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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Maman -b

Chapitre 4

Inceste
Et quelle aventure - En effet je rappelle que cette histoire est véridique. Ma mère avait accepté de faire l’amour avec moi sur la demande de mon beau père. Cela peut paraître immoral, mais le plaisir et la jouissance l’emporte sur tout. Je me posais souvent la question pourquoi moi, pourquoi pas mon autre frère celui de 22 ans - il est vrai que déjà tout petit j’étais très proche de maman. Je ne dirais pas son préféré, mais certainement celui qui dans son esprits pouvait prendre la place du père quand il était absent. Cela explique peut être cela. En tous cas je me gavais de cette opportunité qui m’était offerte sans me poser de question. De son coté, elle pensait moins au coté ? tabou et immoral ? de la chose. Certainement de part mon attitude, une fois que nous avions fait l’amour, Je reprenais ma place de fils sans rien ne laissez paraître. Ma femme revint de son colloque et je réintégrer le domicile conjugale avec en mémoire cette fantastique soirée. Trois semaines plus tard, ma mère me demanda si je pouvais la conduire dans un grand centre commercial afin d’y effectuer des achats. En effet Daniel travaillait ce jour là.
Les courses fut vite faite, puis après avoir chargé la voiture je proposais a maman de boire un verre. Elle était radieuse, habillé d’un très belle ensemble avec une jupe mi-long qui mettait en valeur sa taille fine. Arrivé dans le hall de la galerie, elle me dit je dois aller aux toilettes. Je lui demande j’ai envie de venir avec toi. Soit raisonnable me dit ma mère, on ne peut rien faire ici. Emporté par mon désir, je lui réponds j’aimerais que tu me fasses plaisir, j’ai vraiment envie d’un ? câlin ? avec toi. Et puis à cette heure ci- il n’y a pas beaucoup de monde. Tu rentres dans les toilettes en premier et je te rejoins en tapant deux coups à la porte. ?a va trop loin me répond ma mère, on pourrait nous voir, et puis je t’ai déjà dis que je voulais que Daniel soit là. Il n’apprécierait pas que je fasse cela dans son dos. Allez maman, au moins une fois, fait moi plaisir. Hésitante, elle cède enfin a ma demande en disant Bon d’accord, mais on fait vite - Promis lui dis-je (Maman) Je vais allez dans les toilettes du fond, la dernière porte. J’attendais trois minutes, trois minutes très longues, puis après avoir vérifié que personne ne se trouvais dans les toilettes des dames, je tapais à la porte ou maman m’attendait - elle ouvra - il faut faire vite me dit t’elle - tout en l’enlaçant je l’embrassais goulument. J’ouvrais le pan de son bustier pour libérer ses deux seins que je pelotais sans vergogne, je constatais qu’elle n’avait pas mis de soutien gorges. A chaque bruit, dans le couloir, je voyais le visage inquiet de maman. Elle s’accroupit est défit la braguette de mon pantalon pour extirper mon sexe qui était en pleine érection. Elle ouvrit la bouche et avala mon membre. Le suçant goulument, l’aspirant, je lui pris sa tête, la tenant par les cheveux, pour enfoncer ma bite jusqu’au fond de sa gorge. Elle s’arrêtait quelques secondes prises de haut de coeur - un fois sa respiration reprise, je recommençais en accélérant la cadence - quel délice de se faire pomper dans des toilettes en en plus par sa mère -jamais je n’aurais plus croire, qu’un jour cela se produirait - Ses douces lèvres glissais sur mon membre, lubrifiais par mon foutre et sa salive, j’éjaculais très vite, en appuyant sa têtes et comme à son habitude Josiane avala tout. Ben mon cochon me dit elle, tes couilles étaient vraiment pleine. Elle remit de l’ordre dans sa tenue et nous sommes sortie chacun notre tour pour rejoindre la voiture. Sur le chemin du retour, elle me demanda - surtout ne dis rien à Daniel je ne sais pas comment il le prendrait ? ne t’inquiète pas lui dis je, tu peux compter sur ma discrétion. Notre rapport avait vraiment évolué, je dois avouer que du statut de maman, Josiane était devenu mon amante, ma maitresse quelques part. Et cela quoi quant dise la morale, ne me dérangeais pas. Bien au contraire j’y trouvais une forme indéniable de plaisir. Daniel était très heureux de cette situation, il avait trouvé un homme qui baisait sa femme avec et devant lui, il savait qu’il pouvait compter sur ma discrétion. De plus voir un fils baisé sa mère lui apportait une jouissance qu’il n’avait jamais connu. Quelques semaines plus tard il me donna rendez vous dans le café de notre première rencontre. Etonné je pensais qu’il cherchait certainement à mettre une fin à notre aventure. Ce que je pouvais comprendre. Ecoute me dis Daniel ce que je vis avec toi et ta mère en ce moment est fantastique. Au départ l’homme que j’avais choisi pour cette relation, je dois te l’avouer était mon père. Je restais sans voix - Ton père dis-je mais il doit avoir si je me trompe dans les 70 ans -75 repris Daniel - vois tu il a perdu sa femme, ma mère il y a deux ans et depuis il a du mal à s’en remettre. Je sais qu’ils avaient malgré leur âge une vie sexuelle assez riche. Je suis très malheureux de le voir comme ça. Et j’avais pour essayer de l’aider demander à ta mère de le soulager en quelques sortes. Au début ta mère avait accepté, mais tu es rentré dans notre jeu et depuis elle n’est plus d’accord, trouvant qu’elle m’en donne beaucoup et qu’elle ne voulait pas coucher avec un vieux, qu’elle aurait beaucoup de mal. Je regardais Daniel incrédule et demanda - mais pourquoi me dis tu tout ça ?J’ai besoin de ton aide me dis Daniel— De mon aide ? — - Oui - je t’ai fait tu ne peux pas le nier un beau cadeau - dans le sens ou je t’ai fait vivre quelques choses d’intenses. — C’est vrai répondis-je - mais comment je peux t’aider— Simplement si dans nos rapport, nous arrivons à faire comprendre à ta mère que nous aimerions, invité un autre homme à nos jeux. Si toi tu la travaille de ton coté et moi du miens, peut être ce laissera t’elle convaincre et n’auras pas d’autre choix que d’accepter mon père dans nos ébats. — Pour cela il faudrait que je la voie plus souvent. — Je m’en doute me dit Daniel, ses pourquoi je veux bien que tu viennes certaines après midi à la maison, quand je ne suis pas là. Là seule chose que je te demande c’est de brancher ton appareil photo automatique, pour que je puisse voir ce que vous faites. Je lui dirais que je suis d’accord et que cela est un nouveau jeu pour m’exciter. Je n’en revenais pas. Non seulement Daniel, ne voulait pas que l’on arrête nos rencontres mais il voulait allez encore plus loin. J’acceptais en lui promettant d’essayer de la convaincre. Fort de la proposition de Daniel deux jours plus tard, je me présentais au domicile de maman. Bonjour me dit t’elle l’air étonné, que viens-tu faire. — Je passais par là je suis venue te dire bonjour. Je reviens d’une expo photo. Elle m’invita à entrée. Daniel n’est pas là - il est partit chez un copain pour l’aider à tondre sa pelouse. En effet nous étions en plein mois de juin. -Tu veux boire quelques chose me dit elle, vient dans la cuisine nous serons mieux. J’orientais la conversation vers des banalités en lui demandant notamment comment allez mes frères. Puis à mon grand étonnement elle me dit Ecoute laisse moi parler, je ne suis pas bête si Daniel t’as demandé de venir les après midi, c’est pour me convaincre de coucher avec son père. Si j’accepte, dieux sait ce qu’il me demandera ensuite, je ne veux pas. Pour l’instant, j’ai été loin dans le jeu, j’ai quand même couché avec toi alors que tu es mon fils, je veux bien continuer dans la limite du raisonnable, en sachant quand même que tu es marié et que tu as un fils, de plus je t’avoue que quand ta femme est là, je mes sent mal à l’aise, voir gêné en pensant a tous ce que l’on a fait, mais si sa continue a prendre certaine proportion, j’arrête tout. Je lui répondis - tu sais je pense que Daniel n’iras pas plus loin, il veut seulement faire avant tout plaisir à son père. Bien sur.... me dit t’elle, tu ne le connais pas, je vie avec lui. Faire plaisir d’accord, mais pas allez dans l’extrême. Je ne vois pas ce qui te gêne maman, tu n’as aucun lien de parenté avec son père. Peut être me dit elle, mais Daniel veut que je fasse ça avec toi et son père. Tu t’imagines ce qu’il va pensez de moi. Et après, il viendra à la maison pour que je puisse le soulager. Excuse mes propos, mais je ne suis pas une vide couille. Et puis, il est quand même âgé, tu te rends compte oh non, je préfère arrêter tout. A ce moment là je pensais que tout pouvait s’arrêter. Je ne savais pas comment argumenter pour trouver les mots qui auraient pu la faire changer d’avis. Un long silence s’installa ;
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