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La main de Velours

Chapitre 1

Hétéro
Jour 2 :
Je me réveille avec une de ces gueules de bois, je ne me souviens même pas de m’être réveillé hier matin. Je sais pas ce que j’ai pris ou bu mais ça devait être du brutal ! Voyons voir, pas de tatouage, personne dans mon lit (dommage) et aucune trace de vomi. Bon, apparemment j’ai été sage malgré mon état qui devait être pathétique. Je me relève avec peine en passant outre la migraine qui me scie le crâne et là je constate qu’il y a quelque chose qui cloche, comme une douleur fantôme mais plus intense encore. Je suis habitué à ce genre de douleur depuis un moment déjà mais cette fois c’est pire, comme si j’avais de nouveau mon avant-bras gauche et que celui-ci était cassé de partout. C’est peut-être dû à ce que j’ai pris hier...
En fait, la seule folie que j’ai faite cette nuit a été de dormir avec ma prothèse, ça aurait pu être pire. Bon, on va tâcher d’aller jusqu’à la salle de bain histoire de voir à quel point ma tronche est ravagée par mes excès d’hier et surtout avaler deux ou trois antidouleur pour faire passer tout ça. Un peu désorienté je marche lentement mais glisse sur quelque chose et me vautre lamentablement sur le dos. "Super ! -me dis-je- on peut rajouter mon coccyx à la liste des dommages collatéraux"
Je tourne la tête vers l’objet sur lequel j’ai trébuché et je vois avec stupéfaction ma prothèse. Je me relève d’un bond et examine attentivement mon bras : de la peau, des muscles, des ongles et même quelques poils. C’est impossible, mon bras a repoussé ! Je devrais sauter de joie mais je suis complètement paniqué, tétanisé, fixant cette main qui est définitivement la mienne. Je n’ai même pas de cicatrices à l’endroit où il avait été sectionné. C’est mon téléphone qui me tire de mes pensées, mon patron appelle pour demander si je vais bien au vu de l’heure de retard que j’ai. Je lui réponds vite que je ne me sens pas bien et que ça va prendre quelques jours pour me remettre, il grommelle et accepte finalement cette excuse. Il faut absolument que je découvre ce qui m’est arrivé, mais d’abord j’ai besoin d’aspirine, d’un café et d’une douche.
J’ai passé toute la matinée sur internet, il fallait bien commencer quelque part et généralement dans les films on y trouve toujours une piste. J’ai cherché tout ce qui était en rapport avec la repousse de membres perdus et les hypothèses les plus raisonnables que j’ai pu trouver étaient :
1. Une manipulation génétique faite par des extra-terrestres ou le "gouvernement" (américain je présume).2. Un miracle.
Ayant fortement "avancé" dans mes recherches, je me dis qu’il est temps de faire une pause. Allant m’allonger dans le canapé, je suis surpris par un bruit de serrure. Merde ! J’avais complètement oublié que mon ex devait passer pour m’emprunter la voiture, je tire vite sur la manche de mon pull et tente de cacher du mieux que je peux ma main. J’ai pas des masses envie de crier sur les toits que je suis un miraculé, tant que je n’en sais pas plus, motus.
Christine entre, aussi ravissante qu’à son habitude dans son éternelle tenue d’hiver : bottes à talons plats, pantalon sous lequel elle cache des bas épais, pull à col roulé sans oublier l’indispensable bonnet de laine. Elle sursaute en me voyant planté au milieu du salon, la main dans le dos comme si je lui cachais quelque chose... Ce qui est le cas en fait !
"Ah ! Tu m’as fait peur espèce d’andouille ! T’es pas au boulot ?— Oh bonjour Christine, je vais bien merci de t’en soucier. Et toi ?— Ne commence pas s’il te plaît, je ne suis pas d’humeur pour tes sarcasmes.— Comme tu veux, les clés sont sur la table basse, t’as le temps pour un café ? (Oh le con ! pourquoi j’ai dit ça ? L’habitude j’imagine. Heureusement qu’elle refuse à chaque fois)— Ouais, je commence plus tard aujourd’hui.— Ok je te le prépare (Zut)"
Pendant que je lui prépare sa tasse, elle enlève son manteau et son bonnet. Surprise, elle est devenue rousse depuis la dernière fois."Tu as tellement froid que t’as foutu le feu à tes cheveux pour te réchauffer la tête ?— C’est plus fort que toi hein ? me dit-elle en esquissant un sourire.— Faut bien que je m’occupe non ?"
Elle s’assied dans le canapé et commence à boire son café en silence, je fais de même. Un silence gênant s’installe alors, assez j’espère pour l’encourager à vider sa tasse le plus vite possible et s’en aller. D’un coup elle renverse sa tasse et par réflexe j’entreprends de rattraper cette dernière... de la main gauche. Elle fait de même. Çà y est, je suis grillé. Sa peau touche la mienne, je peux le sentir, qu’est-ce que c’est bon ! Mais qu’est-ce que je suis dans la merde ! Étrangement, elle ne réagit pas tout de suite et je sens quelque chose dans mon bras, comme si je ressentais tous mes poils se hérisser et tout mon sang couler dans mes veines à fond la caisse. Christine finit par me regarder droit dans les yeux et je sens un frisson parcourir mes vertèbres unes à unes. Elle se jette sur moi et commence à m’embrasser fougueusement, j’essaie de lutter pour la décoller mais je finis par faiblement céder à ses lèvres.
Un peu à l’étroit sur le canapé, je lui dis "Attends, on va aller dans le lit, ce sera plus confortable.— Non, ici, tout de suite. Me répond-elle"
Elle se relève et déchire presque mon pantalon pour l’enlever. Je suis chaud et quasiment en érection et c’est quasi en érection que je reçois la meilleure fellation de ma vie. Je ne l’ai jamais vue aussi appliquée à me sucer, elle fait glisser sa bouche le long de mon membre et le prend tout en bouche. Une fois bien à l’aise dans sa gorge je fais quelques lents va-et-vient avec mon bassin pour le loger aussi loin que possible, ce qui visiblement ne lui plaît pas. Elle attrape donc mes fesses et me force à aller plus vite. Croyant qu’à ce stade elle ne me surprendra plus, je manque de tomber du divan lorsque je la vois arrêter de sucer ma queue pour passer à son majeur. Non ! Elle ne va quand même pas... Si ! Elle commence par caresser mon anus avant d’y introduire ledit doigt. Oh mon dieu ! Ça doit faire des années qu’elle ne me l’avait pas fait. Elle me masse la prostate avec tellement de dextérité que j’ai failli jouir sur l’instant. Estimant que les préliminaires avaient assez duré pour moi, elle se déshabille complètement, me pousse et s’assied sur mon visage, m’étouffant presque pour que je la lèche, ce que je fais sans attendre. Je lui fais la totale, je suce son clito, fouille son vagin avec ma langue et aspire sa cyprine, qu’est-ce qu’elle mouille ! On dirait que je suis le premier à la baiser depuis des mois. Son nouveau mec ne la satisferait pas ? Ouais mais non, ça suffirait pas pour qu’elle le trompe. Rupture ? Oh et puis merde pourquoi se poser la question. Après avoir bu au moins un litre de jus et l’avoir gratifié d’un premier orgasme, elle me chevauche avec une fougue non dissimulée. Bon, c’est bien beau tout ça mais j’ai l’impression de ne rien contrôler, je vais prendre les devants. Je me relève et la couche sur le dos en serrant ses jambes autour de ma taille pour bien gérer le rythme, mes assauts vont crescendo et elle jouit une seconde fois dans un grand cri. Voyant que moi non, elle me sort "Sodomise-moi, je parie que tu te retiens juste pour ça." Hein ?! Christine ? Sodomie ? Je vais de surprise en surprise, elle qui n’acceptait comme moi qu’un ou deux doigts, qu’elle me propose ça d’un coup... C’est sûrement un piège. "Euh... tu es certaine ? Balbutiai-je ?— Oui, tu sais, j’en ai toujours eu envie mais j’avais peur que ça ne me fasse mal... mais plus maintenant, je veux que tu sois le premier de ce côté là.— Vraiment ? Bon, d’accord— Allez, vite, prend mon cul s’il te plaît !"
D’un naturel aimable, je vais répondre favorablement à sa demande et pousser doucement mon gland à l’entrée de ce petit trou moelleux. Ça rentre lentement mais ça rentre, c’est tellement serré, je crois être au paradis, encore un effort et je serai entièrement en elle, voilà, troisième orgasme. Celui-ci passé, je donne des coups de reins timides mais Christine m’encourage assez vite à y aller plus fort en me disant qu’elle ne ressent que du plaisir, ce qui s’entend clairement. Maintenant je l’encule franchement et on est tous les deux au bord de la folie, entre la transe et la furie. Voilà, je jouis ! Je gicle tout ce que peux au fond de son cul y reste planté pour le remplir de sperme. Je m’affale épuisé sur le sol et Christine me rejoint en collant son corps en sueur sur le mien. Elle s’endort et avant que moi aussi je ne bascule dans le sommeil, je regarde mon bras gauche en me demandant pourquoi elle n’a rien dit et surtout, gardera-t-elle pour elle ce qu’elle sait...
J’ouvre les yeux, je jette un coup d’œil à l’horloge, deux heures de passé, puis je vois Christine catastrophée avec un regard étrange. Un regard qui dit "Nom de dieu mais qu’est-ce qu’il vient de se passer". Apparemment elle est aussi étonnée de moi de ce qu’elle a fait il n’y a pas si longtemps que ça.
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