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Maman, assoiffée de sexe, moi aussi

Chapitre 1

Inceste
J’avais 17 ans, je vivais dans un petit appartement, seul avec maman qui en avait 39, c’était une petite femme toute en rondeurs, avec une paire de seins énormes, divorcée depuis trois ans. Mon père ayant préféré vivre avec sa jeune collègue. Je n’avais jamais vu maman comme pouvant être un phantasme sexuel.

Un vendredi après-midi, mes cours étaient annulés, ne cherchant pas le pourquoi du comment, je rentrai à la maison sans flâner, me voilà en bas de l’immeuble à 14h30. Maman, elle avait pris une Réduction du Temps de Travail (R.T.T.), spécificité bien française. Pensant qu’elle serait en train de se reposer, j’entrai donc en faisant un minimum de bruits, la clé que l’on insère dans la serrure, le verrou que l’on tourne, la porte qui s’ouvre dans un léger grincement, la porte que l’on ferme dans un autre léger grincement, ne sont pas à vrai dire un minimum de bruits, mais bon, je suis enfin dans l’appartement, j’ôtai mes souliers et me dirigeai vers ma chambre. Passant devant la chambre de maman, je l’entendis pleurnicher, la porte de sa chambre n’était pas fermée mais était poussée au maximum, pensant que maman avait un coup de blues, je suis entré délicatement, pour éviter de lui faire peur en entrant trop vite, pour câliner maman et la faire penser à autre chose. La surprise fut pour moi, elle était là, allongée sur le lit, devant moi, toute nue, maman ne pleurnichait pas mais gémissait, les yeux clos, j’entrepris un repli stratégique. Maman se godait avec un concombre entre ses grosses cuisses. Maman se caressait le clito avec son gode improvisé, de la main droite, elle manœuvrait le phallus artificiel, maman se tenait au bord du matelas, de la main gauche. Quand sa main descendait, ses reins propulsait ses hanches contre le monstre vert, quand sa main remontait, ses reins reposait ses hanches sur le matelas. Maman gémissait de plus en plus fort, ses mouvements s’amplifièrent, ses gros seins ballottaient de chaque côté de son torse et sa tête bougeait dans tous les sens, par moment de haut en bas, en d’autres, de droite à gauche. Maman gémissait, en disant :
— Oooh ! Mooon dieu ! Oooooh ! Mon dieeeu ! Aaaaaaaa ! Oh ! Oh ! Hum !
Maman se tendit de tout son corps, serrant entre ses cuisses charnues sur l’objet de ses délices, elle se détendit imperceptiblement, replia ses cuisses jointes sur le côté, enserrant plus fort son compagnon de jeu, me faisant voir une partie plus large de sa fesse gauche. Maman poussa deux gémissements, en respirant fortement, sa poitrine bougeait de chaque côté de son torse, son corps se mis à tressauter six fois avant qu’elle ne lâche un autre gémissement. Maman poussa encore trois fois son bassin sur la colonne légumière et un « Oh ! Moooonn dieu ! ». Maman écarta légèrement ses cuisses, releva sa tête et regarda son entrecuisse avant de la faire retomber sur l’oreiller. Maman activa, lentement, son cucurbitacée inquisiteur, lui arrachant de nouveaux gémissements, de nouveaux « Oh ! Mon dieu ! » et de nouveaux, elle tressauta. Maman se plia en deux, avant de rouler sur son flanc droit, me montant son dos et son gros cul, elle trembla encore plusieurs fois de tout son corps. Elle sombra dans un sommeil réparateur, allongée sur le dos, les cuisses écartées et se mit ronfler. Je m’avançai, vis la chatte mouillée de maman, j’ôtai mon pantalon et mon boxer, je grimpai, obnubilé, sur le lit, mis ma langue sur sa chatte, la léchai une à deux minutes, lui arrachant des gémissements dans son sommeil, son goût m’enivrai, je mis ma queue face à sa chatte, la pénétrai en me disant :
— Je suis dans la chatte de maman ! Je suis dans la chatte de maman ! oooooooooooooh !
Dès que je fus au fond elle, lâchai mon sperme. Je redescendis du lit, pris mes affaires et partis en refermant la porte au maximum derrière moi et allai me reposer en regardant la télé dans le canapé du salon.Je me suis assoupi, en me réveillant, j’entendis maman préparer le dîner, dans la cuisine. Quand maman m’appela pour manger, elle avait revêtu d’un tee-short, ses gros seins, libres dessous, ballottaient à chaque mouvement, ses tétons pointaient sous la caresse du tissus, le tee-short lui moulait son gros ventre et d’une jupe droite lui arrivant à mi-cuisses dont la marque de sa culotte était visible sur ses hanches, elle était juchée sur ses mules à talons. Je me remis à bander dans mon pantalon. Nous mangeâmes en parlant de tous et de rien. Puis nous avons regardé la télé ensemble dans le salon. J’étais assis en bout du canapé, maman s’était allongée dans ce dernier, ses pieds de mon côté. La jupe de maman était remonté assez haut sur ses cuisses mais me cachait toute vue de son entrejambe, par contre, ne me cachait rien de ses pieds, chevilles et pas grand chose, de ses grosses cuisses. Je n’arrêtais pas de bander dans mon pantalon. J’ai posé ma main droite, réellement sans arrière-pensée, sur les pieds de maman, en regardant l’écran, elle eu un frisson qui lui parcouru le corps, je me mis à les caresser, puis ma main passa sur ses chevilles, pour s’arrêter sur ses mollets. Maman ferma ses yeux, eu un soupir, ses seins gonflèrent, ses tétons s’érigèrent comme voulant percé le fin tissu. Le générique de fin du film annonça la fin de ce moment de tendresse. Nous nous levâmes, mon regard se perdit sur son entrejambe, sa culotte était mouillée en son milieu, dessinant les lèvres de sa chatte qui me semblèrent entrouvertes. Nous nous souhaitâmes une bonne nuit, voulant l’embrasser sur ses joues, je l’embrassai sur les commissures de ses lèvres, mes mains posées sur ses larges hanches, son ventre frottait mon pantalon, nul doute que maman avait dû sentir mon érection, ses tétons frottèrent sur mon torse, ils étaient durs. Cela me fit bander encore plus fort, j’en avais mal à la queue puis nous allâmes chacun dans notre chambre. Je n’ai trouvé le sommeil qu’après mettre branler pour me soulager de la pression dans mes couilles, en me remémorant le spectacle dont j’avais profité cet après-midi et cette soirée, me maudissant de ne pas l’avoir embrasser directement sur la bouche.

Le lendemain matin, je me suis réveillé avec une furieuse envie de me branler, me remémorant de ce qui s’était passé la veille, alors je descendis mon caleçon et pris ma bite en main, me mis à la faire coulisser sur ma queue. Quand mes yeux à demi-clos se portèrent sur la porte entrouverte de ma chambre, une ombre bougea derrière celle-ci. Je me branlais en faisant des mouvements plus amples et plus rapide sur ma queue, me donnant en spectacle à maman et me mis à gémir :
— Oh! Oui, maman ! Oh ! … Oh ! Oui, maman ! Oh ! … Oui ! Oh, maman ! Oui !
Continuant les va-et-vient sur ma bite, je vis l’ombre disparaître. Je finis la branle sur ma bite, en expulsant ma semence dans les draps, les retirais et les mis dans la salle de bain, pour une futur machine et rejoignis la cuisine pour prendre mon petit-déj, en caleçon et tee-short, comme si de rien n’était. Maman était là, chaussée de mules à hauts talons, dans une chemise de nuit de satin bleu clair qui lui descendait à mi-cuisses mais lui moulait à perfection, les gros seins, le gros ventre mais surtout le bon gros cul de maman.
— Bonjour, ma petite maman chérie !— Bonjour, mon garçon !— Ah, au faite, j’ai mis mes draps « au sale ». Tu pourras les laver ? S’il te plait, ma petite maman chérie !— Justement, j’allais faire une machine, ce matin ... Je reviens dans cinq minutes, le temps de la lancer !
Elle disparut d’un pas hâtif de la cuisine, je l’accompagnais du regard posé sur son gros cul qui ballottait, sûr qu’elle ne portait pas de culotte sous sa chemise de nuit. Je bandais comme un âne, je me décidai alors de la suivre, elle alla à la salle de bain, ne fermant pas complètement la porte derrière elle. Je me suis approché à pas de loup, et là, wouahou, maman avait posé mes draps maculés sur le rebord de la baignoire, grand ouvert. Elle se courba, ses jambes étaient légèrement écartées , sa chemise de nuit remonta à la limite de ses fesses, me révélant de trois quart, ses grosses cuisses et ses gros seins ballottaient sous elle, encore recouverts. Elle a découvert la quantité de sperme dedans et a dit :
— Oh, putain, quelle purée ! Mon petit est devenu un petit homme ! Comment je vais pouvoir ravoir ça !
Elle passa son index et son majeur récupérant du sperme sur ses doigts qu’elle porta à sa bouche qu’elle ouvra, tira sa langue et lécha ses doigts. Puis, elle se pencha davantage, tournant son gros cul dans ma direction, écartant ses jambes, sa chatte et son cul me sont apparus. Elle lécha directement le sperme sur le drap, passa ses doigts sous elle et se mis à se branler le clito, la faisant gémir :
— Hummm !! Hummm !! Hummm !! Qu’il est bon le sperme de mon … !! Hummm !! Hummm !! … fiiilsss ! Hummm !!
Voir maman se branler, avec frénésie, sa chatte était littéralement ruisselante, récupérant un maximum de sperme de sa langue, me fit perdre toutes inhibitions et toutes notions de la réalité, je me mis nu comme un ver, la queue bandante, je pénétrai sur la pointe des pieds, dans la salle de bain, arrivai derrière elle et poussai ma queue dans sa chatte jusqu’à buter contre son utérus, la tenant fermement à ses hanches. Pris de frénésie à mon tour, je bourrai la chatte bouillonnante de maman :
— Oh ! Oui, maman ! Oh ! … Oui ! Oh, maman ! Oui ! … Oh ! Oui, maman ! Oh ! — Hum ! Oui, j’ai mon fils dans la chatte ! J’ai sa bonne grosse bite dans la chatte ! Baises ta maman ! Baises ta maman ! J’ai trop besoin d’une queue, de ta queue ! Baises mooooiii ! Vas y, mon chériiii !— Oui, maman ! Je te baise ! Je te baise ! Oh, maman !— Oh, mon chérii ! Fais jouiiiir ta maman ! Je vieeennns ! Ooooooooooooooooh !— Oui ! Oui ! … Maman, je vais pas tarder à veniiiir aussiii ! Mamaaan !— Attends, mon chéri ! Tu vas te vider dans la bouche de maman !
Maman se retourna plus vite que pour le dire, s’agenouillant devant moi, pris ma bite en bouche. Je me sentis aspirer par sa bouche et me vidai les couilles jusqu’à la dernière goutte. Maman, me suça tant que ma queue n’eu pas retrouvé une bandaison suffisante pour elle. Elle m’allongea sur la descente de bain et vint me chevaucher, faisant rouler son bassin, son clito frottait mon pubis, elle s’enflamma rapidement :
— Humm ! Humm ! Je viens encooore ! Oh ! … Oh ! J’aime ça ! J’aime ça !— Ah ! Aaaa ! Hummm ! - gémissais-je.— Oooh ! Ouuuuh ! Ooooh ! Ooooh ! Ooooh! Ooooh !
Maman se coucha sur moi et me laissa la pénétrer profondément, gémissante plus fortement :
— Ah ! Aaah ! Oooh, Ouuuiiiii ! ... Aaah ! Aaah ! Oooh ! Aaah ! … Ouiiiiii, mon fiiiilssss ! Ooooouuuuhhh ! Ah ! Ah ! Aaah ! – maman jouissante roula sur le côté et m’entraîna avec elle.— Oui ! Oui ! Maman ! Mamaan !— Viens! Jouis sur moi, mon fiiiiiiiils !!! Viens mon bébé ! Vieeeennnnns ! Ooooh ! Oooooooh ! Oooooooooooooh !— Ooooh ! Ooooooooooh ! Maman ! Maamaan ! Maaaaaammmmaaaaaaaaannnnnnn ! – me déversant sur elle, arrosant du premier au dernier jets, ses seins, son ventre et sa chatte.
Maman roula sur le côté, je me levai, pris une douche rapide et disparus dans la cuisine, après m’être rhabillé dans le couloir. Maman pris une douche et vint me rejoindre en chemise de nuit et peignoir de satin ... Je récupérai, assis sur une chaise, fumant une clope. Maman finit son café froid, mit son bol dans l’évier et me dit :
— Mon petit chéri, c’est pas bien ce que nous avons fait ! Il ne faudra pas que cela se reproduise ! Tu … Tu comprends ! … Tiens, allumes moi une clope, s’il te plait !— Bien sur, ma petite maman chérie ! – répondais-je pour la cigarette.
J’allumai sa clope, alors qu’elle fit la petite vaisselle du petit-déj, je passa derrière elle et lui présenta la clope face à sa bouche, elle la prise entre ses lèvres.
— Merci, mon grand ! – me dit-elle.— De rien, maman chérie !
Elle arrêta l’eau, s’essuya les mains alors que je me rasseyais pour finir ma clope.
— C’est la première fois que je te vois fumer, maman ! – dis-je en rigolant.— C’est rare que je fume, le plus souvent, je fume après … …
Maman s’arrêta nette, l’on se regarda … et se mit à rire bêtement. Elle s’accouda à l’évier en tirant sur sa clope. Elle était là, de profil, sa main posée sur sa hanche au niveau des reins, ses seins et son ventre, attirés par la pesanteur, ballottaient sous elle . Je lui ai dit :
— Maman, ça va ?— Je suis éreintée ! …— Tu veux que je te les masse ? …— Non, merci, mon chéri, ça ira ! - répondait-elle pour éviter tout nouveau contact.
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