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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Jennifer, j’ai vingt-cinq ans, je viens de me marier avec Olivier. Ça fait maintenant trois ans que nous nous connaissons, il était donc logique de passer devant l’autel de l’église ainsi qu’à la mairie pour officialiser notre amour réciproque.
Nous nous sommes mis à la recherche d’un lieu afin de fêter nos noces. Je n’étais pas trop partante pour aller aux Maldives, je trouvais que c’était un peu trop classique et déjà vu, pareil pour l’Île de la Réunion. Je ne trouvais non plus pas forcément original de visiter une ville donc du coup, notre choix s’est porté sur une maison d’hôte à la montagne.
Après quelques heures de recherche, nous sommes tombés sur une charmante demeure dans les Pyrénées Atlantique, cette dernière est gérée par un couple de quinquagénaires, nous leur téléphonons, et réservons le lieu pour une semaine.Nous validons ensemble les dates, puis nous raccrochons.
Mon compagnon est aux anges, il apprécie énormément les moments que l’on peut avoir lorsque nous sommes seuls. D’ailleurs pour fêter cet évènement, ce dernier me propose d’aller dans un petit restaurant au centre-ville. Je ne peux me permettre de refuser ceci.
Nous nous préparons donc pour l’occasion, puis nous dînons les yeux dans les yeux, main dans la main. J’oserai dire que le tableau est presque parfait.Il est à présent, vingt-trois heures, nous prenons la décision de rentrer à la maison, puis à peine le seuil de la porte franchi, Olivier se jette sur moi.
Il m’embrasse dans le cou, me fait quelques caresses dans le dos, puis petit à petit, nous nous dirigeons vers le canapé du salon. Je m’allonge, puis ce dernier continue ses préliminaires.
Il a enlevé les bretelles de ma robe, puis celle de mon soutien-gorge pour dévorer ma poitrine. Avec un quatre-vingt-quinze C, autant dire qu’il a de quoi s’amuser, et ceci pour mon plus grand plaisir. Il joue avec mes tétons qui se dressent fièrement, malaxe ma poitrine, puis il continue de m’effeuiller lentement.
Au fur et à mesure qu’il me déshabille, il me fait des bisous qui me procurent des sensations délicieuses. D’abord, sur le haut de mon torse, puis ensuite jusqu’à la lisière de mon string.Je suis à présent en topless face à lui, et je sens bien aussi son excitation à travers son pantalon en lin, puisque son membre se frotte sur mon sous-vêtement, mais aussi sur ma vulve. Ce qui me provoque des petits arcs électriques dans le bas de mon ventre.
Il continue son manège, puisqu’il a saisi avec ses dents mon string afin de le faire descendre à mes pieds, puis en remontant, il embrasse mes jambes de bas en haut.Il fait face maintenant, à mon vagin qui suinte déjà de plaisir. Il y donne son premier coup de langue, pour m’offrir un cunnilingus comme je les aime tant. Il titille mon clitoris, parcourt mes lèvres de bas en haut avec une douceur incroyable. Et tout ceci m’offre mon premier orgasme.
J’essaye de me relever, je le positionne à son tour sur le dos, et je commence à le déshabiller avec la même passion. Nous sommes nus, et je ne peux m’empêcher de lui offrir une fellation. J’avale son membre, je joue avec son gland puis lèche ses testicules. Action qui a le don de le rendre complètement hystérique. A présent, je passe à la vitesse supérieure, puisque je m’empale sur sa verge. Les mouvements sont un peu saccadés dû à l’excitation, puis nous finissons par nous accorder.
Il saisit quelques fois mes fesses pour aller au plus profond de moi, puis se calme. Il sait varier les plaisirs. Nous changeons de position, c’est lui qui est sur moi, en missionnaire. Il me besogne avec beaucoup d’envie, ne manque pas une seconde de me lécher les seins, il me relève aussi un peu les jambes pour aller plus loin dans mon vagin.
Je me mets à quatre pattes, afin de lui offrir ma croupe en levrette. Je sais que c’est l’une de ses préférées. Et encore une fois, ça n’y manque pas puisqu’il est beaucoup plus bestial dans ses mouvements à tel point que le bruit de mes fesses qui claquent sur le bas de son ventre raisonne dans la pièce.
Au bout de dix-minutes, je sens son sexe grossir, ses gestes sont beaucoup plus désorganisés, et mon vagin ne tarde pas à se remplir de son sperme chaud. Après cette partie de jambes en l’air, nous avons pris une douche, puis nous nous sommes blottis l’un contre l’autre afin de dormir.
Le temps passe, nous sommes à présent au mois de juillet, et nous allons partir en direction de cette maison d’hôte à la montagne. Nous prenons l’autoroute afin de nous rendre là-bas. Au bout de trois heures de route, nous traversons des villages basques, puis nous arrivons enfin devant le lieu.
La maison est exactement la même que sur le site internet, c’est déjà un premier soulagement, on ne sait jamais avec ce nouveau moyen de communication, on peut se faire avoir, mais ici ce n’est pas le cas. Nous sonnons, puis nous sommes accueillis par une dame d’environ cinquante-ans, puis par son mari. Ces derniers, nous invitent à aller dans notre chambre, puis ils nous donneront la documentation ainsi que l’agenda de la semaine.
Le programme est plutôt sympathique, puisque nous aurons le droit de faire une randonnée équestre le lundi, le mardi, nous ferons un tour dans les trois villes principales du Pays Basques, que sont Bayonne, Biarritz, et Saint-Jean-de-Luz avec baignade et farniente.
Puis, le reste de la semaine, nous aurons quartier libre. Le planning me semble satisfaisant, mais je vois bien qu’Olivier est tracassé, qu’il n’est pas dans son assiette, nous discutons discrètement sur le pourquoi du comment, et m’avoue qu’il ne sait pas faire de cheval, qu’il pensait que notre séjour allait être d’un calme le plus total. Je lui fais par de mon mécontentement, lui disant que l’on n’est pas venu ici pour rester dans le logement sans rien faire.
Puis, je reviens vers Monique et Pierre afin de valider le programme qu’ils nous ont proposé, je stipule tout de même que mon compagnon ne viendra pas à la ballade équestre. La mère me dit qu’il n’y a aucun souci puisque ses deux fils seront nos guides pendant la semaine. D’ailleurs, ces derniers viennent d’entrer dans la maison. Ils sont plutôt carrés des épaules, des beaux garçons, j’oserai dire, mais je ne suis pas là pour ça, mais pour profiter d’un moment de détente avec mon époux.
L’un s’appelle Antonin, et l’autre Benoit. Ils ont respectivement, vingt-deux, et vingt-cinq ans soit le même âge que moi. C’est assez pratique, puisque nous sommes dans une tranche où nous avons à quelques détails près les mêmes goûts.
Il est dix-huit heures, nous sommes conviés à notre premier dîner dans deux heures. J’en profite pour aller dans la chambre afin de ranger mes affaires. Olivier m’interpelle un instant, me disant que ce n’est pas normal que je parte avec les deux frères en balade équestre seule, alors que nous sommes ici pour fêter les noces.
Je suis surprise par son comportement, je lui dis qu’il n’a aucun souci à se faire, qu’il n’est pas normal d’être jaloux alors que nous venons de nous marier, que c’est un comportement d’adolescent. Il bafouille quelques mots dans sa barbe, puis s’exprime ensuite d’une façon plus claire, m’indiquant que les deux garçons sont plutôt charmants, et qu’il ne fait pas le poids face à eux.
Devant, tant de stupidité, je lui demande de se calmer, je vais prendre une douche afin de me rafraîchir un peu, mais aussi pour faire bonne impression pour le repas du soir. Olivier vient m’y rejoindre, tente une approche sensuelle, puis je le recale, non pas parce que je n’en ai pas envie, mais à cause de son manque de confiance vis-à-vis de moi.
Une fois de plus, il s’énerve, et patiente en tapant du pied sur le bord du lit. Une fois séchée, je sors de la salle de bains, puis cherche une tenue décontractée. Je me trouve une robe noire plutôt sympathique qui m’arrive au-dessus des genoux, puis un ensemble de sous-vêtements de la même couleur. Une fois de plus, je subis une crise d’adolescence de la part d’Olivier, car ce dernier trouve ma tenue indécente.
Je réplique, en lui disant que lors de notre soirée au restaurant, j’étais habillé de la même manière et que ça ne l’a pas empêché de me faire l’amour en rentrant à la maison. Et puis, pour essayer de le rassurer une dernière fois, je lui indique qui nous sommes mariés, et que ce ne sont pas deux hommes qui vont me faire changer d’avis.
Il finit par se taire, puis part à son tour à la douche. Pendant, son absence, je tente de retrouver le calme, de me poser, mais s’il continue ainsi, il va me pousser dans les bras d’un autre et ce n’est pas souhaitable. Nous ne sommes pas ici pour ça. Il sort de la douche, enfile un pantalon en lin, une chemisette blanche, puis nous partons en direction de la salle à manger.
Le décor est plutôt sympathique, avec une ambiance d’un autre temps, avec une nappe en tissus à carreau rouge et blanc, les serviettes sont de la même couleur, et les couverts sont certainement en argent. Monique vient à notre rencontre et nous propose de boire un apéritif. Pour ma part, ça sera un kir, et pour Olivier une bière. Pierre sort de la cuisine, puis nous propose de prendre des produits typiques du coin. Jambon de Bayonne, saucisson, piment d’Espelette, quelques poissons grillés sont aussi présents.
Sans être vulgaire, je dirai simplement, que je suis rassasié. Mais ce n’était que le début. Les deux frères font alors leur apparition, puis nous nous installons autour de la table. Nous discutons de la ballade de lundi en cheval, il m’explique que nous visiterons une partie de la montagne où se trouve des pottok, une race de poney, mais aussi des moutons en pleine nature, puis nous feront un pique-nique au bord d’une rivière, si nous le souhaitons, nous pourrons nous y baigner.
Puis dès que le ciel sera un peu plus sombre, nous retournerons à la maison. Je suis plutôt satisfaite de ce programme, mais je vois bien qu’Olivier est de nouveau en colère, il a le regard noir, mais je n’y prête pas attention. Je viens de manger un repas succulent, et de rentrer par la même occasion dans une phase de détente totale.
Ce n’est donc pas le moment de se disputer une nouvelle fois. Il est maintenant vingt-trois heures, tout le monde part dormir. Avec mon époux, nous nous câlinons, puis ce dernier m’interpelle sur la probabilité d’une baignade dans la rivière, me demandant si j’allais faire cette activité ou pas.
Je lui réponds par l’affirmative, lui expliquant que c’est bon pour l’organisme de se baigner dans de l’eau quasiment pure. Une nouvelle fois, je sens qu’une crise de jalousie pointe le bout de son nez. Il me dit que ça ne serait pas correct de faire ça avec les deux frères, et du tac au tac, je lui réponds qu’il n’a cas venir et qu’il aura alors l’occasion de m’honorer dans ce coin de paradis.
Et puis, je lui indique aussi que cette obsession envers Antonin et Benoit est barbante. Ils ont peut-être des petites copines, ne sont pas forcément intéressés par une femme mariée. Bref, je tente de le convaincre, mais rien n’y fait. Pour notre première nuit dans ce coin de paradis, plutôt que de faire l’amour comme un couple normal, nous nous tournons le dos comme deux adolescents qui se boudent.
Je suis dépité par ce comportement. Dans le même temps, je commence à avoir une soif incroyable, j’enfile une nuisette puis pars en direction de la cuisine. J’allume la lumière, ouvre le réfrigérateur, prends une bouteille d’eau fraîche que je bois presque d’un trait.
Quand soudain, Benoit fait son apparition dans la pièce, je sursaute, il me dit de ne pas m’inquiéter, qu’il vient faire comme moi. Nous discutons brièvement, puis il voit que je ne suis pas dans mon assiette. Je lui explique alors que je me suis disputé avec Olivier à cause de sa jalousie maladive qu’il exprime depuis que nous sommes arrivés ici.
Qu’il a peur que lui, ou son frère me fasse des avances, voire plus. Benoit sourit à cette phrase, et me répond qu’effectivement, je suis une jolie fille, avec un physique qui ne le laisse pas de marbre, mais qu’il n’est pas dans cette optique-là. Son objectif prioritaire est de nous faire découvrir sa région et ses spécialités. Nous nous faisons une accolade, puis nous repartons dans nos chambres respectives.
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