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Maitresse Marika ou La découverte du BDSM

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Il y a quelques mois, j’ai rencontré Francis, un ancien soumis, dominateur à ses heures, et il m’a fait découvrir les plaisirs de la fessée. A notre seconde rencontre, il m’a massacré, et j’ai décidé de faire une croix sur cette pratique.
Oui mais voilà, si une part de moi m’en veut de cette pratique hors norme, voire anormale (c’est du moins ce que je pense à l’époque), le coté obscure de mon cerveau y a pris du plaisir. Un plaisir quelque peu masochiste, mais un plaisir réel.
Afin d’éviter la brutalité d’un Francis, j’ai cherché sur Internet à prendre contact avec une fesseuse, et j’ai choisi sur un site ad’ hoc de contacter Maitresse Marika, une dominatrice de Toulouse. Quelques jours avant mon déplacement dans la ville rose, je prends mon courage à deux mains et mon téléphone à l’oreille pour l’appeler. Elle a une voix toute fluette, très avenante, et me donne ses tarifs pour me donner la fessée sur ses genoux. Elle me propose également, pour 20 € de plus, de me dominer. Ce n’est pas ce que je cherche, je ne sais d’ailleurs pas précisément ce qui se cache derrière ce SM qu’elle évoque, mais ma curiosité prend le pas sur ma crainte, et je décide d’accepter son offre « bonus ». Avec le recul, je sais que j’ai pris la bonne décision ce jour là. Nous prenons rendez-vous pour 23 heures à son domicile, le temps pour moi de border mon collègue.
Il est 22 h 30, je me suis enfin débarrassé de mon collègue un peu gênant. Je n’ai presque rien avalé au diner tellement je suis stressé. J’ai peur de me lancer dans une aventure dangereuse, ou de tomber sur un traquenard. Afin de me détendre un peu, j’ai décidé d’aller à mon rendez vous à pieds, malgré les deux kilomètres qui nous séparent, et c’est avec le cœur battant la chamade que je fais ce trajet dans une ville que je connais à peine, Comme toutes les personnes naturellement inquiètes, je suis ponctuel. Il est pile 23 heures quand j’appelle Maitresse Marika, au pied de son immeuble. Elle m’indique son étage, et je retrouve enfin tout timide devant la dominatrice.
Maitresse Marika est une petite femme, d’une quarantaine d’années. Sa voix est douce et avenante, elle n’a pas le physique de l’emploi. Elle m’accueille avec énergie dans son appartement, et me conduit dans une pièce aménagée en donjon. J’y découvre tout un attirail BDSM que je n’ai jamais approché dans la réalité. A l’entrée, un mur est décoré de toute sorte d’instruments de torture, des chaines, des cravaches, des fouets, des martinets, des menottes et un bâillon. Une croix de saint André est dressée. Au centre de la pièce se trouve un portique, avec des chaines, destiné à suspendre les soumis. Un tréteau pour la fessée, un carcan, bref, voici un donjon bien aménagé.Après les présentations d’usage, Maitresse Marika me laisse seul dans cette pièce, avec pour mission de me mettre nu, alors qu’elle part se changer. Je n’en mène pas large, cet endroit est impressionnant, et je ne suis jamais dénudé ainsi devant une inconnue. Que va-t-elle me faire ?Ne serait-il pas plus prudent de prendre mes jambes à mon cou ?
Enfin, Maitresse Marika revient. Elle a revêtu un corset en cuir qui met en valeur ses formes de femme mure, ses jambes sont gainées de bas noirs et ses pieds habillés de jolis escarpins qui la grandissent un peu.
Moi, j’ai conservé mon slip, et je regarde mes pieds, ne sachant quelle position adopter. Elle apprend que je suis plus que novice, et se souvenant de mon gout pour la fessée, Maitresse Marika s’assied sur une chaise et m’ordonne de venir m’allonger sur ses genoux. Une petite caresse sur mes fesses, et les premières claques chauffent mes fesses à travers le slip. La douleur n’est pas violente, mais je commence à ressentir la brulure me gagner. Elle baisse maintenant mon slip, le laissant à mi cuisses, et reprend sa fessée avec la régularité d’un métronome. Elle alterne la fesse gauche et la fesse droite, avec une petite prédilection pour la gauche, qui commence à ressentir la douleur plus que de raison. Mes fesses encore novices commencent à espérer que la fessée s’arrête, mais je n’ose pas demander grâce, et c’est finalement Maitresse Marika qui mettra fin à cette séance.
Elle me met au coin, les mains sur la tête, l’instant que je reprenne mes esprits.
Ce soir là, Maitresse Marika va me faire découvrir, de manière assez soft, quelques unes des facettes du BDSM.
Les poignets attachés au portique, les jambes maintenues écartés par une barre métallique et des pinces à linges sur les tétons, elle me flagelle au martinet, les fesses, le sexe, me branlant un peu quand il ramollit, pendant de longues minutes. Je suis prisonnier de ces entraves, et j’aime me sentir à sa merci, sentir mon corps se chauffer sous les coups peu appuyés de ma Maitresse d’un soir.Quand elle me détache enfin, c’est pour m’accrocher les chevilles, et me soulever légèrement. Je me trouve ainsi les jambes écartées, l’anus à sa disposition, et munie d’une poche prévue à cet effet, elle me fait un lavement. J’ai beaucoup de mal à contenir toute cette eau qui emplit mes entrailles, et je manque de tout lâcher sur le chemin des toilettes. Sous ses sarcasmes, je me vide pendant de longues minutes dans ses toilettes, humilié par ce traitement dégradant.Elle me remet ensuite une fessée avec une raquette de ping-pong, après m’avoir immobilisé dans un carcan.
Pour finir, elle me positionne sur un tréteau pourvu d’un trou pour mettre ma queue. Elle m’attache ensuite les jambes et la main gauche. Là, après quelques coups de martinet afin de réchauffer une ultime fois mes fesses, elle lubrifie mon anus, et ma plante un vibromasseur dans mon cul. Je ressens de nouvelles sensations, mon anus qui s’élargit, mon corps exhibé. Elle m’ordonne maintenant de ma masturber, alors qu’elle m’encule gentiment.Il ne me faut pas longtemps pour jouir dans cette position, resserrant mes sphincters sur le gode pendant que j’éjacule dans ma main. J’ai adoré cette jouissance, nouvelle pour moi, un gode dans le cul, écartelé et les fesses rougies.
Maitresse Marika vient de me donner un aperçu du BDSM, et sans le savoir, vient de me mettre sur la voie de la soumission.
C’est un peu grâce à vous que je suis ce que je suis. Merci Maitresse Marika.
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