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Maitresse Sulfure

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Retour chez Maîtresse Sulfure:

Cela fait plusieurs semaines que j’ai rencontré Maîtresse Sulfure, chez qui j’ai passé un moment intense de domination et d’humiliation, mais tellement court que j’ai cherché une autre dominatrice.
J’en ai trouvé une dans le beaujolais avec laquelle j’ai pris rendez-vous. Quelques jours avant la date, je l’appelle pour confirmer le rendez-vous, qu’elle avait totalement oublié ! Elle n’est plus disponible et c’est un peu par dépit que je reprends contact avec Maîtresse Sulfure. Elle accepte de me recevoir, et je me sens soulagé. La soumission est déjà devenue une addiction.
Je ne saurais vous décrire cette nouvelle rencontre dans le détail. Toujours est-il qu’il va se passer quelque chose ce jour là, quelque chose qui va transformer mon regard sur Maîtresse Sulfure et qui va me conduire à devenir totalement accro à sa domination.
Une soirée au cours de laquelle elle ne compte pas son temps, une fessée digne de ce nom, une domination mentale, mon premier repas dans une gamelle, et un charisme exceptionnel pour le novice que je suis. Ce soir là, c’est épuisé mais heureux que je la quitte, certain que je veux lui appartenir.

Cette soirée me fait réfléchir, je navigue sur Internet à la recherche d’information sur le BDSM. Je découvre des pratiques qui m’attirent et des pratiques qui m’effraient. Mais rapidement, je suis interpelé par la notion de contrat d’esclavage ou d’appartenance.
Je n’aime pas faire les choses à moitié, je pense maintenant que Maîtresse Sulfure saura me faire progresser dans la soumission. Je veux lui appartenir et m’engager à ses pieds en signant un contrat. Elle accepte immédiatement ma proposition et je comprendrai plus tard qu’elle fait partie de ces dominatrices pour lesquelles le « cheptel » doit être important pour se sentir importante.
Pour notre prochaine rencontre, j’ai rédigé un contrat d’appartenance à la main. Je l’ai rédigé un soir à l’hôtel, mais quand je le relis, je constate que ma main devait être fébrile ce soir-là et que mon écriture est peu lisible. Un soir, en rentrant d’un déplacement normand, je m’arrête sur une aire d’autoroute et reprends ma rédaction. Cela devient urgent, car j’ai rendez-vous avec Maîtresse Sulfure demain soir.
Pour cette troisième rencontre, je me sens à la fois plus détendu car je connais l’endroit et je ne vais plus vers l’inconnu, mais la signature de mon contrat est un moment fort qui m’a largement empêché de dormir ces derniers jours.
Elle me reçoit vêtue de noir, comme à son habitude. Son sourire est toujours avenant et rassurant. Installée dans son canapé, elle m’ordonne de me déshabiller totalement, de me positionner à genou devant elle et de lire à haute voix le contrat que j’ai rédigé.
Cette lecture ajoute de la solennité à l’instant et me fait prendre conscience de ce que je suis en train de faire et de mon engagement.A la fin de cette lecture, elle semble satisfaite et annonce qu’elle accepte mon engagement. Cependant, elle doit me punir pour chaque hésitation que j’ai eue à la lecture de mon contrat. A quatre pattes, le cul tourné vers ma dominatrice, je compte les coups de cravache donnés avec violence sur mes fesses encore peu habituées à cette morsure.

Les larmes me montent aux yeux, mais je fais mon maximum pour faire bonne figure.
Cette séance de punition est maintenant terminée et Maîtresse Sulfure m’apprend qu’un autre soumis attend dans la cuisine et qu’elle va me le présenter. Ayant le même prénom que moi, elle l’appellera « la salope » pendant cette séance. J’avoue que je suis plus que surpris d’apprendre qu’elle va s’occuper d’un autre devant moi mais je ne pense pas avoir quoi que ce soit à dire ou à penser.
« La salope » sort de la cuisine à quatre pattes. Elle a des bas blancs attachés par un porte-jarretelles noir. Il semble être un habitué de Maîtresse Sulfure et plutôt maso. Elle va le frapper violemment sous mes yeux avec sa cravache, s’attardant à sa demande sur ses couilles, ce qui le fait bander. Ce spectacle me terrifie, angoissé à l’idée que vienne mon tour.
Après cette cruelle punition, « la salope » est installée sur une chaise devant moi.« Suce-le », me jette Maîtresse Sulfure au visage.Je me précipite sur sa queue pour la faire durcir dans ma bouche, mais cela ne semble pas convenir à Maîtresse Sulfure.
Elle m’attrape par les cheveux pour augmenter le rythme de cette fellation forcée, appuyant parfois ma tête à m’en étouffer. J’ai les larmes aux yeux mais je continue ma pipe. Elle me demande maintenant de lui mettre une capote et demande à son soumis de m’enculer. La lubrification de mon anus ayant été plus que sommaire, il me pénètre avec difficulté, d’autant que le bout de plastique semble le faire débander (j’en connais d’autres !).
Je reprends alors ma fellation de cette queue tout droit sortie de mon trou du cul. Il essaiera par trois fois sans succès de me sodomiser. Agacée, Maitresse Sulfure lui retire la capote, lui massacre les couilles à coups de cravache, et m’ordonne finalement de le faire jouir avec ma bouche.
Je m’active sur sa queue, je le branle avec énergie tout en le caressant avec ma langue.Soudain, je la sens durcir encore un peu plus, et dans un cri de jouissance bestial, il lâche de grands jets de sperme au fond de ma gorge, sperme que Maitresse Sulfure m’ordonne d’avaler. Je viens de boire la semence de quelqu’un que je ne connaissais pas il y a une heure.
Cette éjaculation a sonné la fin de la partie. Alors que « la salope » reste chez ma Maîtresse, je suis prié de me rhabiller et de rentrer à mon hôtel, frustré. Pour autant, cette frustration va me pousser à revenir.
Je vais revoir Maîtresse Sulfure une vingtaine de fois, organisant des rendez-vous lyonnais aussi souvent que possible, quasiment un par mois. Pendant ces deux années, ma Maîtresse va alterner les rendez-vous qu’elle transformera en apothéose avec des rencontres ternes, à la suite desquelles je partirai avec un sentiment de frustration.
Mais elle va également me faire découvrir une quantité de choses et de pratiques, me faire prendre conscience de ce que je suis, un soumis prêt à tout pour qu’on s’occupe un peu de lui et pour qu’on lui témoigne un soupçon d’indice de considération.
Voici quelques-uns des moments forts que j’ai vécus avec Maîtresse Sulfure :
Pluggé en extérieur:
Un soir d’hiver, j’ai rendez-vous chez Maîtresse Sulfure. Après m’avoir utilisé comme repose pied pendant de longues minutes, elle décide de m’envoyer lui faire quelques courses en grande surface.
Mais avant, je dois m’introduire un plug dans les fesses et le conserver jusqu’à mon retour. Je suis encore assez peu ouvert et je crains cette nouvelle épreuve.
Je me souviens encore de ma démarche difficile dans ce magasin, sentant ce plug élargir mon anus et brutaliser mes chairs. A chaque personne que je croise, j’ai l’impression qu’il ou elle me regarde comme s’il ou elle savait ce qui se passe dans mon pantalon. Je me sens honteux et humilié mais j’en sortirai grandi et heureux car j’ai réussi cette épreuve.

Une nuit attaché au pied de son lit:
Cette fois, après une excellente soirée au service de Maîtresse Sulfure, j’apprends qu’un second soumis vient nous rejoindre. Dès qu’il arrive, je suis relégué au second plan. À tel point qu’il finira dans son lit alors que je dormirai menotté par terre au pied du lit.Je vous garantis que la nuit fut cruelle et difficile.
La pisse au verre:
Une séance ordinaire. Tout se passe pour le mieux en cette fin d’après-midi. Maîtresse Sulfure me donne un gâteau en guise de gouter et immédiatement s’inquiète de savoir si j’ai soif. Après lui avoir indiqué que non, je la vois se contrarier.
Elle part chercher un verre et disparait. Quelques minutes plus tard, elle revient le verre à la main. Il est rempli d’un liquide jaune. Je pense à du jus de pomme, mais il n’en est rien. Maîtresse Sulfure a fait pipi dans le verre et c’est bien son urine que je suis en train de boire. Quel délice de boire ainsi le breuvage de ma Maîtresse !
Manger dans la gamelle:
Un soir, j’ai proposé à Maîtresse Sulfure de l’inviter à dîner. Elle accepte volontiers mais préfère rester chez elle. Je commande donc des plats à emporter. De la nourriture indienne en l’occurrence.Je sers Maîtresse Sulfure, confortablement installée dans son canapé, mais elle n’a sorti qu’une seule assiette. Pour moi, le repas se déroulera par terre, dans la gamelle du chat. J’ai pris beaucoup de plaisir à manger ainsi comme une bête !
Le supplice de la baignoire:
J’ai eu plusieurs fois droit à ce que j’ai appelé le supplice de la baignoire. Mais en réalité, il ne s’agit nullement d’un supplice, car cette pratique fut ma préférée.Généralement, en fin de soirée, Maîtresse Sulfure prit l’habitude de me conduire dans la baignoire, nu ou pas. Une fois allongé, et généralement les yeux bandés, elle me faisait pipi dessus, dans la bouche, sur le corps, et cela a toujours eu pour conséquence de me faire jouir intensément.
Voilà un texte un peu long qui relate une relation de près de deux ans auprès de Maîtresse Sulfure au cours desquelles j’ai pu découvrir de nombreuses pratiques du BDSM et qui ont définitivement ancré au plus profond de mon être ce besoin de soumission.
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