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Ma maîtresse, ma belle-soeur

Chapitre 2

SM / Fétichisme
La nuit fût courte. réveillé à 8 heure. Maîtresse marie est nue. Son corps entièrement bronzé, me disait qu’elle fréquentait les plages naturistes du coin. elle me débarrasse de mon collier et de mon cockring.— Ça va, pas de traces. café ?café, pris, moi rhabillé de mes fringues de la veille, elle me dit de me presser, Lili l’ayant déjà appelé. Je m’exécute et me voilà dans ma voiture, les couilles meurtries, la verge douloureuse, mais, bizarrement, envahie par une sensation de bien être.Le retour chez moi est calme, ma femme déjà levée me demanda comment allé Marie et on échangea des banalité.Je me dirige vers la 2cv de ma belle sœur qui était restée stationnée un peu plus haut dans le chemin. j’ouvre le capot, inspecte tout, je ne voie rien de suspect. Par acquis de conscience, je retente une tentative de démarrage. Elle démarre, du premier coup, sans même toussoter. Les mystères de la mécanique....Je redescend donc à la villa et dit à Liliane que tout est OK, qu’elle peut téléphoner à sa sœur pour le lui dire... Il fût convenu que Marie prendrai un bus lundi matin et récupérerai sa voiture.— Marie m’a demandé que tu l’accompagnes à Grand Var (centre commercial de Toulon), je lui lui ai dit d’accord ? Devant ces arrangements familiaux, que dire ?Le dimanche s’écoula lentement, jeux avec les enfants dans la piscine, jardinage...Le tintement de la cloche d’entrée me fît sursauter. C’était Marie, enfin Maîtresse Marie. je m’avance et veux lui faire la bise. Je reçois une gifle en retour.— On est seul, que ce soit chez toi où chez moi, pas touche... Me dit elle en rigolant.Elle est habillée d’un short noir, d’un tee-shirt blanc et de tong. Elle fouille dans son sac à mains, en ressort mon anneau.— Mais pas de suite, je vais te faire beau avant, épilation intégrale et nous irons choisir ta tenue d’assistant.Le programme est dressé. elle me demande d’enlevé mon caleçon et de ne mettre qu’un tee-shirt et des claquettes. Tenue légère !!!Nous voilà, sur l’autoroute en direction de grand var, dans la 2cv. Il est 9h et déjà si chaud. Nous voilà au centre commercial.Elle se gare face à un centre d’épilation et d’esthétisme. Petite boutique qui se veut discrète par son emplacement et sa devanture sans fioriture.— Coucou, Martine, tu vas bien? Voilà c’est lui... pas trop poilu, pas trop gros...Tu me feras un prix ???— Hum, mais grand !!! dit elle en rigolant.Elle m’entraîne dans l’arrière boutique. Une table, de la lumière bleue, de l’encens et de la musique orientale. Elle me déshabille.— 2 heures, c’est bon ?— A tout à l’heure.Marie repart. Martine me dit de m’allonger sur le ventre et le bruit d’une tondeuse se fait entendre.— Je vais te rendre aussi doux que la peau d’un bébé. Elle m’attaque le dos , les fesses e t l’arrière des jambes, la raie. Elle me fait me retourner. Le torse, les aisselles, les bras le devant des jambes. Les vibrations de l’appareil me font vibrer le chibre, qui commence à bander.— Voilà c’est bien, il me la faut raide...A ces mots ma trique se durcit. La tondeuse agit. Martine sourit. C’est une jeune fille de 20-25 ans, petite, potelée, blonde aux yeux bleus. Elle porte un chemisier blanc, un jean. Son chemisier, défait de quelques boutons, laisse apparaître une opulente poitrine qu’un soutien gorge trop petit ne sait retenir. Je bande...— Voilà, première partie finie, debout, suivez moi. On arrive dans une grande sale aux carreaux blancs.— Levez les bras et écartez bien les jambes. Vous pouvez vous tenir à la barre du haut, vous êtes grand.Je me retrouve comme le veille, mais sans les liens. Elle arrive avec un pot de crème qui sent la menthe. A l’aide d’un blaireau elle me oint tout le corps. Du coup à pied des fesses, sans oublier mon sillon, mes couilles et ma verge calottée. La fraîcheur de cette crème épilatoire, et son odeur mentholée me tire quelques larmes.— Voilà, 20 minutes d’attente... C’est qu’il faut souffrir pour être beau.Elle ne quitte pas son travail des yeux, me tartinant les parties du corps où la crème glisse. me tenant les couilles pour les badigeonner, tout comme ma verge et mon anus. les 20 minutes sont passées à une vitesse folle. Elle me rince à la douche.— on en mangerai.... Et d’une main gantée de caoutchouc, elle me frotte vigoureusement. Puis avec une serviette douce comme une peau de pêche, m’essuie de haut en bas. pour la première fois depuis mon enfance, je suis, nue.— Marie est revenue, allez vous présenter.Marie été dans la première salle, elle me regarde, m’inspecte, me caresse.— Parfait, toujours aussi forte. je te le ramènerai pour l’entretien.Un miroir me fait comprendre la raison des félicitation de Marie à Martine. Je suis aussi lisse que lors de ma naissance.— Tu mets ça sur mon compte, et nous deux en course....Je me rhabille. le contact des vêtements est bizarre. Je bande. Elles rigolent.Je suis ma maîtresse, non sans gêne. On récupère la 2cv de l’autre côté du parking.J’essaie de cacher ma bosse. Je monte en voiture.elle sourit, fier d’elle où de moi ?
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