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Magali - Une rencontre inattendue

Chapitre 4

La découverte de la gorge profonde

Trash
Après un long break dans l’écriture, voici la suite de mon histoire avec Magali.Notre relation Maître/Soumise qui a commencée de manière assez soft rentre maintenant dans une phase plus concrète.
****
Ce mardi soir, nous rentrons vers 19h chez Magali. En nous désaltérant autour d’un verre dans la cuisine, je la questionne sur notre précédente soirée.
— As-tu apprécié la soirée d’hier, et réponds franchement !— Curieusement oui.— J’ai du mal à croire que te faire traiter de chienne te fasse plaisir ? Si ?— Quand tu m’as appelé comme ça, j’ai trouvé cela très violent, et avec la laisse autour du cou, je dois t’avouer que je me suis senti profondément humiliée. J’étais un peu KO debout. Mais en même temps, je sentais l’excitation montée en moi, ce qui est très troublant.— Et pour les gods ?— Pareil, déjà c’était la première fois qu’un homme m’attachait. Et sur ce point, le sentiment d’appartenance est déroutant. J’étais totalement soumise à tes désirs sans que je puisse faire quoi que ce soit. C’est une impression d’abandon total envers une autre personne. Mais en même temps, j’ai une confiance totale en toi. J’étais heureuse d’être ainsi soumise. L’impression est vraiment indéfinissable. Mais j’ai adoré cette sensation d’abandon.— Tu m’en vois ravi, j’ai aussi adoré.— Par contre, ma chatte à encore le souvenir du passage du plus gros des gods. Je n’avais jamais eu un truc pareil en moi. Et quand on dit que la taille ne compte pas, c’est vrai, mais elle peut tout de même y jouer !— C’est-à-dire ?— Au début, j’ai franchement eu du mal à l’accueillir, j’avais l’impression que ma chatte se déchirait et qu’il ne pourrait pas entrer en entier. Et ce, jusqu’à ce qu’il soit entièrement en moi. Ma chatte était littéralement remplie par cet objet, elle l’entourait complètement et je sentais le moindre mouvement ou forme du god. A chaque aller –retour c’était comme si on m’ouvrait la chatte toute serrée et qu’elle n’avait jamais été pénétrée. J’exagère un peu, mais comme si c’était ma première fois. Puis une fois que je me suis faite à la taille, par contre, là j’ai pris un pied terrible, pas forcément mieux qu’avec une vraie bite, mais différent et tout aussi existant.— Je suis vexé !— Désolé pour toi, mais c’est vrai, un bout de plastique peu presque te remplacer.
Sur ces paroles elle m’embrasse en me caressant la joue.
— Très bien. Maintenant, on va donc pouvoir franchir une nouvelle étape dans ton éducation.— Avec plaisir.— Sur ce point, j’en suis moins sûre. Je crains que tu ne souffres un peu au début. Mais c’est pour que par la suite tu puisses me donner encore plus de plaisir. Est-ce que tu es prête ?
— Je n’en suis pas sûre, mais je sais que je te fais confiance. Alors oui allons-y !
Je mets mon bracelet.
— Magali, pour commencer, il y a une nouvelle règle. Quand nous serons seuls, tu devras dorénavant rester nue dès lors que je porte mon bracelet, sauf contre ordre de ma part. Ceci n’est valable qu’à l’intérieur bien entendu.— Oui, Monsieur !
Sur ces mots, elle se déshabille. Je reste ensuite un moment muet. Je laisse Magali imaginer ce qui l’attend. Je prends un malin plaisir à la laisser dans le doute. Nue, je peux ressentir sa fragilité et son anxiété, et bien évidemment je ne peux m’empêcher de bander.
— Je t’avais promis de te faire découvrir de nouvelles sensations, chose que je n’ai pas encore eu le plaisir de faire. Cela va changer. La magnifique suceuse que tu es va élargir ses compétences. Ce soir, et jusqu’à la fin de la semaine, je vais t’initier et te perfectionner à la gorge profonde.— Qu’est ce que c’est ?
Je lui donne une tape sur la fesse.
— Pardon, qu’est-ce que c’est Monsieur ?— Une gorge profonde c’est lorsque l’on prend la totalité d’une bite dans la bouche. Je vais donc mettre mon gland dans ton gosier. As-tu déjà pratiqué ? Même si je me doute de la réponse.— Non, Monsieur !— Très bien !! A partir de maintenant, à chaque fois que tu me ferras une pipe, tu devras prendre ma bite dans sa totalité. Compris ?— Oui Monsieur.— En plus de ça, tu va désormais avoir le plaisir d’avaler ma semence. As-tu des questions ?— Oui, est-ce que ça fait mal Monsieur ? en finissant la voix légèrement brisée
Le son de sa voix laisse transparaitre une inquiétude réelle.
— Je ne te cache pas qu’au début ça risque de ne pas être une partie de plaisir, mais tu vas vite prendre le coup. En même temps, tu seras la première avec qui je pratique, donc je ne sais pas. Mais on va y aller progressivement.
Sur ces mots, je vais chercher le collier et la laisse que je lui passe. Je lui demande de se mettre à quatre pattes. Dans cette position, je lui fais faire le tour de la maison pendant une dizaine de minutes
— Reste à genou, et ne bouge pas !
Positionné devant elle, je me déshabille complètement. Je bande déjà depuis un moment. Je prends mon membre à sa base et donne des coups de bite sur le visage de Magali. Des gouttes de sperme perlent de mon gland et restent sur ses joues.Je place mon gland à la commissure de ses lèvres, qu’elle engloutie aussitôt. Elle commence comme à son habitude une fellation dont elle a le secret. Mais pour en profiter au maximum, je la stoppe vite.
— Tiens tes mains dans le dos ! C’est moi qui vais dicter le rythme. Contente-toi de sucer. Tire bien ta langue, ce sera plus facile pour tout absorber.
Mon membre est dur comme du béton, je crois que je n’ai jamais bandé aussi fort. Je suis sur le point de réaliser un de mes plus grands phantasmes. Je n’ai jusqu’à présent jamais demandé à l’une de mes compagnes de pratiquer une gorge profonde. Mais ma position de dominateur actuel sur Magali me permet de réaliser les pratiques qui me plaise. A cet instant, toutes les pulsions de mâle dominant ressortent. Seul mon plaisir compte.
Je prends donc sa tête fermement entre mes mains et débute ma pénétration. Pour la première fois, je vais baiser la bouche d’une femme. C’est moi qui gère totalement la fellation, Magali ne fait que subir. Après un départ en douceur, je pénètre ma tige de plus en plus profondément dans sa gorge et j’accélère le rythme, des « gloups » « gloups » s’entendent à chaque passage.Je renforce mon emprise, mais ma bite est encore loin d’être entièrement entrée. Sous les à-coups, Mag ne peux s’empêcher de poser ses mains sur mes anches pour tenter de se défaire de mon emprise. Sa bave coule le long de mes couilles et de mes cuisses.
Je me retire complètement et relâche sa tête. Elle reprend son souffle. Des larmes ont coulé de ses yeux.
— Veux-tu arrêter soumise ?— Non Monsieur.
Je reprends sa tête en tirant sur la laisse et lui enfonce encore plus profondément mon dard dans sa bouche. Elle ne peut retenir des hauts le cœur mais elle parvient à ne pas régurgiter. Sa salive coule abondamment. Je continue ce traitement pendant encore plusieurs minutes. Plusieurs haut-le-cœur émaillant mes pénétrations. Je fini alors dans un coup de bassin et une pression simultanée des mes mains par enfoncer la totalité de ma bite dans sa bouche. Je sens que j’ai forcé sa gorge. Je me retire rapidement, satisfait.
Je prends le menton de Magali dans mes mains, elles a la tête baissée, à la limite de renvoi. Je relève son visage pour qu’elle me regarde, les larmes coulent toujours le long de ses joues. Ses yeux sont rouge écarlates, ses seins et son menton couvert de bave.
C’est un sentiment étonnant, car si mon cœur se serre avec cette vision, d’un autre côté, je suis surexcité. Cette sensation de toute puissance est presque effrayante.
— As-tu eu mal ?— Un peu Monsieur…— J’en suis désolé, mais la soumise que tu es doit apprendre à souffrir pour son plaisir futur ! Es-tu d’accord ?— Oui Monsieur.— Avec le temps, tu t’y ferras. On reprendra ton entrainement demain.— Oui Monsieur.
Ne voulant pas trop la brusquer, je retire mon bracelet, cette soirée sera repos pour elle. Elle finie néanmoins par me vider les couilles sur une fellation beaucoup plus soft.
Le lendemain soir, en arrivant, Magali se met à nue dès le seuil de la porte franchie. Elle apprend vite, et elle y prend visiblement gout en plus !! On monte ensemble à l’étage.
— Allonge-toi sur le lit.— Oui Maitre !
Elle s’exécute, je la déplace légèrement pour que ses épaules soient en bord du lit et que sa tête tombe en arrière. Je pose un coussin par terre et me mets à genou devant elle. Mon pubis face à son visage. Ainsi placé, j’ai une vision extraordinaire sur l’ensemble de son corps exceptée sa tête qui pend face à ma bite.
— Ouvre ma braguette et suce !
Péniblement, la tête à l’envers, elle ouvre mon jean et sort la bite de son étau. Elle lèche d’abord mes couilles puis enfourne mon chibre dans sa bouche. Elle débute sa fellation.
— Arrête et pose tes mains sur le lit, c’est moi qui prend le relais.
Docilement, elle obtempère. Je prends alors les choses en main, tout comme la veille je débute doucement ma pénétration dans sa bouche. Dans cette position, elle est plus facile. Mes mains derrières sa tête, mon bassin exerçant des va et vient réguliers, je la pénètre dès lors de façon vigoureuse. Rapidement, Mag ne peut retenir des filets de baves qui coulent vers ses narines et ses yeux. Elle a vite le visage recouvert de salive.Je me retire pour la laisser respirer et qu’elle enlève la bave de ses narines pour respirer. Mais je ne l’a laisse jamais bien longtemps. Sa tête le long du lit, elle ne peu gère échapper à mes coup de butoir. Je relâche donc sa tête, et je saisis ses poignets avec mes mains pour les maintenir ferment sur le lit. Les genoux levés, sur la pointe des pieds, je l’a pénètre comme si je lui prenais la chatte.Après un long rush où je ne lui laisse même pas le temps de respirer, son corps se manifeste, elle lève son bassin et ses muscles se crispent. Je me retire. Essoufflée, elle reprend sa respiration bruyamment. Ses yeux sont de plus en plus rouge, et son figure souillée de bave.
— T’aime ça petite chienne  !!! Mais ce n’était rien, c’est maintenant que je vais prendre ta gorge.
Car il est vrai, que même si je l’a prend avec violence, je n’ai toujours pas été au fond de sa gorge. Dans un état second, guidé par le désir, je me remets à genou et la pénètre de nouveau, les mains fermes derrière sa tête. Ce coup-ci bien décidé à enfourner ma bite au fond de sa gorge. Il ne faut pas longtemps pour y arriver. A chaque pénétration, je sens les hauts le cœur qu’elle essaye de retenir. Plus le temps passe, et plus il lui est difficile de se retenir. Et pour moi aussi. Mes pénétrations sont donc entrecoupées de pauses où elle recrache la bave qui lui remonte.Après quelques minutes de ce traitement, n’en pouvant plus, je me retire. Je l’a prend par les cheveux et lui ordonne de s’assoir par terre le long du lit. Face à elle je me branle et lui m’accule de sperme son visage de plusieurs longs et puissants jets de sperme. J’hurle littéralement de plaisir, se qui est rare de ma part. Apres avoir éjaculé une quantité de sperme que je crois n’avoir jamais autant produit, je suis vidé !!! Magali, le visage crispé et les yeux fermés ne bronche pas.Enfin, pour définitivement marquer mon territoire et lui rappeler sa condition, je l’a prend et l’amène dans la salle de bain. Les yeux toujours fermés, je la mets face au miroir.
— Ouvre tes yeux !!!
Aucune réaction.
— Ouvre tes yeux, c’est un ordre !! A moins que tu ne dises le mot magique !!
Fébrilement et lentement, elle ouvre ses paupières. Elle découvre alors le visage d’une femme, totalement décoiffée, le visage recouvert d’un mélange de sperme et de bave, celui d’une femme humiliée.
— Mets tes mains dans le dos, et regarde la salope que tu es. Tu ne bouges pas tant que je ne reviens pas.
Je sors de la salle de bain et la laisse à son sort. Je laisse passer une heure avant de revenir. Durant cette heure, la testostérone et la surexcitation qui m’avaient habité sont redescendues. Et je me sens à ce moment-là pas très bien dans mes basket. Je viens d’humilier une femme, qu’au fond de moi, j’aime à ma façon. Cette relation qui est extraordinaire fait ressortir en moi un homme que je n’aime pas forcement, et qui à peur du où ça peut nous conduire.Le coté le plus bestial qui est en moi est ressorti l’heure précédente. Mais le plus fou, et ce qui me surprend, c’est que Magali accepte ce traitement. Et ce même après l’adrénaline passée, elle est toujours dans la salle de bain, et elle n’a pas bougé. Je la rejoins alors pas très fier.
Toujours debout devant la glace, elle n’a pas bougé d’un pouce. Son visage a séché, mes on devine toujours les trace de sperme sur sa face.
— Prends une douche, met une culotte et un soutien gorge, et rejoint moi dans la cuisine.
Un quart d’heure plus tard, elle me rejoint dans la cuisine. Alors que je me suis préparé une plâtré de pattes. On s’assoie autour de la table, Je pose devant elle quatre fromages blancs et lui ordonne de les manger. Surprise, elle ne pose pas de question et les mange rapidement. Pour ma part je mange mon repas en regardant la télé. Sans un mot elle reste là et attend.
A la fin de mon repas, je l’invite donc à me suivre dans la salle de bain. Je me déshabille et on grimpe dans la baignoire. Je lui ordonne de se mettre à genou. Devant elle, la bite face à son visage, elle comprend vite ce qu’elle doit faire. Elle commence sa fellation. Il ne faut pas longtemps à celle-ci pour ce mettre au garde à vous. Les séances d’hier et d’aujourd’hui ont porté leurs fruits, car elle absorbe ma queue de manière déjà importante.Ceci étant, ce n’est toujours pas suffisant à mon gout et je décide de prendre le relais. Comme précédemment, les mains fermement posées sur son crâne, je lui pénètre la gueule. Mais dans cette position la pénétration est beaucoup moins aisée que sur le lit. Elle a plus de mal à tout absorber. La pression de ses mains sur mes hanches me le fait bien comprendre. Ne me laissant pas troubler, je continu et de plus bel. Alors que sous mes coups de butoir, je me retrouve au fond de sa gorge, je la tiens fermement et reste ainsi positionner. Sa gorge se contracte et ce que je cherchais arriva enfin, elle ne peut retenir un renvoi. Une giclée de formage blanc sort violement de sa gorge sur mon pubis. Putain quel pied !Je me retire et la laisse respirer. Je reviens à la charge, et après quelques va et vient, je reste de nouveau au fond de sa gorge. De nouveau, sa réaction ne se fait pas attendre, et elle laisse échapper un renvoi, cette fois ci plus retenu. Le liquide blanc sort d’entre ses lèvres et de ma bite pour dégouliner le long de son menton pour finir sur son soutien-gorge.Je prends un plaisir extrême à ainsi forcer sa gorge, je ne m’arrête que lorsqu’elle n’a plus rien à rendre.
— Ouvre ta bouche ! Maintenant que tu as vomi tout ton repas, je suis sûre que tu dois avoir un peu faim.
Je me branle devant son visage et éjacule dans sa gueule grande ouverte. Mon sperme s’accumule sur sa langue. Paralysée, elle ne fait rien.
— Avale, n’en perd pas une goute !
Elle obéit. Elle ferme la bouche, des filets de sperme s’échappe de ses lèvres et coule le long de son menton. Son visage est crispé, elle fait un énorme effort pour ne pas cracher mon offrande. Son visage exprime une expression de dégout profond. Pour la première fois, elle avale le sperme d’un homme.
J’allume la douche, et la lave à l’eau froide.
Je suis persuadé que Magali arrêtera ce jeu dès le lendemain matin. Il n’en sera rien.Pour la première, et dernière fois, Magali ne connaitra pas le plaisir avec moi lors de l’une de nos séances.
****A suivre …
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