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De maîtresse du sexe à chienne soumise...

Chapitre 2

Zoophilie
Le chien partit, je sentis très vite qu’il me manquait. Que je pensais beaucoup à lui, et à son sexe rouge. Et que j’étais frustrée de n’avoir pu aller jusqu’au bout. Devenais-je folle ? Le lendemain, j’étais occupée à me masturber en regardant sur le Net des films de femmes qui se faisaient prendre par des chiens, qui les suçaient, qui les branlaient… Je participais à des forums sur la question, et compris que ça n’avait pas marché avec le labrador car il ne l’avait jamais fait, il n’y était pas préparé. Je fis des recherches plus poussées, allant vers des forums de plus en plus secrets et cachés, et trouvais enfin un éleveur de chiens qui préparait quelques mâles avec sa femme pour ce faire, habitués depuis tout jeune à se faire branler, sucer, et à monter des femmes, c’est ce qu’il me fallait. En jouant sur la culpabilité de mon mari, je n’eus aucun mal à le persuader que je me sentais seule et que j’avais besoin d’un petit compagnon à poil. Deux mois plus tard, Cali arriva à la maison. J’avais choisi un labrador, mais un noir. Il était adulte, mais bien dressé, par ces gens rencontrés sur le Net. Nous nous fîmes vite l’un à l’autre, il était très affectueux.
Après quelques jours à la maison, je passais ma première soirée en tête à tête avec lui. Je remis mes bas noirs, avec des jarretelles cette fois, et ma nuisette noire, transparente. Nous étions assortis ! Assise à même le sol, sur un tapis moelleux, je le caressais doucement. Puis je m’étendis de tout mon long, écartais mes jambes, et commença à me caresser. Mes effluves ne mirent pas longtemps à attirer Cali. Il vint voir, et tout naturellement mis sa tête entre mes jambes, et commença à me lécher. Je fus parcourue d’un frisson d’excitation lorsque sa langue râpeuse passa sur mon sexe… J’écartais au maximum mes jambes, et me caressais les seins et les tétons pendant qu’il me léchait… sa langue mouillée et râpeuse sur mon clito, mes petites lèvres, mon anus,… à nouveau, son léchage me fit jouir. Me redressant, je le caressais, et passait sous son ventre. Je caressais son fourreau, jusqu’à ce que son sexe sorte. Je caressais doucement son sexe rouge, mais il ne semblait pas trop aimer ça. Alors je le pris en bouche. Je le léchais sur tout son long, tournait ma langue sur sa petite pointe, avant de refermer mes lèvres sur lui, et de l’avaler centimètre par centimètre, guettant ses réactions. J’adorais déjà le goût de ce sexe, de ce liquide qui me remplit la bouche. Le chien semblait bien excité. Moi aussi. Et décidée à aller jusqu’au bout !
Ma bouche lâcha doucement son sexe, et je me mis à quatre pattes. Lui présentant ma belle croupe. Tapotant sur mes fesses. « Viens, Cali, viens ! » Il arriva, me lécha un peu le cul, me mouillant l’anus, puis sans crier gare, il me monta. Je sentis ses pattes avant sur moi, tandis que son bassin allait et venait dans le vide, son sexe glissant contre mes fesses, les mouillants de son jus. Il redescendit, je me cambrais plus, pour mieux lui présenter ma croupe. Il remonta sur moi, et cette fois, je sentis son sexe glisser sur mes lèvres intimes… on y était presque ! Mais il était bien entraîné à cela, et au deuxième coup de bassin, je sentis son sexe entrer en moi. Il passa sans problèmes mes lèvres mouillées, et s’enfonça en moi. « Son sexe n’est finalement pas si gros » pensais-je… erreur ! Au deuxième coup de bassin, il était déjà bien plus gros ! Et il grossit encore, tandis qu’il sortait et entrait en moi…Il me remplit bientôt, et le pilonnage canin commença. Je connus un plaisir comme je n’avais plus connus depuis des années. Sa mouille abondante se mélangeait à la mienne, tandis que son sexe grossissait encore en moi. Il allait et venait si vite, si fort. Son poids sur moi m’empêchait de bouger, je lui appartenais. Cette force brute m’excitait tellement ! Sans compter son sexe, le plus gros que je n’ai jamais connu. Je commençais à jouir, et poussait des cris de plaisirs. Mais je n’étais pas au bout de mes surprises. En moi, je sentis la base de son sexe grossir. Encore. Et encore. Son nœud ! Il pouvait atteindre la taille d’une balle de tennis avais-je lu ! Il me dilatait tellement fort ! C’était trop ! « Arrête Cali ! Descend ! » Mais le nœud l’empêchait de sortit de moi, nous étions soudés ! Il me remplissait totalement et la douleur devint plaisir, un peu les mêmes sensations que lors de ma première sodomie ! Un plaisir si fort. Et soudain, il commença à se vider en moi. Son sperme tiède me remplit, encore et encore. Je me sentis remplie de lui, complètement, je lui appartenais si fort. Il resta soudé à moi plus de dix minutes, et j’eus un orgasme, puis un second, et un troisième en rafale… Le nœud diminuant, son sexe trempé sortit de moi, se balançant un peu contre mon sexe qui pulsait, tandis que du sperme en coulait. Le pénis était trempé et tout chaud ! Tandis que son jus dégoulinait de mon sexe, le long de mes jambes… Les jambes tremblantes, je ne pouvais me lever. Je mis ma main sur mon sexe trempé, et y introduisit deux doigts, puis trois. Je les sortis tout mouillés de nos jus, puis les portait à ma bouche. J’adorais son goût ! Je me rendis compte alors que j’avais connu le meilleur orgasme de toute ma vie !
Nous remîmes cela deux jours plus tard. Je sortais de ma douche, nue et trempée, lorsqu’il entra dans la salle de bain. Je voulus le chasser, mais sa langue sur mon sexe me fit frissonner. Je me rappelais les orgasmes qu’il m’avait donnés ! Je me mis donc à quatre pattes, m’accoudant à la baignoire, lui présentant ma croupe. Il me monta, son sexe rouge me pénétra, dés la première montée, il me pilonna, je jouis, encore, son nœud grossit, moins de douleur cette fois pour encore plus de plaisir, et je jouis encore tandis que nos jus se mêlèrent. Le weekend suivant, il me monta dans le salon, je devenais de plus en plus accroc à son sexe ! Il me pistonna, me fit jouir de nouveau plusieurs fois… cette fois j’avais placé une assiette en verre près de moi, et lorsqu’il retira son membre de mon vagin, je me redressais et m’accroupis au-dessus de l’assiette… son jus mélangé au mien dégoulina dans l’assiette ! Je me remis à quatre pattes, fit un tour du salon, comme un animal, puis revint vers l’assiette, que je commençais à lécher, lapant son sperme, comme sa chienne que j’étais devenue… ce faisant, ma croupe était offerte… infatigable, il me monta une seconde fois, son sexe trouvant sans souci le chemin du mien, humide et encore béant de sa dernière pénétration… il me pistonna tandis que je léchais tous son sperme dans l’assiette… j’avais l’impression d’avoir son goût dans ma bouche, dans mon ventre et dans mon sexe… quel plaisir ! Tandis que je jouissais et qu’il se vidait en moi, collé par le nœud, de nombreuses images perverses me remplirent la tête et je pensais déjà à de nouveaux fantasmes pour diversifier mes jeux érotiques !
Pour mettre mon plan à exécution, j’attaquais mon mari en lui reprochant ses absences, ma solitude, mon ennui. Et que pour palier à ça, je voulais travailler. Il était interloqué d’abord, mais comprit la situation. Me demandant ce que je voulais faire, je lui répondis que je découvrais une réelle amitié avec Cali, et que je voulais m’occuper de chiens. Ouvrir un refuge ou un chenil, quelque chose comme ça. Il parut rassuré, cela lui semblait sans conséquence pour le « qu’en-dira-t-on », et il accepta. Deux mois plus tard, j’allais ouvrir ma pension pour chien ! Mais avant l’ouverture, durant ces deux mois, il fallait que j’acquière plus d’expérience… Je décidais donc de m’instruire de ces affaires chez le couple qui m’avait vendu Cali. Après un entretien téléphonique chaleureux avec la femme, je me rendis chez eux avec Cali. La femme était une jolie blonde, aux hanches un peu large, pas très grande, mais très jolie de visage, et avec une belle paire de seins, tandis que l’homme, avec une légère bedaine, un visage aquilin, était vraiment rustre et arrogant.
Ils m’expliquèrent ce qu’il fallait savoir pour faire un élevage, sur les chiens, les chiennes, les chiots, comment s’occuper d’eux, les nourrir, les laver, les soigner, les élever, etc. Je passais les premières semaines à apprendre ça. Ensuite le mari me demanda si je voulais une démonstration de leur dressage ‘spécial’. J’acceptais, et le suivi vers un hangar, derrière le chenil. J’entrais et il me fit asseoir sur une chaise. Un peu après sa femme, Amanda, sortit d’une petite pièce attenante, complètement nue. Elle avait vraiment un joli corps. Elle s’agenouilla, puis se mit à quatre pattes près de moi. L’instant d’après, son mari revint avec un berger allemand. Dés qu’il lâcha la laisse, le chien alla vers l’épouse, la renifla, puis la lécha, avant de la monter sans hésiter. Tandis que son sexe allait et venait dans celui de la femme, à quelques centimètres de moi, elle commença à râler, avant de pousser de petits cris de plaisirs. Les coups de boutoir du chien la faisait un peu avancer, elle avait presque sa tête entre mes cuisses. J’avais une furieuse envie de me masturber en voyant cette scène, surtout que je la sentais mater mes jambes et ma culotte. J’écartais les cuisses pour la faire profiter du spectacle. Son mari n’en perdait pas une goutte non plus. La femme jouit là, devant moi, tandis que le nœud du chien gonflait en elle, puis son ventre enfla légèrement lorsqu’il se vida en elle… Elle jouit encore une fois, puis le chien se retira, je ne pouvais quitter des yeux ce sexe trempé, duquel dégoulinait du sperme canin. Le maître fit entrer un second chien, un bâtard. Celui-ci n’avait aucune expérience, et je le vis tout de suite… il renifla longtemps, lécha le cul d’Amanda, partit, revint, hésita longtemps avant de la monter, et ne réussit pas à la pénétrer. Le mari m’expliqua alors comment il allait procéder pour dresser le chien, les différents exercices qu’il lui ferait faire, etc. Il me matait pas mal, mais il me dégouttait. Il me fit des avances, me disant qu’il m’avait vu excitée devant sa femme prise par un chien, me disant que j’étais aussi une salope à chien. Il rit, vulgairement, mais sa femme et moi le firent sortir, l’engueulant sèchement.
Une fois seule, la femme me demanda si je voulais aussi essayer le berger allemand, très expérimenté. Par excitation et envie, je fis oui de la tête. Elle alla rechercher le chien. J’enlevais ma culotte, soulevait ma robe, et croupe nue, me plaça à quatre pattes, comme Amanda l’avait fait juste avant. Le berger vint vers moi, me renifla, me lécha, avant de me monter. Son sexe trouva mon entrée très vite, et s’insinua dans ma chatte trempée. Au bout de quelque coups de bassin, il avait grossit, grossit… il était plus gros que celui de Cali ! Amanda s’assit où j’étais avant, et là c’est moi qui avait une vue sur ses jambes et son minou ! Je n’étais pas habituée aux coups de boutoir puissant du chien, et me retrouvai bien vite entre les jambes d’Amande. Elle s’avança sur la chaise, ses lèvres intimes à quelques centimètres de mon visage… elle sentait l’amour et le sperme canin… j’adorais tant ce gout, cette odeur…je m’approchais un peu et je pus lui lécher le minou, tandis que le berger allemand continuait de me prendre. Elle goûtait encore le sperme du chien, mélangé à sa mouille… s’était si délicieux. J’entendis un bruit de porte derrière moi, et un autre chien fit son entrée, un labrador. Amande se mit à quatre pattes, face à moi. Elle m’embrassa à pleine bouche, tandis que le labrador arriva et monta Amanda. Nous étions face à face, prises comme des chiennes… mais quel plaisir ! Alors que mon premier orgasme montait, je ne pus m’empêcher d’embrasser à mon tour Amanda ! Nos langues se mêlèrent tandis que le nœud du berger commençait à gonfler en moi, je criais alors ma jouissance, lui aussi était plus gros que celui de Cali. Le berger se déversait en moi tandis qu’Amanda commençait à jouir à son tour. Quel plaisir, quelle extase sur nos visages ! Le labrador se retira le premier, et Amanda se tourna de suite, sa tête sous le chien, pour lécher et sucer le pénis de son chien, mouillé de son sperme et de la jouissance de la blonde. Puis elle vint m’embrasser. Le berger se retirant, sentant sa semence dégouliner de mon con, je fis de même, attrapant son sexe avant qu’il ne se rétracte, le suçant, le léchant, puis venant partager ces goûts avec la langue d’Amanda.
Nous embrassions et caressions encore, lorsque nous sentîmes une présence près de nous… son mari n’avait pas perdu une goutte du spectacle, il se branlait et tenta d’éjaculer sur nous !
Je partis fâchée, j’ai toujours choisi avec soin mes amants, et n’aimait absolument pas ce genre de rustre. Ni qu’on me force la main, c’est toujours moi qui choisit et pas l’inverse ! Quelques jours plus tard, je reçus un coup de fil d’Amanda (a qui j’avais laissé mon numéro de portable), en pleurs, qui me raconta s’être disputé avec son mari, qui voulait la convaincre de me faire revenir, car il voulait abuser de moi, pensant que « la salope que j’étais aimerait ça » selon ses propres mots. C’était l’humiliation de trop ! Avec mon aide, elle le quitta et s’installa seule, dans un petit appartement en ville…J’aurais besoin d’un bon dresseur pour ma pension… je décidai donc d’engager Amanda comme assistante et dresseuse.
A deux, nous pûmes ouvrir la pension, qui recueillait des chiens de personnes qui partaient à l’étranger, en vacance, où qui ne savait plus les garder à la maison. Nous recueillions aussi des jeunes chiots abandonnés, pour les former. De nouveaux horizons sexuels s’ouvraient à nous…
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