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Maître Lance

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Je rentre éreinté du restaurant. Comme d’habitude, ma chef, Corinne, une quadragénaire coincée aussi plate qu’une planche à pain, n’arrêtait pas de me hurler dessus comme sur un incapable. Il faudrait qu’un jour quelqu’un la remette à sa place avec un bon coup de fouet dans le dos pour qu’elle voit ce que ça fait d’être traité comme un esclave rien qu’une fois.
Je rentre dans mon petit appartement. Je vois Sam nue qui m’attend à l’entrée avec un martini.
— J’ai voulu vous faire une surprise, maître.— Comme dans Ma sorcière bien aimée ?— Oui.— Comment tu as su que c’était ma série préférée ?— La collection de cassettes de la série.
Elle est toute souriante et essaye de se rattraper de ce matin. Elle est sympathique. Son corps est encore plus beau que ce matin. Je le dévore du regard, en me délectant de ce que je vois : ma petite soumise bien aimée.
— Ce soir, j’ai des amis qui viennent pour parler affaires. Donc, tu restes dans la chambre. Tu ne devras pas écouter et encore moins intervenir. D’accord, ma petite Sam ? Et après qu’ils soient partis, tu me montreras ce que tu vaux en baise.— Oui, maître.
Mes amis sont arrivés tôt. Fin de mois oblige, on devait découper les gains. Javier, Paul, Luis et Carole arrivent vers vingt heures.
— Bon on est désormais 30 dans le cercle et on a gagné 3000 euros.— Non, 6000.— Pourquoi, Javier ?— J’ai réussi à écouler un peu de Marie au mec friqué.— Quoi ? On avait bien dit JAMAIS de truc illégal !— Pourquoi ?— BANDE DE TACHES ! On est dans MON appart avec de l’argent de la drogue, pas mal de matos SM et la dernière commande de Monsieur Leblanc qui aurait pu rapporter autant que ce que tu as gagné mais légalement. Partez, prenez votre fric et filez !
Trente minutes plus tard, encore énervé, Paul m’appelle de sa bagnole : ils ont choppé Luis et Carole. Javier n’était pas le seul à faire dans l’illégal. Tous faisaient avec de la drogue et des trucs encore moins légaux pour arrondir encore un peu plus. Je sais qu’ils vont venir et que je vais plonger. De la drogue, des ventes de filles de l’est... Des trucs de malade. Ils ne chercheront pas à remonter. Ils croiront avoir les gros poissons. J’étais naïf de croire que tout cet argent était légal mais ces cons vont me faire plonger. Ils vont tous m’accuser. Il suffira qu’ils voient Sam et je serais leur ennemi public numéro un.
Je cours jusqu’à ma chambre où Sam m’attend. Elle a l’air inquiète. Je lui jette un de mes vieux jeans et un Tshirt, une casquette et je prends une valise. Je mets autant de fringues que possible plus les mille euros que j’ai caché sous le lit.
— Maître, que se passe-t-il ?— À partir de maintenant et jusqu’à nouvel ordre, tu m’appelles Lance. Mes associés ont fait des choses peu recommandables. Je suis innocent mais je vais tomber pour association de malfaiteurs et sûrement pour un tas d’autres trucs pas jojo. Donc, tu me suis ou non ?— Oui, où tu veux, quand tu veux.— Merci, mais.— On pourrait se cacher en Suisse. J’y ai un chalet pas loin de Montreux.— Merci Samantha.
On prend ma chevrolet impala du garage. Je pose les valises à l’arrière et prends le volant. Pour la première fois de ma vie, je comprenais quelque chose de très important : ne faire confiance à personne. Sur le chemin, Sam commence à me parler.
— C’est joli comme voiture. Tu chasses les démons avec ?— Non. Et toi, pourquoi m’avoir suivi ?— Je suis toujours ta soumise même si nos rapports ont légèrement évolué. Nom de famille ?— Mon nom de famille est Snow.— Un bâtard — Qui paye toujours ces dettes.
Un long silence dans la voiture avant que nous hurlions en même temps « L’hiver arrive ! » . De savoir que ma compagnone de fuite était aussi sériephile que je le suis ça fait un bien fou. On éclate de rire alors qu’il y a quinze minutes encore, elle était mon jouet sexuel.
— Et toi ton nom de famille ?— Crhane, Samantha Crhane. On dirait que c’est pas la première fois que les flics t’ont au cul ?— Une fille, quand j’avais 16 ans, elle en avait quatorze, sa mère m’a accusé de viol, sa fille n’a jamais nié. Ils n’ont même pas cherché des traces de sperme. J’ai passé deux ans en centre de redressement. À 18 ans, je suis allé voir la mère et j’ai cassé les vitres de sa caisse. Qu’est ce que j’y peux ? À chaque fois que je sors, ils cherchent à me remettre en taule. — Tu comptes faire quoi ?— Partir sur l’île fantastique de Roarke. Et toi ?— Rejoindre Sherlock dans sa fuite pour échapper à Moriarty. Qu’est ce qui t’a mené dans le lit de Leblanc ?— Je travaillais pour des financiers verveux à Wall Street. Le WITSEC m’a replacé dans mon pays d’origine avec une identité différente et j’ai atterri chez un mec plus verveux encore. Leblanc, j’ai dû coucher avec lui pour avoir ces infos. Mais être ta chose, j’adore.
J’entre tout juste sur l’autoroute du soleil quand Sam défait mon pantalon. Elle se penche et commence à me masser les couilles d’une main en me branlant d’une autre. Quand je commence à raidir et dépasser les cent trente à l’heure, au passage, elle pose ses si douces lèvres sur mon gland. Elle l’embrasse, le caresse du bout des doigts, le lèche comme une sucette. Elle commence à sucer. J’essaye de ne pas me déconcentrer de la route mais c’est dur, très dur même. La langue de Sam tourne autour de ma queue à l’intérieur de sa bouche. Je respire très fortement et tape sur le volant. Je dois garder le contrôle.
Elle arrête enfin et se remet tranquillement sur son siège. Elle enlève son pantalon et son T-shirt. Elle met sa jambe droite sur mes jambes puis se pose sur moi, sa chatte en plein sur ma queue. Elle trémousse son joli petit cul pour m’exciter. Je suce ses tétons. J’en ai plus rien à foutre du bitume qu’on bouffe : je la tète pendant qu’elle s’empale répétitivement sur mon membre viril. Elle m’embrasse. Toutes ses lèvres sont miennes à cet instant. Elle est mienne pour maintenant et à jamais. Elle me chuchote « Maître Lance» dans le creux de l’oreille. Je lui claque les fesses avec ma main gauche et les lui serre jusqu’au sang avec un sourire quasi sadique. Elle gémit de plaisir et de souffrance simultanément. Je suis redevenu moi-même. Je n’ai plus peur de me faire prendre, pas tant qu’elle sera là, ma petite chienne. Ses va-et-vient mènent à leur buts : j’éjacule en elle. Elle se retire, reprend la place du mort et se rhabille. Elle m’embrasse sur la joue et s’endort.
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