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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme

Chapitre 8

Inceste
Sodomie champêtreMes grands-parents maternels possèdent une petite maison pourvue d’un vaste jardin, à la sortie d’un village tranquille de l’Yonne. Ils y coulent une paisible retraite. Chaque été, Maman et moi sommes invités à y passer un ou deux week-ends. Nous y sommes reçus et choyés comme des coqs en pâte, avec un seul inconvénient pour nous deux : le sexe est banni. Papy et mamy sont adorables, mais très stricts sur la morale, pudiques, très croyants et pratiquants. Le dimanche matin nous devons impérativement nous plier au rituel de la messe. Messe durant laquelle, que Dieu me pardonne, je ne cesse d’avoir des « pensées impures » pour Maman…La maisonnette ne comporte que deux chambres, la leur, et celle d’amis. Trouvant « inconvenant » que la mère et le fils dorment ensemble, je dois dormir avec papy, et Maman avec mamy. Quelle frustration durant ces week-ends !Ces après-midi d’été nous pouvons profiter des chaises longues du jardin. Maman s’y prélasse, en sage maillot de bain une pièce, mamy s’étant choquée de la petitesse d’un bikini qu’elle avait porté une fois, et qu’elle ne remettra plus.Je ne me rappelle plus de quelle année il s’agit, au début des années 80 je crois, papy et mamy nous ont invités pour le pont du 15 août. Très agréable petit séjour bourguignon, mais plus frustrant que jamais : quatre jours sans toucher Maman !...
Arrive le quatrième jour, je n’en peux plus. Le matin, dans l’exiguë salle de bain, profitant de ma toilette, je m’octroie une rapide branlette, achevée de bien juteuse manière. Au sortir, je croise Maman, vêtue d’un pyjama (pas question d’une nuisette affriolante chez papy/mamy !) qui me regarde les yeux chargés d’envie. Devinant sans peine à quel petit jeu je viens de me livrer, elle me glisse à l’oreille :
— Filou ! Je vais t’imiter !
Elle me succède dans la salle de bain. Je bande à nouveau en l’imaginant nue dans la salle d’eau, se caresser en pensant à moi…Le midi, après un copieux repas froid dégusté tous les quatre à la table du jardin, papy décrète :
— Allez, sieste générale !
Que faire d’autre, du reste, après un bon déjeuner, et par une température de 30° à l’ombre ?...Papy et mamy s’isolent dans leur chambre, volets fermés pour ne pas laisser entrer la chaleur. Les citadins que nous sommes Maman et moi préférons profiter du jardin et des transats. Nous voici allongés côte à côte, chacun sur un transat, la maison et ses volets clos face à nous. L’action combinée de la chaleur et de la digestion nous fait d’abord dormir un bon moment. A mon réveil, je constate que Maman a fait pivoter sa chaise longue de 180°, tournant de ce fait le dos à la maison. Pourquoi donc cette nouvelle orientation ?Quelques secondes me suffisent pour comprendre la manœuvre. Par-dessus son maillot bleu, Maman se masse les seins de la main gauche, et se caresse le sexe de la droite. Emoustillé, j’adopte de suite le même positionnement de mon transat, et glisse pour ma part une main dans mon slip de bain. Bite au garde-à-vous ! Je contemple Maman, qui insère alors la main sous son maillot pour mieux se branler. Je baisse le mien, ma queue jaillit alors comme un diable de sa boîte, et, à l’air « libre », je commence à me palucher. Tout cela au soleil, dans le jardin, avec devant moi de paisibles champs à perte de vue, voilà qui n’est pas pour me déplaire.Au bout d’un moment, Maman se redresse, jette un regard en direction de la maison où apparemment rien ne bouge. Elle quitte son transat, rampe jusqu’à moi, m’écarte un peu les jambes, s’infiltre entre elles, et prend ma bite dans sa main. Elle me branle brièvement, puis me suce avec amour, à fond, en gorge profonde. Je suis tellement en manque que je sais que je ne tiendrai pas longtemps. Cela vaut mieux du reste, car voilà très exactement une heure que nous avons débuté cette sieste, et les grands-parents, réglés comme du papier à musique ne vont pas tarder à reparaître. Je pourrais me satisfaire de cette pipe délicieuse et inattendue, mais cela ne suffit visiblement pas à ma belle Valérie. Elle vient se placer à califourchon au-dessus de moi, cuisses ouvertes en grand. Elle écarte juste l’entrejambe de son maillot et s’enfile sur ma bite d’un seul coup d’un seul ! Facile, sa chatte ruisselle de mouille… Il lui faut décidément un « échantillonnage » complet, car après quelques vigoureuses allées et venues sur moi, elle se redresse, me tourne le dos, écarte maintenant son maillot d’entre ses fesses, et descend jusqu’à ce que son trou du cul se trouve au contact de mon gland. La mouille dont ma bite est enduite sert de lubrifiant, permettant à Maman de s’enculer elle-même, sans la moindre difficulté. Tout n’est certes pas parfait, elle me tourne le dos, se voit contrainte de conserver son maillot, et nous devons nous hâter de conclure nos galipettes. Mais après quatre jours de disette, ce que nous faisons est déjà merveilleux et inespéré. A la force des jambes, ses pieds nus posés sur la pelouse, Maman monte et descend quelques minutes sur ma bite, se l’enfonçant à chaque fois au plus profond de son cul adoré. Elle feule :
— Je jouiiiiiiiiiis !!...
Signal attendu pour déclencher ma salve, et quelle salve ! En nombre de giclées je ne sais plus, mais en quantité, je remplis littéralement les intestins de Maman d’une rivière de foutre, malgré ma petit éjac du matin dans la salle de bain.J’ai à peine fini de me vider, que nous entendons les volets de la chambre grincer. Maman se détend comme un ressort, remet décemment en place l’entrejambe de son maillot. Mamy, suivie de papy nous rejoignent de suite sur la pelouse. Je ris intérieurement. Maman bavarde avec ses parents, alors qu’elle a encore dans les fesses les « litres » de sperme que j’y ai largués…
Papy paraît intrigué par la disposition de nos transats. Maman lui fournit la plus naturelle des explications :
— Tu sais, à Paris, nous ne voyons pas des champs tous les jours, alors, on en profite un max ici !
Sa réponse convient visiblement à papy, qui plaint alors les « pauvres citadins » que nous sommes…Et finalement, tout le monde est content, papy/mamy de notre présence avec eux, et réciproquement, et Maman et moi d’avoir enfin pu nous envoyer en l’air, même si la chose s’est avérée un peu trop brève !________Par une belle nuit d’étéPour cet autre moment de bonheur un peu original, je me souviens cette fois précisément de l’année, 1989. Maman porte superbement ses 52 ans, une femme mûre et resplendissante.
Maman choisit cet été-là l’Ile d’Oléron, où elle a passé une partie de son enfance. Nous avons loué une petite maison basse dans un village tranquille, assez proche de la mer. L’inconvénient majeur est que les fenêtres du petit séjour et de la chambre donnent plein sud, et qu’il y fait étouffant, d’autant que cet été-là est particulièrement chaud et ensoleillé. Nous dormons fort peu la nuit, pas seulement du fait que nous faisons longuement l’amour, mais surtout à cause de la chaleur ambiante. Au rez-de-chaussée il est un peu gênant voire risqué de laisser fenêtre et volet ouverts.Trempés de sueur, nous nous y ébattons tout de même, mais le manque d’air finit par devenir oppressant, et nous n’arrêtons pas de mouiller les draps.Une nuit, Maman me dit :
— Si nous allions dormir dans le jardin ?— Excellente idée.
Derrière la maison nous disposons d’un carré de gazon, un peu râpé. Dormant bien sûr à poil, Maman passe une petite culotte et un t-shirt court, s’arrêtant au nombril. Tenue pour le moins légère, mais nous risquons peu d’être vus par les voisins, en pleine nuit. Des voisins dont la fenêtre de chambre donne sur notre pelouse. Maman étend une couverture sur le sol, et nous nous allongeons. Certes, il fait moins chaud et nous respirons mieux, mais nous sommes de suite sauvagement agressés par les moustiques et… les fourmis.
— J’en ai marre, marre ! Gémit Maman.
Me vient alors une idée.
— Si on allait faire un tour à la plage ? Nous n’en sommes pas très loin.— Pour quoi faire ? On ne va pas prendre un bain de minuit, nous ne sommes ni aux Antilles, ni en Polynésie, l’eau doit être très froide !— Qui te parle de bain ? On peut seulement s’allonger sur le sable, voir et entendre l’océan. Eveillés pour éveillés, autant que ce soit sympa !— Après tout, pourquoi pas ?
Je dois avouer qu’une idée coquine (pour ne pas dire cochonne) me trotte dans la tête, un vieux fantasme que beaucoup de gens ont, je pense : faire l’amour la nuit sur une plage. Maman sera-t-elle d’accord ? Banco !Du garage, nous sortons les vélos que nous avons à notre disposition. Je pensais que Maman allait se vêtir pour circuler, mais il n’en est rien. Elle ne conserve que son très court t-shirt et sa petite culotte blanche de lingerie. Elle n’ajoute qu’une paire de tennis, pour pédaler plus commodément.
— Tu ne mets rien d’autre ??— Non ! Bah, à cette heure-ci (2 heures du matin) personne ne doit être dehors dans ce petit patelin, et la plage ne se trouve qu’à 500 mètres d’ici !...
A l’idée de voir Maman traverser le village si peu vêtue, je bande de suite dans mon short…Nous allons très brièvement rouler sur la petite route nous conduisant à la plage, sans rencontrer âme qui vive.Une fois sur la plage, nous laissons choir nos vélos. Maman ôte ses tennis pour marcher pieds nus sur le sable très doux. Nous gagnons peu discrètement le centre de la plage et nous asseyons. Valérie se tourne vers moi, m’enlace, puis m’embrasse langoureusement. Ça part bien ! Mais elle va se contenter de se blottir dans mes bras, en murmurant :
— Ce qu’on est bien ! Excellente idée mon amour ! Regarde ça, la mer, le ciel étoilé, le clair de lune, et rien que nous deux, c’est super, non ? Embrasse-moi encore mon chéri adoré !
Et nos bouches de se reprendre, se dévorer, nos langues et nos salives se mêler. Je me résignai. Cette nuit j’aurais droit à « Maman-tendresse », alors que j’aurais clairement préféré « Maman-putain »…Elle est comme çà Maman. Tour à tour romantique à fond, ou quasiment nymphomane. Cela dit, je dois admettre que le moment et le lieu sont particulièrement propices à la rêverie.Après ce bien innocent câlin, Maman s’allonge sur le sable, à ma droite. J’en fais de même. Dans mon champ de vision, un ciel merveilleusement étoilé. Maman se tourne sur le côté, visiblement désireuse de dormir. Le clair de lune donne à sa peau, surtout ses jambes entièrement dévoilées, une blancheur immaculée, presque irréelle. Ma bandaison me reprend.Un coup d’œil à gauche, un coup d’œil à droite, personne d’autre sur la plage, parfait. Je commence par glisser une main dans mon short, pour me « branlocher » doucement. Notre totale solitude me permet de prendre un peu plus de risque, je baisse mon short sur mes cuisses, et commence une véritable masturbation. Comme souvent, j’enferme mes couilles dans ma main gauche, et les masse longuement, délicatement et fermement à la fois, les faisant rouler, juste à la frontière entre plaisir et douleur. Mes boules sont gonflées, bien dures, gorgées d’un sperme chaud qui ne demande qu’à jaillir, telle la lave d’un volcan, mais il ne faut pas aller trop vite en besogne ! Du pouce et de l’index de la main droite, j’astique lentement ma bite qui ne cesse de gagner en taille et raideur. Délaissant mes boules, l’index de ma main gauche se pose ensuite sur ma rondelle, que je masse en effectuant des petits cercles. Je suce mon doigt, puis me l’enfile dans le cul jusqu’à la racine, tout en accentuant ma branlette, cette fois à pleine main. A défaut d’une sauterie avec Maman, cette masturbation nocturne sur la plage est déjà plus qu’agréable. Je me doigte bien à fond, faisant tourner mon doigt dans mon cul. Ne me retenant plus, je me sens prêt à éjaculer.
Je sursaute alors, en sentant une main repousser la mienne, et enserrer ma queue !
— Et alors ?! C’est qu’il se ferait plaisir sans moi, le vilain garçon !
Tout à ma branlette, les yeux perdus dans le ciel étoilé, je n’ai pas remarqué que Maman s’est réveillée, tournée vers moi, et que, visiblement, elle souhaite participer « activement » à mon petit jeu !Enfin ! Ma coquine se réveille !Sa main remplace donc la mienne sur ma bite. Maman sait comment j’aime être masturbé, pas trop vite, mais en serrant bien fort, ce qui a pour effet de provoquer un afflux de sang dans mon gland, prêt à exploser, tellement il est gonflé, tendu !Elle me suce assez brièvement, car elle souhaite surtout que je m’occupe d’elle. Mais ma pine est maintenant suffisamment ruisselante de salive pour qu’elle puisse la pénétrer sans effort ni douleur.Elle se lève, ôte son t-shirt et sa petite culotte. La voilà nue sur la plage à plus de 2 heures du matin !
— Reste allongé, j’ai un petit fantasme à assouvir.— Quel fantasme ?
Debout à un mètre de moi, Maman écarte et fléchit un peu les jambes, et se caresse alors voluptueusement.
— Ah, comme c’est bon de se branler dehors, sur une plage, comme je rêverais de faire la même chose, ici, en plein jour, devant des gens, hummm !! lâche-t-elle.— Crois-tu que ce serait raisonnable ?— Non, bien sûr, mais ça me plairait de m’exhiber comme une salope, faire bander les baigneurs et peut-être même… mouiller les baigneuses !
Je vais décidément de surprise en surprise avec Maman, jamais elle ne m’avait laissé entendre un tel besoin d’exhibitionnisme. Je me masturbe tout en la regardant se toucher intimement tout en roulant du bassin de manière lascive. Son rêve semble-t-il réalisé, elle revient soudain au présent.
— Je t’ai donné satisfaction, petit voyeur, eh bien c’est à toi de t’occuper de moi à présent. Attention, aucune pénétration avant que je ne t’y autorise. Sers-toi uniquement de tes mains et de ta bouche, je te veux partout sur moi.— Mais… je te baiserai quand même après ?— J’en jugerai, si tu as bien « travaillé » !...
Alors, je m’atèle à la tâche, oh une tâche tout de même fort plaisante !...Je commence par mon habituel léchage de pieds, qui ont acquis un petit goût salé, Maman ayant marché dans les vagues mourantes juste avant. En revanche, si le sable de la plage constitue un agréable « matelas », il m’apporte du désagrément en léchant Maman partout. Plusieurs fois il va me crisser sous les dents, de manière peu sympathique. Je remonte lentement de la langue et des mains les jambes fines, les merveilleuses cuisses pleines, fermes, douces !...Et que dire de la jolie chatte que j’atteins à présent ! De superbes grandes lèvres bien dessinées, proéminentes, charnues, suintantes de désir. J’enfouis ma tête dans le buisson touffu de ses poils. Des poils imprégnés de son odeur intime de femelle en chaleur, malgré l’hygiène stricte qu’a Maman. A grandes inspirations, je hume cette odeur suave, piquante, l’odeur de la FEMME, de la baiseuse. De la langue, je mouille et lisse les poils, avant d’ouvrir le rideau de ses grandes lèvres. Ah, son con, son con d’amour ! Je l’écartèle de mes doigts, plonge ma langue dedans, au plus profond, pour y récupérer le plus possible de jus féminin. Et ce petit clitounet, perle de jouissance ! Si en me suçant Maman aime mordiller mon gland, je lui rends la pareille avec son clito, que je suçote, puis mords délicatement. Maman sursaute, comme si elle venait de recevoir une décharge électrique. Puis je repasse alternativement à ses poils, ses lèvres que j’étire, le gouffre de sa cramouille, puis son clito, etc.


Ensuite, je remonte lentement son corps. A 52 ans cette année-là, son ventre est encore bien plat. Je titille son nombril du bout de la langue, puis je m’attaque à sa poitrine. Comment trouver de nouveaux qualificatifs ? Je les ai déjà tous épuisés, alors excusez-moi, mais il va y avoir redondance… Des seins GROS, LOURDS, FERMES, SOUPLES, DOUX, MOELLEUX ! Je vais embrasser, lécher, presser, étirer, mordiller, compresser, pincer très fort les tétons ! Maman va même devoir freiner mes ardeurs au bout d’un long moment de mauvais traitements.
— Arrête, tu me fais mal maintenant !— Excuse-moi, mais tes seins sont tellement bandants !
Je les écarte, enfouis mon visage entre eux, puis de ses mains, Maman les referme sur mes joues. Me voilà « prisonnier » de ses plus beaux atouts féminins. Dans ce cas, je veux bien être condamné à perpétuité…Je poursuis l’« escalade » du corps de ma Valérie adorée. Je dévore sa bouche, plonge mon regard dans ses yeux bleus au pouvoir hypnotisant. De mes lèvres, je ne néglige rien : la bouche de Maman, ses joues, son nez, son front. Je lui fais fermer ses yeux d’azur pour l’embrasser sur les paupières. Puis je reviens encore et toujours à sa bouche, qu’elle ouvre en grand pour y accueillir ma langue, y sentir couler ma salive. Maman je t’aime. Oh, « QUE JE T’AIME !! » Comme chantait un grand artiste qui vient de disparaître. Que nous soyons doux ou virulents dans nos actes, tendres ou très crus dans nos échanges verbaux, il y a toujours une constante : L’AMOUR !! Je suis à bout de résistance.
— Maman chérie, je veux te prendre, je peux ?— Hé ! Pas encore, tu t’es occupé du côté face, il te reste le pile ! Après, tu feras de moi ce que tu voudras.
Ah la garce ! Je la retourne sur le ventre. Toujours grâce au clair de lune, sa peau conserve un étonnant blanc de porcelaine. Je pose mes mains sur ses chevilles. Petit problème, je les sens granuleuses de sable. Alors, des talons à la nuque, je vais frotter l’intégralité de ce côté pile, afin d’en chasser tout le très fin sable qui s’y est collé. Un côté pile moins « riche » peut-être que le face, mais qui comporte aussi nombre d’endroits de paradis. Des chevilles fines, l’arrière des genoux puis des cuisses, que je vais intégralement honorer de ma langue. Et palper, tel un kiné. Un kiné… bien entreprenant s’il s’agissait d’un vrai ! L’action constante de mes mains a tout de la caresse plutôt que du massage. Je passe par-dessus les fesses, pour poser ma bouche dans le creux des reins de Maman. Qui s’inquiète alors :
— Bah ! Et mon cul ? Tu l’oublies ?— Que non, je garde le meilleur pour la fin !... Elle rit.
Le dos est trop souvent négligé dans les relations sexuelles. Mais un dos nu, lisse, doux, satiné, représente un pur bonheur à cajoler. Je dépose sur ce dos de rêve des dizaines de petits baisers mouillés, le caresse. Parfois, il m’arrive de le recouvrir de sperme, que j’aime voir partir en rigoles sur les flancs de son corps, mais ce ne sera pas le cas cette nuit-là. Des épaules rondes et feutrées, la nuque, si tendre à embrasser. Et les cheveux châtains dans lesquels j’aime aussi enfouir mon visage, eux aussi possèdent leur parfum, ils sont fins comme des fils de soie.Je redescends enfin plus bas, pour réserver mon final à ce merveilleux cul, fait pour l’amour. Avec cérémonie, je procède à une « imposition des mains » sur les belles fesses. Maman est bien pourvue côté popotin. Mais le terme de « grosses fesses » ne saurait s’appliquer, mais plutôt celui de « BONNES FESSES ». J’aime trop son cul, j’irais jusqu’à dire que je le vénère. C’est une œuvre d’art pour moi, qui n’a malheureusement inspiré aucun peintre ni sculpteur. A ceci près qu’une œuvre d’art se regarde sans être touchée, et que le cul de Maman lui, s’apprête à en voir de toutes les couleurs. La fessée, ce n’est pas notre truc. Mais comme tant de fois, combien de minutes vais-je passer à palper, malaxer ses fesses, les écarter, les refermer, et bien évidemment les embrasser, les lécher en totalité ! Tout comme ses seins, ses fesses sont à la fois fermes et souples. Parfois, dans la rue, les jours où Maman a décidé de se passer de culotte, je marche quelques pas derrière elle, avec le plaisir jouissif de voir son cul onduler lascivement sous sa jupe courte ou sa robe.
Et dans les rues grouillantes de Paris, je ne suis pas le seul homme à suivre du regard cet érotique balancement… Que parfois Maman accentue volontairement ! Ce que l’on appelle trivialement « tourner du cul ».Mais revenons à cette nuit oléronaise. Ce « match », va s’achever par une séance de « tir au but » comme au foot. Le tir de ma langue… dans le but que constitue son petit trou. Je lèche déjà méticuleusement la totalité de sa raie culière, de sa chatte jusqu’à son coccyx. J’écarte ses fesses au maximum, masse d’abord son anus de mon index, puis l’embrasse, avec autant de passion que s’il s’agissait de sa bouche. Et enfin, je darde ma langue à l’intérieur, la tourne, l’enfonçant le plus loin possible. Maman émet un :
— Hummm, comme c’est bon ta langue dans mon cul ! Bouffe-moi bien!
Comme avec sa poitrine, je plonge mon visage dans sa raie, et referme ses fesses dessus. Le petit trou palpite sous l’action de ma langue, il est pris de spasmes. Et je lèche, lèche son anus, l’ensalivant le plus possible, pour le préparer à l’assaut plus que gaillard qu’il va subir. « Subir » n’étant du reste pas le mot qui convienne. L’assaut qu’il « attend » est plus conforme à la réalité.Je pense avoir mérité ma récompense, quoique tout ce que je viens de faire ne ressemble guère à une punition.
— Maman chérie, j’ai envie de prendre ton petit trou ! Je l’ai bien préparé. Je peux y aller ?— Baise-moi un peu par la chatte d’abord ! Et tu me prendras le cul ensuite.— Sois sûre que je vais te le défoncer, ton beau cul !
Maman se replace sur le dos, et m’ouvre ses cuisses en grand, sublime invite. Je l’enfile alors, en missionnaire, ma position préférée. Mon Dieu, quel bonheur que de ramer enfin dans ce con inondé de mouille ! Je sors puis m’enfonce jusqu’aux couilles à chaque allée et venue de ma bite dans la chatte maternelle. Je retrouve Maman, enfin devenue tout à la fois ma mère, ma maîtresse, ma femme !...
— Oui mon chéri, baise-moi bien, baise bien ta maman, tringle-moi plus fort, accélère, tape au fond !
En fils obéissant, j’accélérai la cadence, et me déchaîne à présent. Quant à Maman, elle se laisse totalement aller sur le plan verbal.
— Mais comme elle est bonne ta bite ! Allez, défonce-moi, défonce-moi, baise-moi comme une salope ! Comme TA salope !
L’instant est si beau sur cette plage nocturne, l’osmose si parfaite entre nous, que pour ma part je n’ai pas envie de me montrer grossier. Ce n’est pas de l’hypocrisie, car j’adore aussi nos dialogues très crus, mais pas ce soir-là !...Je sais très bien que chez Maman son amour pour moi est bien plus fort que ses propos excessifs.Me sentant à deux doigts de jouir, elle me repousse doucement, et me dit enfin la phrase que j’attends depuis un long moment :
— Maintenant vas-y, encule-moi !— Enfin ! Tu ne vas pas être déçue !...
Demeurant sur le dos, elle lève les jambes plus haut pour dégager son entrefesse, et je pointe mon gland enduit de cyprine sur son anus. Je ne pénètre pas Maman, c’est littéralement son rectum qui m’aspire ! Il ne faudra pas plus de quelques secondes pour qu’elle se retrouve enculée jusqu’à la garde !
— Je te sens bien, éclate-moi le cul !
Je la bourre alors très fort. Son conduit anal est doux, chaud, lisse, à défaut d’être mouillé. Un plaisir fabuleux, indescriptible, différent de la pénétration d’une chatte. Je me force à ralentir le rythme pour mieux savourer l’instant. Je regarde brièvement autour de moi. Je crois à peine ce que nous sommes en train de faire : à maintenant plus de 3 heures du matin, nous nous trouvons seuls sur une plage de l’Ile d’Oléron, la lune et les étoiles au-dessus de nous, le bruit des vagues mourantes dans notre dos, et j’encule Maman de toutes mes forces, de toute ma longueur. Nous nous connaissons par cœur. A point nommé, Maman lâche une phrase presque rituelle chez elle :
— Allez, jouis, jouis mon fils, remplis mon cul de ton jus d’homme, de ton bon foutre, donne-moi tout !
Planté au plus profond d’elle, je m’immobilise alors, tandis que Maman émet un petit cri d’extase. Et je me vide alors dans son cul. Je n’exagère pas, je dois bien envoyer une dizaine de puissants jets de semence au plus profond de ses fesses. Le flash de cette jouissance sera absolument dingue, un des plus forts que j’ai eu avec elle.Maman veut garder mon sperme en elle. Nous restons encore un bon moment sur la plage, avant de remettre le peu de vêtements que nous avons, et, sur nos vélos, de regagner notre maison. Inoubliable nuit.A suivre…
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