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Maman bonheur

Chapitre 1

Inceste
23 heures, dans ma chambre, à poil devant mon ordinateur. J’en ai marre de me branler: "Putain....M’an  ! M’an ! Viens-là ! ramène ta gueule! (...) Qu’est-ce que tu fous, merde ?! Active un peu, connasse !" Je vis seul avec ma mère depuis le divorce de mes parents. Je suis confortablement logé et choyé aux frais de la princesse en attendant la fin de mes études supérieures. J’ai des petites copines, mais rien ne vaut la nature des relations si singulières que j’entretiens avec ma génitrice, femme lascive, incestueuse et maso encore bien conservée pour son âge. Cette bonne salope ne sait vraiment rien refuser à son pervers de fiston chéri. J’ai hérité du paternel un gros sexe et des prédispositions aux vices qui font la joie d’une mère indigne prête à supplier pour être besognée par celui auquel elle a donné la vie et dont le vit lui procure les plus magiques moments d’une trop vide et terne existence. Je sais y faire avec elle pour lui donner ce qu’elle a toujours attendu d’un homme sans jamais vraiment se l’avouer. Cérébrale, elle aime cette condition de mère célibataire que je lui fais vivre au quotidien. Je connais ses fantasmes les moins avouables et sais, mieux que personne, comment la faire vibrer et la transporter hors du morne ennui de ses fréquentations et de la routine des tracas professionnels, lorsqu’elle rentre du boulot. Alors, une fois le seuil de la porte passé, cette femme active quitte cette fausse image sociale pour être, en privé, ce qu’elle ne veut plus cesser d’être pour moi, désormais: une femelle aux ordres avide de jouir.
  A ma grande surprise, lorsque je considère nos années de vie commune, je peux dire que les choses se sont déroulées tout naturellement. Je l’avais surprise toute nue, dans la salle de bains. Je l’avais trouvée belle et très attirante au point de le lui dire sans ambages, mes yeux fouillant effrontément les siens. Je l’avais vu rougir de honte, tentant maladroitement de saisir une serviette, afin de se préserver de mes insolents regards insistants, que je lui arrachai des mains: "Non! Laisse-moi mater ton cul, m’an. Putain, t’es vraiment bien foutue, tu sais. J’y crois pas! " Je m’attendais à une gifle ou à une remontrance offusquée de sa part. Il n’en fut rien. Ma mère se tenait debout, tremblante et immobile, incapable de réagir et très troublée. Elle gardait les yeux baissés et la tête basse, la gorge nouée, totalement désorientée par cette violente émotion visible qui l’avait brusquement saisie. J’en étais le témoin privilégié. C’en était presque trop facile, mais parce qu’évident, entre nous.Ma mère n’a jamais eu ce que l’on appelle un caractère. Je la savais déjà capable de céder, par amour pour moi, à tous mes caprices d’enfant trop gâté. Mais, c’était la première fois qu’il était question de sexe entre nous. Je l’ai dévisagée un temps qui devait lui paraître infini avant de m’approcher de son corps. Je ne me souviens pas avoir eu dans ma vie une plus forte érection qu’à ce moment où je la sentais si fragile et docile au point de se mettre à pleurer en silence. Des larmes ont coulé sur ses joues cramoisies et je les ai léchées avant de lui redresser la tête pour lui rouler une pelle à laquelle elle n’opposa aucune résistance. Elle me bouffait au contraire littéralement la bouche et me suçait la langue en des élans fougueux et passionnés. Je lui tripotai la poitrine et elle écartait les jambes pour faciliter mes caresses intimes. Cette morte de faim était trempée et ouverte du bas-ventre. Elle réagissait à mes attouchements interdits comme une maman métamorphosée en chienne en chaleur. J’aimais me rendre compte qu’elle m’offrait, au-delà des replis secrets de sa peau satinée, la partie la plus cachée, la plus sombre d’elle-même. Alors, elle n’était plus qu’un trou visqueux de chairs palpitantes qui attend impatiemment d’être occupé.
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