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La maman de Michel

Chapitre 11

Orgie / Partouze
’Jour d’hiver’ (2ème partie et fin)
Bonjour je m’appelle Michel et j’ai 19 ans. Vous avez pu faire connaissance dans les épisodes précédents. Nous sommes donc bloqués par la neige chez Phil.
Avec tout ça, moi j’ai toujours une trique d’enfer, c’est trop douleureux. Maman pose une main derrière ma nuque et approche son visage du mien, nos lèvres se collent, elle introduit sa langue dans ma bouche, et je la lui aspire ; je sens une douce tièdeur sur ma bite, j’ouvre un oeil, Clothilde qui a également enlevé son chemisier et son soutien-gorge est à quatre pattes entre mes cuisses et me suce, je malaxe les nichons de maman fébrilement. Clothilde glisse une main sous la jupe de maman qui écarte les cuisses et se laisse doigter ; ça l’excite, car tout de suite elle me bouffe la bouche plus violemment. Clothilde suce bien, elle aspire et en même temps tourne sa langue autour de mon gland en laissant beaucoup de salive, ça glisse bien, c’est chaud, je ne vais pas tarder à envoyer la sauce. Phil, lui s’est agenouillé entre les cuisses de maman, juste à côté de sa mère ; il remonte la jupe de maman jusqu’à la ceinture, elle la maintient en haut ; il retire par le poignet lentement la main de sa mère qui doigtait maman pour la poser sur sa queue bandante, Clothilde le branle lentement toujours en me suçant ; Phil lui pelote ses nichons qui pendent dans le vide ; puis il s’occupe de maman, il saisit sa culotte par l’élastique, aux hanches et fait descendre lentement, merde ! le salaud, d’habitude c’est un privilège qui m’est réservé, l’un de mes grands fantasmes. Une fois sa culotte retirée maman écarte les cuisses et se laisse lécher par Phil qui passe la langue le long de la fente, puis sur le clito. Maman cesse de m’embrasser et se donne à cette langue en se palpant les nichons toute seule, j’en peux plus je gicle dans la bouche de Clothilde.
moi : - Ahhhhhhhh Clothilde je viens ! Je viens ! Je gicle, c’est trop bon ! Ahhhhhhhhh !
Clothuilde me garde en bouche, je lui envoie quatre giclées puis m’apaise. Elle me branle et me presse les couilles pour tout extraire, elle sait y faire, la garce ! Je ressens une forte douleur mélangé au plaisir c’est formidable. Clothilde me lèche toute la bite jusqu’aux bourses, elle a la bouche pleine de mon foutre, elle fait très salope ; elle d’habitude si mondaine, c’est maintenant une belle salope. Maman se penche immédiatement vers ma bite et lèche le peu de jus qui reste puis roule des patins à Clothilde en récupérant mon foutre sur sa langue.
Phil : - Alors ça y est mon salaud, t’as joui dans la bouche de ma mère, t’es content ! moi : - Hummmm ! quelle suceuse ! heuuuu , excusez moi Clothilde. Clothilde : - C’était très bon de te sucer à fond, Michel, tu peux parler librement, j’aime bien ça.
Merde, j’ai jamais entendu la mère de Phil parler comme ça ; là je suis très surpris, jamais je ne l’aurai imaginé.
maman : - Bon oui c’est bien tout ça mais moi je ne suis la seule à ne pas avoir joui ici ! Clothilde : - Je vais m’occuper de toi ma chérie.
Maman toujours assise dans le canapé, la jupe troussée, sans culotte, écarte les cuisses et maintenant c’est Clothilde qui se met à lui brouter la chatte. Clothilde a aussi les nichons à l’air, en jupe , sans culotte. Elle est maintenant à quatre pattes entre les cuisses de maman qui se laisse brouter, la langue de Clothilde lui lèche la fente sur toute la longueur, puis maman avec les deux index écarte les lèvres de sa chatte dégageant son clito, Clothilde se jette dessus et l’aspire tout en jouant de la langue ; maman se tortille de plaisir elle va s’envoyer en l’air. Avec Phil on n’a pas débandé, on regarde nos mères se gouiner. Clothilde est très excitante car elle est à 4 pattes entre les cuisses de maman, elle ne porte plus sa culotte, il y a juste sa jupe qui couvre un peu ses fesses. Tout à coup maman pousse un grand râle et jouit sur la bouche de Clothilde, elle se déhanche pour bien frotter sa fente sur le visage de Clothilde, elle prend un pied magnifique, et s’affale dans le divan, haletante. Elle est essouflée et transpire, ses nichons se balancent au rythme de sa respiration.
maman : - Oh là là Chlo quelle jouissance ! Quel pied tu m’as fait prendre ma chérie ! Chlotilde : - Je suis contente que tu ais joui ma chérie, ça m’excite beaucoup, je me découvre lesbienne maintenant. Phil : - Allez , on va vous servir un verre avec Mich’, bougez pas.
Phil va dans le bar du salon chercher du porto et moi dans la cuisine pour les verres. Chlotilde a pris place à côté de maman dans le canapé, les deux femmes ont enlevé le seul vêtement qu’il leur restait, leur jupe ; elles sont complétement nues, comme nous. Je leur sers les boissons, Clothilde a quand même les seins beaucoup moins gros que maman et sa touffe est bien mieux taillée.
maman : - A notre santé à tous ! Bon dis-mois Clo, maintenant que tu a fais jouir ton fils dans ta bouche, il doit avoir envie d’autre chose, non ? Pas vrai Phil ? Phil : - Ah oui c’est sûr ! maman : - D’ailleurs ça se voit, regarde comme il est dur. Chlotilde : - Mon dieu ! Quel joli sexe, avec cette tête énorme.
Clothilde est toujours à jurer ses grands dieux, et à côté de ça, elle fait la salope en partouzant avec son fils et sa meilleure amie et en suçant le copain de son fils chéri. Elle se laisse glisser le lond du dossier du canapé pour faire poser le dos où normalement on a les fesses et avance le bassin en écartant les cuisses. Phil, les yeux fous d’excitation, s’avance bite bandée ; sa mère prend son sexe dans la main droite et dirige l’énorme gland sur la fente, grand moment de la sexualité de Phil, il s’apprête à baiser sa mère, comme dans ses rêves les plus délirants. Les deux amants se regardent droit dans les yeux, Phil pose les mains sur les cuisses ouvertes de sa mère et pousse lentement son bassin en avant. Je me place juste à côté de mon copain, pour ne rien perdre de cette pénétration ; Chlotilde ferme les yeux, se mord la lèvre inférieure et s’offre à son fils. Phil s’enfonce lentement dans cette chatte béante.

Phil : - Ahhhhhh ! M’man ça y est, j’y suis. Chlotilde : - Hummmm, oui je te sens bien, c’est bon.
Chlotilde pose ses mains sur celles de Phil, toujours sur ses cuisses et se laisse enfiler. Phil commence par des mouvement lents, sa bite est luisante de mouille et il commence à accélérer puis il agrippe les hanches de sa mère et la bourre violemment. Maman pose un genou sur l’assise du divan, et prend appui sur sa jambe au sol ; elle est en levrette pratiquement, penchée sur le corps remuant de son amie. Maman pose la main gauche sur la touffe de Clothile et avec son médius cherche le clito, qu’elle trouve tout de suite, elle branle Clothilde tout en suçant maintenant ses têtons, remontant vers le visage de son amie à qui elle roule des patins, langue grande sortie. La bouche de maman va de la bouche de Clothilde à ses seins sans répit ; dans cette position maman a les fesses offertes et j’en profite. Je me place derrière elle et lui enfonce ma bite bien dure dans la chatte, je la tiens par les hanches et commence à la ramoner, je veux lui peloter les nichons qui pendent sous elles mais ce salaud de Phil les palpe déjà, ceux de sa mère étant occupés. Nous baisons maintenant chacun notre mère, dans une super partouze. Avec Phil on en avait discuté et on ne pensait pas possible que cela se fasse, qu’on puisse baiser nos mères dans une séance comme celle-ci. Clothilde n’y tient plus et arrive à l’orgasme, baisée par son fils et branlée par maman ; Phil, dans un cri, jouit également dans la chatte de sa mère.
Maman s’affale sur le corps de Clothilde, la tête calée contre l’accoudoir, elle relève les fesses, son bassin est au niveau de la poitrine de Clothilde.
maman : - Mon petit trou chéri, vas-y dans mon petit trou. moi : - Aaaah oui m’man tout de suite, tu me veux dans ton cul hein ? maman : - Oui chéri, encule maman.
Phil s’est retiré de la chatte de sa mère qui déborde de son jus et nous regarde se tenant la bite d’une main en se caressant. Chlotilde reste pour l’instant passive, se remettant de son violent orgasme, elle a le cul de maman sous les yeux et j’en approche ma bite hyper bandante avec le gland rouge de plaisir. Phil réagit et s’approche, il pose une main sur chaque fesse de maman et les écarte, la pastille foncée est bien dégagée et prête.
Chlotilde : - Mon dieu ! Maryse tu ne vas tout de même pas... maman : - Si ma chérie, je vais me faire enculer par mon fils chéri, j’en ai trop envie.
Phil m’avait dit avoir déjà entendu sa mère refuser cela à son père ; non seulement c’est une bourgeoise coincée mais elle ne comprend rien au cul. Elle est excitée quand même et caresse le dos de maman à deux mains, une sorte de massage ; elle ne quitte pas ma bite des yeux, attendant la pénétration anale qu’elle-même n’apprécie pas ; avec maman, on va lui prouver que c’est très bon. Je pose mon gland sur l’oeillet et commence à m’y enfoncer lentement, maman apprécie, elle gémit tandis que je m’enfonce de plus en plus en elle.
moi : - Ca y est m’man j’y suis complétement. maman : - Ouiiiiii je te sens bien mon chéri, bourre-moi.
En me tenant à ses hanches je commence un lent mouvement dans le cul de maman, une nouvelle fois je réalise mon grand fantasme : enculer maman. Phil se place au bout du canapé au niveau de la tête de maman et lui tend sa bite toute raide, maman ne se pose pas de question et la prend en bouche pour la sucer tandis que je ramone maintenant le cul de ma mère en accélérant. Je regarde ma bite aller et venir dans son oeillet, soudain je sens une caresse sur mes couilles, c’est Clholtilde qui me les masse. Puis j’entends maman qui réclame : continue continue ! C’est Chlotilde qui lui fourre 2 doigts dans la chatte ; je me retire complétement pour voir maman se faire branler et aussi pour admirer son trou du cul bien ouvert, je me réintroduit dedans. Phil a a agrippé les cheveux de maman et imprime la cadence de la pipe, j’accèlère quant à moi dans son cul. Je jette un coup d’oeil sur la gauche du corps de maman et m’aperçois que Clothilde non seulement branle maman mais aussi s’est enfoncée 2 doigts dans la chatte et ils nagent dans le foutre de son fils qui vient de lui jouir dedans. Je parviens rapidement à l’orgasme et lache tout dans le cul de maman, je lui envoie 4 bonnes giclées. Après quelques instants de repos, je me retire et essuie l’anus suintant de foutre avec un t-shirt qui traine au sol. Une petite conversation a lieu avec Clothilde qui ne veut pas se faire prendre le petit trou, maman va la convaincre, elle est merveilleuse ma maman.
maman : - Je vais bien te préparer ma chérie, laisse-moi faire. Phil : Tu peux lui faire confiance m’man, elle s’y connaît. maman : - Aidez-moi les enfants, tenez-la bien écartée , prenez-la par les chevilles.
Je m’occupe de la jambe droite et Phil de la gauche, on prend Clothilde ainsi et on lui fait relever les jambes au maximum en écartant largement ; on l’oblige a avancer le bassin hors du divan, les fesses dans le vide. Elle se laisse faire passivement, nous offre son entrejambe et sa pastille à admirer ; on ne s’en prive pas. Maman se met à genoux entre les cuisses grandes écartées de Clothilde, mets les pouces de chaque côté de l’oeillet de Chlotilde, écarte et y enfonce sa langue en pointe. Elle fait ainsi quelques va et vient, puis avec la langue à plat laisse une traînée de salive sur l’anus de son amie, et y remet un coup de langue en pointe. Maman ensuite dirige son index sur le petit trou mouillé et l’enfonce lentement, et, commence un lent mouvement , avec Phil on ne rate pas une miette de ce spectacle, maintenant toujours fermement les chevilles de la pénétrée.
maman : - Tu aimes ma chérie ?
Clothilde répond par un ’hmmm’, fermant les yeux et se mordant la lèvre inférieure. Maman insinue un second doigt dans le cul de sa copine et continue un lent va et vient, elle a les doigts fins, les ongles bien taillés et propres, très soignés, ; elle a enlevé ses bagues pour ne pas blesser son amie. Clothilde a gardé beuacoup de manières et son volcabulaire s’en ressent ; quoiqu’ elle commence à se dévergonder, mais il a fallu des mois d’efforts à maman pour la convaincre. Si nous réussissons l’amour anal avec Clothilde, je crois que l’on pourra envisager bien des plaisirs futurs. Mais revenons à l’action.
maman : - Bien ma chérie, je t’ai un peu dilaté le petit trou, mets toi en levrette maintenant.
Sans répondre Clothilde s’exécute et s’accoude sur le dossier du divan, les genoux sur l’assise, fesses offertes.
Clothilde : - Tu ne crois pas que cela va me faire mal, il a quand même un ..... Maman : - Oh là là , Clothilde, tu nous fatigues tu sais. Mais parle bon sang ! exprime-toi, lâche-toi un peu, tu n’es pas dans un dîner mondain ici. Clothilde : - Mais... euh.... maman : : - Oui il a un gros gland, ton fils et il va te sodomiser, t’enculer comme il dit. Tu verras que ça va bien se passer, je vais bien t’y préparer. Moi aussi je l’ai déjà pris dans le cul ; Je peux même te dire que j’ai pris mon pied. Clothilde : - Mon dieu mais.... Phil : - Bon m’man arrête maintenant, tu nous emmerdes ! Arrête ton cinéma ! Fais ce que te dit Maryse un point c’est tout !
La tension monte un peu, Phil s’énerve et il est pressé d’enculer sa maman chérie.
maman : - Suce-les, ça te calmera.
On ne se fait pas dire la chose deux fois, on vient se placer près du visage de Clothilde qui prend nos bites en main et commence à nous branler lentement. Elle commence par prendre Phil en bouche et lui taille une bonne pipe puis elle alterne avec ma bite qu’elle suce pareillement, tout le monde ne pense plus qu’au plaisir, la tension nerveuse retombe. Maman continue à dilater l’anus de Clothilde avec d’abord la langue puis les doigts en attendant la pénétration de Phil.
maman : - Vas-y Phil à toi !
Je reste à ma place et continue à me faire pomper par cette dame du grand monde, je la tiens par les cheveux, Clothilde est écartelée , prête à l’emploi sur le divan, fesses offertes ; Phil n’a plus qu’à s’avancer et à y mettre sa queue. Il ne s’encombre pas de termes mondains et parle un language courant, pas comme sa bourgeoise de mère.
Phil : - T’es prête m’man ? Je vais réaliser mon rêve, je vais t’enculer. Clothilde : - Mon Dieu Phil, tu te rends compte que je refuse cela même à ton père. Phil : - Mais moi c’est pas pareil hein ! Je vais bien t’enculer ma cochonne de mère !
A peine Phil a - t- il posé son gland sur la rosette de sa mère qu’elle se met à hurler, je la prends par les cheveux et pose ma main sur sa bouche pour étouffer ce cri, j’en retire ma bite de peur qu’elle ne me la morde instinctivement.
moi : - Vas-y Phil, elle peut gueuler maintenant Phil : - Depuis que j’en rêve, je vais la sodomiser, comme elle dit !
Clothilde gueule toujours, Phil lui enfonce sa bite dans le cul assez brutalement, son énorme gland est passé en force, Clothilde a poussé un nouveau hurlement, heureusement encore une fois atténué par ma main que j’ai laissé sur sa bouche. Phil continue et enfonce sa bite entièrement dans le cul de sa mère, il commence à la limer en s’agrippant à ses hanches ; il accélère le mouvement, très excité, il défonce l’anus de sa mère sans se poser de question. Maman ne reste pas inactive et s’assoit sur le canapé, tend le bras sous le corps de Clothilde et lui met deux doigts dans la chatte, tandis qu’elle s’en met elle-même deux autres dans sa propre chatte. Elle branle son amie en se faisant plaisir. Je demande à Clothilde si elle va s’arrêter de crier, elle ferme les yeux et me fait signe que oui, de la tête, je retite donc ma main.
Phil : - Je t’encule m’man ! je t’encule ouiiii ! Clothilde : - Hummmmm, encore ! Encore mon chéri !
Elle n’aimait pas ça, mais elle a vite changé d’avis, elle garde les yeux clos pour mieux apprécier cette bite qui lui lime l’anus.
Phil : - Je vais jouir maman, je vais te jouir dans le cul ! Clothilde : - Ouiiiiiiii je vais jouir aussi mon chéri, avec toi ! Phil : - Alors, t’aimes ça dans ton cul , hein ? Dis-moi que tu aimes te faire enculer, maman chérie !! Clothilde : - Hum, oui, j’aime ça ouiiiiii, encore ! J’aime me faire enculer , ouiiiiiiiii ! Phil : - Dis-le moi que t’es une salope et que tu aimes ma bite dans ton cul . Clothilde : - Oui mon chéri, je suis une salope, j’aime ta bite dans mon cul .
Enfin elle se décoince, on va y arriver, il en aura fallu du temps. A ce moment Phil éjacule et lache tout dans le cul de sa mère dans un râle très bruyant, suivi immédiatemment de l’orgasme de celle-ci qui en appelle encore une fois à dieu. Avec maman on les laisse quelques instants profiter du moment, puis Phil se retire laissant le cul de sa mère complétement dilaté, plein de foutre dégoulinant. Clothilde reconnait que c’est très bon, que c’est ’un pied merveilleux’ et remercie maman. Ensuite nous allons tous faire un brin de toilette (pas ensemble non, ce serait trop beau) et nous nous retrouvons pour le repas du soir. Demain sera un autre jour ; il devrait cesser de neiger et maman veut repartir à la maison ; la nuit nous portera conseil.
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(De nouvelles aventures ? stop/encore ?)
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