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Maman l'espace d'un instant

Chapitre 11

rien que du bonheur

Inceste
En ce début du mois d’avril des plus chauds, à peine arrivé à la maison, maman de plus en plus radieuse me proposait d’aller se rafraichir au bord d’un lac à quelques kilomètres de la maison. J’acceptais volontiers et en quelques minutes nous étions dans sa voiture avec notre attirail de plage.Quelque peu étonné par la longue et « presque » robe transparente qu’elle portait, les épaules dénudées ne laissaient parfaitement deviner que maman ne portait rien dessous, et tout en roulant je relevais cet état de fait, qui ne semblait nullement l’émouvoir bien au contraire. Très sobrement elle m’expliquait qu’avec son nouveau maillot rouge qu’elle allait porter pour la première fois ne faisait pas très joli sous cette robe blanche, et qu’elle avait envie des deux. Moi je n’en étais pas si sûr que cela.Une fois sur place un peu à l’écart du monde vers une zone non surveillée, on s’installait à plus d’une vingtaine de mètres des premiers baigneurs histoire de rester tranquille tous les deux. Moi j’avais mon maillot short et maman enfilait le sien et j’étais très vite subjugué, conquis même par la vue qu’elle m’offrait.Debout face au soleil, moi quasiment allongé apparaissait le joli corps de maman déjà bronzé avec un des plus minimalistes maillots que je lui connaisse et qui lui allait à merveille. Tournoyant un peu, maman s’empressait de me questionner sur son nouveau maillot qu’elle ne trouvait pas vraiment à son gout. Après une première baignade allongés côte à côte on était et maman s’empressait de s’étendre de la crème, et très sobrement, elle sollicitait mon aide, pour mon plus grand plaisir.Allongée sur le ventre, je commençais sur maman mon doux massage qui semblait parfaitement lui convenir allant même à défaire les bretelles de son maillot pour ne pas les enduire de crème, et tout en échangeant je lui faisais remarquer que son maillot était vraiment minimaliste, et que cela faisait limite vulgaire. Là maman se tournait, s’allongeait sur le dos et tout en déposant au-dessus de sa tête le haut de son maillot, elle me questionnait comme si elle avait fauté d’avoir mis ce type de maillot.
Tout le contraire je lui murmurais et alors que j’avais presque sous mes mains sa jolie poitrine qui pointait rageusement, timidement je lui demandais si je devais continuer ou pas.
— Oui, oh oui mon chéri continue, cette crème est vraiment formidable contre les coups de soleil, et en plus elle sent très bon, et facilite le bronzage naturel finalement, et faut dire que tu le fais à la perfection aussi.
Là très vite je percevais quelques gémissements et tremblements alors que je parcourais son corps agenouillé à ces côtés, quasiment collé l’un contre l’autre, elle eut un geste alors que mes doigts enroulaient un de ces tétons des plus durs, d’un coup sa main s’agrippait à ma cuisse au fur et à mesure des massages. Moi j’étais dans un drôle d’état, tout en sueur et avec une forte érection que je tentais tant bien que mal de dissimuler, mais je continuais mes actions.Après un bref regard aux alentours toujours loin du monde, j’osais aventurer mes doigts plus bas que son nombril, et je devinais son ventre rentré à l’intérieur d’elle comme si elle me poussait à continuer de plus en plus loin.Collé contre elle et allongé sur le côté, je lui murmurais que son corps était chaud comme la braise, et à la même seconde ces doigts s’agrippaient à la bosse de mon short de bain, et me dit tout en douceur des mots avec douceur.
— Mon chéri qu’est ce qui nous arrive d’être excités de la sorte ? — C’est l’amour maman, le désir tout simplement.
Mon bras droit passait sous sa tête et ma main gauche sans retenue se risquait à glisser sous le fin tissu de son maillot, et je la devinais perler, excitée qu’elle était aussi tout comme moi.Tout en gémissant et en se laissant caresser, elle me suppliait presque qu’on aille vite dans l’eau pour nous calmer, et en se relevant brusquement elle m’offrait un merveilleux baiser d’amants fous des plus chaleureux. Sa puissante langue s’engouffrait dans ma bouche et entre deux mouvements avec la mienne, elle me suppliait de continuer qu’elle n’en pouvait plus.Main dans la main on courait vers un bosquet, puis on s’enfonçait, et accroché à mon cou, ces jambes m’entourant avec encore un plus puissant et merveilleux baiser qu’elle m’offrait, tandis que je lui triturais langoureusement ces fesses. De folles envies se faisaient alors sentir. Ces doigts s’agitaient sur mon sexe dur et tendu, et tandis que je me présageais à une rapide éjaculation, elle semblait presque s’en réjouir d’avance que cela se passe comme ça. Elle admirait mon long sexe qui semblait littéralement la transcender comme d’habitude, et sans détour elle me réaffirmait son adoration, sa vénération, et son amour pour moi, chose qu’elle éprouve depuis très longtemps.
Là elle prenait mon sexe dans sa bouche et m’offrit une merveilleuse fellation qui ne dura que très peu de temps, car stimulé comme j’étais, je ne me retins pas bien longtemps et avec délectation je lui inondais sa bouche, son visage, et ces seins de ma semence. Elle était en extase totale, puis elle reprenait les devants avec vigueur pour des caresses et des baisers auxquels je m’abandonnais, et très vite mon sexe repartait de plus belle.Ne tenant plus, j’approchais ma queue de ces jambes ouvertes, maman très affamée et avide de sexe et d’amour, m’invitait à la prendre encore et encore, elle adorait ça, mon Dieu que c’était bon, et s’agrippant à ma chevelure perlante de sueur, m’encourageait à aller plus loin, plus fortement, et plus profondément.Je la prenais passant de la manière des plus soft à la plus bestiale, très naturellement avec tout l’amour possible et inimaginable. Secouée par plein de spasmes de plaisirs, maman humide m’avouait que j’étais très coquin et qu’elle s’en régalait, et qu’on devait encore et encore continuer. Parfois accroché à sa chevelure, parfois maltraitant ces seins, j’allais et venais en elle sans affaiblissement mais elle n’en pouvait plus, elle allait presque s’évanouir tant le plaisir était immense.Sauvagement je la retournais adossée au buisson, jambes bien ouvertes, pieds touchant à peine le sol, et après un fougueux baiser, lui tenant la chevelure, je la sodomisai longuement pour notre plus grand plaisir.Là en un éclair, alors qu’elle hurlait, je comprenais que je n’allais pas tarder à venir. Agrippé à ces jambes et bien calé, toute ma semence fusa assez rapidement au fond de son anus.
— Mon chéri tu m’as tuée, tu m’as déchirée dans tous les sens du terme et je suis incapable de quoi que ce soit maintenant. Je te remercie c’était trop bon. Je t’aime tant.
Il faisait encore très chaud, mais il fallait à tout prix partir avant que papa ne rentre à la maison.Sur place maman fila sous la douche, et passant devant la salle de bain entrouverte, je m’approchais d’elle, et alors qu’on échangeait un dernier baiser, elle se baissa et sans me poser de question j’entamais une levrette endiablée qui ne dura pas bien longtemps car en effet assez rapidement mon sperme inonda l’intérieur de son vagin pour s’éparpiller dans le fond de son ventre. Finalement c’était une journée ordinaire, classique, voire basique, mais une journée entre vrais amoureux.
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