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Maître Lance

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je travaille dans un restaurant un peu hupé de la capitale, je les vois tous les jours ces bourgeoises, ces filles à papa qui mériteraient une belle correction de ma cravache. Un de ces quatre matins, j’en aurai une qui quémandera pour recevoir ma queue dans son cul, je le sais. Je suis assez fan de domination mais, jusque là, j’ai dû le faire seulement avec des putes car trouver une fille qui aime se faire traiter comme une salope est plus dur que ce que les sites nous le laisse croire.
En tant que serveur, je touche juste de quoi survivre, payer le loyer, manger, et sortir une fois par semaine donc j’ai plus ou moins établi un réseau avec quelques amis ayant des postes dans certains hôtels et bijouteries. Le but ? Permettre à certaines personnes de rester discrètes sur certaines choses, les réservations sont faites sous de faux noms, les bijoux sont achetés par celui qui a été commandité qui la remet ensuite à sa prochaine visite à la personne qui l’a commandé. 
On a un peu de tout dans le groupe : une esthéticienne, deux bijoutiers, quelques mecs dans deux hôtels et dans dix restaurants. Bref, on a ce que le client veut discrètement. La plupart du temps, c’est pour une maîtresse à cacher, éviter un privé engagé par madame ou parfois des très grosses surprises à leur femme, ou encore faire un « rendez vous d’affaires » avec des putes. Avec ce système, on se fait environ 500 euros supplémentaires chaque mois.
Un jour, un de mes clients habituels, monsieur Leblanc, fan de SM comme moi, voire un peu plus sadique,  aimant bien les chiennes obéissantes et n’hésitant pas à les punir à l’inverse de chez lui où sa femme mène la baguette. Bref, il vient me voir à la fin du service. Il mangeait tranquillement avec une petite blonde, deux fois plus jeune que lui, des petites lunettes carrés qui cachent des yeux vert émeraude.
— Lance, j’ai besoin d’un peu d’aide.— Bien sûr, monsieur Leblanc. Je peux faire quoi pour vous ?— Voilà, nous allons dire que j’aurais plus ou moins besoin d’aide avec ma nouvelle maîtresse. Elle n’est pas habituée à mes …— Oui, je vois ce que vous voulez dire.— Dans votre groupe vous ne connaîtriez pas quelqu’un qui pourrait s’en occuper car, avec le mariage de ma fille et le boulot, j’ai pas le temps de passer mes nuits à former une ...Petite pute soumise. 
Il voit à mon sourire que j’aime ce dont il parle.
— Bien sûr. Je rembourse tout ce que vous dépenserez pour elle.Plus 200 euros d’avance et 200 euros à la livraison. Ça me paraît honnête vu le travail que je vais effectuer pour vous.— D’accord, mais j’espère qu’à ce prix là, elle sera bien obéissante.— Vous en faites pas pour ça; avec moi ça devrait pas poser de problème. 
On s’arrange pour qu’il me l’amène le soir même, après les heures de bureau. Ça tombe bien, ce soir je suis de repos, j’aurai tout le temps de jouer avec la nouvelle proie du vieux pervers. Il me l’amène à dix huit heures. Je suis surpris : c’est la fille de ce midi, les cheveux détachés et complètement nue. Je fais quelques vérifications avec la fille pour être sûr de pas me faire avoir. Elle s’appelle Samantha, elle a 21 ans, elle travaille avec Monsieur Leblanc, elle a pris trois semaines de congé et sa famille croit qu’elle est partie en vacances. C’est bon, je ne devrais pas prendre de risque à accepter de garder Samantha le temps de sa formation. Dès le départ de son maître, je lui apprends les règles d’ici : elle doit toujours m’appelait maître Lance, elle n’a le droit de parler que si on lui adresse la parole et elle doit obéir à tous mes ordres sous peine de sanction. Je lui mets une laisse autour du coup, je la serre juste assez pour qu’elle sente une pression sur sa gorge sans qu’elle ne soit gêné pour respirer.
Après, je m’assois sur mon vieux fauteuil en cuir dans le salon, je la fais venir à mes pieds, lui indique la position que je veux qu’elle occupe quand elle ne reçoit aucun ordre, à ma droite, sur les genoux les mains dans le dos. Je peux admirer ses magnifique seins bien ronds (sûrement du bonnet C). J’en touche un, je lui tords le mamelon jusqu’à ce qu’elle souffre légèrement puis je déboutonne mon pantalon et lui ordonne de me sucer. Elle ne réagit pas, elle a pas dû bien comprendre. Je lui tire la tignasse et lui colle ma queue dans la bouche. Je lui donne la cadence en tirant les cheveux. Au fil du temps, ma bite durcit et grossit dans sa bouche. Sam commence à s’y mettre sans que j’aie besoin de trop forcer. Ses mains placées de part et d’autre de mon manche, elle s’applique à faire de bon va-et-vient comme une vraie salope. Ses lèvres sur ma queue, ça me fait un bien fou. 
Cette salope est ma première vraie soumise, la première que j’ai pas besoin de payer pour lui infliger toutes sortes de sévices. Pourtant, j’ai l’impression que je fais ça depuis ma première branlette. Elle m’obéit au doigt et à l’oeil, j’ai tout pouvoir sur son corps et ça m’excite. 
Lorsque je me sens proche de la jouissance, je colle ses lèvres à la base de ma bite et la force à avaler. Dès que je la relâche, elle court vers l’évier où elle vomit. Je remarque une tâche là ou elle se tenait pour me sucer, je mets un doigt dedans : c’est de la cyprine. Ça l’excite donc d’être une chienne soumise.
—T’aimes ça, hein ? Être une chienne bien obéissante ?—Oui, maître c’est le devoir de la femme d’être au service des hommes, d’être leur pute, leur vide-couille, leur chienne salope obéissante. 
J’affiche un grand sourire alors qu’elle dit ces mots, je la ramène au salon où je lui fait lécher la cyprine qu’elle a laissée sur le sol, elle lappe comme une vraie chienne.
— Alors salope ? T’as bon goût ?— Oui, maître Lance, j’ai très bon goût. Vous voulez venir goûter ?— Il n’y a que les chiennes qui lèchent le sol !— Je voulais parler de ma chatte.— Non, amuse-toi toute seule. 
Le lendemain, je découvre une fille totalement différente de la Sam d’hier soir, une bien plus rebelle, elle lutte avec son collier pour l’enlever. Quand je lui adresse la parole, elle me répond sèchement. Je lui prends les deux mains et la jette sur le canapé.
— Qu’est ce qui ne va pas ?— J’aime être soumise … Mais …— Tu n’as pas encore accepté à 100% de le devenir, c’est ça ? Je comprends pourquoi Leblanc devait te dresser, tu aimes ce que tu fais mais des fois tu as des réticences quand à ta condition, c’est ça ?— Ou … Oui.— Ce n’est pas grave. Le seul problème, c’est que Leblanc et moi y sommes allé trop vite et trop fort avec toi. On va y aller progressivement, je vais me montrer pédagogue avec toi, ok ? Par contre, toute transgression mérite sanction. Pour m’avoir répondu comme tu l’as fait, tu recevras une dizaine de coups de cravache. Ça me semble juste. 
Je la mets en position, prépare la cravache et lui demande de ne pas pleurer car une vraie soumise ne pleure pas lors d’une sanction. Je me mets en face de ses fesses et je commence à lui mettre, un coup, puis un autre, puis un autre. Je ressens l’excitation monter en moi, l’excitation de la première fois. Comme hier, le désir me prend. Je n’en peux plus, j’ai envie de baiser ce joli petit cul bien rond. J’arrive finalement à dix, elle n’a pas pleuré. Malgré la couleur rouge écarlate qu’ont pris ses fesses, elle n’a pas pleuré. Pour la féliciter, je l’embrasse dans la nuque avant de lui caresser les seins, puis je l’embrasse tendrement sur les lèvres. Je retire mon caleçon et la laisse me sucer sans forcer le rythme ou faire quoi que ce soit d’autre, le seul ordre donné pour Sam est de rester à quatre pattes, de n’utiliser que sa bouche. Étant déjà bien excité en deux minutes, je jouis. Elle reçoit tout sur le visage. Voir son visage recouvert ainsi, cette salope va connaître pendant trois semaines mes plaisirs lubriques pour en faire une vraie soumise avant de retourner avec Leblanc.
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