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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Mamadou

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J’avais pris mes habitudes, maintenant je connaissais pas mal de monde avec mon ami, je circulais dans la journée et je découvrais ABIDJAN qui était une ville sympa, les gens gentils. Je quittais la maison dans la matinée et ne rentrais que le soir après être passée récupérer mon ami à son travail, et fait les courses avec lui. Depuis mon expérience avec Norbert, nous avions eu pas mal de matinées coquines. Nous avions appris à connaître nos corps. Je peux dire que maintenant j’étais comblée par mon ami et ce noir dont le sexe me fouillait complètement et me faisait vibrer au-delà, de toute imagination. Un matin que je finissais de me préparer dans la salle de bain, en slip et soutien gorge, j’entends des bruits de voix que j’attribue aux boys de l’immeuble qui parlent ensemble, bruyamment comme souvent. Je passe dans la chambre pour mettre une robe légère, supportable avec ces 30 ?C. Dans le chambranle de la porte je vois Norbert qui me détaille avec une lueur que je connais bien dans son ?il, je prends les devants en lui disant que je suis pressée, car comme toujours en retard. Mais cette excuse ne semble pas l’émouvoir, il me demande de le suivre dans la salle de séjour, voyant que je vais enfiler ma robe, il me dit vient comme çà patronne ! Vite ! . Etonnée je m’avance, il passe derrière moi, sa main sur mon épaule et me pousse dans le salon. Un grand noir est installé là. En Jean et polo, propre de sa personne. J’ai un mouvement de recul mais Norbert, plaqué derrière moi, me tient fermement, je sens son sexe dur dans mes reins. Je décide de cacher le maximum de moi-même avec mes bras, c’est à dire pas grand chose. -Patronne, j’ai parlé de toi à Mamadou qui est un cousin de Haute-Volta, je lui ai dis que tu étais une bonne baiseuse et il veut te connaître. Il me dit çà comme si c’était naturel !! Je lui dis que je ne suis pas d’accord, il rigole et me dit que maintenant que je fais trop de choses avec lui pour que cela plaise au patron ! Je dois m’avouer vaincue, j’essaye de gagner du temps, en prévoyant un autre jour, mais les deux larrons ne veulent pas l’entendre de la sorte. Le dénommé Mamadou s’approche de moi et ôte mes mains de devant ma poitrine. Il contemple le tableau et certainement satisfait vient se coller sur moi, je recule, mais Norbert fait mur derrière moi. Je suis bloquée et dois subir les attouchements du noir. Pour l’aider Norbert défait l’attache du soutien gorge qui tombe parterre libérant ma poitrine généreuse. Le regard de Mamadou se brouille, le gentleman qu’il était jusqu’alors, se dissipe. Ses mains glissent sur mes hanches les pouces grippant les bords du slip qui est baissé en un clin d’?il et rejoint au sol le soutien gorge. Norbert caresse par derrière mes seins, qui durcissent, il en fait part à son acolyte : -Tu vas te régaler car elle attend sa dose ! . Il précise sa caresse en descendant une main vers mon cul, je sens ses doigts glisser dans ma raie culière, s’introduire dans mon con déjà ruisselant. Je dois avouer que je suis excitée d’être utilisée comme une pute par ces deux noirs. Mamadou a fait glisser son jean, il fait passer son polo par-dessus sa tête, il est en slip à priori bien rempli !! Il le baisse me faisant découvrir un engin aussi bien dimensionné que celui de mon boy Il prend ma main et la guide vers son sexe, je le saisis et le branle lentement, troublée par cette situation, me sentant livrée à la lubricité des deux noirs, pas du tout maître du jeu. Mamadou entreprend de m’embrasser, son baiser transmet toute l’énergie qu’il compte mettre à me posséder Sa main glisse entre mes cuisses, sans violence, mais fermement, son pouce trouve mon clitoris qu’il titille, deux autres doigts pénétrant mes chairs secrètes qui sont inondées. Mon ventre est secoué d’ondes, j’attends avec impatience d’être prise, de sentir cette nouvelle bite visiter mon tréfonds. Je lève une cuisse, caressant le long de la jambe de Mamadou, il comprend l’invite, d’autant plus qu’il est prêt à exploser. Norbert se dégage et laisse Mamadou me soulever ses mains glissées sous mes fesses, je m’accroche à son cou, il me laisse retomber sur son sexe que Norbert guide à l’entrée de ma chatte, et me pénètre d’un coup, je crie mon plaisir !! Je suis prise à fond, Mamadou me fait glisser vers la table de salle à manger, me pose dessus et entreprend de me besogner sauvagement, sans retenue. Je remonte les cuisses un maximum pour sentir la possession du mâle déchaîné. Poussant mon bassin en avant, allant à la rencontre de ce phallus impétueux, délicieusement tourmentée par ces vas et viens. Il se dégage et me retourne, Norbert lui tend la burette d’huile à salade il en laisse tomber quelques gouttes sur mon cul, et m’enfile sa pine au fond du rectum bien dilaté par les assauts que je subis entre mon ami et Norbert. J’ai la tête entre mes bras sur la table. Je crie mon plaisir à la plus grande joie des deux noirs. Mamadou passe une main devant mon pubis pendant qu’il m’encule et entreprend de caresser mon clitoris avec un doigt. Je ne peux résister à ce traitement et explose dans une jouissance que je ressens du con jusqu’au c?ur ! Norbert m’invective : -Alors patronne - elle n’est pas bonne mon idée ? -Tu seras notre putain maintenant hein ? -Répond patronne ? J’arrive à articuler un oui ! Je suis une poupée désarticulée complètement à la merci des deux hommes. Mamadou entreprend de me re-posseder par-devant. Je remets mes bras autour de son cou ce qu’il semble apprécier, et mes jambes ficelées, autour de ses reins retenant ce phallus impétueux le plus longtemps possible en moi. Ne refusant pas ses baisers voraces, j’ai la bouche envahie par sa langue aussi active que sa bite. Il libère, par de puissants jets sa liqueur en moi, souillant délicieusement mon intimité, crispant ses fesses, faisant battre son membre le long des parois vaginales excitées. C’est ainsi que Mamadou me fit sienne, un matin, sur le coin d’une table. Il se détache de moi me laissant pantelante sur le rebord de la table, les cuisses écartées, impudique livrée aux regards salaces des deux noirs. Le foutre coule de mon vagin ouvert, sur mes poils et le long de mes jambes, mes petites lèvres ressortent dilatées et violacées de cet assaut brutal. Norbert me passe un torchon pour m’essuyer. Je récupère mon slip et mon soutien gorge et me dirige vers la salle de bain pendant que Norbert raccompagne son copain. Mais le boy me rattrape dans ma chambre et me pousse sur le lit, j’ai beau protester, il est excité par ce qu’il vient de voir avec son ami et je ne peux m’en défaire. Je suis sur le dos, les bras écartés, Norbert étalé sur moi, son sexe bien dur sous son short, il me dit : -Patronne-tu as été très bien, tu me fais bander fort, il faut me donner ton con ! -Ecarte tes cuisses à fond ! Il en profite pour m’embrasser et tirer son short, je n’ai pas d’autre solution que d’obéir, j’écarte au maximum mes cuisses, je sens son gland percuter ma chatte, comme elle est encore bien dilatée et lubrifiée par l’assaut de Mamadou la pénétration est immédiate et profonde ce qui ne me déplait pas. Comme j’ai hâte d’en finir-je noue mes jambes autour de sa taille et agite mon bassin, entraînant Norbert dans un déchaînement sexuel, auquel je participe activement. Nos deux jouissances éclatent en même temps. Quelques instants plus tard je suis libérée de Norbert qui repart se nettoyer dans sa cuisine, moi dans la salle de bain. Lorsque je repasse devant lui, lavée, parfumée et habillée une demi-heure plus tard, il me dit : — Madame, nous te ferons l’amour tous les deux avec Mamadou la prochaine fois ! . Mais ceci est une autre histoire !! Anne
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    Nat
    par Anonyme
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