Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 0 Commentaire

La luxure de Marianne

Chapitre 1

Hétéro
Bonjour à tous, je vais vous raconter la suite de mes aventures avec Marianne, une amie mariée de mes parents, mère de 3 enfants.
Alors que nous étions en week-end chez eux, nous avions prévu une sortie en ville pour le lendemain. Le soir venu, j’allai vers la salle de bain pour me laver quand, ouvrant la porte, j’aperçus Marianne qui prenait sa douche. elle avait toujours le même corps magnifique, et du haut de ses 40 ans, elle appelait à la luxure et au sexe.je fus tenté de la rejoindre, mais j’avais que cela n’éveille les soupçons, et je retournais dans la chambre de son fils, qui avait le même age que moi. Cette nuit là, j’eus bien du mal à dormir tant je m’efforçais de trouver un moyen d’être seul avec Marianne ! Et, à force de réfléchir, j’élaborai un plan.Le lendemain, tout le monde était levé vers 9h. Marianne avait d’ores et déjà décrété qu’elle n’irait pas en ville et qu’elle resterait ici pour s’occuper de la maison. Aussi, je restai au lit, et simulai une forte fièvre. mes parents tombèrent dans le panneau, et me laissèrent seul, dans la maison, avec Marianne.
Lorsque tout le monde fut parti, je me levai, et cherchais Marianne dans la maison. Je la vis qui faisait la vaisselle en écoutant de la musique, Chopin si je me rappelle bien. Le bruit de mes pas, couvert par celui du piano, était imperceptible, et je m’approchais d’elle sans qu’elle ne s’en rende compte. lorsque je fus juste derriere elle, je glissai mes mains sur ses hanches, et caressai ses formes. Un frisson la parcourut, et elle tressaillait déjà de plaisir. Elle lâcha l’assiette qu’elle tenait, et recula sa tête blonde, la blottissant contre la mienne. Elle avait fermé les yeux, et sa respiration était rapide... Je commençais à l’embrasser dans le cou et à mordiller son oreille droite. je sentais qu’elle adorait ça. je me baissai, et lui retirais son jean. j’ai embrassé ses fesses magnifiques à travers la dentelle de son string. On aurait dit qu’elle s’était préparée à ce qui se passait ! Elle a reculé ses jambes et s’est cambrée sur le plan de travail de la cuisine. j’ai baissé son string, et son cul s’est dévoilé à moi comme dans un rêve... il n’y avait aucun défaut, pas l’ombre d’un gramme de cellulite. Je ne résistai pas à l’envie d’y plonger, et m’attaquai à son anus déjà humidifié par la mouille qui coulait le long de ses jambes.Elle lâcha un petit cri de surprise qui m’encouragea à aller plus loin. Ma langue se démenait dans son orifice, et j’ai mis un premier doigt dans sa chatte. Je le fis virevoltai sur les parois de sa muqueuse, et elle soupirait de plus en plus fort. Je fis appuyer plus fort ma langue, pour qu’elle rentre dans son cul. Ses jambes magnifiquement galbées tressaillirent.
Je ne résistai plus, et, me relevant, je l’ai tournée vers moi et nous échangeâmes un baiser fougueux et plein d’énergie sexuelle. Je l’ai soulevée, et j’ai marché quelques mètres jusqu’à la table à manger, où je l’ai posée violemment. j’ai baissé mon pantalon, et l’ai pénétrée d’un seul coup de boutoir. Nous avons crié en même temps, tant le soulagement était immense ( et le meilleur était à venir).Elle avait ses jambes de part et d’autres de mon ventre, et j’avais volontairement instauré un rythme assez lent pour faire durer le plaisir. Nous avons continué ce va et vient pendant quelques minutes, puis j’ai mis ses jambes contre mes épaules, ce qui eut pour effet de resserrer ses grandes lèvres. Sa chatte étant devenue plus étroite, notre plaisir était augmenté. J’accélérai le rythme de mes va et vient, et bientôt, mes cuisses claquaient sur ses fesses et faisaient autant de bruit que les cris de Marianne, qui était proche de l’orgasme, et qui criait comme si elle n’avait pas baisé depuis des années (c’était peut être le cas). Je sentais qu’elle était proche du paroxysme, et accélérait encore la cadence. Soudain, les muscles de sa chatte se resserrèrent sur mon membre, et elle hurla mon nom, qui résonna dans toute la maison, ainsi que ses cris de luxure. Elle me jeta un regard enflammé qui me rappela que je n’avais pas joui.
Elle me prit par la main, et m’emmena en courant dans la chambre conjugale. Elle m’a poussé sur le lit, et ma bite se dressait entre nous deux. Elle s’est jetée sur mon membre, et a commencé par de petits baisers sur toute la longueur de mon chibre, ce qui eut pour effet de me rendre dingue, et qui attisa mon désir. Elle a pris ma bite dans sa petite main fine, et à englobé mon gland d’une seul traite, en me branlant. Elle mordillait mon extrémité, par petites morsures, et ça me procurait un plaisir extraordinaire. Depuis ce jour, je n’ai jamais rencontré de femme qui suce aussi bien qu’elle. Bientôt, elle allait de plus en plus loin avec ses lèvres, et mon gland butait vite sur sa glotte, ce qui m’excita terriblement. Elle m’a regardé d’un air dément, et a précipité sa chatte sur mon membre. Elle me surplombait, et j’avais une vision parfait sur ses seins et son visage magnifique qui respirait le plaisir. Le fait que c’était le lit sur lequel elle faisait l’amour à son mari m’a excité. c’était comme violer un sanctuaire interdit. Dans cette ambiance, je ne tardai pas à jouir, et je venais en elle, comme une évidence. Quelques gouttes de foutre sont tombés sur mon ventre, et Marianne eut tôt fait de les boire avec délectation. Elle m’invita dans la salle de bain, où nous prîmes un douche des plus agréables, pleine de caresse et de gâteries buccales...
Je réalisais en me recouchant que nous n’avions pas échangé un mot, ce qui m’étonna, comme si nous n’avions pas eu besoin de communiquer. Et c’est le moment de ma vie où j’ai eu le plus de plaisir, et j’y repense encore à chaque fois que je fais l’amour.
Diffuse en direct !
Regarder son live