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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme

Chapitre 3

Inceste
Chapitre 4 BranletteAprès sa véritable exhibition de la veille, Maman ne pouvait plus revenir en arrière, mais je la sentis d’abord un peu gênée, comme si elle regrettait ce qu’elle avait fait en ma compagnie.Pour preuve, à la plage, elle conserva son soutien-gorge durant une bonne heure, avant de se décider enfin à le quitter. Je retrouvai son corps adoré. Tout heureux, je constatai qu’elle ne me réprimandait plus lorsque je la lorgnais avec insistance. Après la baignade, nous partîmes en balade en voiture. Maman portait ce jour un débardeur à bretelles, et une minijupe en jean. Elle arrêta soudain la voiture sur le bord de la route. Elle se contorsionna sur son siège, glissa ses mains sous sa jupe. Que faisait-elle donc ?! Je compris bien vite, lorsque elle retira son petit slip de bain.
— Ah, ça va mieux, je déteste avoir sur moi un maillot mouillé, surtout quand je suis assise.
Comme je voyais sans peine qu’elle n’avait pas remis son soutien-gorge, cela signifiait qu’à présent elle était à poil sous son débardeur et sa minijupe !...
— Pourquoi souris-tu ?— Parce que maintenant tu n’as rien en-dessous, je suis seul à le savoir, et j’aime bien !— Vilain garçon !... ajouta-t-elle, plus amusée que choquée.
Je me sentais prêt, et je la sentais prête pour que nous allions plus loin. Mais comment ? N’étais-ce simplement qu’un jeu un peu coquin pour elle ? Se fâcherait-elle si j’osais plus ? Mon trouble n’allait que s’accentuer. Près de Saint-Jean de Luz, nous nous arrêtâmes au bout d’un petit chemin menant à une plage discrète. En apercevant la dizaine de baigneurs éparpillés, nous constatons de suite que ceux-ci pratiquent le nudisme. Plage naturiste officielle ou non, qu’importe, le fait était là. Maman va me clouer de stupeur. Sans me demander mon avis, elle quitte en quelques secondes ses sandales, son débardeur, sa minijupe. Nue, la voici nue devant moi, nue comme à la Création, avec sa jolie foune bien poilue ! Voyant mon air ébahi, elle tente de se justifier « naturellement » :
— Tu sais, vue la taille de mon bas de maillot, çà ou rien c’est quasiment pareil ! Tu ne vas pas te choquer ? Tu as déjà vu une minette de femme quand même !— Ou… oui bien sûr, mais la tienne, jamais ! C’est la première fois.— Il y a un début à tout. Et puis elle t’appartient un peu, c’est par là que tu es venu au monde !
Ainsi la vulve de Maman « m’appartenait » un peu ? Comment demeurer insensible à de tels propos…En fait, je mentais, des sexes de femme j’en avais déjà vus dans les magazines de cul que je planquais dans mon armoire… Mais là, j’avais une chatte sous les yeux, et pas n’importe laquelle, la chatte de Maman, ma Maman chérie, ma Valérie d’amour ! Une Valérie qui ajouta bien vite :
— Hé ! Au lieu de me reluquer gratuitement, si tu te mettais à poil toi aussi ! Sur cette plage nous devons faire comme les autres, sinon on va se faire jeter.
Je me déshabillai complètement, très ennuyé car naturellement, je bandais, et pas qu’un peu ! Ce qui fit rigoler Maman.

— Ah, cette fois, tu ne diras pas qu’il s’agit des autres filles, elles sont trop lointaines ! C’est bien moi qui te fais cet effet. Allez, aies le courage de le reconnaître !— Oui Maman, c’est toi. Je t’en demande pardon. Mais tu es vraiment trop belle, trop sexy, tellement attirante, tellement désirable…— Pourquoi m’en demander pardon ? Je suis heureuse, et même fière que tu me trouves belle. Par contre, quelque chose m’échappe. Pourquoi t’intéresser à mon corps de femme de 40 ans, toi qui en as 20 de moins, et qui dois avoir plein de petites copines ?
Je pris une longue inspiration, et finis par lui avouer tristement :
— Je n’ai pas de petite copine. Et même, je n’ai jamais eu de petite copine.— Quoi ? A 20 ans, et plutôt beau garçon ? Tu ne me feras pas croire çà.— C’est pourtant la vérité.— Tu veux dire que tu n’as jamais couché avec une fille ? Même pas une prostituée pour débuter ?— Rien, je te dis. Je me satisfais… tout seul.
Et là, Maman va me planter un coup de poignard totalement inattendu.
— Oui, je sais que tu te fais plaisir en solitaire, encore heureux ! Mes sous-vêtements et mes chaussures en savent quelque chose, vu que tu les trempes sans arrêt de ton sperme !
J’étais estomaqué. Ainsi, elle savait !
— Mais… depuis quand sais-tu cela ?— Depuis quelques mois. J’ai vite compris, à force de poser la plante de mes pieds sur un fond de chaussure poisseux, ou de sentir une humidité suspecte… et odorante sur mon sexe et mes seins en passant ma lingerie !— Pourquoi ne m’en as-tu jamais parlé ?
A son tour, ce fut elle qui sembla très embarrassée. Baissant les yeux, elle avoua :
— Parce que… parce que ce n’était pas facile de parler de çà, et puis je… j’aimais çà, surtout dans mes culottes et mes soutiens-gorge, ça me plaisait que tu te sois donné du bon temps en pensant probablement à moi. Et j’adorais humer l’odeur de ton sperme. Tu vois, nous sommes quittes. Mais cela dit, je croyais que je n’étais qu’un petit « plus » pour toi, et que tu t’amusais avec des filles.— Non, vois-tu, tu as toujours été mon unique… partenaire. C’est pour toi que je me masturbe, pour toi seule.
Avais-je été trop loin ? Maman repassa immédiatement sa jupe, son débardeur, et retourna sans dire un mot vers la voiture. Retour silencieux sur Biarritz. Voilà, j’ai tout gâché, par mes aveux trop sincères, quel idiot je fais ! Ce soir-là, dans le studio, elle a remis un t-shirt et un short, me cachant ses appâts. Valérie ne me fait pas vraiment la tête, mais elle paraît dubitative, ne sachant quelle attitude adopter. Poursuivre à l’identique ? Ambigu. Revenir en arrière ? Hypocrite. Allez plus loin ? Dangereux. L’ambiance sera lourde. Arrive l’heure du coucher. Au dernier moment Maman enlève son short, sa culotte et son t-shirt, et se couvre de suite du drap. Je suis mortifié. Ainsi, tout serait donc terminé ? Après tant d’espoirs ? Pour la première fois depuis longtemps, je ne bande pas en sa présence. C’est alors que me parviennent comme la veille de petites plaintes lascives, et le drap se « met en mouvement ». Malgré le respect que j’ai pour elle, je l’insulte intérieurement : elle m’a complètement éteint, et à présent voilà qu’elle se branle comme une salope, en ma présence !... Il fait chaud dans la pièce. Voilà qu’elle repousse le drap, je devine alors son corps entièrement nu, elle a écarté les cuisses au maximum, et sa main droite s’active dans sa fourche. Après tout, comme elle ne se cache plus, si j’en faisais autant ? Je repousse à mon tour le drap, ôte mon caleçon, me retrouvant à poil sur le lit. J’empoigne ma bite, et entreprends de me masturber gaillardement, tout en ne la quittant pas des yeux. Subitement, tout va basculer, la barrière va enfin être franchie. Valérie stoppe ses caresses intimes, s’assied sur le bord de son lit, et regarde dans ma direction. Je pourrais me recouvrir, mais j’ai décidé que je n’en ferai rien, on verra bien. Je poursuis ma masturbation, tandis qu’immobile, elle me regarde faire. Etrange situation. Et puis elle se lève, et vient s’agenouiller près de mon lit. Elle écarte ma main, et prend fermement ma queue dans la sienne.
— Tu veux de l’aide ? Dit-elle en riant.— Oui, oh oui Maman chérie, branle-moi !
Et voilà qu’elle commence à activer sa main droite autour de mon membre. Ses mouvements sont lents, mais en revanche elle serre très fort ma queue. C’est un délice.
— Tu aimes ?— Oh oui, continue, comme c’est bon !...
En « experte », Maman va alterner un astiquage vigoureux, me conduisant près de la jouissance, puis va laisser la pression retomber, en ralentissant son geste. Puis elle recommence. Elle procèdera ainsi plusieurs fois de suite, faisant encore alterner chez moi montée du plaisir puis frustration. C’est elle qui dirige, je suis sa chose, elle décide de mon plaisir. J’allonge mon bras droit, ma main se pose sur son épaule nue, puis descend jusqu’à ses seins. Je les palpe délicatement. Comme ils sont chauds, doux, fermes et souples à la fois!... Elle me tient en son pouvoir. Et elle parvient à ses fins, je la supplie :
— M’man, j’en peux plus, je voudrais jouir, s’il te plait, finis-moi !
Mais la diablesse ne semble pas encore décidée à me libérer. Ma main est à présent descendue sur ses cuisses douces et fermes, la peau est d’un extraordinaire velouté. J’essaie d’immiscer cette main dans son entrejambes.
— Non, pas là, retire ta main ! Tout de suite, sinon j’arrête !
Je ne peux qu’obtempérer, bien à regret… Mais je n’ai pas à le regretter. Maman semble enfin décidée à m’amener à mon terme. Elle me masturbe à présent de manière effrénée, me décalottant au maximum à chaque mouvement de sa main branleuse. Le plaisir vient, il arrive, je sens le foutre me monter des couilles, et soudain, j’hurle, à ameuter tout l’immeuble :
— Mamaaaaaaaaannn !!!
Et un flot de sperme jaillit de ma bite, 6, 8, 10, 12 giclées d’une rare puissance ! Je m’inonde le torse, le menton, recouvre aussi la main de Maman. Un flash dingue !Hélas, Maman va rompre un peu le charme. Elle se relève de suite, et file dans la salle de bain se laver les mains. Elle en ressort, toujours nue, une serviette en papier à la main. Elle va consciencieusement m’essuyer le torse et le ventre. J’aurais aimé qu’elle lèche mon sperme, ou qu’elle le récupère pour l’étaler sur elle, mais je suis décidemment trop exigeant et impatient… Ce qui vient de se passer est déjà formidable. Mais de suite, pointe une inquiétude chez moi :
— Merci ma petite Maman, c’était vraiment super. Mais dis-moi, on le refera ?— Peut-être, je ne sais pas encore, on verra…
Malgré cette incertitude, je vais enfin m’endormir, apaisé, serein. Chapitre 5 Fellation inauguraleLe lendemain matin, dès le réveil, je suis totalement rassuré. Sans la moindre gêne, Maman évolue complètement à poil dans le studio. Quand je précise « à poil » c’est dans tous les sens du terme. Je peux enfin détailler sa foufoune. Celle-ci est garnie d’un buisson noir bouclé et particulièrement épais. Et elle exhibe aussi des petites touffes sous les aisselles. Je trouve cela sexy, mais peut-être excessif. A présent que nous avons commencé à aborder le domaine sexuel, je dis à Maman ce que 24 heures auparavant je n’aurais jamais osé :
— Maman, tu devrais tailler et raser un peu de tes poils, ça fait fouillis !
Je m’attendais à une réponse du genre « je t’interdis de parler de çà », ou « ça ne te regarde pas », mais elle me répondit, en baissant les yeux vers son ventre :
— Tu crois ? Oui, tu as peut-être raison, je devrais le faire.
Sur ce elle alla procéder à sa toilette. Par la baie vitrée, je regardai la Grande Plage de Biarritz, superbe, le ciel était d’un bleu limpide, Maman dans de bonnes dispositions, la journée s’annonçait bien. Mais avec toujours des incertitudes qui me tenaillaient. Allions-nous aller plus loin dans notre relation ?...Maman, dorénavant nue en ma présence, ressortit de la salle de bain.
— Je n’ai pas marché avec des chaussures ce matin, mais j’aimerais que tu t’occupes de mes pieds, comme tu sais si bien le faire !
Même si j’adorais ce rituel entre nous, il me paraissait bien fade à présent. Les pieds de Maman ! Certes, ils étaient toujours aussi mignons, mais comment ne m’intéresser qu’à eux lorsque j’avais à présent sous les yeux ses jambes, ses cuisses, sa chatte broussailleuse, son ventre, ses seins lourds, ses épaules !!... Néanmoins, je me pliai à ses désirs. Elle s’assit au bord du lit, et, agenouillé devant elle, je lui massai longuement les pieds, puis les léchai avec amour, suçant les orteils, insinuant ma langue entre chacun d’entre eux, parcourant la plante avec application. Mais dans le même temps, mes yeux ne quittaient pas sa chatte. Je rêvais de voir son sexe, sa fente, mais impossible avec cette forêt. Maman parut deviner mes pensées.
— Fabien, tu as raison, je vais tailler mes poils, il y en a vraiment trop.— Ne rase pas tout, laisse-toi un petit triangle sympa !— Est-ce que tu voudrais bien te charger de çà ? Tu tailleras à ta guise.
Le nirvana ! Un nirvana auquel je ne m’attendais pas du tout.Délaissant enfin ses petons trempés de salive, j’allai chercher des ciseaux, un rasoir mécanique, un petit récipient avec de l’eau, et ma propre bombe de mousse à raser. Afin de me faciliter l’accès, Maman écarta les cuisses au maximum, adoptant une posture plutôt hard. Comme j’étais nu moi aussi, je bandai immédiatement. S’en apercevant, Maman rigola :
— Hé ! ne te laisse pas distraire, fais les choses sérieusement, et surtout tâche de ne pas me couper ! Si tu travailles bien, je saurai te récompenser.— Ah ! Et en quoi consistera la récompense ?— Tu verras bien…
Alléchante promesse ! Mais déstabilisatrice pour ma concentration. Je m’imagine déjà ramant dans la chatte de Maman. Non, c’est incontestablement trop tôt. Tel un coiffeur, je vais d’abord jouer du ciseau pour désépaissir l’ensemble. Puis, je vais passer de la mousse dans les poils. Mes doigts vont alors rencontrer des renflements qui vont bouger : les lèvres de son con. Ensuite, délicatement, je vais utiliser le rasoir. Je vais dégager l’entrejambe, et réduire la hauteur de la toison. Je regarde Maman de temps à autres. Elle suit mon travail, le sourire aux lèvres.
— Tu t’y prends très bien, on dirait que tu as fait ça toute ta vie !— Ben non c’est la première fois, mais je te soigne, ce n’est pas n’importe quelle chatte que je taille, c’est la tienne !
Je rince puis essuie l’ensemble avec la serviette. Maman va lever les bras, puis je vais raser, cette fois totalement, les touffes de ses aisselles. Je prends un peu de recul. Sa toison est à présent constituée d’un petit triangle bien dessiné, fourni mais pas trop, et enfin j’aperçois l’objet de tous mes désirs : la fente de Maman, une fente hyper sexy, pourvue de grandes lèvres très charnues, un appel à l’amour, à la baise la plus intégrale.
— Alors ? Es-tu satisfait de ton ouvrage ?— Totalement. Ton con est vraiment magnifique, Maman.
J’aurais pu dire « sexe » mais j’ai lourdement insisté sur le terme bien plus cru de « con ». Ce qui sembla lui plaire, puisqu’elle commenta à son tour, en contemplant son ventre :
— En effet, mon con est bien mieux mis en valeur comme cela. Merci, mon fils.— Ce fut un plaisir, Maman chérie. Bon, et ma récompense ?— Ah, tu ne perds pas le Nord, toi ! Je tiens ma promesse, va t’allonger sur ton lit.
Ce que je fis instantanément. Agenouillée toujours nue près de moi, elle recommença à me masturber, comme la veille au soir. La chipie se fendit d’un égrillard :
— Je vais te l’éplucher, ta banane !
Elle « m’éplucha » en effet, me décalottant au maximum.A la faveur du jour, je détaillai mieux son corps. Sans hésitation à présent je palpai et pressai fortement ses seins de rêve. Comme sa branlette était bonne ! Elle alternait encore entre « manutention » rapide et lente. Puis, elle flatta délicatement mes couilles, tandis que je caressai ses cuisses satinées.
— Allez, voilà ta récompense !
Et elle prit mon gland entre ses lèvres. Je poussai un soupir d’aise. De sa langue, elle lécha longuement le gland, tout autour, ainsi que le méat. Et puis, avec une lenteur calculée, elle ingurgita ma bite, centimètre par centimètre. La première fellation de ma vie, et c’est ma Maman adorée qui me l’administrait ! Je n’avais pas de mot assez fort pour qualifier mon bonheur. Je fus à la fois ravi et stupéfait de voir Maman réaliser d’emblée une gorge profonde. Elle avait le nez dans mes poils ! Elle me garda totalement en elle quelques instants, avant de me recracher complètement, la bouche écumante de sa propre salive. Elle frotta avec délectation ma bite sur tout son visage, l’humectant ainsi. Avant de me reprendre en bouche, pour cette fois me sucer avec vigueur. Elle émettait des bruits mouillés très cochons en me pompant, et elle bavait en continu sur ma queue. Sa manière de me sucer était ouvertement obscène, elle avait parfois des haut-le-cœur lorsque mon gland touchait le fond de sa gorge, ce qui ne faisait qu’accentuer son émission plus qu’abondante de salive.
— Ah, c’est bon ce que tu me fais, tu me suces bien, cochonne !
Je crevais d’envie d’utiliser le qualificatif de « salope » à son égard, mais je pense que « cochonne » était justifié, sans être abusif. Du reste, Maman ne commenta pas ma remarque salace. Quand elle me sortait de sa bouche pour respirer un peu tout en continuant à me masturber, je voyais la bave autour de sa bouche, lui coulant du menton en longs filaments translucides. Jamais je n’aurais imaginé ma petite Maman aussi cochonne, précisément, pour une simple fellation. Et elle me reprenait en bouche, comme l’on dit « jusqu’aux couilles ». Je n’eus pas besoin de lui préciser que la jouissance approchait, cela prouvait sa bonne connaissance des hommes et des choses du sexe. Je me voyais déjà inondant sa bouche. Elle me déçut juste un petit peu, en me finissant en mode branlette vigoureuse, et c’est à nouveau sur moi que je jutai une cataracte de semence. J’osai alors un geste dont j’ignorais comment il serait accueilli : de ma main, je récoltai le sperme dont j’étais couvert, et j’enduisis les seins de Maman avec. Pour mon plus grand plaisir, elle me laissa faire, et elle acheva elle-même la besogne, en étalant bien mon foutre sur toute sa plantureuse poitrine. Elle déposa un petit bisou affectueux sur mon gland, et conclut d’un :
— Et voilà ! Ça t’a plu ?— Maman, c’était génial. Tu me le referas ?— Ah toi alors ! On verra, peut-être que oui… peut-être que non.
Pourquoi gâchait-elle toujours un peu mon plaisir en maintenant le flou sur l’avenir ? Je pense qu’elle « jouait » avec moi. Mais cela n’enleva rien à cette merveilleuse « grande première » : ma première fellation, et PAR Maman !
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