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Maître Lance

Chapitre 7

SM / Fétichisme
Je me réveille, je suis chez moi. On est Samedi, le lendemain de notre départ. Chez moi ?! C’EST QUOI CE DELIRE !
Je sors de la chambre en trombe je vois Samantha devant ma porte à genoux. Nue, entièrement nue.
« Nuit agité maître ? Je vous ai entendu crier et bouger, je me suis inquiétée »
Ok. Je suis officiellement dans le rêve le plus glauque de tout les temps. Au fil des minutes j’essaye de voir si je rêve ou si j’hallucine, mais plus je tente de transpercer cette réalité, plus elle me semble réel. Samantha me sert le petit déjeuner. Je l’invite à ma table elle se met en face de moi.
« Tu faisais quoi avant Leblanc ? Un scandale financier ? Le FBI ?Non pourquoi ? Seriez vous content si c’était le cas.Non c’est juste que … Si je te dis Nathan Stark ?Rien.Mon nom complet est Lance Snow. Ça ne t’inspire rien ?Non. Vous me semblez bizarre ce matin maître.Games of Thrones ça te dis rien ?Je regarde jamais la télé, je préfère les livres maître. »
Bon ok je fais une attaque cérébral ? c’est quoi ma version de l’enfer ? J’aurais cru que ça ressemblerais plus à Supernatural.
Bref, je vais bosser comme chaque jour. Je vois les même personnes, je reçois un message d’excuse de Javier.
Le soir je rentre, Samantha en bonne petite chienne m’attends bras dans le dos, jambes écartés et nue. Que c’est ennuyeux. Avant ce rêve je me rendais pas compte à quel point ma vie était chiante à en crever.
Je l’assoit sur une chaise, la menotte, lui attache les chevilles au pied de la chaise. Je prends ma cravache et commence à m’amuser un peu, quelque coup sur le sein gauche, d’autre sur sein droit, le bas ventre, sa chatte, autour d’elle. Des petits coup rapides tout autour sans le toucher et elle pue déjà la mouille c’est même pas drôle tant elle est docile. Sa petite chatte toute gonflée par le désir est prête à éclater de désirquand je la détache. Je lui fais comprendre qu’elle doit m’exciter.
Je suis maintenant assis dans mon vieux fauteuil pourrie, Sam se fait plaisir devant moi, juste pour me faire plaisir. Si docile, si gentille qu’elle est barbante, pas une pointe de rébellion ni d’excentricité. Je pourrais amener un clébard pour qu’elle baise avec, elle accepterais et sans broncher.
Sa chatte entièrement épilée,une roseur pâle entre ses jambes. Je suis vidé, fatigué comme si j’avais vraiment vécu toutes ses aventures, je me retrouve le regard vide devant un spectacle certes plaisant mais aucun effet sur ma queue ? toujours molle. Pourtant elle donne du sien la petite, deux doigts qui rentrent et sortent de son intimité, le pouce qui caresse son petit bouton qui est entièrement ressorti. Ses doigts squelettiques, qui rentrent dans cette petite chienne soumise au premier venu. C’est vraiment une horreur.
Je claque des doigts
Elle se rapproche elle défait ma ceinture, déboutonne mon jean noir caresse ma queue encore inactive dans mon caleçon. Elle a un petit air de déception elle s’était donné du mal pour me plaire, elle commence à durcir, la froideur de ses doigts se sent pourtant au travers du fin tissus. Elle est démoniaque, une succube de satan, déjà morte. Dès la session terminé j’appellerais Leblanc pour la reprendre, elle est ennuyeuse, aucun défit rien.
Elle sort finalement ma queue à peine gonflé de sa cage de tissus, elle lèche le gland, elle essaye d’exciter quelque chose qui ne le peut plus. Mais sa langue continue de tourner pourtant, elle tourne, elle tourne rien y fait, elle s’aventure plus long sur ma queue, ses lèvres commencent à faire disparaître ma queue. Elle commence à refaire apparaître ma queue de sa bouche, puis la ravale, la resort, la ravale, la resort, la ravale, la resort, la ravale, la resort. La langue joue au fil du temps avec le bout, la base, le reste. C’est la même bouche que celle de mes rêves pourtant elle ne me procure aucun plaisir.
J’ai la bite toujours molle même après ce traitement de choc. Je dois me rendre à l’évidence. Ce n’était qu’un rêve et la Samantha qui me faisait bander est ... ou plutôt n’est pas la réalité. C’est comme l’enfer sans vison apocalyptique de Dick et sans les flammes et les tortures. Remarque ça pourrait être l’enfer quand on y réfléchis ceci n’est qu’une punition peut être pour moi, revivre une vie banale avec une femme ne m’apportant aucun plaisir. Autant me marier sur Terre si c’est pour ça.
Je suis ce qu’on a fait de moi, dans mon rêve je n’ai jamais menti à Samantha, enfin pas cette Samantha celle du rêve. Bref désormais Samantha rêve s’appellera la femme et celle de la réalité Samantha, ça sera plus simple pour que je m’y retrouve.
Je m’enferme dans ma chambre. Je m’allonge.
«  Un trench coat et une cravate mal faite et il s’appelle Nathan Stark. Une fille qui cache son jeu. Une folle qui veut me tuer. C’était ça qu’était devenu ma vie et on me la repris. Je suis un homme ordinaire avec un boulot ordinaire, des amis ordinaires et une soumise ordinaire. C’est ça ma vie maintenant et pour toujours. À jamais je supplierais pour une journée avec la femme, celle qui me donne joie et plaisir. Si je suis en enfer il n’y a rien à faire j’aurais pas un Castiel qui va apparaître, une Monica et son Andrew qui vont me remettre dans le droit chemin, les anges n’existent pas, mais si le mal absolu existe alors le bien absolu aussi. Il existe un paradis où Samantha doit être heureuse sans moi. »

Je m’endors sur cette pensée sombre. Je vois une lumière, j’entends un bruit, ...
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