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Madame...

Chapitre 4

Divers
J’ai eu bien de la peine avec ce dernier chapitre. Maintenant, si vous voulez une suite à cette suite, c’est à vous de me le dire.
Chapitre 4
Cette couturière allait et venait dans mon cul et j’adorais cette sensation, oui, j’aime ça. Je n’ai pas taché les draps, Mademoiselle n’y tenait pas plus que moi. Sa bouche se fit gourmande, plus gourmande qu’à son habitude. Puis, elle se glisse sous moi, guide ma queue tendue en ses entrailles. Putain, c’est ça la position sandwich, on recommencera quand vous le voulez, je suis prêt. Je jouis, bien trop vite, de mon avis. Mais ce fut si fort, si violent que Mademoiselle ne m’en a pas voulu.

« C’est bon de savoir qu’un puceau du cul ne l’est plus, mon ami. »
« Mademoiselle sait y faire, je ne cesserai jamais de vous louer. »
Dans mon cul, cette queue continue de me labourer, de me le pilonner. Je me sens bien et Mademoiselle semble ravie de sentir mon pénis la remplir à nouveau. Cette fois, je voudrais bien qu’on jouisse tous les trois ensembles. Je me claque sur Mademoiselle. Je crois pouvoir dire, la queue dans mon cul en plus, que c’est la première fois que je fais l’Amour à Mademoiselle, que je lui crie, oui, lui crie, lui hurle mon amour infini. Le jeune pourceau devient enfin un homme. Un vrai, je ne serais avoir la prétention de le dire, seules mes amantes, mes… Maîtresses, peuvent confirmer si leur soumis, moi, est réellement un homme, un vrai. Ma bouche sur celle de Mademoiselle, je me régale de ses gouts, de ses arômes. Son corps embaume le désir, empeste délicieusement la perversion et moi, j’aime à subir tout ça. Dans mon cul, une queue vient de se blottir tout au fond, je sens ce liquide chaud se déverser par saccade. Et puis, il y a ce râle de délivrance, de bonheur qui pénètre dans ma tête. Mademoiselle jouit de me voir ainsi ressentir ce que nous, les hommes, aimons à faire subir à nos compagnes.
Cette belle bite se retire de mon cul, elle n’a pas le temps de s’éloigner de moi. Au point ou j’en suis, autant aller jusqu’au bout, même si cela devait me déplaire. D’une main, je l’attrape, la tire vers ma bouche. Sous les yeux brillant de Mademoiselle, un premier coup de langue, un premier baiser sur ce prépuce. Puis, sous les conseils avisés de Mademoiselle, j’entame une fellation. La couturière semble heureuse de voir un homme la sucer. Je suis dans ce tourbillon complètement dingue, celui d’un jeune homme à peine dépucelé qui s’ouvre à tout, du meilleur jusqu’au pire et cela me plait. Ma bite va et vient entre les cuisses de Mademoiselle, ma tête va et vient sur cette bite. Je vis, je revis. Au diable mes souvenirs perdu, cette nouvelle vie est bien plus belle que ne devait être l’ancienne.
Je n’ai plus souvenir de mes parents, de mon patron, de mon enfance. Qu’importe, je viens de labourer mon jardin des souvenirs pour en planter de nouveaux. Mademoiselle jouit encore, cette couturière jouit dans ma gueule de mec volontairement asservi. Et moi, là, au milieu, je bois ce foutre, m’en délecte, retenant cette bite dans ma bouche de mes mains enlacent ce cul de femme à queue d’homme. Putain que c’est bon, enchainez-moi à cette maison au moindre soupçon de désertion mademoiselle.
Tout se calme, je suis couché sur le corps de ma Maîtresse, je retrouve mes esprits, autour de nous, les demoiselles de Mademoiselle se branlent encore. L’une après l’autre, je les fais venir, les embrasse.
« Si l’envie de m’enculer vous prenait. Enculez-moi, même de force. Je sens que je pourrais aimer toutes vos perversions, même les plus sales, les plus douloureuses. » C’est tout ce que j’ai dit, du moins je crois. Ces deux femmes m’avaient épuisé.
Je me réveille quelques heures après. Caroline est allongée sur le ventre, ses doigts parcourent mes cicatrices sur ma poitrine, ce petit creux sur mon front. Sa bouche, légèrement entre-ouverte, je l’attire, l’embrasse. J’ai envie de la lécher intégralement.
Je me sens bien, merveilleusement bien. Caroline a chaud, elle transpire, je lèche son corps jusque dans ses moindres recoins. Si on m’a délivré de mes préjugés, je sais qu’elle est enfin libre dans sa tête. Je sais qu’un jour prochain, Caroline partira. Si cela ne m’attriste pas, je n’ai qu’une envie la réconcilier complètement avec le genre humain qu’elle détestait le plus, nous, les hommes.
Je suis couché entre ses cuisses, ma langue lave son cul. Je sens ce gout âcre, cette odeur de transpiration qui l’accompagne. Je ne sais pas vous, mais moi, cela m’excite.
Soudain, sur mon cul, une violente douleur accompagnée d’une méchante brulure, je viens de recevoir un putain de coup de martinet. Je regarde qui me l’assène, Mademoiselle, je replonge dans ce cul. Les coups se suivent, de mon cul à mes épaules. Je sens ces lanières lacérer mon corps. Je ne proteste pas. Après tout, ne me suis-je pas soumis à Mademoiselle. Je pousse el vice jusqu’à relever mon cul. Les lanières me frappent encore quelque fois avant que mon cul ne me brule quand le manche long et très épais s’enfonce sans préparation. Je ne peux pas retenir ce cri de douleur. C’est le moment que choisit Caroline pour jouir, lâchant sa cyprine sur ma tête, mon visage. Je me sens humilié et c’est une sensation que je ne suis pas prêt d’oublier.
« Alors, mon jeune ami. Il y a ma couturière qui t’attend en bas, elle doit encore prendre tes mesures. »
« Merci de me rappeler qui je suis dans votre maison, merci. »
« Je peux être encore plus sadique, plus vache. »
Mon visage, mes cheveux, tout est poisseux. Mademoiselle attire ma tronche contre sa bouche, sa langue lèche de mon menton à mon front. Dans mon cul, elle fit aller et venir ce manche. Je bande comme un âne. Caroline enfile sa tunique victorienne, baise ma main et s’enfuit vaquer à ses occupations.
En bas, Mademoiselle m’amène à la couturier entièrement nue, ma Maîtresse me tient par l’oreille, me lance au pied de cette femme au sexe d’homme. Encore dans les vapeurs de nos amours. Je me relève en léchant et embrassant cette femme.
« T’as un beau mal et bien outillé, ma chère. C’est un toutou adorable. Ne sois pas trop sévère. Il n’a pas besoin de douleur pour nous donner de cette chose que nous voulions toutes quand nous étions des gamines, l’amour. Il en est remplit, ce toutou. C’est bien le premier qui n’a pas envie de te quitter après quinze jours. »
« Lui, c’est plus que mon toutou, c’est notre…comment on dit… »
« Étalon, ton étalon. Pour ça, rien que pour ça, il ne te quittera que si tu le tue. Il est fou d’amour pour toi et celles qui te servent. Bon, c’est pas tout, mais là, faut le mesurer, ton étalon. Debout-toi ! »
Je me tiens droit devant cette couturière, nos queues se touchent. Entre nous, c’est l’étincelle qui l’empêche de prendre mes mesures. Déjà sa main me branle, les miennes la branlent, de sa belle bite tendue à son anus détendu. Devant Mademoiselle, tête-bêche, on se suce nos queues, nos culs. C’est dingue, si elle n’était pas dans un corps de femme, avec des odeurs de femmes, un gout de femme, je dirais non. Je ne pourrais pas avec un homme. Un homme, ça n’a pas la grâce, la douceur dans ses gestes. Avec elle, et elle le sait, je suis prêt à toutes les folies.
Je jouis, mon cul remplit de ce manche de martinet, de cette queue qui s’enfonce loin dans la gueule de mec. Mec, oui, c’est le mot. Et puis, je suis quoi ici, dans cette maison. Je ne me souviens de rien de mon passé ancien, je n’avais souvenir que des derniers moments, juste avant l’explosion. Je n’étais plus qu’un puceau, un morceau de pâte à modeler entre les mains de Mademoiselle. Puis, il y a ce sperme qui s’écoule dans ma bouche par petite saccade. Il y en a très peu, mais assez pour que je me délecte de ce liquide, comme d’un breuvage merveilleux.

« Mademoiselle, puis-je dire un mot ? »
« Oui, tu peux, mon jeune ami. »

« Ce que je vais dire est encore embrouillé dans mon esprit. Voilà, depuis mon retour, je ne suis plus l’homme que j’étais avant, je n’en que, de souvenir, que les derniers instants. Donc, je suis un puceau, un bout de pâte à modeler entre vos mains, celles de vos servantes. Je vous en supplice, éduquez-moi, apprenez-moi, soumettez-moi à vos vices, vos perversions. »
« Il n’est pas banal ton jeune chien. Il me plait, il me plait même beaucoup. Rare sont les hommes avec autant l’envie de te servir que d’apprendre. Comme je te l’ai dit, garde-le précieusement. »
« J’y compte bien, ce con, ce magnifique con, il m’a émue. Chris, je ne vais pas faire de toi mon esclave, quoi que si, mais un esclave sexuel, un baiseur, un enculeur autant qu’un enculé. Moi et mes filles, nous ne voulons plus que tu partes. Pourtant, je prie pour que ta mémoire te revienne, que tu sache qui tu étais avant. »
« Moi pas, cette vie, c’est la plus belle de toute, du moins, c’est ce que je pense, ce que je ressens. Plaisir et douleur qui se mélange, c’est du bonheur à l’état pur. Vous aimer, vous chérir, c’est tout ce qui compte pour moi. Je n’en oublie pas vos servantes. Après tout, c’est aussi ce que je suis, votre serviteur. Vous quitter, ce serait commettre l’irréparable, perdre tout, vous, elle, vos servantes, autant crever de votre main si un jour l’idée me venait. »
Mademoiselle est émue, la couturière s’empresse de venir lécher ces larmes qui embellissent le visage de Mademoiselle. Moi, pour mon compte, comme pour mieux affirmer ma soumission à cette femme, je me couche sur le sol glacé, baise ses pieds nus, les suce avec dévotion. Cette fois, impossible de faire marche arrière. Adieu mon ancienne vie, vive la nouvelle !
Après le départ, mensuration en poche, de la couturière, sur ordre de madame, je me promène nu, entièrement ? Non, je me pare d’un ridicule tablier blanc autour de ma taille. Chaque fille de mademoiselle peut, en tout temps, m’obliger. Si cela ne se fait pas, je me donne à chacune du mieux que je peux.
Aujourd’hui, je ne suis plus le jeune et fringant jeune homme. Mademoiselle nous a quitté, la couturière ne sait plus qui elle est, elle a croisé un certain Aloïs. Moi, je vis dans cette maison, toujours entouré de jeunes femmes. Si je peux une ou deux fois par jour, c’est juste pour me souvenir.
Quant à ma mémoire, en fait, elle m’est revenue deux mois après mon retour dans cette demeure. Par petites touches successives au début. J’ai décidé de ne plus me souvenir que je me souvenais, oubliant tout de mon passé. J’avais découvert ma vraie vocation, aimer une femme hors norme.
Comme dirait un certain Gabin dans sa chanson : " Je sais ! " Quatre-vingt-douze coups ont sonné à la pendule. Je ne suis plus à l’automne de ma vie, c’est l’hiver qui s’en vient, la porte de sortie n’est pas loin. Je me souviens de tout, dans les moindres détails. Sauf que parfois, je m’embrouille, je mélange. Mais il y a Clélia et Caroline, elles me sont restées fidèles. Elles sont aussi là pour remettre bonne ordre dans ma mémoire.
Une suite, oui, peut-être, mais le temps presse, il devient juste plus rare à chaque jour qui passe.

Une suite, vous en dites quoi, mes amours, on en remet une couche? Un cinquième chapitre? Après tout, nous étions encore jeune, fougueux, toujours prêt à donner et recevoir pour Mademoiselle. Ce ne serait que justice pour elle, notre Maîtresse, notre guide dans les profondeur abyssale du vice et de la perversion.  
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