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Maman : ma mère, ma maîtresse, ma femme

Chapitre 10

Inceste
La dernière séance Au printemps 1999 donc, je tombe sous le charme de Florence, une nouvelle et très jolie collègue. Toute petite, mais super bien faite et fort peu farouche… Malgré moi, je suis frappé d’un coup de foudre. Très vite, Florence se donne à moi, et nous nous entendons très bien au lit. Mais par-dessus tout, je suis amoureux fou de cette petite bonne femme. Malgré ses pleurs et supplications (pardon, pardon !) je quitte Maman pour me mettre sur un coup de tête en ménage avec Florence. Ce qui sera une erreur monumentale. Car si nous nous entendons plus que bien au lit, (nous baisons sans arrêt), pour la vie quotidienne c’est loin d’être le top, nous n’avons que peu de choses en commun. Et je finis par constater que si je l’aime sincèrement, il n’en va pas de même pour elle. Elle va me poignarder en me disant un jour qu’elle me considère comme un bon « copain de plumard », sans plus, et même sur ce point j’apprendrai que la petite pute me trompe avec d’autres collègues… Après deux ans d’une chaotique vie commune, nous nous séparerons en 2001. Mais Maman ne voudra pas que je revienne vivre avec elle, quelque chose s’est brisé. Et en ce qui me concerne, j’admets que j’apprécie la nouvelle liberté que m’offre la solitude, d’autant que je dispose à présent de mon petit « chez moi ».Nos relations mère-fils redeviendront chastes, ce qui ne nous empêchera pas de conserver une immense affection mutuelle, et de nous voir très souvent.
J’étais loin de me douter qu’il y aurait un final à nos « jeux interdits », et quel final !...Un jour d’avril 2007, Maman fête ses 70 ans. En guise de cadeau, je lui offre un déjeuner dans un restaurant parisien très haut de gamme. Lorsque je vais la chercher chez elle, je suis subjugué. Certes, Maman a pris quelques rides et quelques kilos, elle porte maintenant des lunettes, un petit ventre tend sa très jolie robe en soie, mais elle reste plus qu’attirante. Finies bien sûr les jupes trop courtes, sa robe s’arrête aux genoux. Elle porte ce que je crois être un collant noir, et de magnifiques et très hauts escarpins rouges. Je ne manque pas de la complimenter :
— Hé, tu es encore rudement canon ! Et puis, sexy tes collant et talons aiguilles !
Presque vexée, elle s’empresse de rectifier :
— Ah non, ce n’est pas un collant, regarde ! Et de retrousser sa robe jusqu’en haut de ses cuisses, me permettant d’admirer de très jolis bas noirs, avec une lisière en dentelle, et un porte-jarretelles !— J’ai mis cela exprès pour toi, en souvenir du passé !
Son choix vestimentaire me touche énormément, me permettant par la même occasion de profiter de la vue de ses superbes cuisses, tout juste un peu plus « pleines » qu’auparavant. Maman s’est délicatement maquillée, fait une petite queue de cheval, et parfumée. Tout à coup, je retombe amoureux d’elle, sentiment que je croyais évanoui à tout jamais. Et simultanément, je me mets à bander ! J’en ai presque honte, mais que c’est bon !Bras-dessus bras-dessous, nous marchons dans les rues. Le parfum de Maman m’enivre, ses talons aiguilles crissent sensuellement sur les dallages, j’ai une envie d’elle absolument dingue, comme jadis, et pourtant, il convient que je me raisonne. Toutes nos folies relèvent du passé, et nous allons tout de même fêter ses 70 ans !...Dans le grand restaurant, le repas sera délicieux, très fin, il faut dire que je n’ai pas lésiné sur le prix. Sous l’effet de deux flûtes de champagne puis du grand cru de Bordeaux que nous dégustons, les joues de Maman rosissent, ses yeux toujours aussi bleus s’allument, son sourire se fait coquin. Ses confidences à voix basse aussi.
— Tu te souviens, Biarritz 77 ? Nous étions fous, mais comme c’était bon !
Et de me remémorer quelques uns de nos ébats. Je devrais en être ravi, mais en fait je me sens gêné. Car elle est là, assise devant moi, à me rappeler nos souvenirs en commun, avec des détails de plus en plus grivois. Moi qui ai déjà une envie d’elle démesurée, et qui sais que nous ne ferons plus rien… Je me décide à interrompre son récit qui frise maintenant la pornographie :
— Stop Maman ! Ne revenons pas sur le passé. Oui, tout cela fut super, mais… c’est le passé.

Ma remarque l’attriste grandement, et, bien à regret, elle referme le livre de nos « souvenirs interdits aux moins de 18 ans ».En quittant le restaurant elle me dit :
— Si tu venais prendre un petit digestif chez moi ? J’ai une vieille prune dont tu me diras des nouvelles !
J’accepte, notre conversation ayant repris une tournure normale.Une heure plus tard, nous voici confortablement assis dans son canapé. Maman, constatant qu’au restaurant elle a taché sa robe, est partie se changer. Au retour de sa chambre, si elle a conservé ses émoustillants bas noirs et escarpins rouges, elle a passé un chemisier blanc, laissant deviner son soutien-gorge par transparence, et une ancienne minijupe grise, outrageusement courte.
— Voilà une tenue qui te rappellera des souvenirs !
Allons bon, elle recommence, me plaçant de nouveau dans l’embarras. Total respect vu son âge et notre proximité familiale et tout à la fois… une irrésistible envie d’elle, surtout dans cette tenue.
— J’adorais cette petite jupe, mais je m’y sens un peu boudinée. Dame, avec l’âge j’affiche quelques kilos superflus !...
Une fois assise, la jupe ultra courte remonte sur ses belles cuisses, et dévoile sans effort la lisière de ses bas, et même au-dessus. Et ses talons aiguilles rouges, et son chemisier diaphane, et, et… non ce n’est pas possible, je vais craquer. Alors que nous savourons cette fameuse vieille prune, Maman s’exprime avec douceur.
— Mon chéri, merci beaucoup pour cet excellent repas et pour ta compagnie, mais je pense avoir mérité un peu plus que cela.— Tu… tu attendais un autre cadeau ?— Je ne l’attendais pas, je l’attends.— Mais que désires-tu d’autre, que je me ferai un plaisir de t’offrir ?— Toi !!...— Moi ? Qu’entends-tu par là ?— Tu m’as très bien comprise, fait-elle en dénouant ma cravate, puis en attaquant les boutons de ma chemise.— Maman, que fais-tu ? Tout cela est fini, à nos âges. Tu en as 70 et moi 50.— Justement ! Il nous faut encore en profiter un peu, surtout moi !... La vie passe si vite. Et puis cesse donc d’être hypocrite. Depuis que tu es arrivé ce matin tu n’as cessé de me dévorer des yeux, je dirais même plus : de me déshabiller du regard. Ose prétendre le contraire !
Vaincu, terrassé par ses affirmations ô combien exactes, je signe ma « reddition sans condition ». Elle me déshabille complètement, embrassant chaque partie de mon corps qu’elle vient de dévoiler. Encore vêtue, elle entreprend de me masturber, tout en me roulant une très longue pelle. Puis elle se penche sur moi, et engloutit ma bite, dure comme du béton. Elle n’a rien perdu de son savoir faire de bonne suceuse, elle me dévore jusqu’aux couilles, émettant ses habituels et très cochons bruits mouillés. Je dois freiner son ardeur pour ne pas venir trop vite.
— A toi maintenant, déshabille-moi. Fous-moi à poil, et baise-moi, baise-moi à mort. Dans la ou les positions que tu voudras, dans le trou que tu préfères, voire… tous les trous. Encore une fois je veux être ta femme, ta chose, ta salope. Fais selon tes envies. Mais souviens-toi et surtout profite bien : ce sera l’ultime fois entre nous. Il faut savoir mettre un terme, même aux meilleures choses. Et il n’y aura pas de meilleur jour que cette date symbolique !
Ses vœux exprimés de manière très crue, je sais que j’ai donc une dernière fois carte blanche. Alors que je n’ai qu’une envie, celle de me jeter sur elle, de la baiser, la défoncer, l’exploser comme un malade, je me dois de faire durer le plaisir. Me forçant à la lenteur, je lui ôte son chemisier, elle m’apparaît en adorable soutien-gorge fleuri, un soutif toujours aussi rempli ! Alors que je m’apprête à le dégrafer, elle émet une réserve :
— Tu sais, mes seins ne sont plus tout à fait ceux que tu as connus…
Passant outre la remarque, je retire l’affriolante petite pièce de lingerie. Bien sûr, la poitrine maternelle est un peu tombante à présent, mais elle n’a rien perdu de son volume, et je retrouve avec plaisir les larges auréoles et les petits tétons fièrement dressés. Je la rassure bien vite.
— Oui, tes seins tombent un peu, mais ils restent magnifiques, je les aime toujours autant, fais-je en les soupesant de mes mains puis en les couvrant de baisers et de léchouilles bien baveuses, à les rendre luisants en totalité.
Je m’attaque ensuite à la minijupe, assurément trop courte et exiguë pour une dame de son âge. Ce qui nous fait rire tous deux, car je peine à lui faire franchir les hanches. Maman possède à présent un bon petit ventre, mais qui n’a rien de laid. Au contraire, je le trouve touchant. Le ventre d’une femme qui a su profiter de la vie, du sexe, de la bonne chère, sans excès toutefois. Constatant que mes yeux fixent le fameux petit ventre, elle s’excuse presque :
— Je sais… il n’est plus aussi plat qu’avant. Mais, est ce que je te plais quand même ?— Maman adorée, le « quand même » est erroné. Tu me plais, c’est tout. Tu me plais encore, tu me plais toujours ! Et j’ai de nouveau très très très envie de toi.
Ma confession la ravit au point qu’elle se penche, et m’embrasse passionnément à pleine bouche. Je descends ensuite le petit string le long de ses jambes, avant de le lui retirer, et le porter à mes narines.
— Tu es toujours aussi cochon ! Me réprimande-t-elle gentiment.— Et toi tu sens toujours aussi bon. J’ai couché avec quelques autres femmes, mais je reconnaîtrais ton odeur entre mille.
Maman souhaite que je lui enlève le reste, mais je décide de la garder en bas noirs, escarpins rouges, porte-jarretelles, et… avec ses lunettes. Je la veux telle qu’elle est maintenant, en 2007. Maman avance ses fesses au bord du canapé, ouvre d’elle-même ses cuisses en grand, et je me jette sur sa minette d’amour, déjà luisante de ses jus. Je la lèche longuement, explorant son con, le mordillant, buvant la liqueur de femme qui en sort en un filet presque continu.En même temps, de mes mains, je pelote ses cuisses bien pleines, érotiquement gainées de soie noire. Les yeux mi-clos, Maman n’émet que des onomatopées :
— Oui, ah, oh, hummmm, oh ouiiiiiii !... Un orgasme violent la fauche, et elle m’asperge le visage d’un puissant jet de mouille.
Elle se lève, me prend par la main, et m’entraîne vers sa chambre. A peine sur le lit, elle veut accélérer les choses.
— Viens en moi, vite, mets-moi ta bite ! J’en ai trop envie !
En position de missionnaire, je me place au-dessus d’elle. Elle empoigne ma queue, et la place à l’orée de son vagin. Un ordre bref et précis claque, un ordre bien plaisant à exécuter !
— Vas-y, rentre ! Baise-moi !
D’une seule virulente poussée, me voilà en elle, en entier. Je retrouve avec délices la chaleur, l’onctuosité de sa chatte. Huit ans que je ne m’y suis pas introduit !... Je rame en elle, qui me comprime fermement entre ses cuisses. Elle ponctue notre acte de propos salaces :
— Ah comme elle est bonne ta queue ! Je n’en n’avais pas eu en moi depuis si longtemps !— Quoi ? Tu n’as couché avec personne depuis notre séparation ?— Avec personne. Seuls mes godes et vibros passent régulièrement par là, ainsi que dans mon cul. Mais ma vraie dernière bite, c’est la tienne. Et c’est si bon de la sentir à nouveau ! Allez, défonce-moi, ne te retiens plus, lâche-toi, baise-moi, baise-moi, baise-moi !
A ces mots, je me déchaîne, et la défonce littéralement. Je me lâche sans restriction :
— Tu es trop belle, trop bonne, je vais te déchirer, t’éventrer !— Hé, doucement, je n’ai pas envie de finir à l’hôpital ! s’esclaffe-t-elle/
Ses seins s’agitent dans tous les sens, son ventre replet ondule, elle croise ses chevilles dans mon dos afin de mieux me retenir. Et j’explose déjà en elle, retrouvant mes jouissances d’antan, une bonne douzaine de giclées de foutre dans la cramouille maternelle ! Maman pousse un hurlement à ameuter l’immeuble. Quelle extase !J’ai malgré tout conscience d’avoir joui trop vite. D’autant plus dommage que c’est la dernière entre nous. Maman me rassure de suite.
— Mon amour, c’est notre dernière séance d’accord, mais elle peut comporter plusieurs parties avec des entractes, non ?
C’est ainsi que nous allons remettre ça une autre fois dans l’après-midi. A présent je veux ma Valérie d’amour au naturel, lui retirant ses chaussures, ses bas, son porte-jarretelles et… ses lunettes. Je la retrouve nue, belle, merveilleuse, même si son corps n’offre plus la même perfection. Ma Valérie adorée sera léchée de la tête aux pieds (vieux souvenir !), puis baisée, enculée, dans de multiples positions, mais à présent sans hâte, dans une totale sérénité. Je garde particulièrement en mémoire notre dernière sodomie. Maman demeure couchée sur le flanc gauche, j’infiltre une jambe entre les siennes, je me colle contre son dos. Avec une infinie lenteur, j’entre et sors de ses fesses, comme un film au ralenti. Je sens son rectum qui m’aspire à chaque entrée, me rejette à chaque sortie. Ainsi, cette sodomie se prolongera très longuement. Pas de douleur pour ma chérie, et pas de risque de débander ni de jouir trop vite pour moi. Je me trouve si bien dans son cul, que je ne me presse aucunement pour accélérer le mouvement. Je lui murmure à l’oreille :
— Oh Maman, comme c’est bon de t’enculer ! Comme cela va me manquer !
Elle me commande alors de ne plus bouger. Enculée jusqu’à la garde, ses globes charnus écrasés contre mon ventre, elle se met à comprimer puis relâcher son anus autour de mon sexe, le comprimer, le relâcher, un grand nombre de fois. Quelle merveilleuse sensation ! Si ma queue reste figée dans son conduit anal, mon bras droit passe par-dessus Maman, je ne cesse de palper ses gros seins, honorant en même temps son cou et son épaule droite d’une foule de petits bisous mouillés. Emmanché au maximum dans son cul, je ne bouge pas d’un seul millimètre. Je me retire quelques instants, et admire le petit anus complètement dilaté, trou béant qui très vite se referme pudiquement. Cette fois sans le moindre effort, je m’enfonce à nouveau dans les entrailles brûlantes de Maman. Et je vais et viens encore et encore dans ce beau cul d’amour. Maman n’émet en continu que de faibles « ouiiii, ouiiii… » Je m’active avec plus de vigueur, ses fesses claquent contre moi. Si les possibilités physiques le permettaient, je resterais volontiers des heures et des heures dans les fesses adorées, mais la nature commande.
Je fatigue, Maman ne gémit plus de plaisir, peut-être en a-t-elle assez, et elle n’ose me le dire. Alors, arrive la conclusion. Je me plante en elle aussi profondément que possible, Totalement immobile, je laisse l’explosion arriver, dans un processus que rien désormais ne saurait arrêter. Et je me vide dans ses intestins en saccades, des spasmes peu nombreux, mais délicieusement prolongés. Je perçois les frémissements de son corps contre moi, nous n’échangeons pas un mot. A quoi bon parler ? L’heure n’est plus aux échanges verbaux grossiers, et notre tendresse est si naturelle que nous n’avons pas à la justifier par des mots, si doux soient-ils.Nous allons nous endormir ainsi, mon membre encore en elle, perdant naturellement de sa rigidité.En soirée, va se dérouler l’épilogue de notre inceste. Si celui-ci ne comportera aucune pénétration vaginale ni anale, nos mains et nous bouches combleront sans problème cette absence. Maman me suce d’abord voracement, réussissant à me redonner de la raideur. Nous nous gratifions de caresses, léchages, feuilles de rose réciproques, baisers langoureux, mots d’amour. Nos dernières émissions liquides peinent à venir mais je me délecte de boire encore un peu de sa mouille, et elle de déglutir deux petites giclées de sperme, les seules que je parviens à cracher.
Nous finissons la nuit venue, par nous endormir à nouveau, épuisés, tendrement enlacés. Inoubliable journée, Maman a tenu sa promesse, notre ultime relation a constitué une apothéose.J’aurai du mal à me contenter de ce final, si formidable fut-il. A plusieurs reprises, dans les semaines qui suivront, je tenterai, gentiment, de persuader Maman de nous donner à nouveau du plaisir tous les deux.Voilà qu’un soir je l’allume au téléphone, lui rappelant en termes osés nos ébats antérieurs. Sa respiration se fait sifflante, elle reste silencieuse au bout du fil. Puis :
— Arrête, arrête Fabien, il ne faut plus, je… je…— Pourquoi arrêter Maman chérie ? Sais-tu ce que je fais en ce moment ? Je me masturbe tout en te téléphonant, hummmm c’est bon. Et toi ?— Je suis allongée sur le canapé. J’ai… j’ai retroussé ma chemise de nuit, et je me caresse. Mais je ne devrais pas !...
Nous allons poursuivre nos « ébats téléphoniques » quelques minutes durant, et nous jouirons chacun de notre côté ! Ce sera super, mais Maman considérera cet acte nouveau comme une « faiblesse » de sa part, et nous ne recommencerons jamais une telle « galipette » à distance.Curieusement, notre éloignement sexuel se fera progressivement. Après notre dernière et très chaude séance racontée plus avant, nous aurons donc connu ce bref « amour téléphonique ». Ensuite, nous nous avouerons mutuellement nous masturber chacun de notre côté en pensant l’un à l’autre.Et un dimanche midi où je suis invité à déjeuner chez elle, elle me donnera le fin mot de son refus définitif de faire l’amour avec moi, de quelque manière que ce soit.
— D’abord, je ne veux pas que tu aies l’impression de faire l’amour à une « vieille ». Je ne suis pas encore trop mal conservée, mais mon physique ne pourra que se dégrader peu à peu. Ne pas faire les actes de « trop ». Tu sais, comme ces vieux artistes qui furent de grandes stars et qui ne veulent pas raccrocher, au point de fournir maintenant une prestation pitoyable… Et puis, tu l’ignores, mais je souffre à présent d’importants problèmes cardio-vasculaires. Alors, on m’a bien prévenue : pas d’efforts physiques prolongés, pas d’émotions fortes ! Et tu me connais, quand je baise, je me donne à fond ! Mais je tiens aussi à la vie…
Ainsi s’achèvera notre aventure sur le plan sexuel. Concernant l’affectif, notre amour restera indéfectible jusqu’au bout.C’est précisément d’une crise cardiaque qu’en août 2016 Maman sera emportée, à l’âge de 79 ans, ce qui, à notre époque, est relativement jeune. J’ai d’abord été inconsolable, et puis le temps fera son œuvre, petit à petit. Mais, je ne veux pas finir sur cette douloureuse conclusion, et préfère me remémorer nos longues et merveilleuses années de bonheur incestueux, bonheur où l’amour a toujours été présent. Je m’octroie régulièrement des plaisirs solitaires en repensant à ces innombrables heures très chaudes passées ensembles.Maman a été la femme de ma vie, et elle le restera. A tout jamais.
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