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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 5

Trash
Une nouvelle fois, je me suis laissé aller, j’ai fait l’amour avec les deux frères au bord de la rivière pendant qu’Olivier mon époux était en train de faire la sieste. J’ai découvert la double pénétration, c’était exceptionnel en terme de sensation, ça sera à n’en pas douter à refaire, et plus longtemps, car effectivement si mon époux s’était réveillé, j’aurais été dans de beaux draps.
Bref, il est dix-neuf heures, nous arrivons à la maison d’hôte après une ballade à cheval que je ne suis pas prête d’oublier. Je me douche rapidement avec Olivier, puis nous descendons dans la salle à manger afin de dîner avec la famille.
Nous discutons de tout et de rien, j’apprends que pour la ballade dans les villes de Saint-Jean-de-Luz, Biarritz et Bayonne les deux frères seront absents, car ils doivent s’occuper de leur troupeau de brebis. Intérieurement, je me dis tant mieux, au moins je pourrais être plus sereine avec Olivier, du moins, je ne serais pas tenté, c’est le mot le plus juste.
Ça sera leur père qui nous fera la visite. Le repas se déroule tranquillement.Nous discutons de tout et de rien, j’apprends que pour la ballade dans les villes de Saint-Jean-de-Luz, Biarritz et Bayonne les deux frères seront absents, car ils doivent s’occuper de leur troupeau de brebis. Je bavarde un peu avec mon époux, puis nous nous endormons.
Quand soudain, la soif fait de nouveau son apparition, décidément, je vais finir par croire qu’il y a une épice spéciale dans mon assiette qui me cause cette sensation. Et qui serait mise par l’un des frères afin que je descende à la même heure pour me désaltérer et ensuite profiter de mon corps.
Le jeu en vaut bien la chandelle, c’est sûr puisque j’ai découvert des plaisirs différents, mais tout de même, ça ressemble à un petit piège assez vicieux.
Bref, j’arrête de faire la fille suspicieuse, puis je pars en direction de la cuisine. J’ai pris tout de même le soin de mettre un string avant de dormir afin d’avoir une barrière de protection supplémentaire. C’est disons-le plus pour la conscience qu’autre chose.
Je suis devant le réfrigérateur, ouvre la porte, prend une bouteille d’eau puis bois. Je me retourne, et à ma grande surprise, il n’y a personne. Maintenant, que les deux frères ont eu leur partie de jambes en l’air, auraient-ils décidé de me laisser tranquille ? Mystère.
Je reprends donc le chemin de ma chambre, éteint la lumière, puis soudain, je suis saisie par le bras. Je crie de peur, une main se pose sur ma bouche. J’essaye de me calmer, d’être confiante, mais je ne sais pas où je vais. Je suis entraîné dehors, une grande porte en bois est ouverte, puis on me pose dans ce qui ressemble à de la paille.
Deux chandelles s’allument, et je vois clairement le père de famille face à moi. Pierre a la cinquantaine, il est un peu bedonnant, il est très loin du côté sexy qu’ont ses fils et donc pas attirant pour un sou. Je lui demande alors pourquoi il m’a entraîné jusqu’ici. Il me dit qu’il m’a vu l’autre soir sur le balcon avec Benoit et qu’il aimerait profiter de mon corps. Il m’a emmené ici pour que sa femme évite d’entendre quoi que ce soit.
Je lui dis que je suis jeune, qu’il pourrait être mon père, essaye de le convaincre que ce n’est pas correct. Puis, il me répond d’un ton autoritaire, disant qu’après les fils il y a le père. Je trouve son attitude osée. Je ne sais pas comment réagir, mon corps veut fuir cette situation, mais mon esprit dit le contraire. Décidément, ce dernier a décidé de me torturer jusqu’à la fin de cette semaine.
Il réplique une dernière fois, en me disant qu’en se baladant avec une nuisette sexy dans la maison, je cherche le bâton pour me faire battre. Là, il vient de marquer un point, j’aurais effectivement dû être un peu plus sage, et prudente à la fois. Depuis que je suis ici, j’ai découché deux fois et en plus en prenant du plaisir.
Je sors de mes pensées après une poignée de secondes, un temps assez suffisant pour que Pierre enlève sa chemise. Son ventre bedonnant me dégoûte un peu. Il m’invite à faire pareil que lui, je refuse dans un premier temps, je n’ai pas de soutien-gorge, lui dis-je.

Il me répète qu’il fallait que je sois plus prudente. Une nouvelle fois, il vient de marquer un point. N’étant pas forcément habitué à avoir des parties de jambes en l’air avec Monique, je me dis qu’il va être précoce. Donc, je me libère un peu du stress qui m’envahit et fait glissé les deux bretelles de ma nuisette. Mes seins apparaissent devant ses yeux pervers et je ne sais pas pourquoi, mais le bas de mon ventre commence aussi à réagir.
Il semble satisfait de me voir à demi-nue, me complimente sur la beauté de ma poitrine, je le remercie. Puis ce dernier met la main dans son caleçon, et se masturbe clairement sans aucune gêne. Avec les ombres, les gestes sont bien clairs. Il défait sa fermeture éclair, fait descendre son pantalon et fait apparaître un sexe d’une taille équivalente à celle de Benoit.
Jamais, je n’aurais cru voir ça venant de sa part. Je reste stoïque quelques secondes puis il m’interpelle, me disant de ne pas rester, comme ça, immobile. Je dois reconnaître que le bas de ventre et mon esprit ne restent pas de marbre, maintenant que je sais ce que c’est de prendre du plaisir avec un membre imposant.
Et pourtant, je suis toujours sur le dos, seins nus sur la paille, je le regarde faire puisqu’il continue de se masturber. Je me dis qu’il va arrêter là, du moins par respect, mais c’était sans compter sur son côté autoritaire. A présent, il se rapproche de moi, pose une main sur ma cuisse droite qui monte et descend jusqu’à la lisière de mon string.
Il me complimente sur la douceur de ma peau, je réplique avec un sourire, puis il se redresse un peu afin de toucher ma poitrine. Il me pince les tétons, ça me provoque à la fois une douleur, mais aussi un arc électrique dans le corps. Il continue son jeu, jusqu’à ce que je pointe.
A présent, il me les lèche, les mordille, puis positionne son sexe entre mes seins. Je profite alors d’une belle branlette espagnole. Son pieu est tellement grand qu’il bute sur mon menton, j’ouvre alors la bouche pour l’aspirer à chaque aller-retour. Il semble satisfait de cette initiative puisqu’il abandonne complètement ma poitrine pour profiter d’une belle fellation.Je l’aspire du mieux que je peux, joue avec ses testicules espérant au fond de moi qu’il jouisse rapidement, mais erreur, Pierre semble bien endurant.
Maintenant, il soulève le bas de ma nuisette, enlève mon string puis plonge la tête la première entre mes cuisses. Il me fait un cunnilingus incroyable. Je dois avouer qu’il a de l’expérience en la matière. Sa langue entre dans mon vagin, ensuite, il joue avec mon bouton magique.
Au bout de cinq minutes, je ne peux m’empêcher d’envoyer des jets de cyprines sur sa bouche. Il se relève, m’embrasse et me dit qu’avec le plaisir que je prends, ça aurait été dommage de dormir. Je dois reconnaître qu’il n’a pas tort. Il marque de nouveau un point. Il replonge une nouvelle fois entre mes cuisses, pour lécher mon anus, décidément, il aime les préliminaires cet homme.
Après ce début excitant, il écarte mes jambes, positionne son pieu contre ma vulve et se frotte ainsi pendant quelques secondes. Puis soudain, je sens mes lèvres s’écarter. Son sexe est en moi, son ventre bedonnant est un peu gênant, mais ce n’est pas pire que ce que je pouvais le croire, bien au contraire.
Il me besogne en missionnaire, son membre cogne contre mon col de l’utérus, j’ai l’impression qu’il va me percer. Puis, il me met à quatre pattes sur la paille, mes fesses lui font face, il saisit ma taille et me pénètre. Il me prend ainsi en levrette. Le bas de son ventre claque contre mon derrière. Dans le même temps, il me met quelques fessées qui provoquent en moi une excitation supplémentaire.
Puis nous nous positionnons en cuillère, une nouvelle fois, je le sens au fond de moi, dans cette position, il en profite pour me doigter l’anus. Les deux sensations provoquent en moi une jouissance incroyable. Je grogne, je pousse des petits cris, j’en ai les jambes qui tremblent. Il prend un peu de cyprine dans mon vagin pour l’étaler sur ma petite rondelle, puis me sodomise. Cette pratique est douloureuse, son membre est trop gros, et contrairement à ce que j’aurais pu penser sur son côté bourrin, et bien, il s’est arrêté, il n’a pas insisté. Il est à présent de nouveau dans ma vulve. Il m’a allongé sur le ventre, et me prend comme une bête furieuse.
Son membre grossit de plus en plus, pour finalement exploser dans mes entrailles. Cette pratique est douloureuse, son membre est trop gros, et contrairement à ce que j’aurais pu penser sur son côté bourrin, et bien, il s’est arrêté, il n’a pas insisté. Je ne peux répondre par la négative, donc je confirme ses propos, et lui demande comment ça se fait qu’il soit tout le temps comme ça.
Et il part alors dans un monologue incroyable concernant l’ennui qu’il a avec Monique au lit depuis au moins cinq ans. J’essaye de le rassurer, en lui disant qu’il est un superbe coup, et qu’il ferait mieux de se trouver une maîtresse. Il m’explique alors qu’il essayera, toujours est-il que demain lorsque nous irons à Bayonne, ce sera les fêtes, et qu’il compte bien profiter de mes charmes.
La discussion se termine sur cette dernière phrase, j’essaye de me rhabiller tant bien que mal, l’odeur de la paille est assez forte, question discrétion, il va falloir la jouer maline.Il est une heure du matin au réveil, j’enlève ma nuisette, puis m’endors à côté d’Olivier. Je viens de découcher une nouvelle fois cette fois-ci avec le père de famille qui est très bon dans ce domaine.
Maintenant, que les trois hommes de la maison sont satisfaits et moi aussi, j’espère que la tension sexuelle descendra un peu.
Mais c’était sans compter sur le côté pervers de Pierre…
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