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Lucile amoureuse salope

Chapitre 9

Travesti / Trans
9 – Drôles de circonstances.
Marc avait quitté sa femme et Willy précipitamment et, lorsqu’il arriva à son travail, il se rendit immédiatement dans le bureau de son directeur. Charles Lelong était un homme d’une cinquantaine d’année, assez sec et à l’allure sévère. Comme il s’y attendait, Charles avait à lui reprocher son retard du jour mais il n’avait pas pensé à ses deux absences injustifiées : l’après-midi où Marcel vint chez eux et la journée qu’il prit pour ranger l’appartement et faire des emplettes avec Lucile. Comme excuse, il invoqua une crise de fatigue passagère. Charles le dévisagea longuement pour chercher, sur son visage les traces de cette fatigue mais il ne vit rien de cela. Par contre, il nota des choses qu’il n’avait jamais remarquées. Marc semblait se raser avec soin, même les pattes, sa coupe de cheveux était légèrement modifiée et évoquait d’avantage une coupe à la garçonne qu’une coupe d’homme, ses sourcils était fins et ses cils semblaient plus longs. Il porta son attention sur ses vêtements, il n’y vit rien d’étrange à première vue, sauf que Marc boutonnait son veston sur la gauche. Il prit une respiration profonde et sentit un parfum qu’il connaissait bien puisque c’était celui que portait sa fille. Il dévisagea encore Marc, l’atmosphère devenait pesante.
— Vous portez quoi comme parfum ? Finit-il par demander, je le sens d’ici.— Me… mon parfum ? S’étonna Marc pris de court. Je… je ne sais pas, je…— Vous ne savez pas ? Ma fille qui a à peu près votre âge porte le même ; c’est moi qui lui offre pour noël, tous les ans. Comme elle en fait une grande consommation je lui en achète généralement des flacons de 100 ml. Alors ?— C’est un parfum Loncâme, Monsieur, répondit Marc en rougissant.— C’est à votre femme ou c’est le vôtre ?— Ce… c’est le mien, avoua Marc complètement déstabilisé. Je… Ça fait deux jours que je le porte, Monsieur.— Deux jours dites-vous ? Ça correspond à votre dernière journée d’absence, ça. Etes vous en train de me dire que vous n’êtes pas venu travailler pour aller vous acheter un parfum de femme ?— Non, Monsieur, je… enfin si, mais pas que…
Charles Lelong n’en rajouta pas ; il se mit simplement à considérer Marc autrement et acquit rapidement la certitude qu’il devait se travestir. Il décida de surveiller de près cet employé par ailleurs exemplaire et de mener son enquête.
Marc pénétra dans son bureau un peu perturbé par son entretien. Il se demandait ce qu’avait bien pu comprendre son directeur et regrettait d’être toujours aussi sincère. Jean-Paul le salua joyeusement comme à son habitude et lui demanda dans la foulée si ses fesses allaient mieux et ce qu’il portait comme dessous. Marc lui dit qu’il n’avait rien de bien extraordinaire ; il ne portait qu’une paire de Dim-up et un string Sliggo très basique et, pour répondre à l’ultime question de son collègue il lui dit que les marques commençaient à s’estomper.
— Tu me montres ? Demanda Jean-Paul.— Écoute, Jipé, j’n’ai pas trop la tête à ça, le vieux m’a à l’œil, je crois et il ne manquerait plus qu’il déboule à l’improviste et me trouve à moitié à poil dans le bureau. Je crois que la sortie ne serait pas loin…— Il t’en veut à ce point là ? Tu ne détiens pas les records d’absentéisme quand même !— Tu sais, j’n’en sais rien mais mon petit doigt me dit de faire un peu gaffe.
Les intuitions de Marc se révélèrent comme d’habitude assez bonnes car dans les cinq minutes qui suivirent, Charles Lelong débarqua dans leur bureau. Il le cuisina notamment sur son travail et sur l’avancée d’un rapport que Marc devait lui remettre avant son départ en vacances.
— Il est prêt, Monsieur, en fait je finissais juste de le relire, répondit Marc en lançant l’impression.
— C’est bien, c’est bien, répondit le directeur, en se demandant quels détails convaincants il pourrait trouver pour confirmer son intuition.
Charles vouait officiellement une haine profonde pour tout ce qui sortait de la normalité et, en particulier, il détestait les homosexuels et s’était farouchement opposé au mariage pour tous. Pourtant, paradoxalement, les travestis et les transgenres l’excitaient et il était persuadé que Marc appartenait à cette catégorie. Plus il le regardait et plus il se demandait ce qui l’intriguait lorsqu’il réalisa que le costume de Marc était bel et bien un tailleur de femme d’une forme très masculine. Il avait enfin la preuve qu’il cherchait et aussitôt, il se mit à bander pour Marc. Il l’imaginait avec des cheveux longs, maquillé et habillé d’une robe ou d’une jupe courte mais Marc, au lieu de ça restait droit devant lui et continuait à répondre à ses questions et à justifier son activité. Charles laissa divaguer son esprit quelques instants puis réalisant qu’il fantasmait inutilement, il se ressaisit et sortit du bureau.
— Putain ! Il te cherche le vieux, j’y crois pas. S’exclama Jean-Paul.— Ça, j’avais remarqué, répondit Marc, un retard et t’es mort. Va vraiment falloir que je me tienne à carreau ! J’ai l’impression qu’il veut me virer.— Oh non, moi j’ai plutôt pensé qu’il voulait te sauter dessus ! T’as pas vu comme il bandait ? On aurait dit qu’il allait te violer sur place.— T’es un grand malade, Jipé, tu prends tes rêves pour des réalités… je suis sûr que c’est toi qui bande !— Oui, je bande, si tu veux savoir. Depuis que je sais que je vais pouvoir niquer ta femme demain soir, je bande. Et grâce à elle, je sais que tu vas me faire patienter avec ton petit cul de salope !— Dire que tu te prétendais purement hétéro…— Ben oui, mais toi t’es une femelle en vrai, et je suis sûr que tu serais partant pour que je te la mette bien profond durant la pause déjeuner.— Faut que je demande l’autorisation à Lucile, répondit Marc qui appréciait de plus en plus la sodomie.
Marc envoya un SMS à sa femme pour lui demander s’il pouvait baiser avec Jean-Paul entre midi et deux. Elle le découvrit en sortant du bureau de Robert et répondit aussitôt : « Marc non mais Jeanne oui ». Elle était contente que son mari se féminise complètement et devienne un vide couille. Elle considérait que Willy et Jean-Paul constituait une bonne base de démarrage dans son éducation de femelle salope mais il lui en faudrait d’autres.
Comme sa femme lui accordait de niquer une nouvelle fois avec Jean-Paul, Marc accompagna son collègue chez lui au moment de leur pause déjeuner. C’était à quelques minutes à peine de leur lieu de travail et tout le long du chemin, Jipé pelota le cul de son chef. Une fois chez lui, il le fit se déshabiller et lui demanda de chausser ses vernis à talons que Marc gardait dans son petit sac à dos.
— Tu sais que tu serais vraiment canon avec des seins, remarqua Jean-Paul en déboutonnant son pantalon.— C’est ce que tout le monde dit… répondit Marc songeur. Mais t’imagine au bureau si je me pointais en femme avec en plus une belle paire de seins.— Ouai, le vieux serait sans doute encore plus excité.— Arrête ! Tu me vois baiser avec lui ?— Une pute ça baise avec tout le monde ! Répondit Jean-Paul en se masturbant. Allez, viens me sucer, Salope ! Et après j’te défonce le cul.
Marc suça son ami dans l’entrée avant de le suivre jusqu’à sa chambre où ils passèrent aux choses sérieuses. Jean-Paul ne prétendait plus se forcer, depuis qu’il avait enculé Marc la veille il n’avait réellement rêvé que d’une chose : recommencer. Marc/Jeanne se montrait cochonne et vicieuse. Elle suçait sa bite quand il la sortait de son cul pour qu’elle y retourne propre. Ils multiplièrent les positions et Marc jouit plusieurs fois avant que Jean-Paul ne lui tapisse les intestins de sa semence abondante.
— Putain, tu jouis comme une meuf, mon salop. Déclara Jean-Paul en ressortant du cul de Marc.— Je ne pense pas quand même, je n’ai pas de chatte et je n’ai aucune idée de ce que ressent une femme quand on la baise. Mais c’est vrai que tu m’as fait jouir du cul.— Oui, tu jouis du cul, c’est vraiment dingue… Dire qu’il n’y a pas encore si longtemps je n’aurais jamais imaginé pouvoir prendre mon pied avec un mec. Oh, putain, tu m’excites grave en fait. Ajouta Jean-Paul en caressant le cul de son collègue— T’es sûr de vouloir baiser ma femme demain ? Ou mon cul te suffit.— Non, ton cul ne me suffit pas et oui, je veux baiser ta femme mais en attendant, faut bien que je fasse avec ce que j’ai. Suce moi, mon salop, goûte à ton cul, je vais t’en remettre un coup avant qu’on retourne bosser.
Marc, en bonne chienne soumise, s’exécuta et mis tout son cœur à refaire bander son copain. Jean-Paul n’en revenait pas ; non seulement on ne l’avait jamais sucé aussi bien mais jamais il n’avait rebandé aussi vite.
— Ouai, c’est ça, mmmm… tu t’y prends vraiment bien mon cochon. C’est bon ? T’aimes bien le goût de ton cul ?— Mmmm, acquiesça Marc en pompant avec avidité le sexe de son copain.— Mmm, nettoies bien ma bite, salope ! T’es vraiment un gros pédé, une grosse pute ! Tu m’fais vraiment bander comme un âne.
Un fois bien raide, il fit allonger Marc sur son lit et le prit en missionnaire, en posant ses pieds sur ses épaules. Son intention était de jouir rapidement mais ce ne fut pas le cas. Ils avaient déjà bien baisé avant et ce deuxième round fut encore plus long que le premier. Quand il jouit enfin au fond du conduit merdeux, il ne leur restait pas assez de temps pour manger quelque chose avant de retourner au travail. Marc nettoya la verge crasseuse de Jean-Paul qui se rhabilla en faisant fi de sa nouvelle érection et ils reprirent le chemin de leur bureau sans même prendre une douche.
Pour Marc, l’après-midi se déroula normalement et il ne recroisa pas son patron. Il rentra assez tôt chez lui et fut surpris d’arriver en même temps que Lucile qui avait passé son après-midi à travailler avec Jean-Jacques, son DRH.
— Tu rentres à peine, s’étonna Marc en retrouvant sa femme à l’entrée de leur immeuble.— Oui, le DRH avait besoin de mes services pour identifier qui me baise et qui ne me baise pas au travail.— Curieuse idée ; en quoi ça le regarde ?— Et bien, Robert pense qu’une pute d’entreprise doit justifier des sommes importantes qu’elle gagne lors des négociations de contrats en servant le reste du temps de vide couilles ou d’exutoire sexuel à la majorité du personnel et, si possible, à la totalité des hommes. Il prévoit donc une petite restructuration et ce sont ceux qui ne me baisent pas qui en feront les frais.— Et ceux qui ne s’intéressent pas aux femmes ?— J’ai exigé qu’aucun homosexuel ne soit licencié et seuls les hommes fidèles à leur femme ou à leur maitresse et les femmes jalouses seront écartés.— Ça représente beaucoup de personnes ?— Non, pas tant que ça, surtout que dans certain cas ils favoriseront un départ anticipé à la retraite et renouvelleront le poste avec un jeune. Julien devrait pouvoir en profiter pour être embauché en CDI.— Oh, c’est bien… Dit Marc, songeur en ouvrant la porte de leur appartement. Ouf, ça fait du bien d’être chez soi ; avec la nuit que j’ai passée hier, je suis vanné.— Et bien, j’ai une mauvaise nouvelle pour toi car Jeanne et moi sommes invitées dans un club libertin très sélect et très fermé. Nous tiendrons compagnie à Robert, Jean-Jacques et à un de leurs amis que je ne connais pas, qui adore les travestis et les trans et qui se prénomme Charles.— Charles ? Comme mon patron mais lui, ça m’étonnerait que les travelos soient à son goût car je l’ai déjà entendu tenir des propos homophobes assez terribles. Faut être très classe, j’imagine.— Oui, tu pourras inaugurer ton ensemble Chenal, il sera parfait. Au fait, comment ça s’est passé avec ton tailleur ? Ton collègue a vu que c’était un tailleur féminin ?— Non, je ne crois pas mais mon patron m’a regardé bizarrement ; en plus il a reconnu mon parfum parce qu’il offre le même à sa fille.
Marc raconta alors comment il avait vécu son entretien du matin et comment Charles Lelong était venu jusqu’à leur bureau pour le harceler encore.
— Et d’après Jipé, le boss bandait comme un âne ; moi j’ai rien remarqué mais je crois que c’est plutôt lui qui fantasmait. C’est un véritable obsédé. D’ailleurs, si je l’avais laissé faire, on aurait été surpris dans une drôle de posture.— Et a midi, ça c’est bien passé ta petite sauterie ?— Mmm, très bien, Jipé est un peu comme Willy en blanc. Sa bite n’est sans doute pas aussi grosse mais il est très endurant et surtout il ne met pas longtemps avant de rebander. Une petite pipe et ça repart !— Voilà qui est prometteur pour demain soir alors… Bon, viens avec moi dans la salle de bain, il faut vite qu’on fasse notre toilette dans les moindres recoins.
À 20 heures précise, Jeanne et Lucile débarquèrent en taxi au Palais d’Éros. C’était un petit hôtel particulier auquel on accédait par un porche gardé par des vigiles qui en manœuvraient la barrière. Le taxi pénétra dans la cour pour les laisser devant un grand escalier de marbre au pied duquel attendaient déjà Robert et Jean-Jacques. Elles étaient toutes deux très élégantes, subtilement maquillées, parfumées et bijoutées et, quand elles descendirent de la voiture elles purent lire, à leur mines ébahies, l’impression qu’elles faisaient sur Robert et Jean-Jacques.
— Oh, voici enfin Jeanne dont Lucile me parle tellement depuis quelques jours. Je suis enchanté de faire votre connaissance. Dit Robert en faisant le baisemain à Marc. Vous êtes ravissante.— Sublime, je dirais, ajouta Jean-Jacques, véritablement sublime.— Merci, répondit Marc en rougissant, vous êtes trop aimable. Ne deviez vous pas être avec un ami ?— Oh si, il va arriver ; Charles est toujours un peu en retard quand il s’agit de s’amuser. Il n’en reste pas moins un joyeux compagnon très attiré par les beautés comme la vôtre, Précisa Robert. Allons au bar, il nous rejoindra à l’intérieur.— Oui, Charles Lelong est un personnage atypique, reprit Jean-Jacques, il règne en maitre sur son petit empire industriel et se fait respecter par une attitude austère et intransigeante. Il parait qu’il terrorise littéralement ses employés mais, en société, c’est un homme charmant, vous verrez.— Et bien Chérie, quelque chose ne va pas ? Demanda Lucile en sentant Jeanne défaillir à son bras.— Charles Lelong c’est… c’est mon patron.— Pour de vrai ? S’écria Lucile, c’est merveilleux !— Tu trouves ? C’est terrible plutôt…— Mais non, au contraire, vous allez découvrir une nouvelle facette de sa personnalité. Intervint Robert. Je suis certain que vous lui plairez beaucoup et que vos relations s’en trouveront transformer.— On pourrait aussi s’amuser un peu, suggéra Jean-Jacques, je crois que j’ai une petite idée qui va vous plaire. Quand j’ai appelé Charles cet après-midi, il m’a longuement parlé d’un de ses employés qu’il a épinglé pour un retard injustifié et dont il a compris qu’il se travestissait. Il y a fort à parier que cet employé model c’était vous, je me trompe ?— Non, c’est vrai. C’est bien de moi qu’il s’agit ; j’ai eu une nuit un peu courte et je ne me suis pas réveillé ce matin. Je peux vous dire qu’il m’a sérieusement mis la pression. J’ai même cru qu’il allait me virer pour ça…— Et bien je peux vous dire, ma chère Jeanne, que vous faite terriblement fantasmer votre patron et nous pourrions lui organiser une petite surprise.— Comment ?
Jeanne se vit confier un masque de type carnaval de Venise, très élégant, richement décoré et dont la base était composé d’une voilette en dentelle de soie qu’elle n’avait qu’à soulever un peu pour boire sans dévoiler ses trais. Ainsi, quand Charles arriva, elle lui apparut bien mystérieuse et d’autant plus attirante. Comme Charles faisait tous les efforts du monde pour découvrir son visage, Jeanne lui déclara que seul leur conversation et sa sincérité pourrait l’inciter à se révéler entièrement. Charles fit une tête étrange car il avait l’impression d’être mis à l’épreuve et Jean-Jacques lui suggéra de raconter en détail son histoire avec son employé travesti.
— Oh mais je t’ai déjà tout dit, tenta de s’excuser Charles, et je ne suis pas certain que ces dames apprécient mon histoire.— Oh mais si, ça nous intéresse, répliqua Lucile, ainsi, vous avez un employé travesti ? Comment s’appelle-t-elle ?— Elle ? Je ne sais pas mais lui s’appelle Marc. C’est un jeune homme charmant, efficace et travailleur ; sans doute le meilleur recrutement que j’ai jamais fait.— J’avais cru comprendre que tu l’avais repris à l’ordre, remarqua Robert, comment est-ce possible si tu n’as rien à lui reprocher ?— Et bien, j’avoue que je me suis un peu créé une raison mais uniquement parce que je m’inquiète pour lui. Ce garçon n’est jamais malade, il est là avant tout le monde et est souvent le dernier à partir, on peu lui demander n’importe quoi, on est sûr que le travail sera fait vite et bien et en temps et en heure. C’est vraiment quelqu’un de confiance et je n’exclue pas de lui donner un jour plus de responsabilités. Seulement, depuis quelques temps, il fait des trucs bizarres. D’abord, il a quitté son bureau un jour, sans rien dire, en tout début d’après midi. Ensuite, il est arrivé tard plusieurs matins. Il y a quelques jours, il s’est pris une journée entière en prévenant au dernier moment et sans justificatif valable. Tout ça m’a amené à me poser des questions à son sujet car ça ne lui ressemblait pas et que Marc était jusque là d’un sérieux et d’une régularité absolue. S’il n’était pas marié, je l’aurais cru amoureux mais là j’ai plutôt songé à un burn-out ou à quelque chose comme ça. Je voulais essayer de me rendre compte par moi même. Ce matin, je l’ai appelé chez lui vers 10 heures car il n’était pas là et qu’il n’avait encore pas prévenu de son retard. Quand je l’ai vu débarqué dans mon bureau, j’ai constaté qu’il ne semblait pas souffrir de surmenage, mais, par contre, quelques détails m’ont surpris. D’abord, il avait un maquillage très léger, beaucoup plus subtil que le vôtre, Madame, dit-il à Lucile qui écoutait avec beaucoup d’intérêt.— Vous n’aimez pas mon maquillage ? Répondit la jeune femme.— Je n’ai pas dit ça, juste je voulais dire que son maquillage, bien que présent, pouvait passer inaperçu pour un œil non averti. Ensuite, il y avait son parfum : Vertige de Loncâme. Le même que le vôtre, ajouta-t-il à l’attention de Jeanne.— Vous aimez ? Demanda le travesti en se doutant de la réponse.— J’adore ! C’est celui de ma fille et c’est vrai que je l’aime bien. Il convient bien à une jeune femme élégante telle que vous, ma mystérieuse Jeanne. Mais au delà du maquillage et du parfum, il y avait ses vêtements. J’ai mis du temps à voir que son costume n’était autre qu’un tailleur féminin. La coupe était trompeuse et pouvait faire illusion mais la veste se boutonnait sur le mauvais côté, si je puis dire. C’est alors que je me suis mis à vraiment fantasmer sur lui et à m’imaginer avec lui dans de multiples situations érotiques. J’avoue que j’étais tellement excité que j’ai dû fuir de son bureau où j’étais venu le harceler pour aller me soulager, seul, dans les toilettes. Je sais, ce n’est pas très élégant mais que voulez vous… En plus, ça n’a été que d’une efficacité toute relative car mon après-midi a été absolument contre productive tellement j’ai pensé à lui. Je crois que j’aurais été prêt à donner n’importe quoi pour avoir le plaisir de le voir en jupe, avec de jolis bas et des dessous sexy et plus encore pour réaliser ne serait-ce que la moitié des fantasmes qui m’ont traversé l’esprit en l’observant. Mais ce soir, Jeanne, je crois que j’ai rencontré la beauté qui effacera à jamais son image.— Vous êtes un délicieux flatteur, répondit l’intéressée, mais ne vous emballez pas trop vite. Avez vous songé que vous pourriez vous tromper et que au contraire de vivre cette soirée à mes côté ? Si, au contraire ma présence, ce soir, à vos côtés, ne faisait que renforcer votre envie de le posséder en femme ?— Non, sans doute pas. Tant, ce que j’aperçois de votre silhouette, que votre élégance, laissent présager d’une beauté incomparable.— Vraiment ? Vous abusez des compliments, mon ami. Peut-être mon visage est-il d’une laideur sans pareil pour que je le cache ainsi.— Non, c’est impossible ! Je le sens ; montrez le moi et j’en aurai la preuve.— Un peu de patience, mon ami, de toute façon je ne pourrais pas le garder pour manger. Par contre avant de le retirer, j’ai encore une petite question à vous poser. Vous dites que vous auriez été prêt à donner n’importe quoi pour le voir ouvertement habillé en femme, mais jusqu’où auriez vous été ? Le laisseriez vous venir travailler en jupe, convenablement maquillé et chaussé de jolis escarpins à talon ? Remplaceriez-vous, dans l’organigramme, son prénom masculin par son prénom féminin ?— Je ne sais pas, ce n’est pas certain qu’il le veuille…— Auriez-vous peur que ça nuise à votre image, Monsieur Lelong, ou à celle de votre entreprise ? Demanda Jeanne en retirant son masque. Ne suis je pas à votre goût ainsi ?— M… Marc ?! Je…— Appelez moi Jeanne, je vous en prie, soyez gentil… Répondit-elle heureuse de son effet.— Jeanne… Comment est-ce possible ? Je n’ai rêvé que de vous aujourd’hui et vous êtes là. Vous êtes ravissante, encore plus belle que je ne l’imaginais, je… Excusez moi, je suis sans doute très incorrect, et je n’ai pas été très aimable avec vous ce matin, je…— Laissons cela, mon ami, Dit Jeanne en posant sa main sur son bras. Vous avez toute la soirée pour vous rattraper et puis, vous n’avez fait que ce que vous croyiez être votre devoir.— Prenez mon bras et passons à table, voulez-vous. Dit Charles à Jeanne en se reprenant. J’ai réservé une table ronde côté jardin.— Ta table habituelle, fit Robert, Jean-Jacques et moi y mènerons Lucile. Si vous voulez bien ?
Le diner fut des plus agréable et Charles fit, tout du long, la cour à Jeanne tandis qu’en face d’eux Robert et Jean-Jacques caressaient Lucile ou se faisaient caresser par elle. Ils lui avaient retiré sa veste, son chemisier et sa jupe pour mieux profiter de son corps et un garçon de salle avait pris ses habits en charge pour les garder au vestiaire. Dans cet endroit très chic, fréquenté par de grands chefs d’entreprises et diverses célébrités politiques, artistiques ou sportives, les femmes se retrouvaient rapidement en petite tenue et, le plus souvent, entourées de plusieurs hommes. De nombreux employés étaient présents partout pour s’occuper de ramasser, repasser, plier ou suspendre et ranger les habits des dames et des messieurs pour leur rendre impeccables à la sortie. C’était un suivi très discret qui se poursuivait jusque dans les lieux de plaisir situés aux étages de ce petit hôtel particulier qui abritait ce club libertin très privé. Le rez-de-chaussée était occupé par un large vestibule, contenant un comptoir d’accueil et le vestiaire, une salle de restaurant, un bar et une piste de danse côté jardin et les cuisines côté cour. Les étages étaient constitués de chambres et autres lieux de plaisirs permettant soit de s’isoler complètement soit de s’ébattre en groupe ou publiquement. Il y avait différents secteurs correspondants à différents thèmes allant du romantisme le plus total, avec chambres privatives au décor raffiné et meublées de lits à baldaquin, aux donjons SM entièrement équipés.
À l’instar de Lucile, Jeanne ne tarda pas non plus à se retrouver uniquement vêtue de ses dessous. L’un et l’autre faisaient monter le désir et durer le plaisir. Tout en se caressant et en s’embrassant, ils parlaient de ce qu’ils voulaient et de ce qu’ils aimaient. Charles racontait les fantasmes qui l’avaient obsédé tout l’après-midi et Jeanne racontait les diverses étapes de son cocuage et de sa transformation de Marc. De temps en temps, Charles lui demandait de se mettre debout pour admirer son corps lisse et ses courbes naturelles. Il lui fit même retirer sa culotte pour admirer son petit pénis et le suçoter par plaisir.
— C’est merveilleux, vous avez vraiment un tout petit zizi ! Même en érection il semble immature, surtout épilé de la sorte.— Oui, il est petit et fin presque comme celui d’un adolescent. Dame nature n’a pas été très généreuse avec moi mais ce n’est pas bien grave puisque Lucile compense mon impuissance avec qui elle veut.— Tu n’es pas impuissant, Chéri, le reprit Lucile qui suivait de loin la relation naissante de Jeanne et de son patron. Ton zizi est le plus petit que je connaisse, tu éjacules un peu vite et tu ne rebandes pas facilement mais tu n’es pas impuissant. C’est bien pour ça que tu n’as plus le droit d’éjaculer dans ma chatte, n’est-ce pas ? Si jamais nous devions avoir un garçon, je ne voudrais pas qu’il porte en lui cette tare génétique.— Ainsi, c’est la raison pour laquelle vous trompez votre mari ?— Non, pas uniquement. Marc ne m’a jamais fait jouir avec sa bite ; quand je l’ai connu, il était puceau, ignorant des choses du sexe, maladroit et éjaculateur précoce. Aussi, lorsque j’ai décidé qu’il serait cocu, j’ai choisi qu’il n’y aurait pas de limite dans le nombre de mes amants.— Lucile est une vraie pute ! Déclara Robert en lâchant le téton qu’il suçait.— Merci, Chéri, c’est gentil, lui dit la jeune femme avant de reprendre. Je n’ai pas spécialement fait de sélection sur la taille du sexe ou l’endurance, mais jusqu’à présent aucun de mes amants n’a été aussi mauvais au lit que Marc. Il était donc évident que mon mari n’était pas vraiment un homme et je lui ai donc retiré le droit de jouir en moi, d’abord et ensuite, je lui ai imposé de porter des dessous féminins. Pour Marc, ce fut une vraie révélation ! Il a tout de suite pris conscience de son besoin de soumission et de l’importance de son côté féminin. Ça a été très instantané, en fait et aujourd’hui, Jeanne est une esclave docile et une amie précieuse. J’aimerai bien qu’elle fasse un choix et arrête de jouer à Dr Jekyl & Mr Hyde mais je ne veux pas l’influencer au delà de ce que j’ai déjà fait. Il y a des décisions qu’elle seule peut prendre. Elle ira plus loin si elle veut mais c’est vrai qu’aujourd’hui, Marc pourrait s’effacer totalement et je vivrais volontiers avec Jeanne comme épouse…— Ainsi, Jeanne, vous êtes un peu la chose de votre femme ?— Oui, je crois que je lui appartiens vraiment. Je ne fais d’ailleurs rien sans son accord et j’obéis à ce qu’elle me demande mais je ne le regrette pas car elle m’a révélé à moi même, dans ma vraie nature de soumise.— En tout cas, vous êtes une vraie réussite. La seule chose, si je peux me permettre, c’est la poitrine. Vous avez déjà une silhouette un peu androgyne et je suis sûr qu’avec un traitement approprié vous auriez un corps de déesse. Je vous imagine assez bien avec une belle poitrine, les hanches un peu plus larges et les fesses et les cuisses plus grasses et plus souples. Rien que d’y penser, ça me fait bander comme un sagouin ! Regarde ma bite comme elle est raide, ajouta Charles en ouvrant sa braguette.— Oh, elle est énorme ! S’exclama Jeanne impressionnée.— Et bien, petite salope, reprit Lucile, qu’attends-tu pour sucer Charles ?!— Tout de suite, Madame, répondit le travesti.— Mmm, oui, gobe ma bite. Mm, elle fait ça bien en plus. Oooh, oh oui, avale tout, gourmande. T’aimes ça, la queue, hein salope ?— Mmm oui, Monsieur, j’adore— Oooh oui, t’as vraiment une super bouche, oooh… attends ! Arrête, arrête ! Tu vas me faire jouir, bordel ! Ouf, j’ai jamais rien vu de pareil…— À ce point ? Demanda Robert intéressé.— Tu parles ! À ce niveau, ce n’est plus une bouche, c’est une trayeuse, tu veux essayer ?— Je n’osais te le demander…— Jeanne ! Viens sucer Robert, ordonna Lucile, et mets y du cœur car je suis sûre que l’on peut trouver une cravache ici !— Tout de suite, Madame.— Et en plus, elle est bien éduquée, constata Robert. Oooh… Oh oui, c’est vrai qu’elle est bonne ! C’est… Aaah, c’est bon ! Oooh… Oh oui, putain, quelle bouche !— Oui, c’est un organe très utile chez elle, expliqua Lucile assez fière de son élève. Tous les hommes en vantent les qualités, mais je peux vous dire aussi qu’elle lèche merveilleusement bien chattes et trous du cul.— Une vraie gourmande, alors ! Remarqua Jean-Jacques amusé et curieux.— Oooh… Tu ne crois pas si bien dire ! Mmm… Oh oui, putain, avale bien ma queue, aaaah… Oh, c’est trop bon ! Mmm, attends ! Arrête ça, petite salope, tu vas me faire jouir !— Pardon, Monsieur, dit Jeanne en cessant sa fellation, c’est vrai que j’aime vraiment sucer et je ne savais pas que vous ne vouliez pas jouir dans ma bouche.— Peut-être plus tard, mais pas maintenant. Relève toi que je puisse mieux te regarder… Mmm, ton dos ! Tourne toi que je vois ton cul.
Jeanne s’exécuta et présenta son dos et ses fesses à Robert qui les malaxa et en apprécia la souplesse. A sa demande, elle s’écarta les deux globes pour lui donner accès à sa rondelle que le patron de Lucile pénétra aussitôt d’un puis de deux doigts.
— Et bien souple avec ça… Je sens que tu vas te régaler, mon cher, dit-il à l’attention de Charles tout en retirant ses doigts brunis qu’il exhiba aux trois autres convives. Elle est souple et crasseuse à souhait. Tiens ! Lèche mes doigts, cochonne ! Ordonna-t-il à Jeanne qui obéit sans aucun dégoût apparent.— Oui, ne connaissant pas les goûts de Charles, je l’ai interdite de lavement. J’ai pensé que s’il préférait un conduit impeccable, il y aurait éventuellement moyen de le faire ici…— Vous avez très bien fait, Chère amie, répondit Charles, car, comme Robert et Jean-Jacques, je préfère lorsque c’est servi au naturel. Et si en plus elle avale tout ce qu’on lui donne…— Sans exception, dit Lucile, elle avale tout ce qu’on lui donne, pas vrai, ma chérie ?— Oh oui, Madame Lucile, vous le savez bien… Dois-je sucer Monsieur Jean-Jacques maintenant ?— Pourquoi me le demandes-tu ? Tu aurais déjà dû lui proposer !— Non, je préfèrerais l’enculer d’abord mais on fera peut-être ça plus tard car je vais laisser à Charles le plaisir de passer en premier.— C’est trop aimable, répondit Charles sitôt le repas terminé, je suggère que nous allions dans une pièce appropriée pour la suite de nos ébats.— C’est vraiment dommage que tu n’ais pas de seins, dit Jean-Jacques à Jeanne en lui caressant la poitrine, je t’aurais demandé une cravate de notaire.— Oui, tout le monde me dit ça et j’ai déjà regardé en détail les procédures médicales. Reste à trouver un médecin qui me suive dans ma démarche. En fait, depuis que j’ai croisé Maria, j’en ai envie. Je comptais en parler à Lucile et démarrer le protocole durant nos congés.— Tu es sérieuse ?! S’écria Lucile en la serrant dans ses bras folle de joie. Tu veux vraiment féminiser ton corps ?! Oh, ma Chérie, que je suis contente— Oui, je suis très sérieuse. J’ai pris ma décision hier mais j’attendais de trouver un moment plus intime pour te le dire…— Je suis certaine que tu vas avoir un corps magnifique. Plus beau encore que celui de Maria.— C’est sûr, Maria a un sexe que je trouve trop imposant, remarqua Charles qui la connaissait bien, tandis que Jeanne avec son sexe d’enfant bien épilé sera absolument divine. Enfin, si elle veut le garder, bien sûr.— Pour être franche, je n’ai pas envie de cumuler trop de traitements chimiques et hormonaux alors je vais demander à subir en même temps une castration. Je ne garderai que mon pénis, ça améliorera les effets des œstrogènes et de la progestérone.— La plus grosse difficulté sera de maintenir ta vie familiale, sociale et professionnelle en changeant d’identité sexuelle. Remarqua Jean-Jacques très sérieusement. Passer définitivement de Marc à Jeanne risque de bousculer beaucoup de choses, non ? Tu y as pensé.— Oui, je sais, mais ça ne change rien à ma décision. Pour ce qui est des amis, s’ils n’acceptent pas, tant pis pour eux. Le plus dure sera sans doute avec ma famille mais mon père et mon frère ne m’ont jamais vraiment considéré comme un homme alors ça devrait passer et pour l’activité professionnelle, je suis certaine que Charles acceptera de remplacer Marc par Jeanne… Et sinon, j’enverrai mon cv à Jean-Jacques et à Robert. Vous allez m’aider, n’est-ce pas ?— Et bien, je pense que ce ne sera pas forcément simple pour toi, répondit Charles, mais si tu veux, dès la rentrée, et en fonction de l’avancée de ta transformation, Marc peut-être remplacé par Jeanne dans l’organigramme. Ça risque de choquer quand même un bon nombre de collègues, tu t’en rends compte ?— Oui, j’en suis consciente, mais mes choix personnels ne doivent pas interférer sur le travail des uns ou des autres. Qu’ils pensent ce qu’ils veulent de moi.— Sauf que certaines personnes pourraient avoir du mal à faire la part des choses et à travailler sous tes ordres par exemple. Objecta Charles.— Ne soit pas si stressé, lui dit Robert en rigolant, tu as dit tout à l’heure que Marc était ton meilleur employé alors si quelques problèmes apparaissent à cause de Jeanne tu devrais pouvoir les gérer.— Sans compter que ce n’est que suppositions, tout peut très bien se passer. Fit remarquer Lucile.— Et si jamais, tu ne veux plus de Jeanne parmi tes employés, elle trouvera une place chez nous. Conclut Jean-Jacques souriant. Et trinquons à Jeanne. Garçon ?! Champagne !
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