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Un lycée très privé

Chapitre 1

Divers
En dehors de tous les plaisirs de chair ou autres que l’on peut pratiquer ou fantasmer, il va de soit que toute relation sexuelle doit être consentie et protégée (préservatifs), il serait dommage que la petite mort se transforme en mort.
L’histoire qui va suivre est en partie réelle (vécue par une amie) et en partie fantasmée (elle rêve toujours de cette jeune et jolie religieuse). Le lycée n’est pas en France, j’ai changé son prénom et je l’ai connue quand nous étions enfants, pratiquant les plaisirs manuels et buccaux mutuellement.
Voilà donc Isabelle, jeune fille de 16 ans, en route pour ses 17 ans. Elle mesure 1,75 m, blonde, yeux d’un vert émeraude, brillants, magnifiques. Ils font penser à une mer chaude des Caraïbes, un sourire fantastique avec des lèvres très pulpeuses. Elle a encore les rondeurs de l’enfance et celles de la femme. Une très belle poitrine, fière, droite, attire tous les regards.Isabelle ne s’intéresse pas aux études, par contre, elle pratique plusieurs sports et notamment le sport en chambre. Elle a commencé sa sexualité très tôt. Dés l’enfance, elle se masturbait au moins une fois par jour (seule bien sûre), plus tard, elle jouait avec des copines. C’était la découverte du plaisir, qui reste une chose très belle tant que les enfants le font seuls ou entre eux. Ni garçons ni adultes dans ces jeux innocents. Puis, elle a passé 2 étés chez ses grands-parents, et le jour de ses 16 ans, elle faisait une sieste dans les champs, quand un jeune campagnard, la trouva et l’aima. Quelle belle façon de perdre son innocence mais, peu sérieuse car non protégée.
Comme ses résultats étaient médiocres, ses parents ont décidé de l’envoyer dans une pension réputée sévère, tenue par des religieuses. Quand ils l’ont accompagnée à la pension, en eux-mêmes, ils regrettaient un peu leur décision tant l’établissement semblait austère, autant que le visage de la mère supérieure qui les recevait. Isabelle n’allait pas s’amuser mais au moins, pourrait-elle travailler et améliorer ses résultats scolaires.Les chambres étaient sinistres, grises, prévues pour 4 jeunes filles. Les lits faits au carré, avec une armoire en fer, grise, et une table de nuit assortie, une croix au dessus de chaque lit. Isabelle rangea ses affaires, et fit la connaissance de ses camarades de chambre : Louise, Aurore, et Fabiola. Les parents partirent, un peu soucieux tout de même. Après le repas, les filles regagnèrent leur chambre, firent leur toilette et se couchèrent. Isabelle ne dormait pas, se demandant comment allait se passer son séjour et ce qu’elle ferait, en dehors de ses études. Elle entendit des soupirs, d’abord discrets, puis de moins en moins, nul doute que les filles allaient jouir sans tarder.— Je peux jouer aussi ?— Bien sûr ! on n’était pas sûres que tu veuilles jouer avec nous— Oh si, j’aime ça.Et voilà Isabelle dans le lit de Louise avec Aurore et Fabiola. Elles se sont caressées, embrassées, léchées, masturbées tant et plus, jouissant, inondant leur bouche de cyprine, nettoyant les doigts humides. Aucune ne connut l’orgasme mais chacune eut des plaisirs très forts, de belles jouissances malgré tout. Isabelle leur dit que, pour elle, l’orgasme était venu à la pénétration. Les trois autres filles avaient son âge, et n’avait pas encore connu l’homme ou les jouets le remplaçant. Évidemment, elles questionnèrent Isabelle, comment il était, comment c’était, et Isabelle leur a raconté sa mésaventure et bien décrit le sexe du garçon.
Les semaines passèrent. Isabelle avait des cours le matin et l’après-midi avec différentes religieuses dont une, sœur Angélique. Elle avait un visage si doux, si beau. Isabelle en pinçait pour elle. Souvent, Isabelle imaginait que c’était elle qui la suçait plutôt que Louise ou Aurore ou Fabiola. Elle savait que c’était un fantasme, mais c’était plus fort qu’elle. Elle se demandait si, bien que bonne sœur, sœur Angélique se caressait le soir. Ça devait bien la titiller tout de même, comme son sexe à elle qui réclamait une belle queue mais n’en avait pas.
Il n’y avait pas d’homme bien sûr au couvent, sauf deux : le prêtre qui venait dire la messe le dimanche matin et faisait les confessions. C’était un vieil homme bedonnant, carrément pas attirant. Isabelle se demandait souvent s’il n’avait pas été choisi pour ce physique qui ne laissait place à aucun fantasme. Le second était le jardinier qui entretenait le jardin, la cour, le parc et faisait les travaux de force. Il avait entre 30 et 40 ans, difficile à dire. Une vraie tignasse qu’il ne soignait pas du tout, même pas un coup de peigne, des yeux cachés sous les sourcils épais et les mèches de la tignasse, une barbe de 3 jours, un corps musclé (vu tous les travaux qu’il faisait, normal) et silencieux. Jamais il ne regardait les filles, jamais le moindre mot, bizarre et intriguant. La plupart des filles en avait peur, mais pas Isabelle.
Un jour, elle se promenait seule dans le parc, quand elle ressentit une petite envie. Elle s’installa derrière un arbre et laissa la nature faire le reste. Elle allait se rhabiller quand une autre envie la prit. Elle vit comme une clairière, avec une belle souche d’arbre sur laquelle elle s’installa. Sa culotte était sur ses chevilles, elle ouvrit les cuisses, sentit le vent la caresser, ce qu’elle aima. Elle mit un doigt dans sa bouche pour l’humidifier, et se mit à se caresser, d’abord doucement puis plus fort. Elle ne tarda pas à mouiller et même à gémir. Il se trouve que le jardinier n’était pas loin, il entendit les gémissements et alla voir.
Ce qu’il vit lui mit l’eau à la bouche, il y avait un moment qu’il n’avait pas couché avec une femme, se contentant de plaisirs manuels. Une belle jeune fille qu’il avait remarquée, même s’il n’avait rien dit. Sexe ouvert au vent, luisant et offert, s’offrant un plaisir solitaire, ce tableau lui fit dresser la queue. Il s’avança vers elle, se déboutonna, son sexe s’échappa, prêt à l’usage. Elle tourna la tête vers lui, le regarda, regarda son sexe et sourit. Elle passa sa langue sur ses lèvres, elle n’avait jamais gouté le sexe d’un homme, et elle le prit en bouche.
Il était doux, tiède, comme de la soie. Elle aime passer sa langue dessus. OH, on dirait un chapeau, le gland apparait, rouge luisant, quelques gouttes transparentes sortent au bout. Elle goute, ca n’a pas de goût. En passant sa langue dessus, elle sent un frémissement de la part du jardinier, alors elle recommence, elle tente de rentrer sa langue dans le petit trou du dessus, frémissement encore. Elle la sort de sa bouche, la touche avec les doigts, partant à la découverte, elle sent les veines battre le long de la verge, que c’est doux. Elle dit au jardinier qu’elle n’a jamais touché un sexe d’homme, alors il la guide gentiment, guidant sa main, lui disant comment le sucer et le caresser. Il l’invite à toucher ses testicules, de jouer avec, ce qu’elle fait en y prenant beaucoup de plaisir. Elle le reprend en bouche et le suce plus franchement, plus vite, elle sent un mouvement le long du sexe de l’homme et soudain, il gicle dans sa bouche, il lui dit « avale », et elle savoure le sperme, liquide blanc et sirupeux et elle aime cela, elle ne voudrait encore, le lui dit et lui rit.
Mais, s’il a éjaculé, il reste très en forme, car ses bourses sont vraiment pleines. Il l’allonge, lui écarte les jambes, glisse une main entre ses jambes, sent l’humidité, il la pénètre et commence un va et vient qui très vite, fait gémir Isabelle. Il accélère le mouvement, il va jouir, se retient, recommence jusqu’à ce qu’elle crie, elle a un orgasme qui redouble en sentant son sperme inonder son vagin. Ils se rhabillent, rassasié.
— Viens me voir à ma cabane, le soir, on jouera ensemble et je t’apprendrais ce que tu ne sais pas encore— Oh oui, je veux, c’était si bon
Le soir, pendant les jeux homosexuels habituels, Isabelle raconte son aventure à ses amies. Demain soir, c’est sûr, elle va y aller. Ses copines sont jalouses, elles voudraient aussi goûter au jardinier si viril.Le lendemain, le soir venu, ses amies l’aidèrent à quitter la chambre et le bâtiment, et elle alla à la petite maison du jardinier, retirée dans le parc. Elle s’approche quand elle entend des cris provenant de la maison. Elle se poste près de la fenêtre et regarde ce qui se passe à l’intérieur, une chance il n’y a pas de rideaux et l’un des carreaux est cassé, donc elle voit et entend tout. Et ce qu’elle voit la laisse pantoise : sur une table, il y a sœur Angélique, le buste contre la table, les jambes tendues, la robe relevée, on voit ses fesses toutes roses. Isabelle salive à la vue de ces fesses. Le jardinier est derrière elle, un fouet à la main. — Punis moi, je suis une pécheresse, punis moi.— Oh mais tu vas l’avoir ta punitionEt le jardinier fouette sœur Angélique, qui très vite, y prend visiblement plaisir. Isabelle est sidérée. Elle ne comprend pas ce qu’elle voit. Comment ? On peut prendre du plaisir à être battue ? Elle est encore jeune et n’a pas d’expérience, mis à part ses jeux lesbiens inoffensifs.
A un moment, sœur Angélique, crie de plaisir et le jardinier relève la tête et voit Isabelle. Il lui fait signe d’entrer, en silence comme d’habitude. Intimidée, Isabelle ouvre la porte doucement et approche par derrière, sœur Angélique ne la voit pas. Le jardinier lui fait signe de se déshabiller. Il dit à la religieuse :— Tu n’as pas été sage, je vais devoir sévir— Oh oui, j’ai péché, j’ai péché, j’ai de mauvaises pensées répond la sœur qui n’a pas vu la jeune filleIsabelle fait le tour de la table et se présente nue devant le visage de sœur Angélique.— Oh non, quelle humiliation dit la jeune religieuse— Oh non, quel plaisir tu vas lui donner et nous donnerIsabelle s’installe sur la table, face à la religieuse, jambes grandes ouvertes, lui présentant son sexe dont l’odeur dit bien l’excitation de la jeune fille.— Suce là, fais le bien, bénis ce sexe et quand elle jouira, tu boiras tout son jusHumiliée, mais excitée, la jeune religieuse se met en devoir de lécher la chatte de la jeune fille, elle déguste ses chairs qu’elle ne connait pas, et elle aime cela, étonnée.Isabelle lui dit : léchez mon doigt d’amour, j’adoreCe que fait la sœur, elle suce longuement, déguste cette moule, ce coquillage et bientôt Isabelle gémit :— Oh oui, encore, encore, je vais jouir, plus vite plus fort, depuis le temps que j’en rêvaisLa sœur, fouettée, continue à sucer et y mets tant d’ardeur qu’Isabelle jouit. Un fort jet de cyprine jaillit et la sœur est obligée de tout avaler. Isabelle, bonne fille, lui lèche le visage pour récolter son propre jus.
— Mets toi à 4 pattes fillette, la sœur a des mains, elle va les utiliserAussitôt dit, aussitôt fait : Isabelle est à 4 pattes, la sœur derrière elle et le jardinier derrière la sœur. Le jardinier dit à la sœur de doigter Isabelle, alors elle lui introduit un doigt dans le sexe, tremblant car elle ne l’a jamais fait. La jeune fille frémit, et en demande plus, alors sœur Angélique lui introduit un deuxième doigt puis un troisième et commence à limer la chatte en feu mais très humide. C’est alors que le jardinier lui dit :— Mets-lui un doigt dans l’anus— Oh non, pas ça ! — Oh si ! fais-leAlors bon gré mal gré, la sœur s’incline. Elle introduit un doigt dans l’anus d’Isabelle. La jeune fille n’a jamais connu cette caresse, elle a mal, grimace, puis la sœur lui met un deuxième doigt, elle s’est redressée, utilise sa main gauche dans la chatte et la droite dans l’anus, enfin les doigts, elle finit par mettre 4 doigts partout et le pouce sur le clitoris. Isabelle jouit tant et plus des deux trous, demande que cela cesse, supplie mais le jardinier ordonne à la sœur de continuer, Isabelle connait alors un orgasme intense, à la limite de l’évanouissement.
Alors, le jardinier dit qu’il va sodomiser Isabelle, qu’elle est prête à aimer cela et en jouir. Il installe Isabelle à la place de sœur Angélique, Isabelle tend ses fesses vers le sexe tendu et gonflé du jardinier. Ce dernier ordonne à la sœur de lécher Isabelle pendant qu’il l’encule. Et alors, il place son gland à l’entrée de la rondelle d’Isabelle, rondelle ouverte et luisante de cyprine, il entre comme dans du beurre. Isabelle gémit de plaisir, à ce moment là sœur Angélique s’active sur sa chatte, et voilà Isabelle qui s’offre un nouvel orgasme. Le jardinier a aimé cette sodomie mais n’a pas joui, il s’est retenu.
Il remet la sœur à sa place première, se présente devant elle, son sexe bandé et luisant des sucs d’Isabelle. La sœur comprend ce qu’il attend d’elle, elle veut le faire mais recule encore, Isabelle a ce moment là la fouette en lui disant « suce le, prend le en bouche, nettoie le »Alors sœur Angélique commence à sucer le jardinier pendant qu’Isabelle se met à genou et se met à sucer la chatte de la sœur. Elle en a tellement rêvé, elle est à elle, elle la goute, la suce, titille son clitoris, l’aspire, remonte sur le petit trou et le lèche, rentrant la langue. Le jardinier n’en peut plus, il éjacule dans la bouche de sœur Angélique pendant que celle-ci jouit dans la bouche d’Isabelle. Le jardinier veut une nouvelle fellation car il adore cela, sentir la bouche de la sœur sur sa bite, quel bonheur. Isabelle a alors l’idée de prendre le fouet, et de présenter le manche à la chatte de la religieuse. Elle la pénètre doucement le plus loin possible, quand elle sent la mouille de sœur Angélique, elle se met à limer tant et plus et sœur Angélique connait l’orgasme au moment où le jardinier éjacule de nouveau dans sa bouche.
Ils se rhabillent, les sens repus et se donnent rendez-vous le lendemain soir. Aux vacances suivantes, les parents d’Angélique lui ont proposé de la retirer du lycée en question, mais elle a refusé, elle ne voulait pas se priver du plaisir quotidien qu’elle avait avec ses partenaires. Elle n’a pas raconté à ses amies ce qu’elle avait fait avec sœur Angélique et le jardinier, dont elle n’a jamais su le prénom, pas plus que la fois où elle était sous le bureau de cette religieuse, lui faisant une langue, pendant que celle-ci surveillait une classe. Ce furent ses plus belles années d’étude.
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