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Ludivine IV : le temps des vacances

Chapitre 1

Hétéro
Un lapin. Un gros. C’est ce que Céleste vient de me poser la veille de nos vacances à Malte. Un peu de mathématique : je n’ai pas 36 solutions, juste 3 possibilités : a) annulerb) partir seulc) trouver quelqu’un
Je n’ai pas envie d’annuler et d’ailleurs, je ne suis pas sûr de pouvoir me faire rembourser. Je pourrais partir seul et sauter des Anglaises à St. Julian. Mouais. Ou appeler Ludivine qui a récemment quitté son copain, Olivier . — Tu es un grand malade. Demain ? Retour samedi prochain ? A quelle heure ? J’ai une soirée samedi prochain. Je ne lui avais rien caché et avoué que je devais partir avec une autre.
Mais samedi 5 septembre 1998, c’est bien Ludivine qui prend place à côté de moi dans l’avion. Nous décollons à 14h et arrivons à Malte à 16h. Deux heures de paperasse, transfert et enregistrement plus tard, nous baisons ardemment sur notre nouveau lit.
Vider les valises, prendre une douche, se préparer et nous descendons déjà pour manger. Ludivine porte une robe noire simple et élégante. Après le repas, au bar, je caresse ses fesses. Elle sourit, je l’embrasse. Nous remontons à la chambre. Sensualité, tendresse, nous faisons l’amour lentement, longuement. C’est divin. Ludivine me suce à trois reprises. Nous nous endormons enlacés. Ce séjour commence très bien.
Au réveil le lendemain matin, Ludivine vient chevaucher ma trique matinale. Je ne vais pas protester et la laisse faire. Elle jouit une fois avant de m’emmener seule à l’orgasme. Petit-déjeuner puis retour dans la chambre pour se mettre en maillot de bain : direction, la piscine de l’hôtel. Ludivine a un bikini bleu très joli et je dois vraiment me contenir lorsque je lui étale de la crème sur le corps car j’ai pleins d’autres idées dans la tête. Bronzage, trempette, lecture. Nous remontons à la chambre à midi et je peux assouvir mes envies. Ludivine me suce divinement avant que je ne la pénètre sur la petite table de la chambre.
Après un sandwich, nous revenons à la piscine et je commence à dénouer le haut du bikini de Ludivine. Elle proteste doucement. Je lui dis que ça me plairait, qu’il n’y a personne que nous connaissons. Elle sourit et le retire complètement. Plus tard, lorsqu’elle s’allonge sur le ventre et qu’elle rentre un peu son bikini entre ses fesses, je me dis que ça fait bien peu de tissu…
Nous remontons dans la chambre vers 17h30. Ludivine me suce une nouvelle fois et nous faisons l’amour sur le lit. Alors que je vais éjaculer, je me retire. Ludivine se tourne (nous étions en levrette) et se couche. Je viens entre ses seins qu’elle maintient dressés pour une superbe branlette espagnole. Je me redresse et arrose sa poitrine. Elle rit. Nous faisons une petite sieste avant la douche et le restaurant.
Robe bleue marine à pois pour la soirée et, détail agréable, ses Dim’Up. Enfin, des nouveaux. Car Ludivine en a acheté six paires depuis que je l’ai "convertie", selon ses mots. Au bar, après le repas, je provoque la jalousie de Ludivine en regardant passer une jolie brune. Ludivine tombe dans mon piège et réagit : — Tout ça parce qu’elle a de gros seins, elle n’est pas très jolie…— J’aime bien.Ludivine devient ironique :— Je suis sûre que ce n’est que du vent. Au lit, ça doit être une planche…Je profite de la perche :
— Possible. Mais un cul comme ça en levrette, ça doit être fabuleux. Sans parler d’y venir directement.Ludivine rit et boit une gorgée de sa vodka-pomme. Je l’embrasse, lui caresse le ventre le frôlant volontairement ses seins. Je sais qu’elle est excitée. Nous finissons nous verres et remontons.
Dans la chambre, nous nous déshabillons mutuellement. Je caresse ses fesses puis glisse jusqu’à son petit trou. Je la relance :— Alors, tu as testé ?Elle rit :— Non. J’ai eu l’occasion, mais je ne voulais pas que ça soit lui en fait.Je feins la naïveté : — Ah bon ? Qui alors ?— Toi, éventuellement...Je souris :— Quoi moi ?Elle rougit un peu : — Toi qui vienne le premier.— Je ne comprends pas.Sourire entendu. Rougissant un peu plus, Ludivine murmure : — Que tu sois le premier à me sodomiser.
Je l’embrasse et la couche sur le lit. Elle jouit avec ma langue puis ma queue. Je prends ensuite le gel intime et la prépare lentement : un doigt, puis deux, trois. Ludivine dit que ça va. Je lui laisse mettre le gel sur mon sexe puis, en cuillères, écartant ses fesses, je viens contre son anus ouvert et m’y introduis doucement. Ludivine gémit franchement. Je commence de petits va-et-vient. Je pénètre petit à petit un peu plus loin. Je demande encore à Ludivine si elle a mal. J’ai insisté sur ce point. Je voulais être sûr que Ludivine voulait vraiment essayer pour elle et pas pour me faire plaisir. Or là, à la moitié de mon sexe, j’entends :— Mmmh… C’est tellement bon !Je ne vais pas plus loin. Allers-retours tranquilles mais rythmés. Ludivine prend toujours du plaisir. Je jouis et me retire. Ludivine se tourne, m’embrasse et me sourit. Elle dit : — Je pensais que ça ferait super mal alors que c’est le pied !— Tu n’as pas eu mal du tout ?— Juste au moment où tu es entré, mais la douleur s’est tout de suite transformée en plaisir.Elle rit et ajoute :— Mes copines avaient dit que c’était super douloureux les premières fois.— Peut-être qu’elles n’avaient pas envie et qu’on leur à un peu forcé la main. Ou peut-être qu’elles n’ont pas été préparées ou pas correctement.— Je ne sais pas. Mais il est clair qu’on le refera.Nous buvons un dernier verre issu du minibar, douche et dodo.
La semaine ne peut pas mieux commencer que lorsque la fille qui partage votre lit vous pompe au réveil aussi divinement que le fait Ludivine. Elle ne va pas au bout et je suis un peu déçu. Je lui demande. Elle me dit qu’elle ne l’a fait qu’un fois avec son ex et qu’elle n’a pas du tout aimé. Comme elle veut.
Nous allons déjeuner puis à la piscine. Ces premiers jours de vacances sont reposants et je m’endors juste après m’être allongé sur le transat.
A midi, je vais chercher des sandwiches au bar et nous mangeons au bord de la piscine. Alors que nous venons de finir, Ludivine se lève et me dit qu’elle va aux toilettes. Je l’accompagne. En chemin, je lui dis que j’irai volontiers jusque dans la cabine avec elle. Elle sourit et lorsqu’elle entre dans les toilettes, elle ne manque pas de se retourner pour me dire que la voie est libre. Ni une ni deux, je m’engouffre dans les toilettes femmes et entraine Ludivine dans une cabine. Je la plaque contre la paroi, mais elle me repousse, s’agenouille devant moi et se lance dans une longue fellation. Je suis au bout, elle se relève, se colle à moi tandis qu’elle me masturbe et m’embrasse. J’explose sur ton ventre, ses mains. Ludivine recule, étale mon sperme sur son bas-ventre et sourit. Elle s’assied ensuite sur le trône, le visage à nouveau à hauteur de ma queue, encore tachée de sperme. Elle l’embrasse délicatement, une fois, deux fois. Je la laisse faire. Elle lèche une goutte de ma semence. Puis une seconde fois. Elle se redresse en souriant tandis que je me remonte mon bermuda de bain. Nous sortons de la cabine sans nous soucier de savoir s’il y a quelqu’un. Une femme d’une cinquantaine d’année sourit en nous voyant passer. Ludivine passe à la douche nettoyer le sperme sur son ventre avant de me rejoindre à la piscine.
17h, nous faisons l’amour sur le lit de notre chambre. Ludivine m’a encore sucé. Sieste. 18h, rebelote bien agréable sans fellation. Nous nous préparons et descendons manger vers 20h. Ludivine est vêtue d’un gilet blanc sans manches et d’une jupe d’été. Après notre désormais traditionnel digestif au bar, nous remontons dans la chambre vers 23h. Nous faisons l’amour dans le fauteuil.
A 1h du matin, Ludivine va se démaquiller dans la salle de bains. Je la suis quelques minutes plus tard et je me colle derrière elle. Nous nous regardons dans la glace, je la pelote. Elle ferme les yeux et ondule devant moi avant d’écarter les jambes et de diriger mon sexe en elle. Aller-retour, aller-retour, Ludivine prend son pied et jouit. Je la prends ensuite par les hanches et la pilonne de plus en plus vivement. Elle jouit une seconde fois au moment où j’éjacule. Sublime. Douche rapide et dodo immédiat.
Les premiers jours sont tous plus sexe les uns que les autres. Ludivine semble vouloir rattraper le temps perdu et se montre de plus de plus impliquée dans nos ébats. Elle commence à le mener, à prendre l’initiative.

Mardi matin, nous faisons l’amour au réveil, principalement en chien de fusil. Nous partons ensuite en visite dans l’ile. Il y a du vent et il ne fait ainsi pas trop chaud. En fin de matinée, nous avons une petite demi-heure avant de reprendre le bus pour revenir à l’hôtel. Le shopping se déroule uniquement dans un centre commercial. J’offre à Ludivine une très jolie robe chemisier blanche ainsi qu’un bikini string rouge.
De retour dans la chambre, Ludivine lave tout ce qu’elle vient d’acheter et avant de descendre manger au bord de la piscine, nous faisons rapidement l’amour. Nous passons ensuite l’après-midi à la piscine et nous baisons en remontant dans la chambre en fin de journée. Le soir, Ludivine met sa nouvelle robe. Après le souper, au bar, je lui demande son string. Elle me le dépose quelques minutes plus tard après un passage par les toilettes.
De retour dans la chambre vers minuit, nous faisons l’amour et je la sodomise pour la seconde fois, toujours en position des cuillères. Très en douceur, comme la première fois. Ludivine en raffole. Aucune douleur, que du plaisir. C’est à peine croyable.
Le mercredi est également placé sous le signe des visites. Nous partons toute la journée non sans avoir fait l’amour au réveil. En fin d’après-midi, dans le car qui nous ramène à l’hôtel, Ludivine me glisse à l’oreille :— J’ai très envie de toi, cette journée était trop longue.Je ris. Je pose le sac de Ludivine sur ses cuisses et glisse ma main entre ses jambes. Je commence à la doigter doucement à travers son short. Elle rougit et referme les cuisses. J’insiste, elle les rouvre un peu, puis un peu plus. Elle me dit qu’elle n’en peut plus. Nous arrivons à l’hôtel et filons dans la chambre. Pas de préliminaires : Ludivine jette son short et son string tandis que je me débarrasse de mes habits. Le sexe détrempé, Ludivine m’attend jambes écartées sur le lit. Et dire qu’il y a quelques mois encore… Je glisse immédiatement au plus profond de son intimité et quelques coups de rein suffisent à faire jouir ma partenaire surexcitée. En levrette ensuite, Ludivine crie tellement que je dois lui mettre la tête dans le coussin. Je jouis sur son ventre et son débardeur. Elle rit et file à la douche.
Nous remettons ça le soir, en remontant du dîner.
La réception nous avait prévenus l’avant-veille qu’il risquait de ne pas faire beau le jeudi. Nous étions cependant loin d’imaginer ces trombes d’eau. Une pluie torrentielle nous réveille vers 8h. Cela nous change de faire l’amour dans la fraicheur. D’ailleurs, nous ne ferons que ça au cours de la journée : — à 10h, en remontant du petit-déjeuner, dans le lit, avec une longue fellation de Ludivine;— à 11h30, avant de descendre manger, sur le petit bureau de la chambre;— à 14h, après le repas, dans le lit;— à 16h, en vitesse, dans les toilettes du bar de l’hôtel;— à 17h, de retour dans notre chambre, Ludivine passe son bikini string;— à 18h30, dans le lit, Ludivine me suce pour la cinquième fois de la journée;— à 20h, juste avant de descendre manger, dans la salle de bains, robe relevée et string écarté;— à 23h30, ébat entre deux êtres très excités, je pilonne très vigoureuse Ludivine en levrette;— à 1h du matin, une dixième fois, un peu difficile et douloureuse, mais d’une grande tendresse. Dix fois. Nous avons fait l’amour dix fois.
— J’ai mal à la chatte.Explosion de rire au réveil le vendredi matin. J’ai également le sexe très douloureux et je passe longuement de l’eau froide dessus lorsque je suis sous la douche. Impossible de faire l’amour. Nous allons en ville le matin et je fais à nouveau quelques cadeaux à Ludivine : un ensemble de lingerie bleu composé d’un soutien-gorge demi-sein et d’un string ouvert et deux robes assez sexy. Elle lave le tout en rentrant à midi.
Je bande à nouveau sans douleur, mais Ludivine n’est pas disposée à faire l’amour. Elle me suce alors longuement sur le lit et je jouis sur ses seins. Déjeuner puis piscine durant l’après-midi avec le retour d’un soleil radieux. Ludivine porte son bikini string rouge. Elle a mis un paréo par dessus et ne le quitte que lorsqu’elle est allongée sur le transat. Je sais qu’elle est un peu gênée. Une vingtaine de minutes plus tard, je lui dis :— On pourrait quand même aller se baigner.— Je n’ai pas très envie cet après-midi.Je me penche sur son visage en posant une main sur ses fesses. — Allez, tu as des fesses sublimes. Tout ce que tu risques, c’est de rendre jalouse les nanas et faire bander les mecs autour de la piscine, voilà tout.— C’est juste toi que je veux faire bander.
Elle se lève finalement. Nous faisons le tour de la piscine pour atteindre les escaliers. Mais c’est surtout lorsque Ludivine sort que je remarque les regards, masculins comme féminins.
En fin de journée, nous remontons dans la chambre et Ludivine commence à me sucer. Toujours aussi bien. Je lui dis que je vais être à bout, mais elle continue. Je jouis dans sa bouche et elle recrache sur mon ventre. Je lui dis à quel point cela m’a fait plaisir. Elle sourit fièrement.
Le soir, elle met l’une de ses nouvelles robes pour descendre souper, un robe tube stretch rouge… sans rien dessous. Ses tétons dardent toute la soirée et ça m’excite prodigieusement. En remontant, j’ai très envie d’elle. Fellation, cunnilingus puis pénétration. Douloureuse. Ludivine :— Je préfère que tu viennes derrière...
Je n’en crois pas mes oreilles. Je prépare la belle et glisse dans son petit trou. Va-et-vients. Elle gémit, dit que c’est trop bon. Elle aimerait essayer à quatre pattes. Je me retire et nous nous mettons en position. Je viens à nouveau dans son cul. Je la prends par les hanches et recommence mes mouvements. Elle me dit d’y aller doucement, de faire attention. Mais après quelques va-et-vient, la même Ludivine m’exhorte à accélérer. Je reste sur la moitié de mon sexe mais accélère les mouvements. Ludivine halète et me dit d’aller un peu plus loin. Elle prend un pied formidable. Je ralentis alors, puis stoppe avant de me retirer. Elle me demande ce que je fais. Je me couche sur le lit et l’attire à califourchon :— Je le laisse prendre le contrôle maintenant.
Ludivine sourit. Elle guide mon sexe dans son anus et glisse dessus. Lentement. Elle commence ses mouvements de hanches. Je suis aux anges. Je ne bouge pas et l’observe s’empaler sur ma bite. Ludivine n’a pas ma retenue et très vite, c’est la totalité de mon sexe qui est en elle. Elle va-et-vient en cadence sur la totalité de ma verge, comme si elle avait dix ans d’expérience derrière elle. C’en est presque déstabilisant. Ludivine gémit bruyamment alors que j’arrive au bout et explose en elle. Elle ondule divinement du bassin avant de se lover contre moi. — J’ai un peu honte de dire mais j’adore ça...Je souris, évidemment ravi.
Samedi est le jour du départ. Nous faisons nos bagages avant de descendre prendre le petit-déjeuner. Ludivine passe le soutien-gorge demi-sein et le string ouvert sous sa robe chemisier blanche pour le voyage. Je suis très excité, d’autant plus que nous n’avons pas eu le temps de faire l’amour.
A l’aéroport, Ludivine sonne au portique de détecteur de métaux. Elle enlève sa ceinture, son bracelet. Nouvelle sonnerie. L’agente de sécurité lui demande d’enlever son collier et sa bague. Ludivine lui assure ne rien avoir de métallique sur elle. Elle repasse dans le portique, ça sonne encore. Ça devient hilarant lorsque Ludivine doit entrer dans une cabine avec l’agente pour se déshabiller. Elle en sort écarlate et me dit qu’une pièce de l’alarme de la robe était coincée dans une couture. Elle a du l’enlever entièrement devant l’agente !
Durant le voyage, Ludivine joue avec les boutons de sa robe et me rend fou. Elle refuse en outre que je la touche, ce qui augmente encore mon désir. Je brûle. Elle agit de même dans la voiture alors que je l’emmène chez elle. Mais elle viendra chez moi en fin d’après-midi où elle se préparera pour sa soirée. A son arrivée, je la baise sans ménagement dans la chambre. Notre ébat se termine par une vigoureuse sodomie (uniquement en levrette), la seconde en moins de 24h pour Ludivine qui, quand même, a un peu mal. Avant qu’elle ne parte, je dis :— Tu viens dormir à la maison après ?— Ce n’est pas un peu exagéré ? On n’est pas ensemble je te rappelle.— Je ne t’oblige pas.Elle me fait marcher et je cours :— On verra, peut-être. Selon la soirée, tu dormiras sûrement de toute façon quand je rentrerai.— Et bien tu te glisseras sans bruit dans le lit.— Je ne sais pas, je verrai en fin de soirée.— Je te laisse une clef ?— Et comment !J’éclate de rire.
Ludivine était bien venue au milieu de la nuit, je ne l’avais remarqué qu’au lever du soleil. A mon réveil un peu plus tard, je sors doucement du lit pour ne pas la réveiller et je vais acheter des croissants. Elle émerge doucement quand je reviens. Je me déshabille et reviens au lit pour une longue fellation de Ludivine puis un ébat très tranquille et long qui se termine par une sodomie. Les coups de rein très rapides dans son petit trou en fin d’ébat semblent lui avoir beaucoup plu. Elle est vraiment comblée. Je lui fais remarquer que c’est la première fois que nous pratiquons buccal, vaginal et anal dans le même ébat. Réponse imparable :— Je suis une fille tout terrain.
Ludivine veut être à la maison vers midi, avant le retour de ses parents. Je prépare le petit-déjeuner pendant qu’elle se douche. Elle me rejoint en peignoir. Ensuite, nous passons dans la chambre et couché sur le lit, je la regarde se préparer entre la salle de bains et la chambre. Dans une robe courte, je lui dis qu’elle est vraiment adorable. Elle sourit. Il est 11h, Ludivine est prête. Elle s’approche de moi, s’agenouille et commence à me sucer. Je dis :— Tu sais que c’est peut-être la toute dernière fois que tu me suces ?— Je crois que j’en ai bien profité.
Je ris. Etant donné qu’elle est habillée, prête à partir (sa veste est sur sa valise et elle a mis ses talons aux pieds), j’imagine alors que cette fellation est un acte isolé. Ludivine se redresse sans m’avoir fait jouir et surtout, son regard n’est pas celui d’une femme qui se contente de cette simple caresse buccale. Elle se lève, retire son string et viens à califourchon sur moi. Son sexe est détrempé et elle s’empale sur ma verge avec facilité. Yeux mi-clos, elle me regarde à peine durant ses va-et-vients et je ne fais que la contempler dans ses ondulations. Divine.
Ludivine me "scotche" alors complètement en "changeant de trou". Certes, ma bite est trempée de sa mouille et elle se doigte un peu avant d’y diriger mon sexe, mais il n’y a aucune préparation. Je la laisse faire. Ludivine glisse très, très lentement. Je ne bouge pas. Elle ondule ensuite à nouveau des hanches et je sens mon sexe aller et venir dans son cul, quand bien même cela "glisse" bien moins que d’habitude. Mais elle va quand même tout au fond. Ma jouissance est intense. Je suis aux anges, un ébat exceptionnel. Ludivine se couche sur moi, tout sourire. — Merci pour ces vacances. Je n’oublierai jamais cette semaine.— Moi non plus. Et elle se termine en feu d’artifice, tu m’as comblé.— On se reverra ?— Peut-être. Peut-être pas. Pas tout de suite.— Ok, pas tout de suite. On laisse le destin décider.— Voilà.
Ludivine file à la salle de bains. Dans l’entrée, nous nous embrassons longuement. Elle s’en va. Nous nous reverrons souvent mais nous ne coucherons plus ensemble.
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