Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 60 J'aime
  • 5 Commentaires

Lucile amoureuse salope

Chapitre 8

Orgie / Partouze
8 – Plan cul social.
Lucile quitta l’hôtel au petit matin, sauta dans un taxi et rentra chez elle. En poussant la porte elle réalisa à quel point leur petit appartement sentait le sexe. Elle avait beau aérer, c’était plus fort chaque jour. Elle retira ses chaussures et sa veste de tailleur quand elle remarqua le jogging de Willy trainant négligemment sur le bord du canapé. Elle eut un sourire satisfait car, de toute évidence, ce qu’elle avait espéré était arrivé.
Depuis la naissance de Jeanne, elle la considérait comme son œuvre. Parfois elle se voyait comme une sorte de Dr Frankenstein de l’érotisme et Jeanne était sa créature. Elle la voulait la plus parfaite et la plus accomplie possible. Elle avança à pas de loup vers la chambre où elle trouva un spectacle qui la ravie. Sur le lit en bataille dormaient Willy, son voisin et amant, il était sur le dos et contre lui dormait Jeanne. Elle était sur le ventre et exposait son magnifique fessier qu’elle avait tant martyrisé. Une de ses jambes, encore gainées de soie, était étendue le long de son amant d’une nuit tandis que l’autre était légèrement repliée et écartée.Cette image rappela les situations analogues où, la trouvant alanguie dans les bras de Willy, Marc venait lécher amoureusement sa chatte et son cul. Une envie soudaine de goûter se plaisir envahit son esprit et c’est avec la plus grande délicatesse qu’elle s’approcha du lit. Tout en douceur, elle s’assit auprès de Jeanne, écarta ses fesses et constatant que de son anus s’échappait une goutte de sperme, elle y déposa la pointe de sa langue pour la ramasser. La caresse réveilla Jeanne qui se tourna vers elle.
— Oh, c’est toi, ma Chérie, il est quelle heure. Chuchota-t-elle.— Six heures et demie, répondit Lucile sur un ton aussi bas, fait moi une petite place, ma Chérie, je suis vannée.— Viens près de moi, répondit Jeanne en changeant légèrement de position. Ça va ? Ça c’est bien passé ?— Oui, ça a été, et toi ? C’était bien ?— Oui, il m’a baisée toute la nuit, c’était divin. Je ne sais pas comment il fait mais là je crois qu’il n’est pas prêt de se réveiller.
Lucile et Jeanne se blottirent l’une contre l’autre, s’embrassèrent, s’enlacèrent et se chuchotèrent des mots doux. Willy ronflait à côté d’elles ce qui déclencha des fous rires retenus. Jeanne bandait et son sexe appuyait sur la cuisse de Lucile qui le prit en main.
— Ton petit clitoris est tout excité, Dit Lucile en entamant une lente masturbation du petit pénis de son mari.— Oui, j’en ai bien l’impression, mais il ne faudrait pas réveiller Willy…— Laisse moi faire, répondit Lucile.
Lucile se releva et se plaça à côté du lit pour prendre en bouche la petite verge tendue. À côté de ce qu’elle avalait tous les jours, le petit zizi imberbe de Marc paraissait ridicule. Il semblait presque immature et Lucile pouvait le prendre intégralement, couilles comprises. Jeanne lui caressait les cheveux et gémissait doucement. Le plaisir qu’elle ressentait électrisait tout son bassin et lorsque les doigts de sa compagne s’aventurèrent dans son petit trou, elle jouit de tout son corps en se cambrant de plaisir.Lucile vint se replacer près d’elle et elles s’endormirent ainsi.
C’est le téléphone qui tira tout le monde du sommeil car ni Lucile, ni Jeanne, ni Willy n’avaient entendu le réveil. Il était dix heures du matin et Marc était plus qu’en retard à son travail. C’était d’ailleurs ce que lui reprocha, de vive voix, son patron lorsqu’il décrocha le combiné. Marc tenta, tant bien que mal, de s’excuser mais il ne parvint pas à apaiser la mauvaise humeur de son directeur. Après avoir raccroché, il se précipita sous la douche et en quelques minutes à peine il était habillé.
— C’est grave ? Demanda Lucile
— Non, je ne crois pas ; il a l’air furax mais, après tout, il n’a pas grand-chose à me reprocher.
Lucile se leva à son tour et, comme elle était réveillée, elle décida de se rendre également à son travail. Elle proposa à Willy de rester chez eux s’il souhaitait se reposer encore de sa nuit passée mais le grand black déclina l’invitation. Il se sentait un peu gêné par la situation.
— Je suis désolé que tu nous ais trouvé dans ton lit, dit-il. Je ne pensais pas passer la nuit avec Marc, franchement.— Tu n’as pas à être désolé, Willy, et tu n’as pas passé la nuit avec Marc ; tu l’as passée avec Jeanne. Ce n’est pas pareil ! Et j’avoue que je suis très contente.— Tu es contente ?— Oui, c’est ce que j’espérais. Jeanne est ma créature. C’est moi qui l’ai créée et qui veille à ce qu’elle s’améliore chaque jour ! À mes yeux, c’est une femme maintenant, tantôt esclave tantôt amie. J’étais sûre et certaine que tu allais la croiser si je ne te disais pas que je n’étais pas là hier soir. Il fallait que je vérifie son sex-appeal.— T’es en train de me dire que vous avez manigancé ça tous les deux ?— Non, nous n’avons rien manigancé comme tu dis. Je dis que j’étais certaine que Marc tout seul deviendrait Jeanne. À partir de là, je n’avais plus qu’à ne pas te prévenir pour que tu tombes dans ses bras et sous son charme. Il ne t’attendait sans doute pas sinon il n’aurait pas libéré toute sa féminité. Comment tu l’as trouve ?— Qui ça ?— Et bien Jeanne, nigaud. Tu la trouves comment ? Elle est bonne ?— Ben, comme elle a une petite bite, ça passe. Elle manque un peu de seins mais elle a un super cul, ça c’est clair et puis elle est bien chaude.— T’as passé une bonne nuit, donc ?— Ben ouai, on a niqué tout le temps— Alors tout est parfait, tu vois. Si je t’avais prévenu, tu ne serais pas monté jusqu’à notre étage et tu te serais senti frustré.— J’avoue, c’n’est pas faux.— Tu reviens ce soir ? Je serais là.— Non, pas ce soir, j’ai un match vendredi ; ce ne serait pas sérieux.— Et maintenant, ce serait sérieux ? J’ai l’impression que ton gros zob ne dirait pas non pour une petite trempette !— S’il s’agit de plonger ma bite dans ta chatte de petite salope, tu sais que ça ne fait pas de problème.— prends moi vite, comme une salope, baise moi pour te vider les couilles. Dit Lucile en s’appuyant contre un mur de la chambre et en lui tendant son cul.
Willy s’approcha d’elle, sa belle bite noire était bien raide. Il posa ses larges mains sur ses hanches et sans aucune préparation, il pénétra sa chatte d’un seul coup. Lucile se pinça les lèvres avec les dents ; l’énorme sexe de son voisin lui avait rempli la chatte jusqu’à l’utérus. Il s’activa et à chaque coup le pénis d’ébène buttait au fond de sa matrice. Elle surmontait en silence la douleur, c’était exactement ce qu’elle désirait.
— Aah ! Baise moi comme une pute, c’est ce que je suis maintenant ! Aah !— Oh oui, salope ! Anh ! J’vais te défoncer, Putain !— Aah ! Tu m’fais mal !— Désolé, ma belle, j’ai été trop fort…— Non ! Continue comme ça, éclate moi, bordel ! N’y pense pas, j’suis une pute, j’te dis !— Aah ! Si tu veux, salope ! J’vais t’ramoner, tu vas souffrir.
Willy baisa Lucile avec encore plus de vigueur et durant quelques minutes, son gland épais continua à malmener le fond de son vagin mais peu à peu celui ci prit la dimension du sexe qui la pénétrait et la douleur se mua en douces sensations d’abord et en pure plaisir ensuite. Tout son corps vibrait sous les assauts sauvages du grand noir et lorsque celui-ci se vida les couilles enfin, elle eut un orgasme intense.
— Bonnes vacances si on ne se revoit pas. Dit Willy en la quittant.— Merci, et bon match demain, lui dit-elle en l’embrassant.

Lorsque Lucile arriva dans son entreprise, elle se rendit directement à l’étage de la direction pour voir Agnès. Elle avait dans son sac son martinet et sa cravache pour les remettre à son amie.
— Ça par exemple ! S’écria Agnès en la voyant. Je ne m’attendais pas à te voir ce matin. La nuit a été bonne ?— Bonne, je ne dirais pas ça. En terme de sommeil, elle a plutôt été courte et, en terme de sexe, elle a été plutôt longue et décevante. Ces anglais étaient de vrais cochons et ils avaient des fantasmes vraiment bizarres. Ils ont marché au café et au viagra une partie de la nuit. C’était vraiment dingue. Ils ne débandaient pas ces cons ! Enfin bon, je te passe les détails ils se sont arrêtés à l’heure où mon contrat avec eux s’arrêtait et ça m’étonnerait fort qu’ils aient chopé leur avion.— Tu me raconteras ?— Si tu veux, à midi. Tiens, je t’ai amené ma cravache et mon martinet, comme promis.— C’est bien. Je te promets que tu les récupèreras. Je suis certaine qu’après trois ou quatre stages de deux jours dans mon donjon vous serez au top l’un et l’autre.— L’une et l’autre, tu veux dire, c’est Jeanne ma soumise, pas Marc.— Oui, enfin Jeanne et Marc c’est la même personne, non ?— Dans un sens mais Marc est en train de s’effacer peu à peu ; je le sens. Il disparaît au profit de Jeanne. Angélique ne t’a pas raconté notre dernière visite dans sa boutique ?— Si, il paraît que vous en avez fait des belles avec Maria… Tu veux voir Bobby ?— S’il apprend que je suis venue sans passer par son bureau, il ne sera pas content. Alors maintenant que je suis là…— Tu vas être contente, il est avec le DRH ; tu vas t’en prendre plein le cul ! Je t’attends pour aller manger.— Super, merci.— Attends, je le préviens. Allo, Monsieur le directeur, la putain de service a réussi à venir ce matin ; voulez vous la recevoir ?— …— À poil ? bien entendu, je lui dis. Laisse tes fringues ici, ils te veulent à poil.
Une fois déshabillée entièrement, Lucile poussa la porte du bureau où Robert l’attendait avec le DRH. Les deux hommes la saluèrent chaleureusement et l’entourèrent de leurs bras. Ils étaient encore habillés et les sujets qu’ils avaient abordés dans la matinée ne les avaient pas excités. Elle défit leurs ceintures, fit tomber leurs pantalons et leurs slips puis s’accroupit devant eux avec la mission tacite de les faire bander. Durant ses fellations efficaces, les deux hommes achevèrent de se déshabiller. Comme à son habitude, Jean-Jacques, le DRH, garda ses chaussettes. Lucile trouvait ça moche mais elle ne lui dit pas. Les deux bites se dressaient fièrement devant elle ; Robert et Jean-Jacques étaient fins prêts pour la baiser.Excités et aussi dominateur l’un que l’autre, ils la trainèrent par les cheveux et elle se retrouva à quatre pattes sur le canapé. Ils la baisèrent à tour de rôle, puis ensemble et Robert jouit dans son cul alors que le DRH jouit dans sa chatte. Tout cela était devenu une routine pour Lucile mais elle aimait bien ça.
— T’es vraiment une bonne petite pute, lui dit Robert, je suis content que tu sois passée ce matin.— C’est un hasard, répondit Lucile, j’ai été réveillée par le téléphone à 10 heures et plutôt que de me recoucher, j’ai préféré venir chercher ma prime…— Tu as bien fait car il se trouve qu’avec Jean-Jacques nous avions des questions à te poser. Tu l’ignores sans doute mais ton dévouement, même s’il se fait avec une rémunération conséquente, a déjà sauvé notre entreprise.— Comment ça ?— Et bien nous étions dans une situation financière critique et avec ce que tu nous a fait gagner avec Marcel et les anglais, nos voyants retournent au vert. Avant cela, j’envisageais une restructuration un peu violente qui ne me convenait pas et qui n’aurait pas convenu à nos employés.— Je sauve des emplois, alors ! S’exclama Lucile satisfaite de l’aspect social de sa prostitution.— En quelque sorte, à ceci près que nous n’excluons quand même pas une restructuration. Expliqua le DRH.— Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras, comme on dit, ajouta Robert, et c’est pour ça qu’on a besoin de toi.— je ne vois pas en quoi je pourrais vous aider dans ce que j’appellerai une basse besogne, répliqua Lucile irritée.— Rassures toi, lui répondit Jean-Jacques, nous n’avons qu’une question à te poser.— Allez-y, posez la.— Y a-t-il un homme dans cette entreprise qui ne t’a pas baisée ?— C’est ça votre question ? C’est sérieux ?— Très sérieux, fit Robert. Quitte à licencier quelques personnes, autant que ce soit des hommes qui ne te baisent pas ! D’ailleurs, le plan que j’imagine prévoit aussi une petite modification de ton emploi du temps pour te permettre d’être plus active dans le bien être de la gent masculine sans que ça affecte trop ton travail à la com.— Tu veux que je me fasse sauter par toute la boite ?!— Ta rémunération de putain est suffisamment importante pour le permettre, non ? Répliqua Robert. Alors je repose ma question : y a-t-il dans cette boite des hommes qui ne t’ont pas baisée ?— Bien sûr, y en a plein ! Il y a ceux qui ne me plaisent pas, ceux qui sont fidèles à leur femme ou à leur maitresse et les homos que je ne fais pas bander. Tu ne vas pas virer des gens au prétexte qu’ils ne me baisent pas ou qu’ils sont homos quand même !— Pour les homos, je te l’accorde, éthiquement ce ne serait pas correcte et puis un pédé ça peut toujours servir, répondit Robert, mais pour les autres… Je veux la liste détaillée de tous ceux qui ne te baisent pas avec leur raison, homo ou fidèle et si cette fidélité est liée à une relation adultère vécue dans le cadre du travail, je veux le savoir aussi.— C’est une blague ?!— Absolument pas, tu travailleras avec Jean-Jacques cet après-midi et demain matin car je veux un rapport complet avant que tu partes en vacances. Bien entendu, tu n’en dis rein à personne et surtout pas à Agnès ! Compris ?— Oui, je suppose que je n’ai pas le choix… Répondit Lucile dépitée.— Bon on se retrouve dans mon bureau à 14 heures, conclut Jean-Jacques.
Lucile n’osa pas en rajouter sur ce sujet ; elle se ferait sans doute sauter par Jean-Jacques dans l’après-midi et elle n’avait rien contre. Avant de sortir du bureau de son patron, elle reçut une enveloppe contenant son salaire de putain. Elle compta attentivement l’argent qu’elle contenait et sortit finalement satisfaite.
Durant son déjeuner, pris en compagnie d’Agnès, Lucile raconta sa soirée avec les deux anglais mais elle s’abstint de toute allusion sur ce que lui avait demandé Robert et Jean-Jacques.
— Quand on est arrivé dans la chambre, ils m’ont demandé de me foutre à poil. Raconta Lucile, Jusque là, tout va bien, mais après, ils m’ont fait porter un masque de chien et alors que j’étais à quatre pattes, ils m’ont mis dans le cul un plug avec une queue de clébard. Ensuite, Edward, le plus jeune m’a imité. Il s’es foutu à poil, a mis un masque de chien et s’est enfoncé un plug avec une queue au bout.— Et le vieux, il faisait quoi ?— John, lui, il commandait. Quand on a été prêt tous les deux, il nous a passé colliers et laisses et nous a emmené promener dans les couloir de l’hôtel.— Vous auriez pu croiser du monde, s’étonna Agnès, ça craignait un peu non ?— On a croisé du monde, effectivement, mais les gens s’en moquaient, pour la plupart, sauf un garçon d’étage qui félicita John pour la beauté de ses chiens. John était content d’attirer l’attention et il répondit aimablement au garçon d’étage qui lui indiqua un passage réservé au personnel qui menait à une arrière-cour depuis laquelle on pouvait accéder au grand parc voisin.— Vous n’y êtes pas allé quand même ?— Si, les indications du groom étaient faciles à suivre et nous avons débarqué dans le Parc en pleine nuit. Là, il nous a promené un peu puis il a voulu qu’on fasse nos besoins. Edward devait lever la patte à chaque arbre ce qui lui demandait une grande maitrise pour réussir à ne pas faire plus de trois gouttes à chaque fois.— C’est sans doute une question d’entrainement, remarqua Agnès, il joue peut-être souvent au toutou.— Oui, je crois… Du coup, Edward, avait vraiment des comportements de chien comme de renifler sa crotte ou la mienne à la sortie de mon cul. D’ailleurs, il n’arrêtait pas de me renifler le cul et puis, subitement, il m’a saillie. Il a joui super vite et on est rentré à l’hôtel où on a continué avec d’autres jeux et d’autres déguisements du genre moine, pompier, soubrette, infirmière, et j’en passe. John imposait des scénarios et photographiait ou filmait. Au début, c’était amusant de tout théâtraliser mais à la longue ça devenait un peu pénible. Alors que Edward avait fait vite quand on était déguisés en chien dans le parc, là c’était différent. Il était vachement endurant, en vrai et il pouvait bander sur commande.— Et le vieux, il ne te baisait pas ?— Si, bien sûr, mais d’abord il nous faisaient jouer des rôles devant sa caméra.
Lucile continua à détailler sa nuit puis elle en vint à son retour chez elle et au plaisir qu’elle avait eu de trouver Jeanne enlacée avec Willy.
— Tu te rends compte, non seulement il prend plaisir à être femme quand il est tout seul mais en plus Willy n’a pas résisté a son charme ! Il m’a dit que quand il a vu en petite tenue, son cul la fait bander direct. Je trouve ça magnifique, c’est exactement ce que j’avais espéré. Je suis en train de donner naissance à un nouvel être : Jeanne.— Tu n’as pas peur qu’elle t’échappe en découvrant qu’elle préfère les hommes aux femmes ?— Oh, non, Marc m’aime et Jeanne m’est soumise. Hier, je lui ai aussi imposé un rapport sexuel avec son collègue de bureau.— Comment ça ?— Et bien, le type m’a vue une fois et depuis qu’il sait que Marc est cocu, il rêve de me sauter. Marc n’a pas le droit d’être actif dans la recherche de mes amants. Il doit subir et accepter. Alors, bien qu’il m’en ait déjà parlé, je n’avais pas répondu ; il faut dire que c’était pile quand j’avais trop mal au cul pour ça. Bon, toujours est-il qu’hier, après avoir compris que ça venait bien de Jean-Paul et non de mon cocu, j’ai demandé à son collègue de l’enculer dans l’heure et de m’envoyer au moins une photo de leur coït pour me prouver sa motivation. Marc, ou plutôt Jeanne, n’avait rien à dire ; elle devait se laisser faire. Et pendant qu’on mange, ma petite soumise s’en prend plein le cul. Apparemment, son collègue est en manque et pour patienter jusqu’à demain pour me baiser, il voulait remettre ça avec Jeanne ce midi. J’ai donc accordé cette faveur à ma soumise.— Je vais finir par croire que tu es très douée, Lucile. Beaucoup de femmes infidèles rêvent de féminiser leur mari et d’en faire une soubrette ou une esclave soumise mais toi tu y es arrivée dans un temps record. Quand je te disais qu’il n’attendait que ça, je ne m’étais pas trompée.— Oui, c’est vrai, tu avais raison et Jeanne est un très beau travesti. Par contre je n’ai pas encore achevé mon travail. Je voudrais aller plus loin et que sa coupe de cheveux soit réellement une coupe féminine. J’aimerai que Jeanne ait les cheveux longs pour pouvoir se faire des chignons, des queues de cheval ou des tresses.— Agnès m’a dit qu’en femme elle était très réussie…— Oui, mais en faisant la découverte de Maria, j’ai compris qu’il fallait aller plus loin. La seule chose qui lui manque vraiment, c’est des seins et j’aimerai bien lui en faire pousser. La première fois que je lui en ai parlé, Marc n’était pas très réceptif et comme ça doit aussi venir de lui car c’est son corps et que c’est irréversible, j’attends le bon moment pour lui en refaire la suggestion. Pour l’instant, toutes les personnes qui ont vu Jeanne, lui ont dit qu’elle serait plus jolie avec plus de poitrine, alors je me dis que ça va peut-être faire son petit bonhomme de chemin. Surtout qu’elle a dit à Maria qu’il lui arrivait d’y songer.— Et tu crois que ça pourrait arriver, vraiment ? Et son sexe ? Tu veux qu’il en change complètement ?— Non, surtout pas ! Jeanne doit conserver son sexe d’homme ; j’aime bien le sentir en moi de temps en temps. La seule chose que je pourrais envisager c’est la vasectomie ou même la castration, j’y connais rien mais je me dis que ce serait plus facile pour son traitement hormonal.— Exit le mari cocu, alors…— Oui et non, Marc disparaitra au profit de Jeanne, mais pas à l’état civil. On restera mariés et elle sera cocue. Si son corps prend des aspects féminins, j’imagine que nos rapports sexuels vont changer aussi. Ce sera différent. Mais en plus, elle sera la servante docile de la reine des putes et des salopes et elle me secondera dans mes partouzes et activités au gré de mes envies ou de celles de mes amants et de mes clients.— Tu veux donc en faire une sorte de pute ?— Exactement ! En fait, je me dis que son trou du cul pourrait accessoirement remplacer le mien avec certains fans de la sodo. En plus, il semblerai qu’elle suce plutôt bien alors pour mettre ou remettre en forme une belle bite, ça peut-être pratique.
Lucile retourna à sa boite pour travailler avec Jean-Jacques. Elle n’était pas très fière et avait l’impression d’être utilisée, contre son gré, pour un sale boulot. Elle découvrit que le DRH disposait de fiches extrêmement détaillées sur chaque membre de l’entreprise et que celles-ci dépassaient largement le cadre du CV, du genre ou du statut de marié(e), célibataire ou divorcé(e). Lucile s’intéressa de près au projet de plan de restructuration car elle ne voulait pas avoir sur la conscience le licenciement sec de collègues masculins au seul motif qu’ils ne la sautaient pas. Elle finit cependant par se plier sans rien dire à ce qui lui était demandé, à savoir compléter les fiches des hommes par les mentions : Régulier, Occasionnel ou Pas du tout. Pour Jean-Jacques c’était parfait car il pouvait déjà proposer des départs anticipés à la retraite pour près d’un tiers des individus à éliminer et pour les autres, il se faisait fort de les pousser à la démission.
— Par contre, dit-il, si nous nous séparons de Monsieur Bourrelier, il nous faudra le remplacer par une personne compétente. Pareil pour d’autres ; nous allons devoir être vigilant au recrutement.— Et pour la com, si vous me laissez seule, ça va devenir difficile car je ne pourrais pas réaliser les pubs et maintenir notre site si je suis dérangée tout le temps par un homme désireux de se vider les couilles. Je vais avoir besoin d’aide.— Vous pensez à quelqu’un en particulier ?— Bien évidemment, je suggère que l’on embauche Julien. Il va finir son stage et sa formation, il est sérieux et question baise, c’est un super étalon…— Vraiment ? J’aimerai le voir à l’œuvre.— C’n’est pas difficile, vous n’avez qu’à le convoquer ; il vous fera une démonstration. Ce projet de faire de moi le vide couille officiel de toute la gent masculine de la boite m’a mis la chatte en feu. Tenez, jugez par vous même. Conclut-elle en amenant la main du DRH directement entre ses cuisses.— En effet, petite salope, t’es trempée. Tiens, suce-moi la bite, pendant que je convoque ton stagiaire.
Lucile, obéissante s’agenouilla devant le DRH, défit sa ceinture et sa braguette puis elle tira du slip son sexe encore flasque. Jean-Jacques pris son téléphone et appela Julien. Il ne fit aucun secret sur ce qu’il attendait du jeune homme et lui expliqua qu’ils ne seraient pas trop de deux pour satisfaire la nouvelle pute de l’entreprise. Julien était très réactif et à partir du moment où Lucile taillait une pipe au DRH, il ne voyait pas pourquoi il garderait caché son engin. Il fit tomber son jean et son caleçon, souleva le bassin de sa responsable de stage, lui releva la jupe et, sans autre forme de procès, il plongea sa grosse bite dans son vagin humide. Lucile n’avait pas abandonné la bite de Jean-Jacques et lorsque Julien pénétra sa chatte baveuse, elle pénétra sa gorge. Le DRH bandait ferme maintenant et il encourageait le jeune homme. Si elle avait pu crier son plaisir, Lucile l’aurait fait. Pendant qu’ils la baisaient, Jean-Jacques observait Julien et se faisait, au travers de ses capacités sexuelles une idée sur ses compétences. Ils changèrent de position plusieurs fois avant de la prendre en sandwich sur la moquette du bureau. Julien était en dessous, son gros dard planté dans le cul de Lucile et Jean-Jacques au dessus se démenait dans sa chatte. Ils n’entendirent pas frapper à la porte et comme le DRH criait « Oh oui ! » sa secrétaire apparut. Elle constata que son directeur était occupé mais plutôt que de se retirer, elle pénétra dans le bureau.
Armelle était une jolie rousse de tout juste trente ans, aux cheveux courts et à la poitrine généreuse. Elle referma la porte derrière elle, sans quitter des yeux le trio qui baisait à même le sol, puis elle retira ses habits. Elle ne portait qu’une jupe classique et un chemisier sans rien dessous autre qu’une paire de dim-up. Elle s’approcha de Lucile et des deux hommes en se masturbant et, après avoir enjambé les corps, elle s’accroupit au dessus du visage de la jeune putain.
— Lèche ma chatte, salope, dit elle en agrippant Lucile par les cheveux pour bien appuyer sa moule sur sa bouche. Ah oui, c’est bien putain, tu me dois bien ça.— Pourquoi dites-vous cela, Armelle, demanda Jean-Jacques en admirant son cul à la peau laiteuse.— Aaah, parce que cette pute accapare tous les mecs qui me plaisent ici, à commencer par vous, Monsieur. Aaah, depuis ce matin j’avais besoin que vous me ramoniez la chatte mais vous étiez toujours occupé. Mmm…— Je ne vous savais pas si jalouse, ma chère, répondit le DRH, attendez, on va arranger ça.
Sous les ordres de Jean-Jacques, Lucile retira sa jupe qu’elle avait roulée sur ses hanches et son chemisier débraillé pour se trouver, comme Armelle, uniquement vêtue de ses bas et des ses souliers. Une fois dans cette tenue, s’allongea sur la moquette et Armelle revint sur elle pour qu’elle lui donne du plaisir. Lucile n’avait pas vraiment l’habitude des femmes mais elle prit cette tache à cœur. Sa langue explora tous les recoins et replis de la chatte poilue et odorante de la rouquine tandis que de ses mains elle écartait les deux globes fessiers laiteux qui cachaient un anus bien rose. Pendant qu’elle s’activait, Armelle lui rendait la politesse en lui doigtant la chatte. Elle ne mit pas longtemps à l’écarter convenablement et à constater que quatre doigts rentraient sans difficulté dans le conduit humide de Lucile. Les deux femmes se donnaient du plaisir mais Lucile avait de plus en plus de mal à suivre sa partenaire. Elle remplaça finalement sa langue par ses doigts alors qu’Armelle la fistait en lui léchant le clitoris.Jean-Jacques et Julien étaient restés un bon moment spectateur du couple lesbien, ce qui eut pour effet de faire retomber un peu leur tension sans rien enlever à leur excitation.
— Puisque Armelle est en manque et en meilleure position que Lucile, je pense qu’il est temps de s’occuper d’elle, dit Jean-Jacques au jeune stagiaire. Prends sa chatte, je prendrai son cul après.— Si vous insistez, répondit Julien sur le ton de l’humour.
Lucile n’en pouvait plus, elle avait espérée se faire remplir la chatte et le cul par le bon foutre des deux hommes et voilà qu’elle se retrouvait soumise à une secrétaire et au premières loges pour assister à la pénétration de sa chatte et de son cul par les bites qu’elle convoitait. Armelle reçut avec plaisir l’énorme bite de Julien. Elle avait souvent fantasmé sur le jeune homme tout en pensant qu’il était inaccessible pour elle. Le jeune stagiaire la prit avec vigueur, sa bite lui remplissait bien la chatte et le salop savait comment la manier pour la faire jouir. Lui même savait qu’il ne tiendrait pas trop longtemps car il avait déjà beaucoup donné avec sa chef avant l’entrée surprise d’Armelle. Il voulait la faire jouir rapidement pour pouvoir se lâcher et en bon amant, il lui procura un premier orgasme. Il commença à accélérer pour se soulager quand la jeune femme lui demanda de ne pas éjaculer en elle. La tension était très forte mais il réussit à se retirer à temps et son foutre chaud se répandit sur le visage de Lucile.Dans la foulée, Jean-Jacques le remplaça dans la chatte béante pour bien humidifier sa verge et l’enfoncer dans la petite rosette de sa secrétaire. De toute évidence, Armelle avait l’habitude de se faire prendre comme ça par le DRH et, encore excitée par les deux orgasmes qu’elle avait eus avec Julien, elle se mit à jouir du cul. Lucile qui avait toujours la main droite d’Armelle dans sa chatte remuait du bassin et contractait son vagin pour se donner du plaisir avec et excitée et frustrée par le spectacle qu’elle avait sous les yeux, elle jouit en même temps que la jolie rouquine lorsque Jean-Jacques lui remplit le cul de sa sauce blanche.
Les trois corps restèrent emmêlés quelques instants avant que le DRH ne se relève et que Armelle se décide à retirer délicatement sa main du con de Lucile. Une fois libre de ses mouvements, elle se retourna pour embrasser la jeune femme et découvrant son visage maculé du foutre de Julien, elle entreprit de le lécher. Elle se caressèrent doucement et s’embrassèrent longuement. Lucile réalisa qu’elle n’avait jamais prêté beaucoup d’attention à cette femme pourtant très mignonne et n’aurait jamais pensé qu’elle soit si vicieuse.
— Merci, dit Armelle à Lucile, j’avais vraiment besoin de ça. Quand tu seras officiellement putain de la boite et qu’on t’aura aménagé une chambre, je crois que je prendrais quelques poses avec toi.— J’en serai ravie et de toute façon, envie ou pas, je serai là pour satisfaire tout le monde, d’après ce que j’ai compris. Tu sais, ça me fait un peu drôle de prendre ce statut de putain et je me demandais comment, toute seule j’allais pouvoir satisfaire tous les hommes tous les jours, mais je réalise que je ne suis pas la seule à me faire sauter au bureau… C’est marrant car je te voyais plutôt comme une femme mariée modèle.— Pas plus que toi, ma chérie. Je n’ai jamais pu rester fidèle à mon mari plus de deux mois, et encore…— Et lui ? Il le sait ?— Tu es folle ?! Il en serait malade s’il l’apprenait. Pour lui la fidélité c’est la valeur la plus importante dans le couple. En plus de ça, en ce moment je ne prends plus la pilule car on voudrait un deuxième enfant. Alors t’imagine s’il savait que je le trompe, il pourrait avoir des doutes sur sa paternité et là ce serait vraiment la merde. Mais toi aussi, t’es mariée, non ?— Oui, mais moi c’est différent. Mon mari est cocu ; il le voulait, il l’est et il le sait. C’est notre façon de nous aimer. Il aime être cocu et être traité comme une lopette juste bonne à lécher ma chatte pleine de foutre. Depuis quelques temps, je le féminise et je le fais sauter par des mecs bien membrés. C’est très excitant.— Du coup, il ne te baise plus ?— Si, presque tous les jours après avoir nettoyé ma chatte et mon cul avec sa langue. Par contre il n’a pas le droit d’éjaculer dans ma chatte ; c’est un privilège réservé à mes amants tant que je ne suis pas enceinte.— Tu veux dire qu’il ne sera pas le père de vos enfants ?!— Exactement. Tu as tout compris ; il est cocu, ne sera pas le père de nos enfants et pourtant, il attend avec impatience que je sois enceinte pour pouvoir de nouveau jouir en moi.— C’est tout l’inverse de moi ou presque alors car Lionel n’aime pas me sauter quand je suis enceinte, il a peur de faire du mal au bébé. Quand a le faire avec un autre que lui… il est aussi roux que moi et tous nos parents sont roux également alors si j’avais un petit brun, ça ferait désordre.— Et c’n’est pas trop dur pendant les vacances ?— Si, un peu, mais j’arrive à compenser. En fait, je le trompe avec son père. C’est pas toujours évident car il faut qu’on se cache de lui et de sa mère, mais l’avantage c’est qu’il peut jouir en moi. Et puis j’ai aussi, depuis très longtemps, une liaison secrète avec mon oncle paternel, alors l’un dans l’autre j’arrive à tenir le coup.— Et ici, t’as beaucoup d’amants ?— Non, pas trop, c’est surtout Jean-Jacques qui me baise une ou deux fois dans la journée. Parfois, dans la semaine, je rends service à Daniel Mercier, le directeur technique et à Robert, bien sûr, chaque fois qu’il me sollicite. Mais c’est tout, je ne suis pas trop dragueuse et j’évite de passer trop pour une salope. J’n’aimerais pas que ça revienne, d’une manière ou d’une autre, aux oreilles de mon mari.— Et avec des amis à vous, t’as jamais eu envie ?— Si, plusieurs fois mais je me suis abstenue. C’est pas toujours facile, surtout que son meilleur pote n’arrête pas de me faire du rentre dedans à chaque fois qu’il nous voit. Il n’est pas toujours discret, d’ailleurs…— Et ton mari, il ne s’en est jamais aperçu.— Non, jamais.— Tu devrais lui faire remarquer un jour pendant que vous faites l’amour, qui sait ? Ça pourrait lui donner l’envie de te partager.— A mon avis ce ne serait franchement pas bon ! Il se fâcherait à mort avec son copain et c’est tout. Et puis j’aime bien me dire qu’il est cocu quand on fait l’amour, ça m’excite ; s’il le savait ça ne serait pas pareil…

Tout le monde se rhabilla et Julien et Armelle quittèrent le bureau tandis que Lucile et Jean-Jacques reprirent leur classement des hommes de l’entreprise.
— Lucile, Avez-vous entendu parlé du Palais d’Éros ?— Oui, comme ça ; j’ai entendu dire que c’était hyper sélect comme endroit et qu’il fallait être membre du club pour y rentrer, pourquoi ?— Et bien, je me disais que nous pourrions y aller ce soir avec Robert, nous sommes tous deux membres de ce club très fermé et en tant que tel, nous pouvons y inviter des amies.— Oh, vous savez, je n’ai pas été chez moi la nuit dernière, je suis passablement fatiguée et je n’ai pas envie de laisser mon mari seul ce soir.— J’ai entendu dire que sa féminisation était une réussite, il pourrait nous accompagner ; les travestis et les trans ont beaucoup de succès dans cet établissement. J’ai un ami qui n’y vient que pour ça ; c’est son pêché mignon. Si votre mari venait, travesti en femme, je pourrais proposer à Charles de ce joindre à nous. En plus, la direction préfère qu’il y ait un peu plus d’hommes que de femmes dans la clientèle car ça laisse un peu de travail à leurs entraineuses.— Mmm, pourquoi pas, ça peut être une bonne idée ; je suis certaine que Jeanne aura beaucoup d’admirateurs.— Jeanne ?— C’est le prénom féminin de mon mari. Quand il est habillé en femme, c’est Jeanne. En plus Robert sera content, il voulait que je la lui présente, comme ça ce sera fait.— C’est parfait, je les préviens et on se retrouve à 20 heures pour dîner sur place et s’amuser ensuite.— J’imagine qu’une tenue chique et sexy est de rigueur.— Bien entendu, c’est un endroit sélect !
Diffuse en direct !
Regarder son live