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Au magasin de vêtements

Chapitre 1

Hétéro
Ce soir, je suis allé acheter de nouveaux pantalons en sortant du boulot. J’arrive dans le magasin, on n’est pas loin de l’heure de la fermeture, mais j’ai encore un peu de temps pour faire mes courses. Je n’ai pas l’habitude, alors je vais demander conseil au vendeur, il m’accueille avec un grand sourire :
— Bonsoir Monsieur, que puis-je faire pour vous ? — Bonsoir, je cherche à acheter 2 ou 3 jeans, mais je n’y connais pas grand-chose en coupe — Ok, suivez-moi, je vous prie.
Arrivé au rayon, il me montre quelques modèles ; je lui montre lequel me plait le plus, et il finit par me demander ma taille.
— Ah zut, je ne sais pas du tout. — Ah, eh bien on va vérifier ça alors.
Il passe un doigt sous mon pantalon pour le tirer, tire l’étiquette pour regarder le chiffre dessus, puis fait le tour de mes hanches de ses deux mains, et lorsqu’il a fini, plutôt que d’écarter ses mains pour les retirer, il les fit glisser vers le bas, caressant mes fesses au passage.
— D’après ce que je vois un 38-40 devrait vous aller.
Il me tend alors 3 pantalons du modèle et de la taille que j’avais choisis pour que j’aille les essayer en cabine. Je les passe alors, et je repense au vendeur qui avait, je pense par mégarde, caresser mes fesses ;je me disais qu’il avait bien fait, et sans vraiment m’imaginer de choses j’avais un petit début d’érection. Alors que je passais le 2ème pantalon, je me disais qu’il me serrait beaucoup à la taille, j’appelais alors le vendeur qui arriva aussitôt :
— Excusez-moi, il me semble que celui-ci est un peu juste à la taille.
— Ah, voyons voir cela.
Il passa ses mains sous mon t-shirt et les posa sur mes hanches, faisant presque un tour avec ses doigts, visiblement pour jauger le contour, puis de nouveau lorsqu’il les retira, il les laissa glisser me caressant le ventre puis les hanches avant de filer en dehors de mon t-shirt… Cette fois ci je commençais vraiment à penser que c’était un appel, car lorsqu’il alla chercher un autre pantalon il esquissait un sourire non retenu… Quant à moi, je commençais à avoir des arrière- pensés me donnant une érection presque visible… Je décidais d’en avoir le cœur nette, alors je tentais le diable, j’entrouvrais le rideau avant d’essayer le 3ème pantalon ; je me disais bien qu’il me materait s’il était intéressé, et de ce fait il comprendrait aussi probablement que moi de même je l’avais remarqué… Naturellement, je pris bien la pose, braquant mon cul en arrière pour enlever le pantalon et mettre le nouveau, puis je l’appelais de nouveau :
— Excusez-moi encore, la longueur et le tour ont l’air bon, mais j’ai comme du battement devant.
Il s’approcha, son sourire toujours là, passa derrière moi, et glissa carrément sa main droite sous le pantalon, sur mon bas-ventre…
— En effet, il y a de quoi glisser une main… et apparemment il y a quelque chose là-dessous…
Il se colla à moi, au travers de son pantalon je sentais sa bite dure comme une matraque, il passa sa main gauche de nouveau sous mon t-shirt et caressa mon ventre, puis poussa sa main droite fortement pour pouvoir attraper ma queue sous mon pantalon :
— Eh bah t’es toute dure ma cochonne, t’es de quel genre, dis-moi ?
— A toi de le découvrir ?
— Ok, on va voir ce que tu sais faire…
Il sortit ses mains de mes vêtements, ouvrit mon pantalon et le baissa ainsi que mon boxer jusqu’au bas de mes fesses, faisant jaillir ma queue bandée… A son tour il ouvrit son pantalon, sortit sa bite elle aussi bandée, et commença à la frotter dans la raie de mes fesses :
— C’est par là qu’on va faire connaissance ?
Je pris mes fesses à pleines mains pour les écarter, afin qu’il puisse bien jouer avec ma raie
— Hmmm, entreprenante en plus, je sens qu’on va passer un bon moment nous deux…
Sur notre gauche un grand miroir, comme ceux qu’on trouve habituellement dans les cabines d’essayage, reflétait toute l’action, et mon regard ne s’en échappait pas, je voyais son gros gland disparaître périodiquement dans ma raie… Il commença à me mordiller dans le cou, lorsqu’il entendit un bruit dans le magasin ! Il se rhabilla vite fait, me laissant discrètement dans la cabine, et alla voir. C’était un client apparemment, le vendeur lui dit qu’il fermait la boutique et qu’il devrait repasser le lendemain, la personne n’insista pas et sortit. Il ferma le rideau, verrouilla la porte, et revint dans la cabine en ouvrant de nouveau son pantalon :
— Merde, j’ai débandé, tu m’aides ?
Je pris sa bite en bouche en lui caressant les cuisses, et m’attela à la rendre toute dure… Rapidement il reprit du poil de la bête, sa bite grossissait pendant que ma langue battait son gland au fond de ma bouche
— Putain tu fais ça bien, tu ne dois pas être à ton premier coup !
— J’avoue, j’aime qu’on me crache dessus, et encore plus dans la bouche, alors j’ai appris à faire ça bien.
— Ok, mais moi je n’ai pas envie de juste me faire sucer…
— Je m’en doute…
— Attends-moi là, je vais chercher de quoi « fluidifier » tout ça.
— Non…
Je crachais sur son gland et repris :
— Vas-y comme ça…
— Ah ouais d’accord, t’es vraiment une petite cochonne !
Je me relevais et me tournais dos à lui, pris ma fesse gauche en main pour l’écarter, et attendis… Il ne se fait pas prier bien longtemps, immédiatement il présenta son gland devant mon trou, et commença à forcer
— Ahh…
— T’es sûr de toi, tu ne veux vraiment pas un coup de gel ?
— Oui sûr, vas-y n’aie pas peur !
— Tu le répéteras pas deux fois…
Dans un râle de sa part, et un gémissement de plaisir de la mienne, son gland s’enfonça brusquement, suivit de toute la longueur de sa queue, puis il resta un instant sans rien faire… c’est alors qu’il commença à me ramoner, d’un rythme régulier
— Putain t’es bonne, ton cul bouffe bien ma queue, et à sec quelle sensation !
En effet, moi aussi j’en profitais à fond, sa bite chauffait mon trou, le tout devenait de plus en plus fluide, alors je me trémoussais…
— C’est bon maintenant, vas-y plus franchement…
Alors il mit ses mains sur mon bassin, entourant mes hanches, et donna un coup de rein dont je me souviens encore maintenant ; j’eus l’impression que son gland allait remonter dans mon ventre, mais ce qui est sûr c’est que ses couilles ont frappé les miennes sous la violence de l’impact, et que j’ai rebondi sur le mur… Il me violenta ainsi quelques coups, puis s’arrêta, me prit par le bras et me sortit de la cabine.
— Je ne suis pas à l’aise là-dedans, j’ai besoin de plus de place !
— Ok…
Il m’entraîna dans une remise ; au sol il y avait de la moquette récemment posée et des vêtements posés sur des étagères. J’en profitais pour finir de me déshabiller et, sans attendre, il me poussa, je me pris les pieds dans mon pantalon et je tombai à terre…
— Putain je vais te défoncer, en fait, t’es une vrai salope hein, dis-moi !
Il planta de nouveau sa queue dans mon cul, mais cette fois je suis à genoux par terre, et il se laisse tomber de tout son poids sur moi ! Il me pilonne, j’ai le cul en feu mais j’adore ça, ses coups sont de plus en plus puissants.
— Sale chienne, t’aime ça ??!!
— Ah merde, c’est bon, j’ai mal, vas-y continue, défonce-moi !
— Ta gueule !!
Il me cracha au visage, et redoubla d’effort… même mes genoux me brûlaient tellement c’était intense, sans vraiment le voir, je devinais son visage rouge et en sueur, j’entendais distinctement sa forte respiration, il grognait de plus en plus fort.
— Ouf, je vais bientôt jouir, je vais t’inonder, sale chienne !
— S’il te plait, viens dans ma bouche…
— Ta gueule, je t’ai dit ! Je ne vais pas te faire ce plaisir, je vais t’inonder le cul, comme ça tu seras ma salope ! Une prochaine fois tu boiras mon jus, mais aujourd’hui je te marque le fion !
— …
— Ah putain !!! …… !!!!!!!
Une chaleur me submergea, son sperme était en train de se répandre bien au fond de moi, il ne bougeait plus, il laissait sa queue se vider complètement de son jus, jusqu’à la dernière goûte… Lorsqu’il eut fini, il se retira enfin, laissant paraître mon trou largement écarté par les assauts de sa bite, attendit un peu que son sperme ressorte de là, mit sa main sous mon cul pour récolter un peu, et le porta à ma bouche.
— Tiens, tu voulais le boire ? Vas-y !
Je léchais sa main, me délectant de son sperme, déçu de ne pas en avoir plus… Il reprit et dit :
— Ah au fait, je m’appelle Ali...
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