Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 80 J'aime
  • 2 Commentaires

Madame...

Chapitre 2

Divers
Chapitre 2
« Mon cher Chris, il me faut vous mettre au parfum sur les coutumes de cette maison. Sybile vous l’a dit, je peux être sévère, méchante, un brin sadique pour qui me désobéit. Autant vous dire que je serais intraitable même avec vous. Cela étant, le week-end, quand je ne reçois pas, on vit dans la décontraction la plus totale. Alors si vous voyez une servante nue, ou Gisèle et même moi, comme vous le découvrez, ne vous en offusquez pas, c’est normal, je suis du genre naturiste. Cependant, vous concernant, je ne sais s’il est une bonne idée que de nous imiter. Je crois savoir qu’Alaine et Agate vous ont dévoilé leurs charmes, il me semble. » Madame explique si bien que je bande à nouveau.
« C’est exacte, Madame la Comtesse. J’en ai été très agréablement surpris, je vous le concède. Cependant, pour le moment, me promener nu me dérange un peu. J’ai peur de ne pas être à la hauteur des attentes de Madame. » Ben oui, je suis un homme un peu timide
« Voilà qui me parait honnête de votre part et c’est tout à votre honneur. »
Sur ses mots, Madame se lève, sans fermer son peignoir et me donne raison, elle réellement sublime. Quand elle marche, s’approche de moi, j’ai l’impression qu’elle marche sur un nuage. Ses bras le long du corps provoquent la chute de son peignoir et je tombe à genou devant ce corps. Madame semble enjouée, me collant mon visage contre son sexe. Je ne résiste pas, je lèche, suce, bois cette femme. Là, à ce moment, je ne suis plus qu’un jouet à ses pieds.
Sa main agrippe mes cheveux, plaquant mon visage plus fort encore. Je manque presque d’air et pourtant, je me sens bien. J’entends une clochette s’agiter.
« Fais venir toutes les autres »
« Bien Maîtresse. »
« Mon jeune ami, je crains que le montant de la facture vient subitement d’augmenter pour atteindre des sommets, lèche moi mieux que ça, sale gamin ! »
Je ne réponds pas, je me délecte de sa cyprine qui coule en abondance, qui coule sans fin. Je parviens à mettre mes mains sur les fesses de Madame. Derrière moi, tout le personnel de Madame peut me voir à l’œuvre, même Gisèle est là. Je reste impassible, j’ai ce sexe à dévorer et il me plait de la dévorer. Madame sent que je suis avide d’elle, de ses sucs, de ses odeurs. Soudain, un flot inonde ma bouche, je le bois, il est salé, un brin amer, Madame urine dans ma bouche, il en est finit de ma liberté d’homme. Pour elle et ses filles, je suis prêt à tout.
« Vous voyez les filles, un homme, on peut l’apprivoiser, en faire son toutou. Lui, il ne lui a fallu qu’une bonne heure pour qu’il nous mange dans la main. Continue, Chris, tu me plais comme homme. On ne sera pas trop sévère avec toi si tu continues dans cette voie. »
Je ne cessais de lécher Madame que pour la respirer. Je voulais bien n’être que leur jouet. Après tout, vivre au milieu de onze servantes, d’une gouvernante et d’une Comtesse aussi perverse que vicieuse, je le voulais dorénavant. Madame se raidit soudainement, disant à toutes ses compagnes que j’étais en train de la faire jouir et merveilleusement jouir à l’en croire. Elle retomba sur une chaise, dégageant mon visage de son intimité. On se regarda un long moment. Elle fit un signe. Trois servantes, dont Alaine et Clélia me retirèrent mes vêtements. Je me laissais faire en fixant Madame. Mon regard devait lui dire que je n’avais pas peur d’elle, ce qui était vrai. Enfin, si elle n’avait pas l’intention de se servir de moi d’exutoire contre les hommes en général.
Madame se pencha, posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue força ma bouche, elle peut savoir que je l’avais bue entièrement. Sa langue fouilla ma bouche, je répondis à son baiser. Dans la cheminée, mes vêtements se consumaient, je n’en avais plus rien faire. Sur mes genoux, le corps bien droit, le sexe en érection, madame inspecta mon corps jusque dans les moindres recoins. Puis elle me gifla en me disant que c’était pour sa Rolls. La gifle fut violente et pourtant, je restais droit comme un i.

Sur un geste de sa main, je me levais. Elle me fit voir par toutes ses filles. C’est là que je les vis, sans une once de tissu sur leur corps. Des corps tous différents, mais tous aussi beaux les uns que les autres, chacun à sa manière. Gisèle s’est avancée. Dans sa main, elle avait un collier fait d’une chaine. Je ne voulais pas résister, je voulais connaitre cette vie, celle faite d’une soumission sans partage, même si j’avais le peur au ventre. Je baissais ma tête, le collier se referma sur ma nuque. D’une geste, Gisèle fit venir Agate devant moi.
« Tu vois, jeune chien. Cette fille n’est pas d’une grande beauté. Mais toi, tu l’as trouvée exquise, imparfaitement parfaite selon tes mots. Alors, je te donne à Agate pour toute la journée. Sache qu’elle a tous les droits sur toi, que tu dois lui obéir en tout. Madame sait punir ceux qui désobéissent. Agate, il est à toi, profite en bien et ne nous l’abime pas trop. » Gisèle était aussi autoritaire que sa Maîtresse.
« Non Mademoiselle Gisèle. » répondit Agate à la gouvernante.
Agate me prit par la main, je traversais les employées réunies, des mains se perdirent sur moi à mon passage. Nous sommes montés d’un étage. Sur la double porte, il était gravé salle d’amour. Agate me fit pousser la porte. L’intérieur de cette pièce n’était qu’une vaste étendue de matelas, de coussin. Sur les murs, le plafond, des miroirs couvraient toute la surface. Agate m’arrêta, me retourna et m’embrassa copieusement. Très vite, elle se montra sous son vrai jour, une petite furie. Aucun préliminaire, embrochée sur mon sexe, elle galopait déjà. Je sus, cette fois, me retenir suffisamment longtemps pour la faire jouir. Pour baiser, on a baisé et dans toutes les positions possibles et imaginables, même dans certaines très acrobatiques. Agate aimait être prise. Elle me donna même son dernier pucelage, son postérieur merveilleusement volumineux. Détendu, je pénétrais ce cul très facilement et le ramonais sans faillir. Je jouis dans ce cul, en même temps qu’Agate. Je la couchais sur le dos et ma bouche partit lui donner du plaisir en m’installant entre ses cuisses dodues. J’ai tout lécher, du cul au pubis en passant par ses pieds et ses seins. J’ai tout embrassé, j’ai même mordillé, étiré, tordu cette chair que ne demandait que ça.
Elle fut la première à demander grâce. Et moi, je ne me contrôlais que très mal, j’en voulais encore. Je me fis tendre, lascif, presque amoureux avec Agate. Elle me confia que j’étais le premier à ne pas la traiter de boudin, de grosse truie. Je lui rétorquais qu’aucun humain ne méritait d’être affublé de mot si cruel. Elle me donna un bain, oui, elle inversa les rôles. Je pus encore la prendre un fois avant de ne plus pouvoir, là, dans cette vaste baignoire.
On y resta longtemps, sans parler, juste à nous bécoter tendrement, à nous caresser. Quand on sortit de la salle d’amour, il faisait nuit. Je voulus l’entrainer dans ma chambre, elle lâcha ma main, son moment de liberté se terminait aux douze coups de minuit, comme pour cendrillon. Je monte péniblement ces deux étages et tombe comme une pierre sur le lit.
Au matin, deux filles arrivèrent comme la veille, je ne me souviens plus de leur prénom, si, d’une, Caroline. Belle, allemande, je vis de suite que les hommes n’étaient pas sa tasse de thé. Portant, avec mon allemand, elle se détendit face à ma nudité, elle me baigna même. Je me gardais cependant d’être entreprenant avec elle. Je crois même qu’elle en fit toute étonnée. Les deux m’habillèrent de ma salopette et rien d’autre. D’une paire de ciseau, Caroline coupa et retira la fermeture éclair de ma braguette. Sa main caressait brièvement mon pénis. Je crus le bon moment de déposé un furtif bisou sur sa joue. Elle me sourit encore, me remercia de la respecter. Gisèle arriva, impériale dans une tenue de Maîtresse de maison sévère.
« Elle n’aime pas les hommes depuis son viol. » Affirme Gisèle.
« Caroline, jamais je ne toucherais un femme à qui je fais peur parce que je suis un homme. »
« Danke, Meister. Danke » Me répond caroline
« Madame appréciera votre geste. Personnellement, si je ne suis pas un fan des hommes, vous me plaisez. À croire que votre éducation porte ses fruits. » Déclare Gisèle
« On m’a éduqué dans le respect de l’autre, ni plus ni moins. » Complétais-je.
« Danke Meister, c’est tout à votre honneur, un soir, peut-être, je viendrais. » Me dit Caroline.
« Ne te force pas, tu n’y es pas obligée. Mais sache que je te trouve très belle. » Ajoutai-je
Elle posa ma ceinture d’outil, je pris ma trousse, je n’avais plus faim. Gisèle me guida vers la chaufferie. En descendant, elle me fit un topo sur les filles de Madame. La plus part avaient subis des affronts violents, des insultes, de viols pour une ou deux. J’en étais attrister que cela se passe ainsi dans ce monde de merde. Gisèle m’arrêta à la porte de la chaufferie. Sa main caressa ma joue. Elle m’avoua avoir subi un viol et pas six jeunes hommes. Je n’ai pas résisté, je l’ai embrassée tendrement.
Dans ce local, je fis le tour de tout. Tout était désuet, presque mort, usé jusqu’à la corde. Je demandais à voir Madame par un interphone. Alaine vint me guider auprès de Madame qui se trouvait dans une salle équipée pour le fitness.
« Madame, mes hommages. Je crains de n’avoir que de très mauvaises nouvelles. Votre système de chauffage va vous lâcher d’un jour à l’autre. Tout est à refaire et avec du neuf. » C’était mon topo.
« Bonjour, jeune homme. C’est bien ce que m’avait dit ce plombier. Mais comme il était un peu ivre, je ne l’ai pas cru. À combien estimez-vous le prix et le temps pour tout refaire, je dis bien tout. » Madame est décidée, ça me plait.
Pour le travail, entre un moi et six mois. Tout dépend si je dois faire cela en continuant à chauffer ou pas. Pour le prix, à vue de nez, entre 15 et 30.000.- si on s’en tient au local de chaufferie. Si toute la plomberie est à faire, il faut compter le double, on sera plus proche de 50.000.- et en tout cas pour trois mois de plus en étant seul. » Mon estimation ne la fit pas trembler.
« Je ne vais pas vous demandez l’impossible. Approchez, mon jeune ami. Pour commencer, je vais mandater une entreprise que vous voudrez bien me conseiller. Ensuite, je crois que nous laisserons cette entreprise travailler sans notre présence. Et là, tout de suite, baise ta Maîtresse, jeune pourceau. » Un ordre comme ça, cela ne se refuse jamais.
Ma salopette était au sol, je l’enjambais me couchant près de ma Maîtresse. Je lui fis l’amour, préliminaire et tout le toutim. C’est elle qui m’acheva, me vidant de mes dernières forces dans une fellation dont elle avait le secret.
« Hier, avec Agate, tu t’es montré plus que parfait. Je vais te retirer ton collier »
« Non, surtout pas. Laissez le moi, je veux vous appartenir ! »
« Voilà qui n’est pas pour me déplaire, jeune amoureux. Gisèle m’a aussi rapporté pour Caroline et elle. J’aime les hommes qui se montrent respectueux. Vas te reposer. Tu reprendras ton inspection après le diner » Elle se fait douce et je l’aime, je ne peux le nier
« Bien Maîtresse, je suis à vos ordres. » Ma réponse illumine son regard.
Dans ma chambre, je pose tout et ne retiens rien, sauf ce lit confortable. Je suppose que ne me voyant pas redescendre, Madame a donné pour ordre de m’apporter mon repas et c’est Caroline qui s’y colle. Je devine même qu’elle s’est proposée volontairement. Devant mon corps nu, je la laisse faire. Je lui donne même l’autorisation de me cogner sèchement si je me montrais trop entreprenant. Elle sourit en poussant ce chariot devant moi. Elle remplit mon assiette et s’agenouilla. Je la relavais, l’asseyant près de moi sur le lit. Je la sentais empruntée, ne sachant que faire. J’ai délicatement pris sa main sans forcer. Elle se laissa guider, je la posais sur ma cuisse. De ma cuisse, sa main glissa sur mon dos. Puis, elle se mit à genou dans mon dos, me le massant tendrement. Parfois, j’eus l’impression qu’elle me l’embrassait. En tout cas, sa longue chevelure caressait ma peau.
Mon repas terminé, lentement, je me tournais vers Caroline. Nos bouches fusionnèrent, elle s’abandonna. Épuisé avec Madame, je n’avais pas la force de bandé. C’est mes mains et ma bouche qui jouèrent parfaitement leur rôle. Je sais que Madame peut me voir. En me couchant tout à l’heure, j’ai vu briller l’objectif de cette caméra dissimulée derrière la grille d’aération. Donc, si elle nous voit, elle nous entend. Caroline, bien que tendue, finit par se détendre sous mes caresses, mes baiser. C’est elle qui guida mes mains entre ses cuisses. C’est elle qui menait le jeu. C’est elle encore qui fixait les limites. C’est moi qui étais enchanté que cela se passe aussi bien pour elle. Une belle érection fit plaisir à Caroline. Lentement, elle me coucha sur le dos. Lentement elle s’empala sur mon corps. Tendrement, je caressais son corps. Amoureusement, on s’embrassa. Elle fut heureuse de jouir après un long moment et moi, je fus surpris d’avoir tenu une si longue érection. Caroline fut si heureuse qu’elle hurlait son bonheur en courant partout entièrement nue.
J’enfilais ma salopette, ma ceinture et pris ma trousse pour une inspection en règle de l’étage. Le constat fut amer, il fallait tout changer. Les tuyaux étaient encore en plomb et sur le point de casser. Je retrouvais Madame en compagnie de Caroline. Toutes les deux s’aimaient tendrement. Madame, alors que j’allais faire demi-tour, me fit approcher. Je lui fis mon second topo et il était sans appel. Caroline me sauta au coup, m’embrassait de partout comme si j’étais son sauveur. Madame était visiblement contente de mon comportement. Pourtant, je posais Caroline dans les bras de notre Maîtresse et les abandonnais pour continuer mon exploration. C’est en bas que tout commence, c’est en bas que je continuais mon inspection.
Je fis des découvertes, dont une, la salle de torture, presque identique à celle mon rêve, le soir de ma venue, dans la voiture avec Sybile. Alors que je contrôlais les radiateurs de cette salle, Clélia arriva, debout près de moi, elle me regardait travailler. Soudain, j’entendis un bruit. J’ai bousculé Clélia, l’envoyant contre une sorte de canapé et ce fut l’explosion.
Je me réveillais dans une vaste chambre toute blanche. J’avais les mains bandées, un gros pansement sur ma poitrine et un autre sur le côté de mon front. Une femme en blanc entra, vit que je la regardais. Elle revint avec ce qui avait l’air d’une femme médecin.
« Jeune homme, vous vous en sortez bien. Vous avez été brulé sur une grande partie de votre corps, mais et heureusement pour vous, au premier degré. Quelque jour parmi nous et il n’y paraitra plus rien. »
« Je suis où ? »
« Au centre des grands brulé. Plus précisément aux soins continus. Une demoiselle vous y a amené dans une belle Rolls. » Sybile, il ne pouvait s’agir que de Sybile. Le toubib continua : «  Alors, vous avez eu des coupures très profondes à vos mains. Vous avez été aussi brulé par de la vapeur, sans trop de gravité, c’était au premier degré. Pour la poitrine, deux opérations, deux éclats de métal, dont un a effleuré votre cœur et l’autre, un poumon. Pour le front, c’est gros bout de métal qui vous a percuté de plein fouet. »
« Je suis là depuis combien de temps ? »
« Quatre mois. On vous a maintenu dans un coma artificiel à cause de votre poitrine. Vous étiez trop agité et vous ne cessiez de parler, même durant votre coma. Les infirmières vous le diront. Cela étant, une Comtesse est passée chaque jour avec ses servantes. Et puis, il y a eu votre patron avec sa femme ainsi que vos parents. » Cette femme médecin venait de me faire un résumé peu brillant sur mon état.
Ce qui m’embêtait, c’est que j’avais une vague idée de la Comtesse, mais aucune de mon patron ou de mes parents.
Après mon premier repas, une femme distinguée est entrée. Elle était accompagnée d’une jeune femme portant une tenue de chauffeur. Si je reconnus la conductrice, Sybile, le visage de la Comtesse me semblait flou dans ma tête. Si Sybile, du moins dans mon souvenir, resta debout, la dite Comtesse s’assit sur une chaise, près de mon lit et prit ma main.
« Mon jeune ami, vous pouvez vous vanter de m’avoir fait peur. Je suis venue dès que j’ai su que vous étiez réveillé. Dommage que Clélia n’ait pu venir. » Soupir la comtesse
« Clélia, oui, je me souviens de cette jeune femme, elle va bien ? » Là, je me sens revivre, je me souviens de cette jeune femme.
« Oui, secouée au début, mais elle va nettement mieux. Je lui donne de vos nouvelles dès que j’en ai. Oh dites, à cause de vous, je passe pour une femme dépravée, sadique et vicieuse. Je ne vous dis pas merci. » La Comtesse a le ton sévère.
« Je ne vois pas de quoi vous parler. » Et c’est vrai, enfin presque.
« C’est vrai, oui, vous étiez dans le coma. Si je résume, j’ai onze servantes, toutes des dépravées, j’ai aussi une gouvernante tout aussi dépravées et vous avez fait de moi une femme sadique, vicieuse et j’en passe et des meilleurs. » La Comtesse fait mine d’être outrée
« J’en suis désolé, je n’en ai pas le moindre souvenir. C’est quoi votre nom ? » Je ne jouais pas, ou...
« Vous plaisantez Chris ? » Me fait la Comtesse offusquée.
« Je crains que non, le choc à la tête a été très violent. Il se peut que sa mémoire soit momentanément défaillante. » Ajoute le toubib qui venait d’entrer dans ma chambre.
La Comtesse porte sa main à sa bouche, regardant cette femme médecin. J’avais beau cherché, je la savais Comtesse, mais son nom m’échappait totalement. Sybile ne m’a pas quitté du regard un seul instant, sans cesser de me sourire, je me demande bien ce qui s’est passé entre elle et moi. Et puis la Comtesse se retourne vers moi et...
Diffuse en direct !
Regarder son live