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Ma sœur, ma Maîtresse

Chapitre 1

Inceste
Ma sœur, ma Maîtresse

Bonjour,
J’ai pas mal fouillé pour trouver un endroit où partager mon histoire, certain d’avoir déniché la perle rare avec ce site.
Je me présente, Arthur. Dix-huit bougies de soufflées, athlétique – merci à l’entraîneur du club de natation – et canon à ce qu’on dit, les yeux bleus et les cheveux noirs que j’ai très courts. Tout pour plaire à ces dames, si seulement les aborder ne me posait pas tant de soucis. Appréhension quand tu nous tiens…
J’ai donc pris l’habitude de calmer mes ardeurs sur Internet, en quête de n’importe quel porno susceptible de satisfaire mes besoins si longuement refoulés. Je ne m’en sortais pas trop mal jusque là… Et la vente de mouchoirs s’était rarement aussi bien portée. Mais vivre sous le même toit que sa sœur, huitième merveille du monde, suffisait à maintenir en éveil mes pensées les plus perverses. Durant mes séances de masturbation, c’est elle que je désirais le plus à mes côtés.
Claire… Nous avons toujours été très proches, sans doute à cause de ce lien qui unit les jumeaux, à ce qu’on raconte. Une jolie frimousse, les yeux bleus et une magnifique chevelure avec des reflets auburn. Elle a toujours su s’attirer les regards des garçons. Ayant récemment remporté un concours de beauté, les geeks de l’université lui ont consacré un site Internet, très bien fait, où sont rassemblés renseignements personnels et photographies en tout genre, qui est une vraie mine d’or.
Passons aux choses sérieuses…
Il n’a pas arrêté de pleuvoir depuis le début du mois. Claire qui désespérait de pouvoir courir profite de la première éclaircie pour revêtir sa tenue de jogging et m’attendre au pied de l’escalier, impatiente elle m’annonce :
— C’est pour aujourd’hui ou pour demain ?
En retard, j’enfile mes vêtements à toute vitesse.
— J’arrive ! J’arrive !
Je dévale les marches quatre à quatre, tout guilleret en apercevant Claire affublée de ses plus beaux habits. Mon cerveau est en ébullition. Je me retrouve très vite à l’étroit dans mon cycliste, conscient que courir dans cet état sera tout sauf facile, plus encore à dissimuler.
Nous avons couru pas loin de sept kilomètres mais je finis par me retrouver à la traine, loin derrière Claire, ce qui était assez prévisible si on tient compte de mon état d’excitation. Pour les coureurs en herbe, veiller à bien entretenir votre respiration et moins se préoccuper de la joggeuse qui est devant vous...
— Je suis à bout de souffle, dis-je avec difficulté. — D’accord. On fait une pause.
Pendant ce temps, je m’accroupis pour que ma sœur ne puisse déceler mon érection, dirige mon regard vers sa poitrine si joliment dessinée et réussis même à voir la pointe de ses seins déformer le tissu de son vêtement.
— Les troisièmes années de Médecine organisent une fête samedi prochain, continue Claire. Et j’ai la fille parfaite pour toi.— Je suis déjà pris ailleurs, mens-je.— Foutaises ! Nous avons été élevés ensemble, je te rappelle. Comme si tu pouvais me duper aussi facilement. Tu finiras vieux garçon.
Claire n’insiste pas. Elle s’éloigne d’une foulée souple. Je bloque sur sa longue paire de jambes galbées, rêveur. La pause est finie, semble-t-il. Je me relève avec difficulté, ajuste mon cycliste et reprend la course, toujours gêné par ma rigidité.
Nous avons couru un peu plus d’une heure. Claire termine ses étirements, puis s’en va en direction de la salle de bain, monte les escaliers à pas légers. Les paroles qui sont sorties de sa bouche à cet instant, je ne pourrais jamais les oublier.
— Ha ! Ha ! Je nous revois encore gamins ! me dit-elle avec un sourire en coin. Les parents nous faisaient prendre le bain ensemble. Pas de file d’attente pour prendre sa douche, c’était le bon temps.
Ouch ! Un peu comme si je me prenais un coup de poing en pleine poitrine…
Claire me laisse seul avec mes pensées. Je ne vous parle pas de mon état au moment de prendre la salle de bain, excité comme j’étais. Mon sexe enfin libre de ses mouvements, je me glisse dans la cabine, plonge la tête sous l’eau chaude et me remémore les événements de la journée. Les images se bousculent dans ma tête… Ma main se rapproche de mon pubis, en douceur, survole ma toison que je prends plaisir à entretenir, attrape mon sexe bandé et le fait glisser entre mes doigts experts.
J’imagine ma sœur assise quelque part dans la pièce, en train de caresser son minou, les jambes grandes ouvertes et trempées de fines gouttelettes de sueur. Sa main droite soulève un sein, le caresse avec des gestes délicats, et va même jusqu’à faire dresser son téton après quelques attouchements adroits, finalement remplacée par sa langue. Claire coince ensuite son téton entre ses dents, tire légèrement dessus et réalise un mouvement de va-et-vient.
« Quel cochon ! Tu apprécies le spectacle, on dirait ! »
Son visage d’une grande beauté me fixe avec une ardeur que je ne lui connais pas.
« C’est ça, branle-toi. Mmmmh… Mieux que ça ! »
Je m’exécute. Mes gestes se font alors plus nerveux. Enhardi par les cris de Claire, ma main gauche se glisse dans le sillon de mes fesses, en quête de plaisirs interdits. Je peux sentir une résistance de la part de mon anus, très faible, qui une fois amadoué aspire entièrement une de mes phalanges. Après quelques allées et venues dans chacun de mes orifices, je tapisse la paroi de la cabine avec mon sperme. Mon gémissement atténué par le bruit de la cascade, je reprends mon souffle, puis termine ma toilette. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui comme ça.

***
Quelques heures plus tard, je suis appelé par ma mère pour le dîner en famille. Mais je doute que cette partie vous intéresse…
Donc, je suis à nouveau dans ma chambre, le pantalon à hauteur des genoux, en train de mater un bon vieux porno (les soirées d’une épouse pervertie) sur mon ordinateur. C’est un film que j’apprécie particulièrement, un grand classique.
Le premier acte fini, j’entends le « bip » sonore de ma boîte mail. Ma main qui jusqu’à maintenant jouait avec mon bâton de chair attrape la souris posée sur le bureau, explore la barre des menus et sélectionne le programme adéquat. Puis je tombe sur un courriel dont l’origine m’est inconnue. Les pièces jointes attirent tout de suite mon attention. Après les avoir ouvertes, je découvre des photos sur ma sœur, prises en cachette. Et quelles photos !
On y aperçoit Claire qui, assise au dernier rang de l’amphithéâtre, les jambes croisées, noircit les pages de son bloc-notes. Sa mini-jupe s’est retroussée et dévoile ses cuisses. Il me semble même apercevoir sa culotte, à moins que ça ne soit mon imagination… Un autre cliché s’attarde sur ses mollets finement dessinés. Et encore un autre où on la voit mordiller son stylo, le capuchon coincé entre ses lèvres pulpeuses.
J’ai la tête qui tourne. J’empoigne mon sexe en érection et le branle en cadence, mais pas trop vite. Les photos continuent de défiler. Je les regarde, le cerveau en ébullition. Je rêve de ma sœur qui, de sa main me caresse l’entrejambe et me dévisage avec ses étonnants yeux bleus. Je campe sur une photo où, légèrement penchée, Claire se masse la cheville, me donnant quelques sueurs chaudes. Sa jupe remontée découvre le bas de ses fesses. Et ses petits pieds (elle porte des sandales) aux traits harmonieux ont finalement raison de moi. Je lève mon bassin plus haut et laisse éclater ma jouissance par vagues successives, longues et puissantes.
Je remercie intérieurement la personne qui a envoyé ces images. Apaisé, je fais un peu le ménage et file me coucher. La nuit portant conseil, je tirerai tout ça au clair une fois reposé.

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