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Maman l'espace d'un instant

Chapitre 9

l'amour toujours

Inceste
Nous sommes le 7 mars 2018 en tout début de matinée, ma mère et moi partons direction l’Aveyron histoire de prendre un peu l’air loin de tout, un petit moment en amoureux comme elle le dit si bien. De plus papa ne rentre que le lendemain.
Au bout d’une heure de route campagnarde et bucolique, nous arrivons enfin sur la quatre voies et il était temps. Je commençais vraiment à trouver cela long, ce que remarqua maman en me disant de ne pas m’inquiéter, car plus c’est long et plus c’est bon. Elle en rigolait, moi pas trop.
Pour passer le temps je matais ses cuisses, rien de spécial me direz-vous, mais ainsi le temps passait plus aisément.
Ma mère ce petit bout de femme très sexy avec une poitrine qui tient naturellement a encore beaucoup de charme, faut dire aussi qu’elle s’entretient régulièrement, elle ne fait pas son âge.
Ce jour-là, maman porte une robe noire assez courte et légère et je reste là inerte bloqué à la contempler de haut en bas, elle me dit bouge pas il y a une aire de repos plus loin.
Maman gare donc la voiture et nous filons direction les toilettes, personne à l’horizon, et ce furent vingt minutes de bonheur indescriptible et continu en levrette pour elle. Mais avant que je n’explose, elle me prit en bouche, et presque de suite j’évacuai tout dans sa gorge.
Ah il est toujours aussi bon ton sperme me dit-elle.
J’avoue que j’étais fier de ces paroles dites par maman.
Sur ce, nous reprenions la route après avoir pris une légère collation.
Après encore deux heures de route, nous arrivons enfin à l’hôtel à ma plus grande satisfaction.
Je sors les bagages du coffre et nous montons dans la chambre, en se penchant pour rattraper son sac, j’ai pu admirer ces jambes une fois de plus, et mon sexe devenait de plus en plus dur au point qu’elle le remarqua.
Mais tu rêves me lança-t-elle d’une voix douce et d’un sourire malicieux.

Je dis simplement que j’étais fatigué, puis elle éclata de rire.
J’eus une envie pressante alors je me mis à courir et me collai à maman l’embrassant comme il se doit la caressant de partout puis en la déshabillant, et là plus aucun de nous deux ne put résister à la tentation de la chair.
D’un coup à plat ventre sur le sol lui écartant tendrement les fesses pour m’y engouffrer tranquillement dans un rodéo anal qui ne tarda pas à prendre fin, car environ dix minutes plus tard, je me répandais dans son anus à mon grand désarroi.
Mais maman me supplia de continuer, mon membre reprenait de la vigueur et ainsi je recommençais à la pénétrer dans la position de tout à l’heure, mais ce coup-ci par le vagin.
Son popotin et ses petits gémissements me faisaient frémir, j’allais et je venais dans la femme que j’aimais, cette femme qui m’avait porté pendant neuf mois et élevé comme il se doit avec une éducation simple et efficace.
Je la limais de plus en plus vite, elle commençait à émettre des petits cris, et des mots doux sympas, du genre vas-y mon chéri encore je t’aime très fort mon amour, et moi aussi je l’aime, bref nous nous aimons.
J’accentuais les mouvements, puis dans un dernier coup de reins collé contre elle et dans un ultime cri de sa part éjacula dans sa minette en plusieurs jets épais et saccadés.
Elle se releva m’embrassa à pleine bouche, les yeux humides heureux et plein d’étoiles.
Sur ce, je pris la direction des toilettes pour satisfaire un besoin naturel, mais à peine sorti, elle vint à ma rencontre me cala contre l’armoire et tout en se mettant à genou me baissa le caleçon et commença à me masturber vigoureusement, ce qui eut pour effet de faire grandir mon pénis jusqu’à qu’il soit bien dur.
Elle me prodigua une belle fellation tout en me malaxant les boules, que c’était divin elle faisait cela comme une reine, je me sentais bien, j’étais ailleurs, mais surtout avec celle que j’aime.
Une vingtaine de minutes plus tard, je n’allais pas tarder à venir, elle y alla de plus en plus vite, j’étais à bout de souffle et j’avais les jambes en coton quand d’un coup tout se répandait dans sa bouche, elle s’empressa de tout avaler en me faisant un joli petit sourire, le genre de sourire qui ne peut faire que craquer.
Ce fut court bref et intense, mais sur la route du retour, elle se gara près d’un bois ou nous avons fait l’amour en mode missionnaire comme ça sur le sol avec le chant des oiseaux autour de nous et les voitures qui passait en contre bas et bien évidemment je remplissais une fois de plus dans son ventre ce fameux ventre ou j’étais il y a encore quarante ans.
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