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Maître Lance

Chapitre 3

SM / Fétichisme
— Sam ! Réveille toi !— Oui ?— On vient de passer la frontière suisse. Maintenant, on va où ?
Elle regarde le rétroviseur et voit la voiture blanche qui nous suit depuis Lyon.
— Qui sont ces types ?Je ne sais pas pourquoi...— Accélère et on ne s’arrête plus à mon chalet. On doit passer dans une petite ville. Je dois vider mes comptes. VITE !— C’est moi le maître, c’est moi qui...— Pas là. Ce ne sont pas des tapettes, ces mecs qu’on a au cul.
Je m’arrête à une station essence pour refaire le plein. La voiture blanche se gare sur le parking et deux hommes en noir chauves en sortent. Ils doivent faire dans les 1 mètre 90 pour cent cinquante kilos. Ils se rapprochent de nous. Je vois Sam dans la voiture chercher quelque chose. Bordel, c’est qui ces mecs ?
— Tu connais Samantha Crhane ?— Non.— On a des preuves du contraire, mon pote. Donc, tu vas nous donner la fille et on va te laisser la vie sauve.— Je ne crois pas que tête de bite et le gland sur pattes aient compris. JE Ne LA CONNAIS PAS !— Bizarre... C’est qui cette fille dans ta voiture ?— Ma maîtresse Carmen.
Sam sort de la voiture et met un coup de pied dans les couilles de l’un des deux hommes, avant de mettre un coup dans le cou de l’autre. Elle récupère leurs flingues. Ils avaient des flingues ?! Oh, bordel, ces deux types auraient pu me descendre ! Bon, je reste calme. Sam doit voir que je panique. Elle récupère leur clé, va voir leur voiture et revient avec un sac plein d’armes.
— C’est qui, ces mecs ?— Les gens que j’ai dénoncé ont plus ou moins des liens avec certaines personnes qu’il vaut mieux ne pas fâcher. Donc, des gars veulent me tuer partout où je vais donc je me suis dis que de disparaître pendant trois semaines serait bien.
Nous remontons dans la voiture. Elle met le sac sur la banquette arrière. Je suis en colère et étonné. Une fille aussi forte et indépendante qui aime se faire dominer, être à la merci de quelqu’un... Comment est-il possible qu’elle puisse mettre ko deux mecs qui font deux têtes de plus qu’elle et que, juste après, elle veuille être attachée ?
Nous sortons de l’autoroute, histoire que les mecs de Tony Soprano ne nous chopent pas. Nous nous arrêtons dans un motel d’une petite ville. Il y a une jeune fille rousse tel le feu, les cheveux légèrement bouclés, une jolie paire de seins bien rebondis assortis à un petit cul bien ferme.
— Vous voulez une chambre ?— Oui.— Votre nom ?— Dean Castiel.— Chambre 8 Sam.— Merci.
Nous entrons dans la chambre. Nous y voyons un lit miteux. Le papier peint en a tellement mare d’être ici qu’il veut se barrer. La salle de bain a l’air utilisable par un être humain. Samantha n’est pas là : elle est allée vider tous ses comptes dans la ville à côté. Je lui fais confiance pour revenir : j’ai le sac d’armes et ses papiers. Mais, avec 20000 euros, tu peux disparaître. Je me suis fait niquer par la pire james bond girl qui existe !
Après une demi heure, j’entends quelqu’un à la porte. Je demande qui c’est. C’est la fille de l’accueil. Elle entre et se colle à moi.
— Bon maintenant Monsieur Castiel, que diriez-vous de moi dans ce … lit ?
Sam entre avec une valise noire. Elle avait prévenu à l’avance les personnes de l’agence donc ils ont pu prévoir la somme.
Elle prend la fille au cou. Littéralement, elle lui tient le cou avec son bras et fait pression sur sa gorge pour avoir l’avantage.
— T’es qui ?— Jeanne.— Tu veux quoi ?— Que tu me lèches la chatte même si, honnêtement, je préférerais un bon coup de queue de ton copain et pourquoi pas les deux.— Sam, au pied !
Samantha se met à genoux à ma droite. Je lui caresse la tête comme pour un chien obéissant. Jeanne nous regarde avec un regard mêlant l’envie, la peur et la gêne.
— Je crois que notre invitée veut une petite surprise, salope.
Jeanne se jette sur moi et m’embrasse.
— Mignon autoritaire et complètement givré en plus de ça.
Je lui retire son jean et sa veste rouge. Elle est en petite culotte et T-shirt tous deux blancs. Sam commence à la caresser. Je m’allonge sur le lit et regarde les deux filles s’amuser avec leurs corps. Samantha caresse les seins de sa partenaire au travers de son T-shirt. Elle la déshabille entièrement et commence à la téter. Jeanne mordille le téton gauche de Sam et caresse le sein droit. Samantha laisse ses mains aller partout sur le corps de Jeanne. Leur peau l’une contre l’autre donne à cette scène érotique un côté encore plus romantique.
Je vire mon futal avec mon caleçon et commence à me masturber devant se spectacle. C’est tellement bon et beau. Jeanne s’en rend compte et m’en arrête. Elle commence à me sucer et Sam attend à côté du lit. Les lèvres et la langue de Jeanne font un putain d’effet : je n’avais pas connu un truc comme ça depuis longtemps.
D’ailleurs, je n’avais jamais connu un truc comme ça. Ma soumise aurait à apprendre en pie de cette petite conne.
Ses mains caressent mes jambes alors que sa bouche continue son mouvement vertical sur mon chibre. Samantha commence à se trémousser dans tous les sens : me voir me faire sucer par la reine de la pipe doit l’exciter. Elle doit avoir envie de participer.
— Samantha, va soulager les envie de Jeanne.
Elle se place derrière Jeanne, qui est en train de sucer mes couilles en masturbant de ses deux mains ma virilité. Ma chienne lui retire sa culotte et se penche pour la lécher. La rouquine retire son shirt et dévoile enfin sa poitrine. Elle s’en sert pour encore améliorer cette pipe. C’est officiel : c’est l’impératrice de la pipe. Ses jolis seins ronds autour de ma queue qui descendent et qui montent et qui descendent et qui montent et qui descendent et qui montent, ça en est hypnotique...
Jeanne se lève et se place sur ma queue, je sens une langue me lécher les couilles, Samantha est vraiment une bonne chienne.
Les lèvres du bas ventre de Jeanne faisaient le même boulot que celles du dessus. De toutes les putes que j’ai payées, aucune ne m’avait fait me sentir comme ça. Je suis l’homme le plus heureux du monde à ce moment. Sa petite toison rousse va bien avec la broussaille noire qui entoure mon pénis. Comme un feu dans la nuit la plus obscure.
Elle est belle, je ne me détache pas de ses yeux bleus. Mes mains sont sur ses hanches, je lui impose mon rythme. Elle commence à gémir, en se caressant les seins et en se tirant les tétons. Elle finit par hurler, se fesser toute seule et finalement jouir. Son orgasme ne fait qu’accélérer l’inévitable. Je l’arrête, lui demande de se lever et de garder la bouche bien ouverte.
Les deux femmes sont à genoux devant moi, les langues sorties comme chez le docteur. Je me branle une trentaine de secondes avant de me lâcher et de balancer une bonne dose de sperme sur les deux visages. Elles essuient chacune avec leurs doigts le visage de l’autre. Elles prennent le sperme dans leur bouche.
Je crois que je n’en ai pas fini avec ces deux filles.
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