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Maison d'hôte à la montagne

Chapitre 9

Hétéro
Olivier reste dans la jeep, tandis qu’avec Antonin et Benoit, nous rejoignons nos chambres respectives. Ce soir, je dors donc toute seule. Le lendemain matin, mon époux rentre comme une furie dans la chambre au point de réveiller tout le monde. Il me crie dessus, me disant que je ne suis qu’une traînée, que je n’aurais jamais dû rester seule avec les deux frères dans la discothèque.
Je lui réponds le plus simplement possible qu’hier soir, c’était une soirée détente et non une soirée pour tomber ivre à cause de l’alcool. Celui-ci me répond qu’il n’aurait pas besoin de ça si sa femme était sérieuse et fidèle. Je tente de le rassurer en lui disant que je n’ai fait aucun écart depuis que nous sommes ici, mais rien ne change. Les membres de la famille interviennent afin de calmer cette dispute, mais Olivier ne l’entend pas de cette oreille. Il commence à faire les valises, y met ses et, mes affaires dedans.
Puis m’ordonne de quitter la maison définitivement. La mère de famille lui indique qu’il ne pourra pas être remboursé concernant les trois derniers jours qui restent. Je finis par accepter sa décision, avec une grosse pointe d’amertume au fond de moi, mais aussi avec une grande fierté.
J’ai découvert des plaisirs que je ne connaissais pas avant de venir ici, et sincèrement, je n’ai aucun remords. Je donne une accolade à chaque membre de la famille, même Monique semble réceptive à ce geste. Puis nous reprenons la route en direction de la région bordelaise.
Sur la route, je repense à tous les moments délicieux que j’ai vécus, la découverte du sexe énorme de Benoit, le côté malicieux d’Antonin, et le côté pervers de Pierre. Le bas de mon ventre en a des frissons de désir.
Lorsque nous nous arrêtons avec Olivier dans une aire d’autoroute afin de nous restaurer, je ne peux m’empêcher de regarder les hommes qui passent autour de notre table. J’essaye de devenir la taille de leur membre, ou la douceur de leurs lèvres. Je suis réellement devenue une femme libérée, me dis-je dans mon esprit. Olivier ne calcule pas réellement mes gestes. Il est plus préoccupé par son steak et ses frites. Quand tout à coup, un beau brun ténébreux entre dans la boutique de la station-service.
Il est vraiment très charmant, avec du gel dans les cheveux qui sont dressés en pics, et un regard brillant. Il me regarde quelques secondes, j’en ai le cœur qui bat, et une nouvelle fois mon esprit me torture. Il va au comptoir, prend une barre chocolatée, puis un café.
Il s’assoit sur une table haute qui se situe à proximité de la mienne puis continue de jouer avec son regard. Je ne peux m’empêcher de lui faire un clin d’œil puis je pars en direction des toilettes. J’indique à mon époux que j’ai un besoin pressant, celui-ci m’écoute à peine.
Je traverse la boutique, puis entre dans les sanitaires. Il n’y a pas trop de monde, je dirais même personne, au moment de me sécher les mains, je tourne le dos à la porte puis je sens des mains se poser sur mes hanches.
Dans un premier temps, je sursaute, puis regarde le miroir et vois le fameux beau brun. En deux, trois mouvements, nous entrons dans un box WC, et nous nous embrassons comme deux adolescents dans une cour d’école. Je lui dis que ce n’est pas sérieux, car il y a mon mari dans le restaurant, j’apprends que ce garçon habite à proximité de chez-moi, s’il désire me revoir, mais il ne l’entend pas de cette oreille.
Romain de son prénom, me retourne contre lui, se frotte contre mes fesses, puis fait glisser mon string à terre en me disant qu’aujourd’hui, j’aurais droit à l’entrée, avant de prendre le plat et le dessert.
Il sort alors son sexe, qui est d’une taille plus que convenable, me cambre un peu, puis me pénètre bestialement. Mes fesses claquent sur le bas de son ventre, puis au bout de deux minutes, le garçon expulse le sperme au fond de mon vagin. Nous nous rhabillons rapidement, puis ce dernier me donne une carte avec son numéro afin que nous nous retrouvions le plus rapidement possible. Décidément, ma période d’infidélité n’est pas prête de s’arrêter. Je sors des sanitaires, retrouve mon époux qui mange une glace puis nous repartons en direction de notre domicile.
À notre arrivée, nous ne nous parlons quasiment pas, sauf pour nous disputer. L’ambiance devient de plus en plus désagréable. Puis un mois après tout ce remue-ménage, j’ai appris une nouvelle plutôt sympathique puisque je suis enceinte non pas d’un enfant, mais de deux.
Mon époux retrouve alors confiance en moi, nous refaisons l’amour régulièrement et avec passion, mais, car il y a toujours un, mais, au bout du troisième mois plus rien. Il prétend qu’il ne veut pas faire de mal aux bébés, donc du coup s’abstient de me faire l’amour. À partir de ce moment-là, j’ai repris le chemin de l’infidélité avec Romain, le garçon de la station-service.
Un après-midi d’octobre, alors qu’Olivier était au travail, j’ai pris la décision d’envoyer un message écrit à cet amant furtif. Je pensais que ce dernier m’avait oublié, mais je me suis bien trompé puisqu’il m’a répondu. Il m’a invité chez lui, m’a vu enceinte, je lui ai demandé si cela le dérangeait. Mais visiblement ce n’était pas le cas. Nous avons discuté de tout et de rien, j’ai appris que ce garçon travaillait pour son compte.
Il est écrivain. Puis au bout d’une demi-heure de bavardage, Romain s’est rapproché de moi et m’a embrassé. Tendrement dans un premier temps, puis nos langues se sont mélangées. La salive tombe dans le décolleté de mon débardeur. Je l’enlève afin d’éviter les tâches suspectes, je me retrouve en soutien-gorge devant le garçon puis ce dernier caresse mon ventre. Il est très doux, puis il a enlevé mon sous-vêtement. Il a alors palpé mes seins avec passion.
Puis me les a léché, gobés, titillés avec le bout de sa langue. Ensuite, il a glissé sa main dans mon jean, afin de toucher ma vulve qui est déjà bien trempée. Étant gênés par le vêtement, j’ai préféré l’enlever.
Je suis à présent en petite culotte face à mon amant qui n’a pas hésité une seconde pour se mettre complètement nu. Il est plutôt beau garçon, des abdominaux biens dessinés, des pectoraux du même calibre, et surtout d’une paire de fesses bien musclées.
Son sexe est d’une taille correcte, je ne peux m’empêcher de lui offrir une fellation, puis une cravate de notaire. Il descend petit à petit sa tête en direction de mon vagin. Commence à me lécher avec délicatesse, puis mord, joue et titille mon clitoris. Je sens que je ne vais pas résister longtemps à mon premier orgasme étant donné la période d’abstinence actuelle que j’ai avec mon époux.
Et c’est ce qui arrive effectivement au bout de dix minutes. Il m’allonge maintenant sur le dos, puis me prend en missionnaire. Avec mon petit ventre arrondi, cette position n’est pas évidente à faire, donc du coup, nous nous mettons en cuillère. Il est derrière moi, me prend avec beaucoup de mouvements rapides et lents à la fois. Il sait varier les plaisirs visiblement. Il ne manque pas non plus de prendre mon sein droit en main afin de créer en moi une sensation d’excitation incroyable. Au bout de quinze minutes, mon vagin se contracte, et je jouis de nouveau. Il m’invite alors à me mettre à quatre pattes, me lèche une nouvelle fois le vagin, ainsi que l’anus, puis me prend en levrette.
Mes fesses claquent contre le bas de son ventre, il me met des petites fessées puis jouis au fond de mon vagin. Nous sommes essoufflés, nous nous faisons un câlin, nous nous douchons, puis de mon côté, je rentre à la maison. Pendant la durée de ma grossesse, je n’ai cessé de voir Romain envers qui j’ai des sentiments qui sont nés.
Olivier est devenu un fantôme dans la maison. Puis le temps passe, et nous voilà au mois de mars, jour de l’accouchement. Tout se passe à merveille, sauf qu’il y a un détail qui fâche et qui selon les statistiques arrivent très rarement, mais l’un des jumeaux n’est visiblement pas de mon époux. Je demande alors aux responsables de santé, s’il y a un moyen de connaître la vérité. Il me parle alors d’un test de paternité.
J’apprends par la même occasion que lors d’un rapport avec un homme, il faut un délai pour le faire avec un autre sous peine de connaître ce genre de mésaventure. Je stresse énormément durant le délai d’attente, demande à chaque homme avec qui j’ai eu des aventures un cheveu afin de savoir l’ADN du père.
Le temps passe, Olivier m’insulte de tous les noms, il est obsédé par les pourcentages de probabilité plutôt que de croire que c’est réellement le sien. Un lundi matin, aux alentours de onze heures, l’hôpital me téléphone et me donne rendez-vous. Au cours de l’entretien, j’apprends effectivement la réalité, puisque le petit Thomas n’est pas le fils de mon époux, mais bel et bien de Benoit, l’un des frères vivant dans la maison d’hôte.
J’apporte l’information à Olivier, ce dernier entre dans une colère noire, casse tout ce qu’il peut, vases, verres, miroir, et j’en passe puis quitte la maison. Un mois après, je reçois une lettre recommandée, c’est mon époux qui demande le divorce. Face à tant de preuve accablante, je ne refuse pas et signe les papiers.
Ce dernier refuse même de devenir le père de son enfant et le dénigre lors de l’audience au tribunal. Je n’ai plus jamais eu de nouvelles d’Olivier, je reconnais que je n’ai pas été une femme exemplaire, mais j’ai découvert en moi un côté femme libéré. Maintenant, je me suis assagi, je suis avec Romain, et réellement en couple cette fois-ci.
Benoit vient quelques fois voir son enfant, nous discutons et rions lorsque nous repensons à cette lune de miel, mais nous ne couchons plus ensemble. J’apprends par la même occasion que Pierre le père de famille est parti avec une autre femme et que Monique se retrouve donc seule avec ses fils.
Cette lune de miel restera inoubliable, je n’ai aucun remords, mais c’est comme ça, c’est la vie, maintenant place au changement comme on dit.
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