Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 0 Commentaire

Maitre et petite lopette

Chapitre 1

Travesti / Trans
Depuis mes premières expériences j’ai pris du galon comme on dit et j’avais décidé de me faire baiser par un routier, ou plusieurs si possible, je me sentais assez sexy pour aller draguer sur les aires de repos connus du coin, c’était un bon soir d’automne comme je les aime, encore tiède mais sombre, je profitais de cette période pour aller régulièrement m’exhiber sur les ponts d’autoroutes et autre car la nuit tombait assez rapidement cela permettait une relative discrétion mais cette nuit là, j’avais décidé d’aller plus loinNous étions donc fin octobre, la température encore clémente me permettait de pouvoir être sexy, sans avoir à me geler, je partis donc de chez moi vers 18h, prétextant à mes parents une soirée avec des amis, je portais déjà sous mon jeans, des collants chairs brillants et un body noir brillant en similicuir volé à une amie à moi, j’avais prévu de mettre mes talons rouges vifs et un coup de maquillage, pas besoin de perruque, je veux qu’on sache que je suis un mec quand même.Je prenais la route tout excité, j’avais choisi ma destination, l’aire d’autoroute des routiers, je sais pas pourquoi, mais je fantasme sur les routiers depuis que je suis jeune, j’avais vu un film où une femme était enlevée par des routiers, séquestrée et inconsciemment j’ai peut-être voulu m’identifier à cette dame, mais bref, toujours est-il que je suis en route et j’ai faim de sexe, je n’avais pas eu de plans depuis des mois et je commençais à me dire que j’allais devoir réchauffer un vieux plat en rappelant un ex.45minutes de route plus tard, j’arrivais sur place, il n’y avait pas trop de monde, tant mieux, j’aime être la seule, le centre de l’attention, le soleil était déjà couché, je décidais de me lancer, j’enlevais le jeans, les baskets, le pull, un petit coup de rouge à lèvres, mascara, un poil de poudre, j’enfilais mes talons et sortais de ma voiture, sur de moi, ma préparation avait du prendre plus de temps que prévu car le parking s’était rempli et la quarantaine de place qu’il continent étaient maintenant remplies facilement au deux tiers, j’étais ravi, je trouverais surement chaussure à mon pied ici, je commençais à déambuler parmi les files de camions, quelques regards au début, j’attendais qu’ils fassent le premier pas, pas un mot, je continuais donc à marcher et arrivais aux toilettes, d’où j’entendais plusieurs voix, prenant mon courage à deux mains, je poussais le portillon et pénétrais les toilettes des hommes, à mon entrée, plus un bruit, mais 4 hommes se tenaient là, devant moi, deux devant les toilettes, un autre au séchoir et l’autre juste à coté de moi, je restais bête en attendant un mot, quand soudain l’un d’eux pris la parole et ce n’était pas un des quatre :-Oh les gars !? Ca va ? dit une voix qui venait des toilettes fermées, la chasse tirée, la porte s’ouvrit et un homme en sortit, il était plus vieux que les autres, plus vilain aussi, plus amoché par la vie, mais il dégageait un truc qui me plaisait, il jeta un regard sur moi, puis il ajouta :— Quoi les gars vous avez jamais vu un travelo ou quoi ? Y’en a pleins dans ce genre d’aires, certains sont plutôt bien, d’autres t’as pas envie de les toucher avec un bâton, mais là, je dois dire que ce que je vois est assez sympathique...J’analysais la situation pendant qu’ils discutaient entre eux et je résumais : Moi, en talons, vêtue comme une pute, au milieu des toilettes d’une aire de routiers, ils sont 5 aux toilettes, s’ils veulent te baiser, tu dois pas te faire prier, sinon ça pourrait mal tourner, sois chienne, lâche toi, personne te connais ici ! Une claque sur les fesses me remit les idées en place et un des hommes me dit :
— T’as quel âge petite lopette ? — 20, 21 dans quelques mois !— J’aime bien les petites lopettes comme toi, vous êtes insatiables, je suppose que tu es là pour ça non ? — Oui tout à fait, je suis venu pour rencontrer un routier à la base, mais je suis pas contre un plan à plusieurs , la seule condition c’est capote obligatoire pour les sodomies, pour le reste, je suis opé.-Petite chienne en plus, ton prénom ? — Appelle moi comme tu veux, sinon Mylène.— Non ça va, Mylène la chienne c’est parfait. Il s’approchait de moi tout en continuant à parler, il défaisait son jeans, puis sur un ton plus Autoritaire il me dit :— Maintenant viens me sucer salope !
Je m’approchais de lui et me mis à genoux, le sol sale, les mélanges d’odeurs entre son sexe, la salle, la pisse, la transpiration, l’endroit m’excitait, et sucer ce mec devant ses 4 potes encore plus, je pris son sexe en main et entrepris de le branler, puis de le lécher doucement le long de la verge,
-SUCE PUTE FAIS PAS DE CHICHI dit il en me prenant par les cheveux.Je pris son sexe dans ma bouche et commençais à aspirer son sexe, à faire des tours sur son gland avec ma langue, la pipe étant ma spécialité, je me devais de le faire rêver, je le sentais s’exciter, il m’insultait pendant que je le suçais dans ce lieu insalubre,et ca m’excitait aussi, ce que remarquait un des hommes,
— Mais ça l’excite la petite pute, regardez son body est déformé à l’avant, une petite bosse, elle doit avoir une petite bite la pute, c’est pour ça en fait la tenue de cochonne ! Henri t’en as assez à mon tour ! Il s’avança et me tira de la bite que je suçais, il me releva et me dit : Moi c’est Hamid, tu vas me faire jouir et plus vite que ça !
J’avais donc deux prénoms, Hamid et Henri, les 3 autres manquaient, Henri revint à la charge : — OH !! Où tu vas ? C’est ma petite pute, si tu la veux, tu devras attendre ton tour ! J’essayais d’intervenir :— Et moi j’ai pas le droit de dire mon mot dans l’affaire ? Je suis quand même la baisée de l’affaire ! — Toi ta gueule dit sèchement Hamid, t’es une pute, tu fermes ta gueule !— Moi j’ai une idée dit un troisième plus jeune, déjà ici qui veut baiser la pute ? Vous deux dit-il en montrant Hamid et Henri avec son doigt, moi elle m’excite grave, toi Pietro ?
— Non je suis pas pd moi Didier , les plans comme ça, pas pour moi, d’ailleurs je vais dormir, j’en ai assez vu, vous êtes vraiment des pd refoulés pour baiser ce jeune pd. Répondit Pietro
— Libre à toi, mais j’avoue que sans être pd, depuis les putes de Varsovie je me suis pas vidé donc bon... bref, et toi Rolland, t’es chaud ? Rolland n’avait rien dit de tout le long, il était resté là, prostré contre le mur, la main sur son sexe, il répondit de la tête tout en me fixant intensément, il mettait d’ailleurs assez mal à l’aise
— Bon nous sommes donc quatre à vouloir baiser la pute, comment on détermine l’ordre ? — Moi je sais , dis-je d’une petite voix, tu vas donner un numéro de 1 à 4 à chacun de vous, je verrai pas qui est quel numéro et je dirai un ordre au hasard
— OK ! je me tournais et Didier donnait les numéro, je mélangeais tout ça et dis : 3142 !
-YES  ! s’exclama l’un d’entre eux, c’est moi qui ouvre !C’était Didier, j’avoue que j’aurais préféré finir avec Henri mais Didier avait un coté sympa qui n’avait rien pour me déplaire— On file à ma cabine ou on fait ça ici me dit-il — Comme tu veux, je suis pas très chiante pour ces choses là.— Petite pute allez, entre là dedans, en montrant les toilettes fermées, mets toi à genoux sur les toilettes, ton cul cambré, j’arrive dans 2 secondes.Il parla maximum 20secondes avec ses potes et quand il revint, il me mis un gros coup de poing, un deuxième, puis il me mis une cagoule et il passa des menottes autour de mes poignets, j’essayais de me débattre mais une pluie de coups me fit me calmer, on me prit en poids, puis j’entendis qu’on parlait de ma voiture, de mes papiers, d’aller les chercher, on ouvrit une remorque de camion et je fus jetée à l’intérieur, dans les rires de mes geôliers, je commençais à pleurer quand une voix me glaça : — Pleure petite chienne, si tu es sage, dans 3 jours tu es chez toi, sinon, bye bye...
Diffuse en direct !
Regarder son live