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La maison de retraite

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Chapitre 1
Scène 1
Il est 14 heures, la relève vient de se terminer. Marion, l’infirmière de semaine, referme son placard et nous souhaite un bon week-end.Nous cette semaine, c’est Suzanne et moi. Je ne fais pas cas des deux cuisinières car elles ne montent que très rarement au troisième étage de cette résidence pour personnes âgées et seulement quelques minutes juste le temps de nous pousser le chariot des repas dans la salle commune.Je ne fais des gardes d’infirmiers de week-end que de temps en temps et pas toujours avec les même aides-soignantes. Cette fois ci je vais passer 48 heures avec Suzanne, et Suzanne ce n’est pas une triste.Le travail ici n’est pas bien compliqué ni particulièrement fatigant. Nous avons la responsabilité d’une vingtaine de petits vieux un peu perdus et plutôt gentils. On les habille le matin, on les fait manger midi et soir, on les déshabille le soir et on les couche.L’équipe de semaine est partie, c’est l’heure du café avant de préparer la salle à manger pour ce soir. Suzanne est en face de moi, la tasse de café à la main, affalée dans son fauteuil les cuisses écartées. Ce qui me donne une vue plongeante sur sa culotte. En effet, ce n’est pas sa courte blouse rose à boutons pression qui peut dissimuler quoi que ce soit !Suzanne, comment vous expliquer…C’est une femme d’environ trente ans mince et plutôt jolie mais mal attifée et un peu vulgaire. Elle est très sympa, très simple on pourrait dire rustique. Je n’arrive pas à savoir si elle est un peu idiote ou si son éducation a été ratée. Pour Suzanne, les choses de la vie sont naturelles et on en parle naturellement. Quand elle a faim elle dit qu’elle va bouffer un truc, elle ne « s’absente pas un moment » elle va « pisser ou chier un coup. » La première fois que j’ai travaillé avec elle, elle est arrivée en retard à la relève, elle s’est effondrée dans le fauteuil comme aujourd’hui et elle m’a dit : « Excuse-moi, je suis en retard, mais c’est Roger, il m’a cassé le cul. »J’ai dit : « Pardon ? » Elle a repris « Ben oui, Roger mon mari, c’est lui qui m’a amenée au travail. Il a eu envie de baiser alors on s’est arrêtés au bord de la route et il m’a pris en levrette sur le siège arrière de la voiture. Il a voulu faire vite et il m’a défoncé le cul. C’était super bon mais je suis cassée. » Voilà mon premier contact avec Suzanne. Direct non ?Aujourd’hui elle était à l’heure…Alors que nous profitions de ce petit moment de répit avant d’attaquer le boulot je regarde ostensiblement l’entre jambe de Suzanne et avec une mimique admirative je lui dis : « Tu as une très jolie petite culotte. »-« C’est vrai, tu aimes ? » Dit-elle en se penchant en avant pour voir si elle était bien en place.-« Je l ‘ai achetée pour Roger, il aime beaucoup la lingerie. » Elle s’était mise debout et avait troussée sa blouse pour me faire admirer, en tournant lentement sur elle-même, un slip brésilien gris avec des surpiqûres blanc crème qui moulait ses fesses et sa chatte à la perfection.Je ne pus m’empêcher de siffler et de dire : « Ah oui, il est parfait, il met bien ton physique en valeur ! Roger a de la chance ! Mais tu devrais t’épiler un peu plus sur les cotés car ton nouveau slip est très échancré. »-« Tu as raison, il y a quelques poils qui dépassent. Toi, t’es un mec observateur ! »En la regardant s’exhiber ainsi j’en arrivais à la conclusion qu’elle ne se rendait pas compte de la portée de son attitude. Elle était excitante dans sa naïveté. Je commençais à bander. Je décidais donc d’aller préparer les médicaments du soir.Seul dans la salle de soins je repensais à Suzanne et me disais qu’elle était plutôt appétissante, que nous étions bloqués là pour tout un week-end et qu’il fallait que je profite de son manque de retenue pour donner à ces deux jours une orientation plus sensuelle. Je décidais donc de la brancher le plus souvent possible sur des discussions à caractère sexuel. Elle était un peu plus âgée que moi et mariée de surcroît mais le week-end s’annonçait potentiellement riche d’expériences nouvelles.Lorsque je retournais en salle de repos, je n’eus pas à chercher longtemps une idée de conversation grivoise. En effet, je trouvais ma Suzanne en sous-vêtements, la pince à épiler à la main et les cuisses grandes ouvertes à l’équerre, en train d’éliminer les poils superflus ! La position et l’activité de Suzanne eurent sur moi l’effet d’une claque. J’avais les joues en feu et le sexe au garde à vous.-« J’ai fais comme tu m’as dit. C’est mieux non ? »Dit-elle la bouche en cœur.Reprenant mes esprits je m’approchais et l’air très docte, je m’agenouillais entre ses cuisses pour constater l’état d’avancement du débroussaillage. –« Bien, très bien. Je vois que tu es très efficace et que ton pubis prend un aspect plus domestiqué. »-« Mon quoi prend quoi ? »-« Ta touffe est mieux coiffée »traduisais-je. Et j’avançais la main pour toucher la zone de peau nouvellement épilée juste à la limite de l’élastique de sa petite culotte. L’extérieur des grandes lèvres et le creux vers la racine de la cuisse avaient un aspect de chair de poule douce et agréable sous les doigts.-« Fais pas ça »me dit-elle « tu m’excites. »
-« Et c’est un problème ? »Demandais-je.-« Non mais après tu ne t’imagines pas dans quel état je vais être pour aller travailler. »J’essayais de m’imaginer et je concentrais mon regard sur le fond de sa culotte pour voir si elle mouillait tant que cela.Non seulement elle n’était pas farouche mais en plus visiblement elle était hypersensible à la stimulation sexuelle. Mon plan avançait à merveille !Reprenant la direction des opérations je lui dis : « Bon, tu passes les goûters, je vais mettre la table pour le dîner et on se retrouve dans une heure pour la pause. Ok ? »-« Ok, à tout à l’heure. »Une heure plus tard l’odeur du café frais me chatouilla les narines alors que je revenais de la salle à manger.Suzanne était déjà dans la salle de repos. Elle avait préparé quelques petits gâteaux avec le café.-« Je suis désolé pour tout à l’heure, je ne savais pas que tu étais si sensible. Je ne voulais pas te gêner mais tu es si bien faite que je n’ai pas pu résister à la tentation de te toucher. Tu ne m’en veux pas ? »-« Bien sur que non, je ne t’en veux pas mais tu comprends, la main d’un joli garçon qui me caresse les cuisses j’ai du mal à résister. Pour te dire, j’ai dû aller me rincer le minou avant de passer les goûters. J’étais trempée ! »-« Tu aurais du m’appeler, je t’aurais aidée. » Lui dis-je l’air coquin.-« Tu m’aurais aidée à me laver ? Toi ? »-« Oui, je fais cela très bien…. Avec la langue ! »-« Quel salôôô ! ! Arrête de dire des trucs comme ça, je vais encore mouiller. » Dit-elle en plaquant une main sur son entre jambe et en serrant celles-ci.Je m’étais rapproché d’elle. Visiblement elle était chavirée, l’œil brillant, les lèvres un peu entrouvertes. Elle venait d’imaginer ce que ma langue aurait pu lui faire.-« J’ai l’impression que tu en rajoutes beaucoup. »Lui dis-je d’un air un tantinet suspicieux. « Moi je crois que ce que je vois. »-« Dis tout de suite que je suis une mytho ! »Elle avait l’air très en colère.Moi pour la calmer : « Mais je ne demande qu’à te croire. » Et je profitais de son trouble pour glisser délicatement ma main entre deux boutons –pression de sa blouse. Quand mes doigts touchèrent sa peau, elle eut un frisson.-« Ben mais qu’est-ce que tu fais ? Tu veux vérifier c’est cela ? Eh bien touche, tu vas voir si c’est du pipeau ce que je raconte ! »Et avec sa bénédiction je glissais ma main dans sa culotte.Non elle ne mentait pas, elle avait la vulve dégoulinante de son jus. Ma main descendit jusqu’au fond de son slip et du bout des doigts je pus constater qu’elle en avait même plein la raie des fesses. -« Alors, Monsieur saint Thomas ? » M’interrogeait-elle avec le sourire du vainqueur.-« Oui, je reconnais qu’avec tout cela dans la culotte ce ne doit pas être confortable pour travailler mais pour le reste…Cela doit être divin. » Elle me regardait l’air dubitatif. –« Pour le reste, enfin pour l’amour. Pour baiser comme tu dis. » Pendant qu’un sourire se dessinait sur son visage, signe qu’elle venait de comprendre, je retirais lentement ma main en ayant soin d’insérer mon majeur dans sa fente pour titiller son clito au passage.Elle ne fut pas dupe. -« Est-ce que par hasard tu essayerais de me branler ? » La question était directe, j’étais un peu pris de court mais j’eus l’inspiration de répondre sans détours : « Oui effectivement, mais seulement si tu es d’accord. »-« Vu l’état dans lequel tu m’as mise j’aurais du le faire de toute façon. Alors comme c’est de ta faute, finis le travail… Mais lentement, j’aime sentir le plaisir arriver doucement. »C’était tellement inattendu que j’eu presque des remords : « Et Roger ? »-« Pfffff, une petite branlette c’est pas ça qui lui mettra des cornes sur la tête. » Me dit-elle en passant ses bras autour de mon cou et en écartant nettement ses cuisses pour me faciliter le mouvement. J’avais commencé à effleurer d’un doigt léger comme un papillon le petit bout de chair caché dans sa toison. Je le sentais durcir sous la caresse. Suzanne gémissait maintenant. Je décidais d’utiliser le majeur et l’index joints pour un va-et-vient latéral. Elle appréciait. Chaque ressaut de son clitoris au passage de mes doigts la faisait tressaillir. Après quelques instants de cette stimulation je changeais de direction pour effectuer de lents et profonds massages du haut de sa vulve vers son vagin dans lequel mes deux doigts étaient aspirés profondément. Son orgasme ne fut pas long à venir. Elle me serra contre elle en laissant échapper dans mon cou un long râle de plaisir.Après plusieurs minutes d’une étreinte physique quasi masculine où je sentais encore les muscles de son vagin se contracter autour de mes doigts elle s’écarta lentement de moi en concluant : « Putain c’était bon ! Tu as des doigts magiques ! J’ai pris un super pied ! La prochaine fois que j’en aurai envie plutôt que de le faire toute seule je te mettrais à contribution. » -« Pour ce genre de choses je serais toujours à ton service ! » Répondis-je en me léchant ostensiblement les doigts, instruments de son plaisir. « Ton jus a un parfum et un goût absolument délectable ! Et je dois avouer que c’est la première fois que je suis aussi excité sans vraiment avoir envie de rechercher mon propre plaisir. Tu es une reine de l’amour ! »-« Tu es gentil de me dire cela. Je vois bien que tu as envie de moi. On n’a pas le temps tout de suite mais ne t’inquiète pas je saurais te rendre la pareille. Mais là je suis encore toute retournée et puis il y a du travail. On boit le café et on y va. »-« J’enregistre ta promesse et je compte sur toi. »Et nous partîmes préparer nos petits vieux pour la nuit, chacun de notre coté. Suzanne d’une démarche lente qui en disait long sur l’intensité du plaisir ressenti et moi le visage rouge et le sexe en érection. Ma démarche assurée me donnait l’air d’un navire dont l’étrave fend la mer à défaut de pourfendre Suzanne. J’avais l’impression que je ne débanderais plus jamais.

Scène 2
  Le voyant de sonnette de Madame Giraud était allumé, je m’y dirigeais d’un bon pas toujours précédé de cette érection installée dans mon pantalon pour un temps indéterminé.Madame Giraud est une charmante petite vieille plutôt coquette qui a du être très belle dans sa jeunesse si on se réfère à ses traits fins et à sa bouche bien dessinée.Malheureusement pour elle son jugement est un peu altéré, elle n’est pas vraiment perdue mais quelques éléments de logique lui manquent. Dans son cas on ne peut pas parler de démence puisque sa mémoire reste très correcte. Depuis que je travaille dans la résidence elle me prend pour le curé mais connaît parfaitement mon prénom et mes fonctions. Et curé-infirmier cela ne la dérange pas !-« Bonsoir Madame Giraud, que puis-je faire pour vous ? »-« Oh bonsoir Monsieur l’abbé, je voudrais me mettre en tenue pour la nuit, vous pourriez m’aider ? »-« C’est un peu tôt , mais pourquoi pas , c’est vous qui décider après tout. »J’entrepris donc de l’ aider à quitter ses vêtements. Le chandail était déjà sur le lit et j’étais en train de déboutonner son chemisier quand je surpris son regard planté sur ma braguette.Et d’un air mi-curieux mi-réprobateur elle me dit : « Les mauvaises pensées sont un péché pour un homme d’église. »-« Pour un homme d’église oui, mais pas pour un infirmier. » Répliquais-je en faisant glisser sa jupe par terre. Elle était maintenant en soutien-gorge et en gaine.-« Et c’est moi qui vous fait cet effet ? »Dit-elle, toujours louchant sur la partie visible de mon érection.Comme je ne me voyais pas lui expliquant qu’en fait, je venais de branler l’aide-soignante entre les petits gâteaux et le café et aussi un peu pour lui faire plaisir, je répondis qu’elle était encore très attirante pour son age et que oui, c’était elle qui m’avait mis dans cet état.Son air se fit langoureux et sa bouche aux lèvres fines dont le volume était augmenté par un rouge à lèvres d’un mauve soutenu, laissa échapper : « En d’autres temps je crois que je vous aurais laissé pousser le gros avantage que je devine en des terrains qui malgré mon grand âge semblent encore passablement humides. »Que cela était bien dit ! J’étais donc en train de me faire draguer par une femme, certes bien conservée, mais qui pouvait être ma grand-mère. Pour ne pas perdre la face je répondis qu’en d’autre temps je l’aurais volontiers gratifiée de quelques gâteries qui habituellement étaient fort appréciées par la gente féminine ! Mais que le lieu et mes obligations de travail ne me le permettaient pas actuellement.-« Je saurais attendre »dit-elle.Seul mon état d’excitation pouvait expliquer une telle liberté de parole de ma part envers une pensionnaire de le résidence. Si cela s’ébruitait j’allais passer pour un pervers ! Même cette réflexion personnelle ne me désarçonna pas et après lui avoir ôté sa gaine je ne pus réprimer un geste de tendresse envers son mont de Venus passablement dégarni. La caresse lui brouilla le regard.-« Je saurai attendre mais je donnerai n’importe quoi pour sentir de nouveau après toutes ces années la vigueur d’un homme à l’intérieur de mon ventre. »J’émis un petit sifflement : « Vous en avez tant envie que cela ? Je pensais qu’avec le temps le désir s’estompait. »-« Jamais ! La pratique diminue mais le désir jamais ! »Elle regardait toujours en direction de ma braguette. –« Je peux vous demander une faveur mon petit Christian ? »-« Vous pouvez toujours demander »répondis-je.-« J’aimerai que vous me la montriez. »Et devant mon air surpris, elle précisa « oui, que vous me laissiez admirer votre virilité. »J’étais certes très fier de cette érection qui n’en finissait pas mais de là à m’exhiber comme cela et à la demande d’une vieille dame, je restais perplexe. J’espérais un week-end plein d’érotisme et bien j’étais servi mais peut-être pas dans le sens attendu. Comme j’avais toujours voulu faire montre d’ouverture d’esprit surtout dans le domaine sexuel c’était le moment de faire mes preuves !-« Je veux bien mais n’en parlez à personne cela pourrait m’attirer des ennuis. » Lui dis-je d’une voix mal assurée.Je commençais donc à défaire ma ceinture, puis les boutons de ma braguette avant de faire glisser mon pantalon et mon caleçon sur mes genoux. A la vue de mon sexe turgescent et luisant de sécrétions elle tomba assise sur le lit laissant échapper un « Doux Jésus ! » Admiratif mais pas du tout religieux.Et avant que j’aie pu dire ou faire quoi que se soit sa main s’était emparée de ma verge et la caressait. Le mouvement, hésitant au début, prenait de l’assurance. Mme Giraud retrouvait apparemment un geste, certes ancien pour elle, mais qu’elle semblait bien maîtriser. Une main experte. Sa deuxième main vint à l’aide de la première en palpant délicatement mes testicules. C’était tellement bon que j’oubliais jusqu’à l’âge de l’opératrice. Elle continuait à s’activer tranquillement mais sûrement et moi j’étais aux anges, aussi je ne me suis rendu compte que très tardivement que ce n’était plus ses mains qui me donnaient ce plaisir mais que j’étais maintenant dans sa bouche. Après un instant d’hésitation je me laissais faire avec volupté . Elle suçait divinement bien. Pendant que sa bouche, les lèvres formant un rond, allait et venait d’un bout à l’autre de ma verge, sa langue s’enroulait autour de mon gland. Légèrement râpeuse elle provoquait une excitation de plus en plus forte.-« Madame Giraud, je…je…je vais jouir… » Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que j’éjaculais tout le sperme de mes bourses moitié dans sa bouche moitié sur sa poitrine.-« Je suis désolé, je n’ai pas pu me retenir… »-« Ce n’est pas grave. »Me dit-elle. « Vous en aviez tellement envie monsieur le curé que vous voici bien soulagé. Et puis cela me rappelle le bon vieux temps. »-« Le bon vieux temps, pourquoi le bon vieux temps ? » Mon regard c’était fait interrogateur. C’est le pantalon aux genoux, le sexe plus flasque et avec une grande sensation de détente que j’écoutais l’histoire de Marthe.

Scène 3
-« Mon cher Docteur. » Du coup j’étais devenu docteur. « Je n’ai pas toujours été une grand-mère polie, sage et réservée. J’ai eu vingt ans pendant les années folles et je peux vous dire qu’en ce temps là les soirées duraient toute la nuit et étaient bien arrosées. Nous étions tous très insouciants et la morale avait pris une sacrée claque depuis la fin de la grande guerre. Nous étions un groupe de quatre copines. Nous avions fait connaissance sur la fin de la guerre dans l’entreprise qui nous avait embauchées, fautes d’hommes. Ils étaient tous sur le front. Ce statut de travailleuses nous donnait une liberté que nous n’aurions jamais eue autrement. Nous n’avions plus de compte à rendre à la famille et l’argent gagné nous permettait de sortir quand nous le désirions.Le champagne coulait à flots, nous n’avions aucun horaire et tout le monde était toujours très gai. Quand arrivait la fin de la nuit les idées les plus folles traversaient les esprits imbibés d’alcool et mes copines et moi avions instauré une sorte de jeu ou plutôt de concours sur lequel on prenait des paris, les hommes pariant sur les hommes et les femmes sur leurs consœurs. La règle du jeu était fort simple : Nous choisissions quatre hommes parmi les volontaires, et il y en avait beaucoup, la gagnante était celle qui avait amené au plaisir le plus vite possible son partenaire rien qu’avec sa bouche ! Suivant les enjeux, certains essayaient de tenir le plus longtemps possible ou bien s’abandonnaient rapidement à l’orgasme si on avait parié contre eux. Autan vous dire que j’en ai sucé des hommes, je ne me rappelle même pas tous les visages mais je garde un bon souvenir de certains organes. » Conclut-elle dans un grand éclat de rire.-« Alors je dois vous dire que vous n’avez rien perdu de votre technique de l’époque ! Et vous aviez d’autres petits jeux comme celui-là ? »-« Bien sur ! Il y en avait un autre que j’aimais beaucoup, un homme aux yeux bandés devait deviner laquelle des filles il avait devant lui rien qu’en reniflant et en goûtant son doigt qu’il avait au préalable introduit dans son intimité… »Je recommençais à bander ! Quel week-end ! Il fallait que je raconte cela a Suzanne !-« Mon petit Christian, je peux même vous dire que l’apothéose eue lieu en cette nuit du Jour de l’An de 1925. »-« Racontez, racontez. »Lui dis-je, l’eau à la bouche et le sexe dans la main, me caressant lentement en écoutant la suite. Madame Giraud reprit son récit, Le rythme d’abord lent de sa narration s’accéléra progressivement tandis que ses yeux ne me voyaient plus, ils étaient dans la salle de bal du Cercle Interarmées en cette fameuse nuit de la Saint Sylvestre !-« Tout le monde était sur son 31, des toilettes magnifiques avec des chapeaux incroyables pour les femmes, plumes de paon, boas et colliers de perles à profusion, des smokings et des uniformes impeccables pour les hommes. Il y avait une ambiance survoltée, nous avions commencé à danser tôt dans la soirée. Les bouteilles de champagne se vidaient comme par enchantement et certaines personnes étaient un peu pompettes. Tout le mode chantait et criait. Des couples virevoltaient sur la piste de danse tandis que d’autres s’embrassaient déjà avant même les douze coups de minuit. A coté de moi, mon amie Yolande avait mis le grappin sur un superbe officier du 3eme Dragon qu’elle embrassait à pleine bouche. Lui, avait glissé sa main sous la robe et les jupon de la demoiselle et visiblement ce qu’il y faisait avait le pouvoir, la boisson aidant, de rendre Yolande hystérique. Les cris et les roucoulements de celle-ci durent donner des idées folâtres à Violette, sa voisine d’en face. En effet, à voir le visage congestionné de son chevalier servant, ce n’était pas le pied de la table qu’elle frictionnait avec vigueur …L’ambiance devenait électrique. Hommes et femmes s’étaient appariés selon l’humeur du moment, parfois à plus de deux. Plus le temps nous rapprochait de la nouvelle année et plus les gens buvaient et plus les gens buvaient et plus ils se laissaient aller. Partout où le regard portait, on pouvait voir des couples enlacés, parfois allongés sur les tables ou à même le sol. Les belles robes et les beaux costumes commençaient à joncher les chaises et le carrelage. Des seins émergeaient de corsages trop malmenés. Certains hommes n’avaient plus de pantalon, d’autres passaient d’un couple à l’autre pour embrasser un cou, un sein ou glisser une main dans une culotte accueillante et souvent déjà bien moite. Les plus hardis faisaient l’amour au vu de tout le monde ce qui donnait lieu à moult appréciations et commentaires. La contagion gagnant, en quelques heures la soirée était devenue une véritable orgie, mais une orgie bonne enfant où le plaisir restait la ligne directrice. »Ma narratrice était pensive…J’étais sidéré, et loin de m’imaginer qu’à cette époque, comme aujourd’hui, le sexe était un des centres d’intérêt pour la jeunesse. Le récit de Mme Giraud m’émoustillait terriblement, j’avais l’impression d’être un spectateur au milieu de la salle incapable d’agir mais n’en perdant pas une miette. Tout à son histoire, elle repris son récit et d’un geste quasi naturel, ses mains remplacèrent la mienne pour un lent va-et-vient sur ma verge à nouveau tendue. Je laissais faire…-« Maintenant à genou sur une chaise, Violette avait lâché la vigueur de son compagnon et celui ci, la tête enfouie sous les jupes, lui dispensait une caresse avec la langue qu’elle commentait entre deux cris. Ha oui ! Sa langue, il l’enfonce, il l’enfonce en entier, ha ! haaa ! Il me mord les nymphes, oui ! Non ! Haaa ! Le bout de la langue, ha ! Oui ! Oui ! Oui ! Dans l’autre trou ! Ou lala ! Mon bouton d’amour ! Mon bouton d’amour ! Encore, encore, oui ! Oui !Ses cris avaient ameuté un petit groupe de personne qui encourageait le couple chacun à sa façon : De la voix pour la plupart, mais aussi du geste pour les plus audacieux. Deux femmes avaient retroussé les jupes et jupons de Violette afin de ne perdre aucun détails de l’action. L’une d’elles ne se privait pas pour caresser voluptueusement les deux globes de chair rose. Devant la chaise de Violette un grand moustachu, d’un geste très noble, lui passait son membre viril devant la bouche. Dés qu’elle eut compris la demande, elle aspira délicatement entre ses lèvres incarlates le gland du proposant. A ce moment je compris que plus aucune retenue ne serait possible.Et pour me donner raison, Solange, la dernière fille de notre groupe de quatre, par goût du mimétisme ou par simple envie, apporta une chaise qu’elle positionna à coté de celle de Violette. Puis sans aucune pudeur elle retira sa robe et se mit à genou sur sa chaise. Les fesses légèrement en l’air, laissant apercevoir un anus parfait et l’entrée de son vagin délicatement ourlé de poils roux. Ainsi prête, elle n’eut pas à implorer longtemps son amant pour qu’il la prenne en levrette. Celui ci fut nu en un instant et son sexe précédant son corps musclé, il s’accoupla à elle sous les vivats de la foule.Et notre moustachu profita de l’aubaine en proposant à la nouvelle venue son gland luisant et turgescent. Gland et hampe qu’elle laissa s’enfoncer dans sa gorge jusqu’à ce que son nez heurte le ventre du moustachu. Très digne il contemplait ces deux femmes à l’arrière desquelles deux hommes s’affairaient en mesure.Je fus la troisième à m’installer dans la même position suivie de très peu par Yolande et son officier. Nous avions quitté tous nos vêtements, ne gardant que nos bas, nos jarretières et nos escarpins. Nos mâles respectifs avaient maintenant compris la manœuvre et tous les quatre ensembles, d’un commun accord, nous pénétraient d’un lent mouvement de va-et-vient rythmé par les ’’han’’ de la foule. L’idée du moustachu avait fait son chemin car maintenant chacune des filles avait dans la bouche une belle verge que nous sucions avec avidité. Sur le moment le plaisir était plus dans la performance que dans la jouissance mais petit à petit je sentais monter au fond de moi cette douce sensation prélude à l’orgasme. C’est à ce moment là que mu par une raison inexplicable, mon amant sorti de mon ventre et d’un petit coup de hanche latéral, poussa son voisin de gauche pour prendre sa place dans le vagin de Violette. L’évincé, un peu surpris, ne mis que quelques secondes à réagir et, poussant lui aussi son voisin de gauche, il s’introduisit dans le sexe béant de Solange. Debout au bout du rang, le partenaire de Solange poursuivit le mouvement, contournant celle ci, il se faisait maintenant gratifier d’une fellation de toute beauté.Les participants à ce petit jeu s’étaient tous décalés d’un rang et profitaient ainsi d’une nouvelle partenaire. Et la valse continuait. Après un certain temps, dés qu’un des hommes sentait l’excitation trop forte j’imagine, il donnait le top et tous les mâles se déplaçaient. Nous pûmes toutes les quatre profiter d’une pénétration quasi ininterrompue de plus d’une heure ! Je ne saurais dire aujourd’hui combien cela déclencha d’orgasmes pour chacune d’entre nous mais depuis, je n’ai jamais ressenti rien de pareil. Cette impression d’un sexe, dont la longueur et le diamètre changent inopinément et qui vous pilonne sans faiblir aussi longtemps, est inoubliable !Puis, chacun des hommes présents donna libre cours à son plaisir et tous jouirent là où ils étaient. Ce fut une cascade de sperme ! D’aucun lâchèrent leur semence au fond de ventres brûlants, d’autres dans des bouches accueillantes ou sur des fesses rebondies même les spectateurs participèrent en éjaculant en signe de communion ! »
Comme pour m’intégrer moi aussi à cet orgasme planétaire, je jouis une nouvelle fois sur ma caressante grand-mère. Mais cette fois ci sans aucun remords ni honte.-« Je trouve votre histoire passionnante et excitante à la fois. » Lui dis-je. « Et je regrette de n’avoir pas pu participer à cette chaîne du sexe. Je crois que je vous aurais fait l’amour, à toutes les quatre, avec frénésie ! »-« Qu’a cela ne tienne mon petit Christian, je vous attends quand vous voulez…. » Je ne relevais pas, mais la proposition ne semblait pas faite en l’air.-« Encore merci pour cette charmante histoire Mme Giraud… Et pour le reste... Mais il faut que je continu mon service. A tout à l’heure. »-« Je l’espère bien. » Dit-elle dans un souffle.Je partis d’un pas rapide, j’avais hâte de raconter tout cela à Suzanne. Je cherchais des trucs coquins pour émoustiller celle ci et bien j’étais servi !
(à suivre)
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