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Ludivine III : le temps du changement

Chapitre 1

Hétéro
C’est un mercredi sans histoire durant à l’heure où on ne sait pas vraiment si c’est la fin de la journée ou le début de la soirée. Le téléphone sonne. Ludivine. Un an presque jour pour jour après le week-end à la montagne avec Emma et Paul. La raison du coup de fil tombe après deux phrases : — Je l’ai fait. Je souris. Elle ne sait pas comment poursuivre et je lui demande ce qu’elle a de prévu pour vendredi soir : — Rien.— Je t’invite au restaurant.
Vendredi 20 mars 1998, je passe la chercher chez elle vers 20h. Chemisier blanc, jupe noire, bottes, elle est sublime. Nous nous embrassons naturellement sur la bouche lorsqu’elle entre dans la voiture, comme si nous étions ensemble depuis longtemps. Au restaurant, nous retrouvons notre entente presque instantanément. Elle me raconte sa relation avec le dénommé Olivier, rencontré lors de la soirée de Nouvel-An, puis elle me conte en détail sa première fois et les deux autres fois du week-end précédent. Intrigué, je lui demande pourquoi elle a quitté Olivier alors que leur relation semblait si bien se développer. Surprise, elle éclate de rire :— Mais je n’ai pas quitté Olivier ! Il est juste parti en week-end !Je suis abasourdi, mais ravi !
Nous sortons du restaurant et comme il fait assez bon pour la saison, nous allons nous balader au bord du lac. Baiser profond, mes mains sur ses fesses. Je lui propose en riant un dernier verre à la maison. Elle rétorque qu’elle prendra également volontiers le petit-déjeuner. Chez moi, direction la chambre. Je m’adapte à son rythme, elle n’est pas encore en confiance. Fellation, cunnilingus, pénétration en missionnaire. Ensuite à califourchon sur moi, Ludivine prend son pied et je la laisse guider notre ébat. Faire l’amour avec elle, finalement. Elle est de plus en plus à l’aise et nous prenons beaucoup de plaisir. Je la prends enfin en levrette et jouis en elle. Elle est aux anges. Elle se pelotonne contre moi et nous glissons sous la couette. Trois ans après, nous l’avons fait.
Nous papotons dans le lit durant environ une demi-heure avant que Ludivine ne me suce à nouveau. Je viens entre ses jambes et elle jouit. Roulade, elle sur moi. Je la pelote tandis qu’elle me chevauche. Je me redresse ensuite. Assis en lotus, nous allons doucement et Ludivine jouit une nouvelle fois. Juste avant moi. Nous ne tardons pas à nous endormir.
Au réveil, la position en cuillère est idéale et Ludivine semble beaucoup apprécier. Néanmoins, pendant le petit-déjeuner, elle me dit qu’elle a un peu mal.
Peu avant midi, nous passons chez elle en vitesse pour qu’elle se change. C’est aussi le moment où Olivier doit l’appeler. Il est ponctuel. Je ne la dérange pas pendant qu’elle lui parle. Nous descendons ensuite en ville où nous passons l’après-midi. En jupe beige et débardeur noir, Ludivine est vraiment craquante. Je lui achète une paire de Dim’Up, sa première.
En fin d’après-midi, de retour chez moi, Ludivine me saute dessus, me plaque contre le placard de l’entrée et me gratifie d’une magnifique fellation. Elle se redresse et m’emmène au salon où elle retire bottes, collants et string pour me chevaucher. Il ne lui faut pas longtemps pour m’emmener à l’orgasme. Ludivine apprend vite.
Je propose à Ludivine de retourner en ville pour la soirée, les bords du lac étaient très agréables la veille. J’ai juste le temps de me doucher, de m’habiller et nous filons chez elle. Comme ses parents sont à la maison, je l’attends dans la voiture… près d’une heure ! Ma patience est cependant récompensée lorsque je la vois sortir de l’allée dans une magnifique robe marron. Nylon sur ses jambes et talons hauts. Elle est fière de me montrer qu’elle porte ses Dim’Up.
Le resto est excellent et nos discussions plutôt coquines. Ludivine est décomplexée. Je lui avoue l’épisode du voyeur deux ans plus tôt. Elle est gênée et me demande de le décrire. Elle ne voit pas du tout de qui il s’agit et cela la rassure. Je la fais rougir :— A l’époque, tu suçais déjà extrêmement bien.
En entrant dans la voiture, elle me remercie et m’embrasse. Dans l’allée de mon immeuble, nous montons à pied et je soulève sa robe pour caresser son cul. Avant de rentrer, je lui dis :— Ici, tu oses ?Elle comprend immédiatement, jette un coup d’œil à la porte de mon voisin de palier avant de s’accroupir pour me sucer quelques secondes.
A l’intérieur, elle tombe la robe : elle est sublime. Je la fais jouir à trois reprises avec ma langue. Je la glisse aussi sur son anus ce qui n’est pas du tout fait pour lui déplaire. Elle vient ensuite à califourchon sur moi avant que je ne la prenne vigoureusement en levrette. Une excellente soirée.
Dimanche matin, au réveil, j’entreprends Ludivine qui me dit qu’il ne se passera rien avant qu’elle n’aille aux toilettes. Je ris et me retourne. Je me rendors jusqu’à ce que je sente de doux baisers sur ma joue puis ma bouche. Ludivine se redresse : elle a remis ses Dim’Up et ses talons. C’est tout. Tellement excitante. Elle me suce agréablement avant que je n’attire ses fesses sur mon visage pour un torride 69. Sexe, anus, je me délecte de ses orifices. Elle jouit alors que je commence à doigter son petit trou dans lequel j’introduis peu après un second doigt. Ludivine a cessé de me sucer et gémit doucement. Elle retire délicatement mes doigts et s’allonge sur le dos en m’invitant à la rejoindre. Je la prends en missionnaire. Je la provoque : — Si tu continues d’apprécier autant mes caresses à ton petit trou, je vais finir par te proposer d’y venir…Elle sourit :— On verra… Mais j’aurais tort de ne pas essayer, non ?Je me place :— Je serais honoré de t’y initier.Elle casse :— J’envisage de commencer par une taille S.
J’explose de rire et dois cesser mes va-et-vient. Ludivine proteste en riant et tire sur mes fesses pour que je relance la machine. Je me redresse et reprends mes allers-retours. Je regarde Ludivine prendre du plaisir puis j’attrape ses chevilles et remonte ses jambes écartées pour glisser tout au fond d’elle. Courts va-et-vients au bout de son vagin. Ludivine est à la limite entre plaisir et douleur et cela semble lui faire beaucoup d’effet. Au bout, j’explose au plus profond de son sexe. Ludivine est aux anges.
Je vais chercher les croissants au village pendant que Ludivine se douche. Lorsque je reviens, elle est habillée et a préparé le petit-déjeuner. Même ce moment de "vie de couple" est agréable avec elle. Il est néanmoins trop tard pour nous remettre ensemble. Je lui fais comprendre que je suis ouvert à d’autres soirées telles que celle-ci, sans promesse ni lendemain, à part un petit-déjeuner.
Il est presque midi lorsqu’elle se prépare à partir. Derrière la porte d’entrée, je tiens sa veste alors qu’elle met ses talons. Baiser long et profond. J’avoue :— Tu me fais sacrément de l’effet lorsque tu es habillée en femme.Elle rit et comprend le sens de mon compliment, elle qui a habituellement un style de vêtement très simple (jeans, pull, etc). Elle vérifie en me mettant la main au paquet. Elle sourit, sort mon sexe, s’accroupie et me suce. J’ai envie d’elle une dernière fois. Elle se redresse. Nouveau baiser, mes mains sur ses fesses, remontent sa robe. Je viens derrière elle. Elle gémit, proteste mollement : — Je suis en retard, Florent, tu le sais. J’écarte son string et la pénètre. Elle a pris appui sur la porte et se cambre divinement. Vigoureux, profond et rapide, je la secoue vivement et explose encore une fois en elle. Elle rit : — Mince, j’aime même quand tu me fais l’amour comme ça !— On n’a pas fait l’amour, là, on a baisé.Elle rit, regarde sa montre, jure et file aux toilettes se rhabiller. Dernier smack et elle file.
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