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Madame Granville

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Marsajean 03/2007
Chap I - Le chantage.

? Madame Granville est une chipie. La plupart des personnes qui la connaisse sont de cet avis. La vérité est que madame Granville est vraiment une salope. ?
C’est en rentrant dans son bureau qu’elle trouva le petit mot accrocher à la poignée de porte. Naturellement elle entra dans une colère monstre et fit venir Christine, sa secrétaire, pour savoir qui avait ose mettre ce torchon sur la porte de son bureau.
— Christine, venez tout de suite.
La jeune femme arriva immédiatement et se mit à trembler devant la colère manifeste qui faisait rougir sa patronne.
— Qui a oser mettre ce saleté sur ma porte ?
— Je ne sais pas madame, je n’ai vu personne.
— Alors c’est vous ?
— Non ! madame, je n’oserais jamais faire ce genre de chose.
— Débrouillez vous pour savoir qui l’a fait avant ce soir sinon je ferai une retenue sur votre traitement pour faute grave.
— Mais, madame je n’ai rien fait ?
— Justement, vous deviez surveiller mon bureau de façon que personne n’y entre pendant mon absence.
La jeune femme était effondrée, elle était arrivée ce matin là et n’avait pas encore eut l’occasion de porter le courrier sur la bureau de madame Granville. Elle n’avait donc aucune possibilité de voir la feuille, auquel cas elle se serait empressée de l’enlever comme elle l’avait déjà fait plusieurs fois.En larme elle retourna vers son bureau. La première chose à faire était de se renseigner auprès des vigiles pour savoir qui était entrer dans l’usine avant qu’elle n’arrive. Elle fit donc venir Georges, le responsable de la sécurité.
— Georges, avez-vous vu quelqu’un ce matin avant que je n’arrives ?
Il réfléchi un instant avant de répondre.
— Ce matin, vous dites ? je crois me rappeler que Sophie Granville est passée avant d’aller à l’école.
— Ce n’est pas possible que ce soit la fille de madame Granville qui ait mis ce mot sur la porte de madame.
Elle prit la feuille et la montra au vigile qui éclata de rire en la lisant.
— Avouez que c’est la vérité, non ?
— Taisez-vous malheureux, si elle vous entend elle va vous mettre à la porte.
— C’est justement pour ça que ce petit mot est vrai ; c’est une chipie et une salope. Je suis sur qu’elle vous a menacé alors qu’elle sait bien que vous n’y êtes pour rien. Je donnerais cher pour que quelqu’un lui donne une petite leçon de modestie.
— Je suis d’accord avec vous mais je ne crois pas que ce genre de personne existe. Maintenant il faut reconnaître que la direction de l’usine est une tâche très lourde pour une femme de son âge. Il y a quand même douze personnes qui travaillent ici et qui risque de se retrouver au chômage.
— Il se murmure qu’elle serait sur le point de vendre la boîte à des anglais. Vous êtes au courant de quelque chose ?
— Rien du tout. Je n’ai jamais eut la moindre lettre à taper sur ce sujet. La seule chose que je sais c’est qu’elle va probablement engagé quelqu’un pour s’occupé de l’atelier pour qu’elle puisse se concentrer sur l’aspect commercial de la société.
— C’est une bonne nouvelle même si je plain le malheureux qui aura le job.
— Taisez-vous hein ? je n’aurais pas du vous le dire. Essayer de trouver qui a pu mettre la feuille sur sa porte autrement c’est moi qui vais devoir en payer les pots cassé et je n’ai pas besoin de ça pour le moment.
— Le problème c’est que c’est probablement quelqu’un de l’usine et qu’elle va le mettre dehors. Vous elle n’ose pas car elle ne trouvera plus jamais un souffre douleur comme vous. Vous devriez vous plaindre au syndicat.
Christine regarda Georges avec gratitude.
— Merci Georges mais vous savez que j’ai besoin de mon travail à cause de ma mère qui est malade autrement il y a déjà longtemps que je lui aurait donner ma démission.
— De rien mademoiselle Christine. Je vais faire le maximum pour découvrir votre corbeau. Je vais interroger Jamal, c’est lui qui faisait la nuit. Il souffre d’insomnie et si quelqu’un est venu cette nuit il l’a certainement vu.
— Faites du mieux que vous pouvez, merci encore Georges.
Elle regarda l’homme sortir des bureaux, puis se dirigea vers le bureau de sa patronne avec le courrier du jour. Elle souffla longuement avant d’ouvrir la porte et d’entrer. La journée se passa calmement en dépit de la mauvaise humeur de Madame Granville. A midi, elle savoura la demie heure qu’elle s’accordait généralement pour décompresser et reprendre des force pour finir la journée. Généralement elle avait du travail jusqu’à dix-huit heure et parfois même plus tard. Elle allait reprendre son travail quand Georges revint.
— Mademoiselle, j’ai interroger tout le monde et il ressort que la seule personne qui soit entrer dans l’usine avant vous est la fille de madame Granville.
— Jamais elle ne va me croire.
— C’est portant la vérité, je n’y peux rien. Dites lui toujours on verra comment elle réagit.
— Je vais essayer, si vous m’entendez hurler, venez immédiatement, elle sera certainement entrain de m’étrangler.
— Vous plaisantez, je suppose, elle ne ferait pas ça.
— Je la crois capable de tout, croyez moi, je travaille avec elle tous les jours.
— Mettez votre armure avant d’aller la trouver, lui dit Georges en souriant.
— Merci Georges. Bon je vais y aller, rester là on ne sait jamais.
La jeune secrétaire frappa à la porte de sa patronne.
— Entrez !
Christine entra et commença à expliquer ce qu’elle avait découvert.
— Madame, Georges à fait une enquête et il en ressort que la seule personne qui soit entrer avant moi est votre fille Sophie. Elle est passée avant d’aller au lycée.
Madame Granville regarda sa secrétaire avec des interrogations plein les yeux.
— Ma fille, vous dites ? Mais ce n’est pas possible, elle va au lycée à l’autre bout de la ville. Elle n’a pas eut le temps de venir ici ce matin voyons.
— Pourtant Georges est formel, il n’y a que votre fille qui soit venue se matin.
— Bien ! j’éluciderai cette énigme avec ma fille ce soir mais, cela ne vous dispenses pas de contrôler mon bureau chaque matin, donc le retenue est toujours de mise. Vous pouvez aller.
— Mais madame, je n’y suis pour rien, ce serait injuste de me punir pour cela.
— Arrêtez de discuter, cela ne sert à rien, je ne changerai pas d’avis. Sortez, j’ai du travail.
Les larmes aux yeux, le jeune femme sorti et alla se servir un café au distributeur. Georges y était et comprit en la voyant arriver qu’elle avait besoin de réconfort. Il mit des pièces dans le distributeur et poussa sur ? café extra fort ?.
— La chipie, la rosse, la bique, la salope, je vais la tuer un jours ou l’autre. Je me vengerai. Si ma mère n’était pas aussi malade, je lui flanquerais mon poing dans la gueule. Merci Georges dit-elle en prenant le café qu’il lui tendait.
Pendant une demie heure elle resta avec Georges à sortir sa bile sur sa patronne puis retourna continuer son travail. Quand elle quitta sa chaise à dix-huit heure trente, madame Granville était encore au travail. Elle poussa un soupir avant de partir en se disant qu’elle devrait venir plus tôt le lendemain matin parce qu’elle aurait certainement une pile de document à entrer dans son ordinateur.
Ce soir là, madame Granville apostropha sa fille et exigea des explication sur sa présence à l’usine le matin.
— Tu as trouver mon petit mot doux ?
— Oui ! mais tu n’as pas oser le signer.
— Ma chère maman, je savais que tu reconnaîtrais mon écriture.
Madame Granville dut faire un gros effort pour ne pas se précipiter sur sa fille et la giflé.
— Je vais te faire interdire l’entrée à l’usine, tu sape mon autorité. Je suis sure qu’ils en ont ri toute la journée à mes dépends.
— Mais je l’espères bien ma petite maman chérie. C’est bien pour les faire rire de toi que je suis passée ce matin. J’espères que cela à égayer leur journée.
— Tu te rends compte que je vais devoir prendre des sanctions à ton encontre. A partir de maintenant, tu ne pourra plus sortir le soir et je te trouverai du travail pour les Week-end, je vais t’apprendre qui est ta mère.
Cela ne sembla nullement perturbé la jeune fille, au contraire elle se mit à rire.
— Ha ! Ha ! Ha ! Ma petite maman est en colère contre sa petite fille chérie.
— Rira bien qui rira la dernière. N’oublie pas que c’est moi qui ait les cordons de la bourse et que je peux te couper les vivre quand je veux.
Sophie alla vers le bar et se servit un verre de cognac et en servit un de bourbon pour sa mère.
— Tiens lui dit-elle, tu vas en avoir besoin.
Madame Granville commença à se demander ce que sa fille avait d’être aussi sure d’elle. Elle s’obligea à rester calme et d’attendre, donc elle prit le verre que lui tendait Sophie et la regarda droit dans les yeux. Elles restèrent un long moment sans parler et ce fut finalement Madame Granville qui, la première, ouvrit la bouche pour parler.
— Tu....
— Non, tais toi pour une fois, c’est moi qui vais te raconter une histoire.
— Je n’ai pas le temps d’écouter tes fadaises. Tu vas me faire le plaisir d’aller dans ta chambre et d’attendre que je t’appelle.
— Non ! Tu vas t’asseoir et m’écouter pour une fois. Ce que j’ai à te dire est très important et va certainement changer ta vie, et la mienne par la même occasion.
— Une nouvelle qui va changer ma vie, tu as gagner au Lotto ?
— Tu commences à m’énerver sérieusement et crois moi je vais ternir compte de cela plus tard. Non, je n’ai pas gagner au Lotto mais presque. Je vais te faire chanter comme un petit rossignol.
— Me faire chanter ? Tu sais bien que je chante faux.
Sophie poussa un long soupir avant de remettre sa mère sur la bonne route.
— Ce que tu peux être pénible parfois. Te faire chanter, exercer sur ta personne un chantage, c’est plus clair comme ça ?
— Tu vas me faire du chantage ? Mais avec quoi, je suis irréprochable. Ce n’est pas possible que tu aie quelque chose qui puisse me faire peur, je n’ai rien à cacher.
— Je vois que tu ne connais pas INTERNET, c’est un réseau inform...
— Je sais ce que c’est, lui rétorqua sa mère. Mais je ne vois toujours pas ce que tu peux avoir pour ma faire chanter.
— J’y viens, ma petite maman. Tiens regardes, c’est beau hein ?
Sophie tendis à sa mère une photo où on voyait une femme totalement nue se faire prendre par deux hommes. On reconnaissait très bien madame Granville avec une bonne vingtaine d’années de moins mais manifestement c’était elle. Elle blêmit et déchira la photo en touts petits morceaux.
— Ce n’est pas grave, j’en ai encore une trentaine comme ça et d’autres où on te vois encore mieux. Tu sais que tu es très expressive quand tu te fait baiser et enculer.
— Je t’interdit de me parl...
— Tu ne m’interdit rien du tout, l’interrompit Sophie, maintenant c’est moi qui donne les ordres.
Madame Granville comprit qu’elle était à la merci de sa fille et essaya de l’amadouer.
— Voyons Sophie, tu es ma fille, tu ne vas pas me faire ce genre de chose, n’oublies pas que je suis responsable d’une usine qui emploi douze personnes. Et puis tu es ma fille. Pour les photos, je vais t’expliquez, je me suis faite piéger par un salaud.
— Merci au salaud. Pour te répondre ; oui je vais te faire chanter mais je m’efforcerai de ne pas entraver ton travail tant que je n’aurai pas trouver un remplaçant digne de ce nom.
— Tu veux me faire remplacer à la tête de mon usine ?
— Je ne sais pas encore ce que je vais faire avec toi mais j’ai bien l’intention de me venger des années de terreur que tu m’as fait vivre depuis ma naissance. Je sais qu’a partir de ce jour, c’est moi qui commande et que je vais t’en faire baver, tu peux ma croire.
Sur ces mot, elle sorti en laissant Madame Granville seule, désemparée mais aussi désespérée. Elle se mit à pleurer et marmonnât en se couchant sur un canapé.
— Le salaud, il trouve le moyen de me faire du mal vingt ans après. Je vais le tuer.
Quelques heures plus tard elle fut presque soulagée d’entendre sa fille sortir. Elle passa une nuit blanche à réfléchir à ce qu’elle pourrait bien faire pour échapper au chantage de sa fille. Le matin elle dut se résoudre à accepter le fait qu’elle était belle et bien piégée en espérant que sa fille n’irait pas trop loin et qu’elle se contenterais de lui demander de l’argent pour son silence même si elle en doutait en se rappelant le visage de sa fille la veille ; elle montrait vraiment de la haine. La mort dans l’âme elle parti pour l’usine et ne fut pas surprise de trouver une petite enveloppe qui contenait trois nouvelle photos. Sur l’une d’elle on la voyait à genoux, des pinces à linge au bout des seins et elle suçai une bite pendant qu’elle en branlait deux autres. Malgré la rage qu’elle ressentait, elle ne put s’empêcher de sentir son ventre se tordre de désir ; cela faisait tellement longtemps qu’elle n’avait plus connu un homme. Elle s’enferma dans son bureau et pleura longtemps avant d’entendre Christine arriver. Un moment la porte de son bureau s’ouvrit, Christine entra et s’arrêta immédiatement .
— Ho ! Excusez-moi madame, je ne savais pas que vous étiez là.
— Sortez et laissez moi tranquille, lui cria madame Granville avant de se remettre à pleurer.
Il lui fallut une bonne heure pour se reprendre et appeler sa secrétaire. Le reste de la journée se passa normalement mis à part que madame Granville ne se montra pas arrogante et méchante comme les autres jours et cela fut une heureuse surprise pour Christine qui ne put s’empêcher de se demander ce qui arrivait à sa patronne. Elle préféra en profiter et ne plus se poser de questions sur le comportement étrange de sa patronne.Madame Granville ne vit pas sa fille pendant trois jours ais chaque matin elle recevait une enveloppe avec deux ou trois photos qu’elle s’empressait de jeter dans un tiroir de son bureau. En voyant la mine réjouie de Christine elle se rendit compte qu’elle n’avait pas son attitude habituelle mais ne se sentait pas le courage de reprendre son rôle de chipie. Elle avait trop de chose auquel penser pour se mettre à houspiller sa secrétaire pour des broutilles. Malheureusement pour madame Granville sa fille avait bel et bien l’intention de se venger d’elle et elle n’eut plus de doute le soir où sa fille l’attendit à son retour de l’usine. Madame Granville ne savait pas comment se comporter avec sa fille. Elle était troublée et craintive ce qui n’était pas habituelle chez elle mais elle ne savait pas comment réagir en face du coups du sort qui lui tombait dessus. Ce fut encore pire quand sa fille lui parla.
— Ma petite maman, j’ai une bonne nouvelle pour toi. Nous avons des invités demain soir et je compte sur toi pour être très gentille avec eux.
— Des invités ? Gentille avec eux ? Le ne comprends rien à ce que tu me dis là.
— Je crois avoir été très claire, demain soir, nous avons des invités, deux copains qui fantasment sur toi depuis qu’ils ont vus les photos. Alors je les ai invité à passer la soirée ici et tu es priée d’être gentille avec eux. Pour tout te dire, c’est eux qui m’ont donner l’adresse du site où j’ai trouver les photos. Depuis il ne me parle plus que de ton cul et de tes nichons. Comme j’en ai marre de les entendre parler de toi, je leur ai proposer de passer à l’action et, devine ? Ils sont d’accord.
— Tu es folle, je suis ta mère. Tu ne vas pas m’offrir à tes copains sous prétexte que je me suis montrée sévère avec toi ?
— Sévère ? Mais tu t’es montrée tyrannique avec moi comme tu le fait avec tes employés. De toutes façons, c’est réglé, ils viennent pour te baiser et ils te baiseront que cela te plaise ou non. Si tu te défile, je te garantis que les photos circulerons des demains chez tes commanditaires, je suis certaine qu’ils se montreront plus convaincants que moi.
Sophie ne lui laissa pas le temps de discuter et quitta la pièce en claquant la porte. Madame Granville s’écroula sur le sol en pleurs.
— Quand cela va-t-il s’arrêter ?
Sophie passa la tête par la porte du salon et lui lança ;
— Mais cela ne fait que commencer ma petit maman.
Et madame Granville se remit à pleurer de plus belle en maudissant le jour où elle avait croisé le salaud.

A suivre
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