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Ma madame Claude à moi

Chapitre 1

Travesti / Trans
Ma madame Claude à moi,
Je sors d’une réunion de chantier particulièrement pénible, mon entreprise était en hors délai et je n’avais rien pu répondre aux attaques de tous les participants. Je rentre à mon hôtel et après avoir pris ma clef je m’approche de l’ascenseur. Et, cata, devant l’ascenseur l’architecte, une superbe blonde de 1,80m sapée comme une déesse avec un tailleur dont le pantalon met en valeur un cul bombé et une veste d’où a envie de déborder une paire de seins qui trop imposante pour être naturelle n’en est pas pas moins une tentation pour les lèvres de l’honnête homme que je suis. Elle était une de plus virulentes lors de la réunion en allant même jusqu’à personnaliser ses attaques sur mon incompétence personnelle. Elle a droit à un petit signe de tête de ma part et je la laisse entrer la première dans la cabine. J’appuie sur le 5 et me retourne vers elle, elle lève 4 doigts. J’appuie de nouveau et nous démarrons, son parfum un peu pimenté me saisit le cerveau ce qui déclenche une chatouillement dans tout le corps. Etonné de cet effet produit je la regarde et elle me sourit, comme pour me répondre, elle appuie son regard et passe sa langue sur ses lèvres. C’est un invite expressive et le chatouillement se transforme en un gonflement dans mon entrejambes.L’ascenseur s’arrête au 4e et elle se propulse vers la porte en me frôlant plus que nécessaire. Je continue seul et je bande encore quand j’arrive dans ma chambre. Je tourne un moment en rond en me disant qu’une occasion pareille ne doit pas se rater. Je décroche le téléphone et demande à la réception la chambre de Madame Claude Duprée. Elle décroche avec un allo rauque très différent du ton qu’elle avait en réunion. Je m ‘annonce, Jacques Vangard, je sais, dit elle, j’attendais votre appel. J’en reste muet, elle reprend :« Que puis pour vous. ». La réponse que j’ai envie de faire me semble un peu précoce et je bafouille : « Pour oublier cette réunion pénible accepteriez vous un verre au bar de l’hôtel ? »La réponse est chaude et me coule dans l’oreille comme un baiser :« Avec plaisir, vous me laissez une heure pour un bain et me changer »Je fais de même et je descends dans l’heure qui suit, en pantalon et polo, cela met bien en valeur ma carrure d’ancien rugbyman même un peu empâté.
Elle est déjà là, elle a dénoué ses cheveux qui sont mi- longs sur ses épaules, elle a un chemisier largement ouvert qui présente deux globes superbes et une jupe, qui sans être mini met en valeur des jambes superbes et , le tabouret aidant, le début d’une cuisse dorée. La conversation porte sur des banalités, sur la ville qu’elle ne connaît pas, n’y venant que pour le chantier, Apres lui avoir décrit les endroits de la vielle ville à voir je lui demande si elle avait l’intention de diner à l’hôtel et dans ce cas si nous pouvons partager ce repas.
La conversation se poursuit au cours du repas et je lui demande, innocemment, comment elle occupe ses soirées dans ses nombreux déplacements. Je lis, dit elle, j’ai toujours un nouveau livre à chaque voyage. Aujourd’hui, c’est le Royaume d’Emmanuel Carrère.Je souris,« Vous l’avez lu dit –elle ». « Oui, puis je demande : vous avez dépassé la moitié ? »« Son sourire devient enjôleur et elle dit, oui , j’ai déjà lu le passage auquel vous pensez. »
Ce passage est celui où l’auteur, faisant une pause dans le sérieux de son livre, se remémore une video osée où une jeune fille se masturbe.
« Je rentre dans son jeu et je dis, cette video vous l’avez vue »« Non dit –elle et vous »« Vue et revue et je l’ai stockée dans ma tablette, si vous voulez la voir….. après le dessert »
Elle ne répond pas s’attardant, justement sur la carte des desserts.

Nous terminons le repas et nous nous rendons à l’ascenseur. Quatre dis-je ? Non 5 dit elle je veux voir la video. Je me retrouve dans le même état que lors du voyage précédent mais là j’ai l’impression que son regard vérifie.
Nous entrons dans ma chambre je la laisse passer devant et je saisis sa taille pour rentrer derrière elle. Elle se retourne avec un sourire, la video d’abord dit –elle. Ce d’abord donne une dimension supplémentaire à mon sexe et la bosse se voit très clairement. Je surprends son regard qui suit aussi l’évolution. Je sors ma tablette et je mets la video, c’est vrai que cette dernière est très belle, porno certes, mais très sensuelle. Elle sourit en le regardant puis reposant la tablette s’approche de moi et pose ses lèvres sur les miennes.Le baiser devient plus profond. Je me débats pour enlever mon polo et je déboutonne son chemisier, elle est nue dessous et ses seins se plaquent immédiatement conte ma poitrine. Elle défait sa jupe qui tombe a ses pieds. Bizarrement alors qu’elle est nue sous son chemisier, elle porte un mini jupon. Pour vérifier si elle nue aussi sous ce jupon je cherche à le descendre mais elle bloque ma main et me tire vers le lit où nous tombons enlacés. Je quitte ses lèvres pour l’embrasser dans le cou puis je descends vers un sein, certes amélioré mais c’est du beau travail, une main caresse le gauche quand ma bouche prend soin du droit. Ils semblent très sensibles car elle gémit doucement. Je fais glisser mon autre main sur son ventre et essaye de pénétrer sous la ceinture du jupon. De nouveau sa main bloque la mienne. Je n’insiste pas et continue à m’occuper de ses seins, puis tout en les caressant alternativement d’une main je laisse ma bouche glisser sur son ventre, prendre possession d’un tour de langue de son nombril puis saisir avec mes dents le jupon pour le tirer vers le bas . De nouveau sa main prend ma tête et la remonte. Puis elle se retourne en disant : « caresse moi le dos ». Je le fais consciencieusement de mes mains et de mes lèvres, qui attirées irrésistiblement vers le bas descendent en lui mordillant la colonne vertébrale et atteignent la limite du jupon. Elle ne s’oppose pas a sa descente et je découvre deux admirables fesses fermes et moelleuses à la fois que je pétris ; ma main descends entre les deux globes passent sur le petit trou et cherchent à s’infiltrer pour atteindre l’autre face. Sa main encore une fois m’arrête. Je remonte et écartant ses fesses je découvre son petit trou brun et lisse , dans l’attente de la chatte , je me mets à le lécher, elle aime cela, ses gémissements et ses mouvements de bassin en sont la preuve. Je m ‘applique, j’humidifie bien ma langue, et je la rentre en tournant, mon doigt caresse son scrotum. Cela dure un moment puis elle se raidit en poussant un petit cri et sa corolle se met à palpiter autour de ma langue. Je n’en reviens pas, je l’ai fais jouir en lui léchant le cul. Sa main descend plus bas le jupon et la culotte, je finis le travail et pendant que je lui descends le tout le long des jambes pour lui enlever, elle se retourne en disant : « j’ai attendu un peu pour te présenter mon clitoris » . J’en reste figé, une magnifique queue, circoncise, avec un gland énorme se dresse devant moi. Je ne bouge plus surpris et perplexe, que vais je faire. ? Elle sent ma réticence et c’est d’une vois suppliante qu’elle dit « suce moi ». Sans grande envie, j’obéis, c’est une première pour moi. C’est doux et ma langue se plait à faire le tour du gland . Elle me tire par la cuisse et amène mon sexe sur sa bouche. Elle l’avale tout de suite et se met à le sucer d’une façon merveilleuse, j’ai immédiatement envie de lui rendre la pareille et nous profitons de ce 69 de longues minutes ? Sa main caresse mes couilles et remonte vers mes fesses, son doigt touche mon cul et j’ai un reflexe de rétractation, immédiatement elle abandonne et monte plus haut. Je me sens frustré et abandonnant un court instant son membre je dis « encore ». Elle vient mouiller son doigt dans sa bouche, en caressant mon sexe au passage, et le remet sur mon cul qu’elle caresse doucement. Sa bouche et son doigt me porte au bord de l’orgasme. Elle ne doit pas en être loin non plus car je sens son sexe gonfler dans ma bouche. Elle accélère ses mouvements de bouche et rentre son doigt dans mon cul. Les deux actions combinées me font jouir, le cri de ma jouisance est étouffé qui me remplit la bouche. J’en avale une partie. Je me retourne et cherche sa bouche nos langues s’enroulent mélangeant nos deux spermes. Puis épuisé, je me mets sur le dos. Elle se soulève, me regarde avec un sourire ironique et dit : « ce n’est pas le tout, on travaille demain » et elle se lève. La salope, je sais bien que l’on travaille demain puisqu’elle m’a bloqué deux journées pour voir dans le détail le planning de travaux. Elle se rhabille et se retourne vers moi avec, cette fois, avec un sourire gourmand :
« demain je t’encule ».
 

à suivre
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