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Lucile amoureuse salope

Chapitre 10

Travesti / Trans
10 – Jeanne et les hommes
Alors qu’ils trinquaient à la santé de Jeanne, cette dernière eut la charge de déshabiller les trois hommes. Un garçon de salle qui se tenait près d’eux récupéra leurs vêtements qu’il porta aux vestiaires. Les vins du repas et le champagne avaient désinhibé tout le monde et les mains et les bouches se faisaient beaucoup plus exploratrices. Mais, par contre, les verges avaient du mal à bander car les boissons ingurgitées pesaient également sur les vessies de ces messieurs. Charles que Jeanne suçait fut le premier à exprimer son besoin d’aller aux toilettes.
— Vous pouvez utiliser la bouche de Jeanne pour vous soulager, dit Lucile. Je vous ai dit qu’elle avalait tout ce qu’on lui donnait. À la maison, elle me sert fréquemment d’urinoir et sa langue remplace avantageusement le papier toilette. N’est-ce pas ma Chérie ?— Oui, c’est vrai, répondit Jeanne. Au début, c’était un peu bizarre, mais maintenant j’aime bien. Quand je suis présente et que Lucile est avec un amant, c’est moi aussi qui lui nettoie la bite quand il l’encule et je lèche systématiquement tous les godes et plugs qu’elle m’enfonce dans le cul.— Et bien je crois qu’il est temps de changer de lieu, conclut Robert. Ce ne sont pas des choses qui se font dans la salle de restaurant et moi aussi j’ai envie de pisser et peut-être un peu plus… Si vous êtes d’accord, nous pourrions faire chambre commune, il y en a quelques unes ici qui sont adaptée pour les pratiques un peu sales.— Je crois que c’est une bonne idée, répondit Jean-Jacques, mais peut-être Charles voulait-il se retrouver plus intimement avec Jeanne.— Ça va, répondit Charles en mettant une main au cul de Jeanne. On a déjà dit que je passerais en premier mais que vous pourriez aussi en profiter. En plus, je peux la voire tous les jours alors j’aurai d’autres occasions. Nous pourrions aller dans la grande chambre du second.— Si tu veux, dit Robert, allons nous montrer en spectacle, et c’est vrai que c’est la plus confortable avec sa grande estrade à partouze.
Jeanne et Lucile se laissèrent conduire dans les étages du Palais d’Éros. Tous les couloirs étaient assez sombres et simplement éclairés par des lumières tamisées. Les sols étaient couverts de moquette rouge et les mur d’un tissus aux motifs chargés à dominante rouge également. A l’entrée de chaque chambre, il y avait un descriptif succin de sa destination et de son contenu. Il dépassèrent l’étage des chambres pour relations classiques qui ne permettaient pas d’être à plus de deux ou trois et ne permettait pas les fantaisies aux quelles ils comptaient se livrer et montèrent à l’étage supérieur. Il était destiné aux partouzes mais excluait les rapports BDSM. Quelques chambres n’avaient pas de porte et des hommes et des femmes s’y adonnaient à des rapports multiples et désordonnés où tout le monde baisait avec n’importe qui et où n’importe qui baisait avec tout le monde. Des hommes trainaient nus dans l’espoir d’être invités à partager des ébats ou simplement pour les regarder. Quand ils arrivèrent à la chambre espérée, elle était fort heureusement inoccupée. À l’entrée le panneau indiquait : « Spéciale partouzes uro et scato. Capacité : 4 à 8 personnes. Exhibitionnisme : Caméras, Vitre sans teint et Glory Hole avec chaise percée. Aménagement : Coussins plastifiés et matelas étanches, sol et murs carrelés avec évacuations et douchette de lavement ; Équipement : bassines, seau, entonnoir, spéculum, plugs percés, gode ceinture, lubrifiant ».
— Tout un programme, fit Lucile en déchiffrant la pancarte. Vous comptez vraiment que l’on joue à ça ? Personnellement, je n’aime pas trop boire de la pisse ou bouffer de la merde, messieurs.— Rien ne vous y oblige, ma chère, et si j’ai bien compris Jeanne est là pour ça, lui dit Jean-Jacques. Apparemment, vous aimez bien lui faire nettoyer les bites et godes qui sortent de son cul ou du vôtre, non ?— Oui, c’est vrai. Mais je suis plus donneuse que receveuse.— Comme la plupart des gens ! Fit Robert, mais vous verrez que l’on peut jouer sans pour autant avaler ; il suffit juste d’y mettre un peu les mains. Allez, ne vous faites pas prier, je suis sûr que ça va vous plaire. Ajouta-t-il en la poussant d’une main ferme posée sur ses fesses.
A peine la porte refermée derrière eux qu’un voyant s’illumina dans le couloir pour indiquer que le lieu était occupé et inviter les voyeurs à utiliser les deux couloirs latéraux donnant accès soit au Glory Hole soit à la paroi de verre.
Comme convenu, Jeanne se mit tout de suite en devoir de servir d’urinoir à sa femme et ces messieurs. Elle se mit à genoux au milieu de l’estrade et leur offrit sa bouche et son corps en déclarant qu’elle acceptait d’être leur chiotte. Le premier à lui pisser dessus fut Charles qui ne tenait vraiment plus. Il arrosa sa perruque, son visage et puis il enfonça sa bite dans sa bouche. Gourmande et cochonne, Jeanne referma les lèvres autour du pénis de son patron pour être sûre de ne rien perdre et avala jusqu’à la dernière goutte de sa miction dorée.Jean-Jacques dont l’envie était pressante également eut envie de lui remplir le cul. Il prit sur une étagère un plug tunnel transparent et l’entonnoir en expliquant ce qu’il souhaitait faire. Jeanne s’allongea sur la surface mouillée du matelas et se recroquevilla pour lever bien haut son cul. Lucile se chargea de faire pénétrer le plug, Charles plaça l’embout de l’entonnoir dans l’ouverture apparente. Jean-Jacques et Robert, dont les vessies étaient pleines à craquer, pissèrent dedans en même temps. L’entonnoir était suffisamment large pour ne pas déborder et leurs mictions abondantes s’écoulèrent dans les entrailles de Jeanne. Elle eut un gémissement mêlé de surprise et de plaisir en sentant le liquide chaud et abondant lui remplir le ventre. Charles, qui maintenait l’entonnoir était excité par la situation et par l’idée de posséder enfin son cul. Lorsque les dernières gouttes furent avalées par le fondement du jeune travesti, Il retira prestement l’entonnoir et le plug et pénétra Jeanne avant que son cul n’ai le temps d’expulser la pisse dont il était remplit.
La queue de Charles était grosse et longue mais sa pénétration à la suite du plug se fit aisément. Jeanne gémit de plaisir, la queue qui lui ramonait les entrailles la pénétrait profondément et lui procurait de divines sensations. Charles variait ses mouvements, faisait faire des cercles à sa verge et la faisait aller et venir sans la ressortir. A chaque mouvement de recul, le cul de Jeanne suintait d’un mélange de pisse et de merde qui dégoulinait le long de ses cuisses ou imprégnait la toison pubienne de Charles quand il se renfonçait bien à fond. Charles observait ces pertes avec intérêt, il sentait que le cul de Jeanne était prêt à expulser son trop plein. Il se retira et plaça son visage sous les fesses de son employée en lui demandant de pousser fort. Le résultat ne se fit pas attendre et une explosion d’un liquide douteux lui couvrit le visage. Il demanda à Jeanne de s’allonger sur le dos, la tête sous la chaise percée et il la reprit dans cette position.La chaise percée formait une enclave fermée dans la pièce qui venait au dessus du matelas. Formant une sorte de niche dans laquelle Jeanne avait insérée sa tête. Elle n’y était pas depuis plus de deux minutes que trois hommes pissèrent sur son visage et dans sa bouche ouverte. Et puis, un autre homme vint s’asseoir au dessus du visage de Jeanne qui comprit que servir de chiotte allait prendre tout son sens. Un long étron très mou et fort malodorant lui couvrit bientôt le visage, lui obstruant les narines, l’obligeant à fermer les yeux et à ouvrir la bouche. Pour dégager son visage, elle fut bien obligée d’y mettre les mains et de se les essuyer sur le corps. Elle fit aussi un effort pour avaler le peu qu’elle avait en bouche tandis qu’elle récupérait la capacité de respirer par le nez. Charles éjacula au fond de son cul mais, fou d’amour et d’excitation, il ne débanda pas. Il fit ressortir Jeanne pour lui donner sa verge à sucer puis il la reprit en levrette avec encore plus de fougue.

À côté de Charles et Jeanne, Lucile, Robert et Jean-Jacques s’adonnaient à de multiples caresses et léchages. À la grande surprise de la jeune femme, les deux hommes se touchaient autant qu’ils la touchaient elle et s’embrassaient de même. Des doigts visitaient les trous du cul pour s’essuyer ensuite sur des fesses, des ventres, des poitrines puis enfin des joues. Lucile s’était prise au jeu et sentait l’excitation l’envahir. Il n’y avait aucune violence, aucune contrainte et elle se surpris à aimer ce qu’ils faisaient. Elle se mit à lécher le cul de Robert et se retrouva vite allongée avec son patron accroupi à genoux au dessus d’elle. Elle léchait son cul, le fouillait de ses doigts, le vidait et le tartinait tandis que Jean-Jacques fouillait le sien en lui léchant la chatte. Prise de frénésie, elle s’enfouit le visage dans la raie des fesses de Robert, les essuyant avec chaque parcelle de son front, de son nez, de ses joues, de sa bouche et de son menton. La langue et les doigts de Jean-Jacques avaient cessé leur action mais elle ne s’en rendit compte que lorsqu’elle sentit une masse chaude se poser mollement sur son pubis. Elle poussa un gémissement de surprise et gémit encore lorsque des mains l’étalèrent entre ses cuisses, dans les replis de sa chatte et sur son anus. Prise par la folie du jeu, incapable de bouger, le visage coincé sous les fesses de Robert qui se masturbait entre ses seins, elle se laissa faire et gémit encore lorsque la bite de Jean-Jacques pénétra sa chatte.
Charles aimait autant recevoir que donner aussi, après les premières sodomies, ils se retrouvèrent en 69, se fouillant le cul en même temps qu’ils se suçaient et en s’essuyant ensuite les doigts sur leurs corps enlacés. Ils jouèrent ainsi quelques minutes puis Charles s’accroupit au dessus de la petite bite de Jeanne et y déposa son offrande avec laquelle ils jouèrent en s’embrassant à pleine bouche et en se léchant les doigts. Rapidement, leurs deux corps étaient dans un état semblable et ils bandaient tous les deux.
— Prends moi le cul avec ta petite bite, dit Charles entre deux baisers. Encule-moi…— Tu veux ?! Fit Jeanne surprise. Vraiment ?— Puisque je te le dis, répondit Charles en se mettant à quatre pattes. Mets la moi…
Jeanne se mit en position derrière son amant, lui écarta les fesses et fit pénétré tout doucement sa petite verge fine. Elle n’avait jamais pénétré quelqu’un d’autre que Lucile et fut un peu surprise d’y arriver. Sa quéquette bien raide coulissait avec aisance dans le conduit merdeux de son patron ; son plaisir monta rapidement et elle ne fut pas longue à venir. Ensuite, ce fut au tour de Jeanne d’offrir, pour la troisième fois, son cul à Charles. Comme plusieurs bites étaient apparues dans les trous de la paroi en tête de lit, elle reçut sur elle, sur son visage et dans sa bouche les mictions des voyeurs qui n’épargnèrent pas non plus Lucile et ses deux partenaires.
La suite de la soirée devint plus orgiaque encore car les cinq partouzeurs se rapprochèrent. Lucile et Jeanne se gouinèrent et le travesti servit encore de chiotte et de vide couilles aux trois hommes ainsi qu’à quelques inconnus qu’elle suça au travers du Glory Hole.
— Jeanne ? Dit Charles au moment où chacun se préparait à rentrer chez lui.— Oui, Charles.— Demain matin, arrive à l’heure, bien parfumée et avec tes plus beaux dessous, d’accord ?— Oui, c’est promis. Rien d’autre ?— Si, bien sûr, avant toute chose tu passes d’abord par mon bureau, je te garderai en entretien privé toute la matinée. Je vais virer Marc et embaucher Jeanne. Ça te va ?— Oh, mon dieu, oui ! Merci Charles, merci ! Dit-elle en se jetant dans ses bras.
Le lendemain fut assez difficile pour Jeanne car Charles avait, non seulement, décidé d’user et d’abuser avec elle de son « droit de cuissage » mais en plus de dévoiler sa vraie nature à l’ensemble de l’équipe de direction au sein de laquelle il la voulait active dès la rentrée. Il organisa, en début d’après-midi, une réunion extraordinaire des directeurs et chefs de services à laquelle Marc et Jean-Paul étaient conviés.
— Comme chacun le sait, Michel prend sa retraite en septembre et son poste à la tête des services recherche et bureau d’étude sera libre. C’est un poste important qui demande intelligence, créativité et rigueur, mais aussi, souplesse, écoute et la dose qu’il faut de laxisme pour permettre au géni des employés de s’exprimer librement. Cela implique donc aussi un fort esprit d’analyse et d’anticipation pour décider de ce qui sera utile ou non pour le développement de notre société. Vous me suivez ?— Oui et non, fit Michel qui se sentait concerné. Nous avions convenus que je puisse travailler en binôme avec mon successeur sitôt qu’il serait recruté. Or vous ne m’avez encore présenté personne et je quitte mon poste dans deux mois maintenant. Avez vous quelqu’un ?— Et bien, oui et non, comme tu dis. Je me suis longtemps posé la question de recruter quelqu’un pour te remplacer mais en regardant de près l’activité et les compétences des uns et des autres, je me suis dit qu’il serait préférable de promouvoir une personne de l’entreprise pourvu qu’elle ait les compétences requises. Et il se trouve qu’il n’y en a qu’une seule mais qui me pose problème : Marc !— Parce que Marc vous pose problème ?! S’étonna Babette la DRH.— Bien sûr qu’il me pose problème ! Marc est un travelo, une pédale et un sodomite qui ne rêve que de changer d’identité pour devenir… Comment déjà ? Ah oui, Jeanne ! Je ne sais pas comment faire car pour moi, le poste de Michel devait lui revenir. Je sais ce que vous pensez toutes et tous de moi ! Je suis homophobe et intolérant mais je ne changerais pas ! Marc et moi avons eu une très longue conversation ce matin et il se trouve qu’il refuse d’abandonner sa féminité pour un poste de direction. Au contraire, « elle », fit il en posant les guillemets avec ses doigts, voudrait se faire pousser les seins ! N’est-ce pas vrai, Marc ?
Tous les regards se tournèrent vers Marc empourpré qui ne comprenait plus ce qu’il se passait. Il avait honte de ses désirs, honte de lui-même et honte d’être là.
— Faites ce que vous voulez, Monsieur, virez-moi, vous en avez le pouvoir. Vous avez voulu m’humilier ; vous avez réussi ! Alors oui ! Je suis un travelo, comme vous dites, et alors !— Pas de panique, Marc, dit Didier, le directeur des ventes. Personnellement, je m’en fous ! Tu fais ce que tu veux de ta vie. Maintenant, Charles, si Marc a les compétences nécessaires pour remplacer Michel, pourquoi s’en priver ? Qu’importe qu’il vienne habillé en gonzesse !— D’abord on ne dit pas gonzesse ! Répliqua Sonia, la responsable achats. Mais femme ! Et si Marc se sent plus femme qu’homme, ça m’est bien égal. Vous voulez notre avis pour dédouaner votre conscience ? Et bien gardez Marc et si faut l’appeler autrement, on l’appellera autrement ! C’est comment déjà ? Demanda-t-elle à Marc.— Jeanne. Répondit-il simplement.— Et bien voilà ! Vous vouliez Marc, vous avez Jeanne. Et alors ? Si elle peut vivre sa féminité, elle sera mieux dans sa peau et encore plus efficace. Je sais de quoi je parle car ma fille ainée veut devenir un garçon et je peux vous dire qu’elle souffre terriblement même si avec mon mari on la soutien et on l’aide du mieux qu’on peut.— Très bien, Sonia, vous nous parlerez de vos enfants plus tard. Vous êtes toutes et tous d’accord pour travailler avec un travelo ? Demanda Charles. N’arrivant pas à me décider, j’ai choisi de vous laisser le droit de choisir, pour une fois. Acceptez-vous que nous ayons un travelo dans l’équipe de direction ?— Oui, dirent certains.— Je m’en moque, dirent d’autres.— C’est le meilleur choix, dit Babette. Nous l’avions recruté en considérant cette éventualité, pourquoi nous priver de lui alors qu’il connaît parfaitement l’entreprise ?— Je suis d’accord, Ajouta Michel, même si tu sais ce que je pense des tarlouses…— Bien ! Vous imaginez à quel point ça me peine, mentit Charles, mais nous accueillerons Jeanne à l’issue de ses vacances pour travailler avec Michel et prendre sa place ensuite. Jean-Paul, dès maintenant, vous prendrez la tête de votre service et nous embaucherons quelqu’un pour vous seconder d’ici septembre.— Bien, Monsieur, répondit Jean-Paul dans ses petits souliers.
Quand ils quittèrent la salle de réunion, Jeanne ne se sentait pas très bien. Elle avait supporté tous types de regards allant de la curiosité et de la moquerie au mépris et au dégoût. Elle évitait de regarder trop franchement ses collègues et s’enfuit rapidement vers son bureau pour ranger ses affaires.
— Putain ! T’es culotté, dit Jean-Paul en rentrant derrière lui. J’imagine qu’il t’a cuisiné toute la matinée pour que tu lui lâches le morceau. Comment ta fait pour qu’il accepte de te garder ?— Il voulait me garder de toute façon… Répondit Jeanne évasive.— Ouai, ou alors il kife ton cul. Je suis sûr qu’il se le taperait bien, malgré ses airs de ne pas y toucher.— Et toi ? Tu ne l’kifes pas mon cul, peut-être ?— Moi c’est pas pareil, c’est ta femme qu’a exigé que je t’encule. Mais c’est vrai qu’il est bon et si je m’écoutais… Dit Jean-Paul en passant derrière Jeanne. Je t’en mettrais bien une petite pétée tout de suite.— Tu dois te réserver pour ce soir, je te rappelle. Lucile n’aimerai pas que tu te sois vider les couilles avant. Sans compter que tu m’auras aussi en prime.— T’as raison, je te casserai le cul plus tard. Mais j’ai hâte de te voir débarquer en jupette au bureau ; ça va jaser.— Ça jase déjà, si tu veux mon avis. Tout le monde doit déjà être au courant… Tiens, prends ça ! Ce sont les trois dossiers que j’avais en charge. C’est ton job maintenant.
Jeanne quitta son bureau assez tard mais suffisamment tôt pour trouver Lucile au lit et en pleine action avec son ami Philippe. Elle ne s’attendait pas à ce que ce soit lui et Philippe ignorait encore tout de sa transformation. Quand elle débarqua dans la chambre en dessous féminin et talons hauts, elle marqua un temps d’arrêt. Lucile était prise en levrette sur le lit, face à la porte, et Philippe lui ramonait le fion. Leurs regards se croisèrent, Lucile était joyeuse, Philippe surpris et Jeanne gênée. Jeanne vint embrasser Lucile sur la bouche et déposa un chaste baiser sur la joue de son ami.
— Faut pas que ça te coupe dans ton élan, mon Chéri, dit Lucile en sentant la bite de son amant sortir de son cul. Je t’avais promis une surprise.— Oui, mais je n’m’attendais pas à ça… Vous avez franchi une nouvelle étape, on dirait. Je… Marc ?!— Marc n’est bientôt plus, je suis Jeanne. Depuis aujourd’hui c’est même officiel à mon travail. Mon patron m’a promus et a annoncé à toute l’équipe de direction que j’étais un travelo.— Parce que tu te travestis vraiment ? S’étonna Philippe qui ne bandait plus du tout. Je veux dire tu te promènes en femme dans la rue et tout ça ?— Oui, elle se promène dans la rue dans des ensembles très sexy, sort avec des hommes... et baise avec eux. Elle est vraiment sublime. Je l’adore, dit Lucile encore amusée par la réaction de Philippe.
Elles expliquèrent à Philippe comment Marc en était arrivé à devenir Jeanne et comme il semblait peu à peu moins choqué, le travesti le suça pour lui rendre sa vigueur. Philippe se laissa faire et puis, une fois bien excité, il eut envie de les prendre toutes les deux. Elles s’installèrent côte à côte à quatre pattes et s’embrassèrent tandis que Philippe admirait leurs culs. Après quelques secondes d’hésitation, il choisi de commencer par ramoner celui de Jeanne qui gémit de plaisir en se sentant investie par son ami. Il passa ensuite au cul plus familier de Lucile et alterna ainsi jusqu’à sentir sa sève monter et c’est au fond de la bouche de Jeanne qu’il décida d’éjaculer.
Quand leurs ébats cessèrent, les deux femmes avaient tout juste le temps de se préparer pour accueillir Jean-Paul. Philippe assista à leur séance d’habillage et quand elles furent prêtes il eut le souffle coupé par la beauté de Jeanne.
— T’es un vrai canon, ma parole ! Tu dois te faire brancher à tous les coins de rue, non ?— Et bien je croise quelques regards intéressés, c’est vrai. Avoua Jeanne.— Elle est belle, n’est-ce pas, ma créature. Dit Lucile avec fierté.— Il ne lui manque pas grand-chose pour être parfaite. Reconnut Philippe en faisant un geste suggérant une poitrine.— Tu restes diner avec nous ? On attend un collègue de Jeanne mais quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre.— Il t’a déjà vu habillée comme ça ? Demanda Philippe à son ami travesti.— Non, pas encore mais il m’a déjà vu en string avec des bas et porte-jarretelles.— Il t’a sauté ?— Oui, plusieurs fois, mais là il vient plutôt pour faire la connaissance de Lucile, si tu vois ce que je veux dire.— Dis-donc, Lulu, t’imaginais quoi pour la soirée ? Une partouze à quatre ou toi d’un côté avec ce type et moi de l’autre avec Marc ?— Et bien, je n’ai pas vraiment prévu quoi que ce soit ; Jipé vient pour me sauter et ça c’est acquis, ensuite si tu veux rester avec nous et tenir compagnie à Jeanne… ça ne pose aucun problème. Le canapé du salon, une fois déplié est assez confortable je crois.— Alors ? Tu décides quoi ? Demanda Jeanne en approchant ses lèvres de celle de son ami. Tu restes pour moi ?— Ah ah ! Vous êtes une belle paire de salopes, toutes les deux, finit il par dire. Je reste, c’est bon, et toi le travelo cocu, je vais m’occuper de ta rondelle pendant que ta putain de femme se tapera ton collègue. Ça vous va les filles ?— Génial ! Dirent-elles toutes les deux en l’embrassant l’une après l’autre sur la bouche. T’es un amour.
Jean-Paul arriva quelques minutes après et bien qu’il s’y attendait, il reconnu que son collègue était vraiment très féminin. Il n’en oublia pas pour autant pourquoi il était là et la présence de Philippe ne le gêna pas. Philippe n’avait aucun scrupule à rester pour Jeanne et il avait d’hors et déjà décidé de se la faire. Jean-Paul se révéla un bon convive, gai et amusant et mit son point d’honneur à plaire à Lucile. Bien que la femme de son collègue était à sa disposition, il sut attendre son désir à elle avant de l’embrasser sur la bouche au moment du dessert. Ils prirent le café au salon, tous les quatre, Lucile sur les genoux de Jean-Paul et Jeanne à côté de Philippe dans le canapé. Puis ils se séparèrent et Philippe se retrouva avec son ami féminisé tandis que Lucile et Jean-Paul disparaissaient dans la chambre. Comme ils ne fermèrent pas la porte, chaque couple put voir l’autre faire l’amour. L’appartement résonnait des gémissements de Jeanne et de Lucile, l’atmosphère était chaude et Philippe pris son ami trois fois avant de trouver le sommeil dans ses bras tandis que Lucile et Jean-Paul partageaient un dernier orgasme. Les deux hommes restèrent toute la nuit mais au matin ils prirent congé de Jeanne et Lucile qui avait besoin de se retrouver.
Elles firent l’amour ensemble avec beaucoup de douceur, Jeanne se montra un peu plus résistante que d’habitude et réussit à mener Lucile à l’orgasme avec son petit zizi. Ensuite, ce fut au tour de Lucile de prendre Jeanne avec un gode ceinture et elles finirent en se redonnant du plaisir dans un 69 très sensuel.
— Quelle heure est-il ? Demanda soudain Jeanne. On a plein de truc à faire ! Je dois aller chez l’esthéticienne et nos bagages sont à peine prêts !— Calme toi, ma Chérie, notre train est à 21h22 et il est 9 heures du matin. On ne va pas le rater.— Je sais, mais j’angoisse… Je ne sais pas comment faire. Ces vacances chez mon père, c’n’était pas une bonne idée.— Allons, tranquillise-toi, je suis là et je suis avec toi. Je t’aime, tu sais, je t’aime plus que n’importe qui sur cette planète et peu importe que tu sois Marc ou Jeanne, ça ne changera rien, pourvu que tu sois toi.— Je sais, Chérie, et je voudrais tant être Jeanne, après tout mais je n’peux pas débarquer comme ça chez mon père et lui dire « salut Papa, je suis une fille maintenant ! »— Tu ne sais pas comment lui dire, c’est ça ?— Mmm !...— Le plus simple c’est que tu sois Marc à l’arrivée, ensuite vous trouverez bien un moment pour parler, non ? Ton père t’aime beaucoup, il aura sans doute mille choses à te dire aussi, je sais comment ça se passe ! A chaque fois, vous passez une demie journée à discuter dans votre coin et après ça se compte en heures entières…— Oui, c’est vrai… mais c’est un peu plus que de banales nouvelles.— Tu y arriveras, j’en suis certaine. Et je serais avec toi, promis ! Et puis, être Marc à l’arrivée, ça ne veut pas dire que tu ne peux pas être Jeanne au départ. On peut réussir à se changer dans un train couchettes, non ?
Une demie heure avant le départ de leur train Jeanne et Lucile arrivèrent sur le quai avec leurs valises à roulettes. Elles avaient réservé deux couchettes jusqu’à Nice-ville où le père de Jeanne devait les attendre à l’arrivée du train. Des contrôleurs étaient présents sur le quai et dans le train pour vérifier les réservations et indiquer à chacun la localisation de sa couchette.
— Je vais voir ce qu’il est possible de faire, mesdemoiselles, Dit un contrôleur à deux jeunes filles d’à peine quinze ans, mais le train est plein et je ne suis pas responsable des réservations.— Mais on peu pas aller avec eux, implora l’une des deux lorsque Lucile tendit son billet. Quand on a réservé on a dit qu’on préférait être avec des familles.— Oui et moi je dois trouver deux personnes pour échanger avec vous et je m’en occuperais sitôt que possible, c’est à dire une fois le train parti !— C’est pour un échange de places ? Demanda Jeanne, si ça se trouve les nôtres pourraient convenir… T’en penses quoi, Chérie ?— Je ne sais pas ? Quelle est la nature du problème ?— Et bien ces deux jeunes filles ont été placées dans une cabine de militaires et apparemment elles ne se sentent pas vraiment rassurées.— Ça peut se comprendre, répondit Lucile… Je pense qu’à leur âge je n’aurais pas été rassurée non plus. Si les places qui nous ont été attribuées leur conviennent mieux, je serais ravie d’échanger nos billets avec les leurs.
L’affaire s’arrangea ainsi et Lucile se dit qu’elles avaient eu de la chance. Il était évidemment plus probable qu’elles vivent des choses excitantes avec quatre bidasses qu’avec une petite famille en voyage. Quand elles ouvrirent la porte elles découvrirent les quatre jeunes gens en civil, leurs gros sacs de paquetages étaient entassés derrière l’échelle et ils étaient tous assis sur les deux banquettes du haut, très occuper à bavarder et à jouer aux cartes en se partageant une bouteille de whisky. Ils avaient entre dix-huit et vingt ans et semblaient plutôt costaud. Lucile et Jeanne remarquèrent un magazine porno négligemment posé sur l’une des couchettes centrales et se contentèrent de sourire.
— Je suppose que nos couchettes sont celles du bas, Chérie, dit Jeanne en glissant leurs valises sous le lit. Bonjour messieurs, on vous a interrompu je crois ?— Oh heu, non… non, pas du tout, répondit l’un d’eux. Vous voulez jouer avec nous ?— Laissez nous d’abord nous mettre à l’aise, dit Lucile en retirant son manteau. À quoi jouiez vous ?— Ben là, on était en mode belote mais si on joue à six, on peut faire un poker.— Je crois bien que nous ne sommes pas trop douée, ni l’une ni l’autre pour ce jeu. Répondit Lucile, vous auriez vite fait de nous plumer, je crois…— Mmm, et moi je n’aime pas jouer aux jeux d’argent et sans miser leur intérêt me parait très limité, fit Jeanne en rentrant dans le jeu de Lucile.— On peut toujours miser autrement, ou simplement vous offrir un peu de whisky, dit un autre, on a du coca et des gobelets…— T’en penses quoi, ma Chérie ? Demanda Lucile à Jeanne, on se laisse tenter par quatre beaux militaires en retour de perme ?— Pourquoi pas…
Le train se mit en route et le contrôleur passa vérifier rapidement que tout allait bien, ce que confirmèrent Jeanne et Lucile toujours debout au pied de l’échelle. Une fois qu’il fut parti, Jeanne ferma les rideaux et le verrou intérieur pour s’assurer que personne ne les dérange. Elles retirèrent leurs chaussures à talon et gravirent l’échelle l’une après l’autre. Au passage Lucile se saisit de la revue porno, les quatre militaires rougirent et leur firent un peu de place. Elles se retrouvèrent chacune l’une en face de l’autre bien encadrée par deux jeunes hommes.
— Tu as vu, Chérie, il y a des pages spéciales trans et travestis…— Oui, j’ai cru voir ça en couverture, mais ça a l’air bien hard, non ?— Désolé, on aurait dû la ranger, dit un des militaires, on ne pensait pas qu’il y aurait des femmes avec nous…— Ce n’est pas grave, vous savez. Ce n’est pas parce qu’on est une femme qu’on ne regarde jamais de porno. Et les trans, ça vous excite ?— Ben heu… firent ils gênés. Non, pas forcément, mais on est curieux, c’est naturel… Ça vous dit un verre de whisky coca ?— Vous nous l’aviez déjà proposé, dit Jeanne à celui qui s’improvisait barman, c’est gentil, avec plaisir. Et vous savez, Lucile et moi on n’est pas tombée de la dernière pluie, vous pouvez nous parler crument de cul, on ne s’offusquera pas.— Jeanne a raison, nous sommes quand même plus vieilles que vous et on a déjà vécu pas mal de choses… Alors ? Oh ! Ça par exemple ! Tu as vu, Jeanne, c’est Maria ! Dit soudain Lucile en montrant une photo ou la belle trans se faisait défoncer le cul par un homme et sucer par une femme.— Mais, t’as raison ! C’est vraiment elle ; elle fait du porno ?!— Vous la connaissez ? Demanda l’un des jeunes surpris.— Oui et non, répondit Lucile, c’est une amie d’amies et on s’est croisée une fois, c’est tout mais il y a de grandes chances pour qu’on la revoie dans les mois qui viennent.— Oh et vous ? Vous êtes comme… enfin je…— Vous êtes bien curieux, jeune homme, le reprit Lucile, non, personnellement je ne suis pas comme elle. Je suis née femme avec une chatte et des seins mais ce n’est pas le cas de Jeanne, mon mari. Pour l’instant il n’est encore que travesti mais il a décidé de se transformer, n’est-ce pas Chéri ?— Tout à fait. Répondit Jeanne en contenant sa honte. Je devrais pouvoir ressembler un peu à Maria d’ici un an ou deux.— Vous êtes mariés, enfin c’est votre mari ??— Ne soyez pas choqués, alors, on le fait ce strip-poker ? Demanda Lucile en avalant une gorgée de whisky-coca. Toujours partants ?— Ça sera sans doute mieux qu’une branlette sur papier glacé, ajouta Jeanne en imitant sa femme.
La partie fut plus longue que prévu car les deux femmes eurent du jeu et de la chance. Si bien que les quatre lascars perdirent chaussettes et t-shirt avant que l’une ou l’autre n’ait perdue son chemisier. Lucile fut la première des deux à retirer un vêtement puis se fut au tour de Jeanne de perdre son chemisier. Les quatre garçons perdirent leurs pantalons et se retrouvaient en caleçon. Durant toute la partie, ils parlèrent de sexe et la revue qui leur servait de plateau de cartes n’était pas là pour ralentir leurs ardeurs. Lucile retira son soutien gorge, Jeanne sa jupe et lorsque Lucile perdit la sienne, le jeu s’arrêta et les caleçons tombèrent. Durant toute la nuit ou presque les quatre militaires se relayèrent dans leurs bouches et leurs autres orifices. Chaque fois que l’un d’eux débandait, Jeanne arrivait à lui redonner forme et ils n’arrêtèrent de baiser que parce qu’il était temps pour les militaires de se mettre en tenue à l’approche de la gare des Arcs-Draguignan. Jeanne profita de ce moment pour passer par le cabinet de toilette et c’est Marc qui en ressorti. Quand il croisa les jeunes soldats avec leurs paquetages, ils le reconnurent difficilement et l’un d’eux lui glissa discrètement « vous êtes mieux en femme ».
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