?— Oui, Monsieur, répondit Jeanne instinctivement.— Et bien dressée, en plus… Donne moi ton téléphone que je commence à filmer.
Marc débloqua son Smartphone et le tendit à Jean-Paul.
— Tourne toi, Salope, que je vois ton cul… Oh la vache, c’est quoi ces marques ? On t’a fouetté ?— Oui, Monsieur, j’ai été punie…— C’est vrai que t’as un beau cul ; la seule chose qui te manque, c’est des nichons. Tu serais encore plus bandante. Retire ton string et penche toi sur le bureau que je puisse voir ton trou.— Oh oh, petite cochonne, tu te promènes avec un plug. Je comprends mieux pourquoi t’avais du mal à marcher ce matin. C’est ta femme qui te l’a mis ?— Non, Monsieur, c’est moi mais c’est bien Madame Lucile qui me l’impose.— Madame Lucile ?... Oh, putain, la salope ! Elle est en train de faire de toi une vraie lavette. Écarte bien ton cul que je vois ce truc là.
Jean-Paul attrapa la base du plug et commença à le faire tourner un peu sur la gauche puis sur la droite avant de tirer doucement dessus. Le trou du Cul de Marc s’écarta et laissa apparaître la partie la plus large. Jean-Paul tira encore un peu puis il replongea l’objet dans le fondement de son collègue. Il sentait son excitation monter et sa bite se trouvait bien à l’étroit dans son pantalon.
— Tu suces ?— Il paraît que je fais ça assez bien, Monsieur.— Bon alors qu’est-ce que tu attends ? Viens me sucer un peu avant que je ne te la mettes bien profond.
Marc en bonne petite pute docile, s’accroupit devant Jean-Paul, dégrafa sa ceinture et son pantalon qu’il baissa jusqu’aux chevilles puis il descendit le caleçon pour faire apparaitre ce qu’il avait présagé. Un sexe de bonne taille, très épais se tenait dressé devant lui. Bien que moins long, il semblait nettement aussi large que celui de Willy. À l’odeur, il comprit que l’hygiène intime ne devait pas être le fort de son collègue. Il commença par lécher son gland décalotté, en nettoya le pourtour, puis il goba la verge toute entière. Il revint ensuite sur le gland dont il titilla le méat avec sa langue et retourna enfouir son nez dans l’épaisse toison pubienne de Jean-Paul qui sentait fort la sueur et le mâle.
— Putain, mon salop, c’est vrai que tu suces bien… Avale bien ma queue, j’vais te la mettre après.
Marc était appliqué et plus il suçait et plus il ressentait des picotements au niveau de son cul. Son envie de se faire prendre grandissait.
— Ah, putain, n’oublie pas que je dois t’enculer pour pouvoir baiser ta meuf ! Lève toi et fous toi à plat ventre sur le bureau !
Marc se redressa, et juché sur ses hauts talons, il appuya son torse sur son bureau en relevant bien son cul et en écartant bien ses jambes. La position et la hauteur étaient parfaites pour Jean-Paul qui attrapa la poignée du plug et le sortit d’un coup. Il filma l’opération et le trou du cul béant dans lequel il précipita sa verge.Jean-Paul n’aurait jamais cru pouvoir baiser un mec avec autant de facilité mais il se disait aussi que les dessous féminins de Marc n’y étaient pas pour rien. Il filma encore un peu mais la manœuvre n’était pas facile alors il reposa le téléphone. Les deux mains libres, il agrippa son chef par les hanches et lui ramona le cul avec force. Il faisait des mouvements profonds et rapides, ressortait presque entièrement et replongeait rageusement dans les entrailles accueillantes. Par moment il déculait pour admirer le trou bien ouvert et reprenait une série de clichés juste avant et pendant sa pénétration. Pour étouffer ses gémissements alors que Jean-Paul le reprenait sauvagement, Marc, agrippé aux deux côtés du bureau, mordait dans son string. Jean-Paul, pour quelqu’un qui prétendait ne pas aimer les hommes, prenait son pied et se montrait aussi doué qu’endurant. Il avait trouvé où appuyer ses pénétrations pour stimuler sa prostate et le faire jouir du cul.Voir son ami jouir du cul acheva d’exciter Jean-Paul qui sentit monter sa propre jouissance. Ses mouvements se firent encore plus rapides et, au moment d’éjaculer, il se retira pour le faire sur la rondelle bien ouverte. Il repris le Smartphone et ajouta de nouveaux clichés. Marc repris le plug qui trainait sur le bureau et le rangea à sa place. L’objet de latex pénétra avec aisance dans sa rosette bien graissée et entraina dans son sillage le sperme de Jean-Paul.
Il était midi moins cinq lorsque Lucile reçut le message et les images sur son téléphone. Elle était nue, dans le bureau de Robert, nu également. Ils reprenaient leurs esprits après une demie heure de baise intense.
— Ah, message ! Je vais enfin savoir si ce type est motivé. Déclara Lucile en allant prendre son téléphone dans son sac.— Tu me montres ? Je serai curieux de voir le cul de ton mari.— Si tu veux, mais je te préviens tout de suite, il n’est pas dans ses meilleurs jours… J’y ai été un peu fort sur les punissions.— C’est pas bien, Lucile, il faut savoir doser ; c’est important.— Oh mais il en a fait beaucoup ! Il en arrive encore. Il y a des vidéos et des clichés. Il n’est pas trop con, il a su doser les durées pour que ça passe vite… Mmm, ça va te plaire ; ça va te donner un avant goût de ce que je te présenterai en revenant de vacances.— Fait voir !!
Lucile montra les vidéos en commençant par la première sur laquelle on voyait Marc se déshabiller avant d’enfiler ses chaussures à talons.
— C’est ton mari ?!— Et bien comme ça, c’est Jeanne, même si maintenant elle a une jolie perruque qu’elle porte quand elle est vraiment habillée en femme.— Elle a un visage très ambiguë, androgyne. Elle est très belle tu sais, Marcel avait raison.— Et encore, Marcel ne l’a pas vu comme ça ; elle était encore plus embryonnaire. T’as entendu, elle l’a appelé « Monsieur » !— Oui, c’est une petite pute soumise, ça se voit tout de suite ! Fait voir la suivante !... Oh putain ! C’est son cul ?! Tu n’y es pas allée de main morte !— Faut vraiment que j’apprenne à me maitriser, j’ai honte…— Allez faire un stage chez Agnès, elle saura t’apprendre. Oh, la vache ! C’est énorme ! Il fait combien ce plug ?— Je ne sais pas trop, je n’ai pas fait la conversion exacte mais sur la boite il y avait marqué trois pouces. C’est un peu plus de 7 cm, je crois.— J’aurais plutôt dit un peu moins de 8 cm ! Oh putain ! Quel cul !— Tu ne l’as pas encore vue en vrai et elle te plait déjà.— Pas autant que toi, mais j’ai des clients qui raffolent des trans ou des travelos dans son genre…— T’en as beaucoup ?— Non, deux ou trois mais c’est bien de savoir qu’on peu avoir une pute à leur servir sur un plateau.— T’es un vrai maquereau, en fait ! Regarde comme elle suce bien, la salope.
Lucile et Robert regardèrent ensemble toutes les vidéos et images de Marc se faisant enculer par Jean-Paul jusqu’à son anus couvert de foutre et la réintroduction du plug dans son conduit dilaté. Robert bandait comme un âne et Lucile excitée décida de le chevaucher. Leur coït fut rapide et pour la troisième fois de la matinée, elle reçut son foutre chaud au fond de sa chatte gourmande.
L’après midi de Lucile était assez chargée, elle avait invité son petit stagiaire pour un quatorze à dix-sept et le jeune homme lui avait demandé s’il pouvait venir avec trois amis. Ils en avaient discuté un petit moment avant qu’elle n’accepte et elle avait mis comme condition qu’ils ne soient réellement pas plus de quatre. Si Julien était souvent à la bourre pour venir bosser, il ne l’était pas pour venir la sauter. C’est une fine équipe qui débarqua chez elle et elle ne se perdit pas en discutions inutiles. C’est tout juste si elle voulu connaître leurs prénoms et fut assez claire sur le fait qu’il n’y aurait pas, pour eux, de seconde fois. Elle avait accepté pour faire plaisir à Julien et rien d’autre. Comme il faisait beau et chaud, elle ouvrit les fenêtres en grand avec une petite pensée pour son voyeur et attendit qu’ils soient tous à poil pour les sucer à tour de rôle au milieu du salon. Comme leur désir montait, elle les conduisit dans la chambre où tous les quatre s’occupèrent de son corps en lui léchant la chatte ou le cul et en lui tétant les seins. Pendant qu’ils faisaient monter son désir, elle leur annonça aussi qu’elle attendait d’eux qu’ils éjaculent tous dans sa chatte, dans son cul et sur son visage. Les trois lascars qui accompagnaient Julien promirent qu’elle ne serait pas déçue et concernant son stagiaire, elle savait depuis longtemps qu’elle pouvait compter sur lui.Prise d’abord en tournante, elle se faisait baiser la chatte pendant qu’elle suçait une bite. Mais après de longues minutes à ce régime et de multiples orgasmes, elle se retrouva prise en sandwich et Julien, qui avait pourtant la plus grosse bite, fut le premier à la lui mettre dans le cul. Tout s’organisa assez vite : le mec qui sortait de son anus se faisait sucer, celui qui lui sortait de sa chatte prenait son cul, celui qui quittait sa bouche se branlait et celui qui se branlait baisait sa chatte. À un moment où Julien se branlait, il suggéra d’envoyer quelques images à Marc comme ils l’avaient fait le matin. Lucile lui indiqua où se trouvait son téléphone et le jeune homme se lança dans la prise de clichés.
Marc, sachant que Jean-Paul allait bientôt pouvoir baiser avec Lucile, décida de lui montrer les images qu’il recevait toutes les cinq ou dix minutes. Son collègue fut assez vite excité par ce qu’il voyait, que ce soit photos ou vidéos, parfois en plan large et parfois en gros plan. Il bandait tellement qu’il dut défaire son pantalon et baisser son slip pour sortir son engin. Marc lui confia son téléphone pour qu’il puisse regarder les images qui arrivaient et il se glissa sous le bureau de Jean-Paul pour le sucer.
Lorsque Marc poussa la porte de son appartement, il avait encore le goût du sperme de son ami dans la bouche. Pour une fois, il ne se déshabilla pas dans le salon, respectant le dernier message reçu de Lucile qui disait : « j’en ai plein partout, mon cocu, viens vite me nettoyer avec ta langue et me sauter avec ta petite bite. J’ai envie de toi, mon cocu. ». Il se précipita dans la chambre où Lucile l’attendait le corps effectivement couvert de foutre. Il l’embrassa à pleine bouche et se jeta ensuite, avec avidité sur chaque trainée qu’il avalait goulument en descendant progressivement vers les orifices souillés de son épouse. Il n’en avait jamais trouvé autant ; il y en avait tellement que son visage se trouva couvert de sperme du nez au menton. Fou de désir, il se défit de ses habits et de son string et s’allongea sur Lucile pour la prendre. Elle l’enlaça tendrement en lui disant à quel point elle était contente de ne plus souffrir et de pouvoir se faire prendre enfin comme cela. Pendant qu’il s’activait en elle, elle lui racontait tout ce qu’elle avait fait durant l’après-midi. Elle ponctuait son discours de « cocu », « petite bite » et « pédale » qui accentuèrent son excitation. Le plaisir qu’elle avait à faire tout cela était énorme et même si elle avait joui intensément durant trois heures elle jouit encore une fois lorsque Marc éjacula sur son ventre. Ils tombèrent enlacés et s’embrassèrent un long moment. Lucile caressait son dos et descendit sur ses fesses où elle sentit sous ses doigts les boursouflures de la peau et quelques croutes là où le sang avait perlé.
— Comment vont tes fesses, mon cocu d’amour ?— Pas très bien, je t’avoue. J’ai fait semblant de m’asseoir toute la journée…— Robert à qui j’ai montré les images prises par Jean-Paul m’a fait la morale et Agnès, à qui je les ai montrées à midi, m’a incendiée. J’ai honte, mon amour… J’ai terriblement honte.— Ce qui est fait est fait, je te signale que je ne suis pas très clair non plus… Tu m’as fait mal, certes, mais ça m’a fait jouir.— Agnès dit qu’on a besoin de faire un stage avec elle pour que j’apprenne à me contrôler. Elle veut que je lui donne la cravache et le martinet dès demain. Elle me les rendra quand j’aurai appris à dominer mes émotions et mes gestes et quand tu auras appris à dire stop.— Tu vas le faire ?— Oui, je lui ai promis.
Marc resta songeur, la violence des gestes de Lucile était terrible mais il aimait ces jeux de domination et surtout, il aimait être corrigé lorsqu’il faisait une bêtise… même imaginaire. Cependant, il devait bien reconnaître que ses fesses étaient vraiment meurtries et que la pommade qu’il avait appliquée dessus n’avait pas été d’une grande efficacité. Ils n’en parlèrent pas plus et la conversation dévia sur le programme nocturne de Lucile. De savoir que sa femme avait accepter le statut de putain d’entreprise laissa Marc perplexe. D’un côté, il devait bien reconnaître que de la salope qu’elle était devenue à la pute qu’elle allait devenir il n’y avait beaucoup de différence et, même s’ils ne manquaient pas d’argent, les revenus qu’elle allait tirer de son cul étaient importants et nets d’impôts. Mais cela exigeait un autre sacrifice puisque, à chaque fois que ses services seraient requis, elle allait devoir dormir ailleurs. Néanmoins, il finit par admettre que le choix de Lucile appartenait à elle seule et qu’il devait s’y plier.
Lucile devait se préparer, l’heure tournait aussi sollicita-t-elle l’aide de Jeanne pour l’aider dans sa toilette.La première chose était bien évidemment de la suivre au WC pour lui servir de papier. Elle avait pris goût à cette pratique et Jeanne se montrait très habile et avide de la langue. De plus, Jeanne aimait se retrouver dans cette situation dégradante de « torche cul » et se trouva heureuse de pouvoir continuer à assumer cette tâche malgré le rétablissement de sa maitresse. Ensuite, elle l’accompagna sous la douche où elle la savonna, la shampooina et l’essuya à sa sortie. Ce fut elle aussi qui lui sécha les cheveux en la coiffant et qui la maquilla. Elle l’aida enfin à s’habiller et quand Lucile fut prête, elles échangèrent un baiser et elle partit « travailler ».
Marc, se retrouvant seul, décida de rester Jeanne et de se pomponner également. Il fallait qu’il s’entraine à rendre son visage le plus féminin possible. Il se maquilla légèrement, se mit un rouge à lèvre brillant, limite provoquant, enfila ses plus beaux dessous, ses vernis à talon, ajusta sa perruque et se regarda dans le miroir de leur chambre. Il trouvait Jeanne jolie mais décidemment elle manquait vraiment de poitrine. Pour cacher un peu cette déficience, elle passa une nuisette un peu ample et se dirigea vers la cuisine pour se faire à manger. Au passage, elle referma fenêtres et rideaux non sans jeter un coup d’œil aux fenêtres du voyeur d’en face. Elle en était là lorsque l’on sonna à la porte.Gênée de se montrer ainsi, elle ne savait que faire mais décida de voir qui pouvait venir à sept heures et demie chez eux. Il jeta un regard à travers le judas ; il s’agissait de Willy. Il réalisa alors que c’était « son soir » et que sans doute Lucile avait oublié de le prévenir. Il ouvrit la porte et le fit rentrer.
— Marc ?! C’est toi ? Fit Willy qui découvrait pour la première fois son voisin dans des attirails féminins. Tu veux concurrencer Lucile ma parole !— Ce n’est pas forcément le but recherché, avoua l’intéressé en rougissant. Quand je suis comme ça je suis Jeanne. Tiens rentre cinq minutes si tu veux. Je te sers quelque chose ?— Oh… et bien Jeanne, pourquoi pas. Je prendrais bien une bière si tu as. Lucile n’est pas là ?— Non, elle nous a abandonnés ; elle a un déplacement professionnel pour la soirée, si on peut dire ça comme ça. Elle ne t’avait pas prévenu ?— Non, c’n’est pas grave ; je resterai probablement moins longtemps ! S’exclama Willy, quoi que… ajouta-t-il en regardant Jeanne se pencher pour prendre deux bières dans le bas du frigo.
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