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madame T

Chapitre 1

Zoophilie
Je me prénomme Patrick, à l’époque j’avais vingt et un ans et j’habitais toujours chez mes parents, et après une année d’étude catastrophique, mes parent avaient sévi .Pas de vacances d’été seul à la maison.Ils m’envoyaient à la campagne ,chez les grands parents ,au beau au milieu de la nature .Le matin ,je devais aider « au jardin » ,comme l’appelais papy .En réalité un champ qu’ il avait gardé et dans lequel ils cultivaient des légumes ,pour leur consommation et la vente sur les marchés et l’après-midi au programme ,des révisions, surveillé par mamie et papy .J’avais quartier libre vers dix-sept heure jusque vingt heure .Je trainais dans la campagne , j’avais pris l’habitude de me rendre ,en passant à travers un bois ,rendre visite à Blanco ,le cheval blanc gris de papy ,.Celui-ci passait l’été ,dans sa pâture ,.Il y avait un abri avec de la paille et je devais aller le voir tous les jours . Celle-ci était éloignée, en arrivant à l’orée du bois, j’apercevais la silhouette d’une femme, environ la cinquantaine, je la reconnais c’est madame T, l’ancienne institutrice du village, veuve depuis quelques années, vivant de ses rentes depuis la fermeture de l’école du village .Elle est vêtue d’une simple robe fermant sur le devant à l’aide d’une ceinture en tissu. . Elle est encore bien foutue pour son âge, elle est tout près de l’abri en train de caresser le cheval je m’approche un peu plus sans bruit pour ne pas être vu, je suis un peu excité par cette femme qui est vraiment belle et aussi une belle poitrine, je suis à présent a cinq mètres d’elle .Je m’apprête à me faire voir ,lorsque je reste médusé , je vois sa main qui passe sous le cheval et qui commence à tripoter le sexe de l’animal, qui commence à s’étirer ,puis elle commence un mouvement de va et vient, elle est en train de branler le cheval, je suis excité par cette vision ,j’ai la présence d’esprit de prendre mon portable et de filmer la scène .Je me trouve vite dans une sacré érection, je sors ma queue et commence à me branler également. A quelques mètres je vois madame T, qui à présent ôté sa robe, elle est nue dessous, et qui s’active de plus en plus sur la bite de ce cheval qui maintenant est en érection.Elle marmonne à voix basse, « c’est bon hein mon joli, tu aimes quand je te branle, comme elle est longue et grosse ta queue »

Et là je me dis, IL faut que j’en profite, je décide de surprendre cette femme qui branle ce cheval, car tout en continuant à le branler elle se caresse la chatte. A ce moment-là, elle s’agenouille devant la bête sans lâcher le membre surdimensionné, je suis sidéré, va-t-elle prendre cette queue dans sa bouche pour la sucer?Elle est sur le point de le faire, elle approche le sexe de son visage, quand soudain un bruit de tracteur se fait entendre, elle se redresse, remet sa robe prestement et repart tranquillement. A mon grand regret le spectacle était terminé, me consolant, après cette aventure, en me branlant comme un fou, en matant la vidéo. Chaque fin d’après-midi, je me rendais à l’enclos, mais malheureusement rien, madame T ne venait pas. Et après plusieurs jours, je l’ai vu arriver. Elle était vêtue de la même façon, le cheval s’est mis à bander dès son arrivée,.Apres s’être assurer être seule, elle dénoue sa ceinture et retire sa robe qui tombe par terre, elle est nue .Elle recommence le même manège, les caresses accompagné de compliments au cheval, et je me suis dit cette fois je ne vais pas attendre, et donc je m’avance et lui lance un « bonsoir, il est beau n’est-ce pas »Elle est surprise de me voir, elle me reconnait et rougit, elle bredouille « Oh oui il est magnifique ». Elle ne pense même pas à cacher sa nudité .Je peux admirer sa paire de seins et de sa vulve presque imberbe. Je m’empresse de lui montrer le sexe qui pend sous le ventre du cheval « vous lui faites de l’effet, »C’est vrai me dit elle « il est drôlement impressionnant son machin »J’éclate de rire. «Vous savez, ce n’est pas la première fois que je vous vois .Je vous ai vu l’autre jour, j’ai trouvé ça excitant et puis j’ai même un petit souvenir» lui dis-je, en montrant mon portable.Elle balbutie « ce n’est pas vrai» Je lui montre la vidéo « vous savez a la campagne, une réputation est vite détruite .Faites ce que je demande et je détruirai la vidéo ».«Tu n’oserais quand même pas m’obliger ? » »«Oh que si, je suis sérieux, sinon je montre ce film a tout le village, de plus vous étés vachement bandante, j’aimerais bien en profiter aussi»« Enfin quoi ! Patrick, a ton âge ?, faire chanter et vouloir baiser une vieille femme comme moi ! Tu n’as pas de petite copine? » ,« Suce le, salope ! Apres je te baiserai ! »«J’ai vingt et un ans, et non je n’ai jamais eu de copine, je suis encore puceau, si vous voulez le savoir et je pense que je ne le serais plus fort longtemps, allez y branlez ce cheval, sucez le !»Et comme elle ne semblait pas obéir, j’hurlais :
Je la vois sa main attrapait le sexe du cheval et commence à le branler, elle s’adresse à moi « mets-toi à poil, aussi et c’est vrai que j’ai envie »Je me mets à poil en un rien de temps, la bite a l’équerre, elle prend ma bite en bouche, tout en ne lâchant pas la bite du cheval, et commence à me sucer, elle est déchaînée, tout en suçant elle me dit « c’est bon, j’aime ta queue elle est bonne »
Je lui réponds, « je crois que lui aussi serait content d’être sucé, madame »Elle hésite à s’exécuter.Je répété d’un ton autoritaire : « Allez-y il n’attend que ça, allez y sucez le, suce le salope !! »Un peu apeurée, elle s’exécute, elle approche sa bouche et commence à lui donner des coups de langue, je suis moi aussi en train de me branler devant ce spectacle, je profite pour lui caresser les seins, glisser la main dans son entrejambes, il est trempé .Elle commence à s’activer et après quelques coups de langue, elle prend la bite en bouche .Elle commence de lents va et vient enfonçant au plus profond cette énorme bite. , ma main qui lui caresse la chatte est trempée par la cyprine qui s’écoule. Elle tente de me dire quelque chose, je ne comprends pas ses paroles étouffés. Le cheval émet un son guttural, il tape du sabot sur le sol, et je vois couler des commissures des lèvres de madame T, le sperme du cheval .D’un geste, elle recrache la bite, les giclées de sperme jaillisse sur son visage, ses seins .Péniblement, elle se relevé, elle me dit « prend moi comme la salope que je suis, mets-moi ta bite dans ma chatte, défonces moi mon petit »Voilà, comment j’’ai baisé la première fois, a la campagne, une vieille salope
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