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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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La maman de Michel

Chapitre 12

Orgie / Partouze
’Voisinage’
Bonjour je m’appelle Michel et j’ai 19 ans. Vous avez pu faire connaissance dans les épisodes précédents.Nous sommes fin septembre, ma mère me demande en ce jour de semaine où je ne travaille pas si je ne veux pas aller aider les ’ H......’ , qui habitent trois villas plus haut ; monsieur Maurice doit rentrer des jarres dans sa serre mais avec ses 74 ans c’est trop difficile pour lui tout seul. Mon copain Phil travaille aujourd’hui et je n’ai rien de prévu. Bien sûr j’accepte volontiers, sachant qu’il me donnera un petit billet, je l’ai déjà aidé plusieurs fois pour le jardinage et bricolage, il est généreux. C’est son épouse Florence qui m’accueille, elle doit avoir ses 65-68ans , mais reste quand même bien conservée, un peu enveloppée peut-être mais certainement pas grosse ; elle va parfois à la gym avec ma mère. Elle est habillée d’une jolie robe bleue qui arrive au dessus des genoux, avec un décolleté discret en ’V’, il fait encore doux, on ne s’est pas encore habillés ’en hiver’.
Florence : - Bonjour Michel, Maurice est dans la serre.moi : - Bonjour madame Florence, j’y vais tout de suite.
La propriété est aussi grande que la notre, on vit dans une zone pavillonnaire résidentielle, comme je l’ai déjà dit, mon père gère une société avec celui de Phil, on peut dire qu’on est assez ’aisés’. Bref, je rejoins monsieur Maurice qui m’accueille chaleureusement. C’est un ancien directeur d’entreprise en retraite, il fait beaucoup plus jeune que son âge et se porte bien.
Maurice : - Bonjour Michel, ça va ? C’est gentil à toi de venir m’aider.moi : - Oh ! C’est bien naturel monsieur Maurice.Maurice : - Va chercher le chariot stp, on chargera les jarrres dessus ensuite on le mettra dans la serre au fond, là-bas, il leur faut une température constante.
On procéde au chargement et au rangement des jarres qui contiennent des arbres exotiques. Sa serre est magnifique, immense, climatisée, il y a des tuyaux au plafond pour l’arrosage et l’humidification automatique, il s’y connaît la-dedans le vieux, et il y en a pour beaucoup d’argent. On termine en une heure, il est 11 heures AM..
Maurice : - Je dois assister à une réunion du club d’echecs. Tu peux changer ce tuyau montant là stp, tu vois, il y a une fuite, ici. Le tuyau neuf est dans le garagemoi : - Pas de problème monsieur Maurice, je m’en occupe.
J’ai déjà effectué des travaux chez eux, il me fait confiance. Ce n’est qu’un tuyau en plastique rigide à changer, avec deux raccords à visser, simple comme travail. Maurice va prendre une douche, je dévisse le tuyau défectueux, quand je sors de la serre Maurice s’en va avec la Mercedes, et, juste devant le garage, où je dois prendre le tuyau neuf, sa femme nettoie l’intérieur de leur deuxième voiture, une superbe Volvo intérieur cuir. Je m’approche sans faire de bruit, c’est facile, je passe dans la pelouse et je m’arrête a environ 10 mètres. Florence a posé un genou sur le siège conducteur et l’autre jambe est dehors en appui sur le sol, elle passe le chiffon sur le tableau de bord, sa robe remonte car elle se penche en avant, je m’accroupis pour regarder dessous, ses cuisses sont blanches et la culotte, noire : je reste ainsi environ deux minutes puis continue vers le garage ou je récupère le matos et retourne dans la serre pour faire le travail. Je remplace le morceau qui fuyait, il fait très chaud et humide, tout est centralisé dans un boîtier electronique qui gère suivant les endroits (plantes africaines, tropicales etc...) l’humidité et la température des secteurs, c’est le ’must’ de la serre privée, on voit qu’il a du fric le Maurice. Je m’étais vêtu de ma combi de travail zippée, mais il fait vraiment trop chaud, je l’enlève et reste en t-shirt caleçon. Je visite l’endroit, c’est magnifique ; j’en profite pour vérifier toute la tuyauterie aérienne et les diffuseurs, tout fonctionne normalement. Tout à coup j’entends crier Florence :
— Michel ! Michel ! Elle entre dans la serre. Je vais vite à sa rencontre.moi : - Oui ?Florence : - Une abeille m’a piquée, la boîte à pharmacie est là, près de la porte du local d’outillage, trouve-moi quelquechose..

J’y vais et prends un produit apaisant prévu pour les piqûres d’insectes et du coton ainsi qu’une pince à épiler, il a tout pensé le vieux. Florence s’est assise sur le banc qui fait face à une jolie fontaine dans le secteur ’plantes rares’ ( je le sais parce que c’est indiqué ; entre nous, je n’y connais rien). Au moment où je reviens vers elle, elle pose le pied droit sur le rebord de la fontaine (à environ 80 cms de haut) en relevant sa robe jusqu’en haut, et laissant l’autre pied au sol ; elle est cuisses grandes ouvertes, sa culotte noire rentrant un peu dans la fente, je devine qu’elle a de la touffe, ça fait une petite bosse au niveau du pubis ; elle me désigne l’endroit de la piqûre, derrière la cuisse droite. Ses jambes sont blanches, le bronzage estival a disparu.
Florence : - C’est là Michel, derrière, ici, tu vois ?
Tu parles que je vois ! Je ne vois que son entrejambes ouverte, je trique dans mon caleçon, ma bite me fait mal, c’est trop serré et je ne peux le cacher, elle a du s’en apercevoir, en femme d’expérience qu’elle est. Je m’accroupis entre ses jambes, j’ai pratiquement le nez sur sa culotte, j’essaie de me concentrer et vois le point rouge de la piqûre.
Florence : Tu y es là, applique le désinfectant.
Sans aucune pudeur elle tient sa robe troussée me regardant dans les yeux. J’applique le produit, un spray, je n’ose pas trop poser la main .
Florence : - Va chercher la pommade relaxante stp.
Je me remets en place et cette fois j’applique lentement la pommade sur la cuisse en la caressant des deux mains. Accroupi j’ai mal aux cuisses, je m’assieds donc sir le sol et continue. Me voilà en train de masser la cuisse d’une dame très très mûre, quelques 10 années de plus que ma mère, j’ai très mal à la bite maintenant. Je remonte mes mains très haut sur la cuisse en massant l’intérieur, ma main droite grande ouverte touche par la ’membrane index-pouce’, la culotte au niveau de l’aine, j’écarte un peu l’index pour le passer carrément sur la fente par dessus le tissu de la culotte, c’est un peu humide ; ma main gauche masse le dessous de la cuisse sur la blessure. Tout à coup elle pose son pied gauche sur mes parties sur mon caleçon.
Florence : - Trop serré ?moi : - Heu.... bin... je ne peux pas m’empêcher madame Florence, heu....Florence : - Pas de madame entre nous Michel, montre-moi !moi : - Mais.......
Je n’en dis pas plus, de sa main droite elle écarte sa culotte pour me montrer sa chatte, elle est bien poilue comme celle de maman mais bien taillée , tenant toujours retroussée sa robe. Les grandes lèvres sont larges. Je m’adosse à la fontaine et fais descendre mon caleçon tandis qu’elle maintient bien sa culotte sur le côté. Je reste assis dos appuyé sur la fontaine, le caleçon sur les chevilles, je n’ai pas le temps de saisir ma bite en main pour me branler qu’elle la coince entre ses pieds en restant assise sur le banc. C’est une nouvelle impression que je découvre, Florence met ses jambes en ’grenouille’ genoux écartés pour bien me faire mater sa foune et fait un va et vient de bas en haut avec la plante de ses pieds sur ma bite. Je me laisse ainsi branler, je regarde sa chatte mais aussi ma bite entre ses pieds, la peau de mon gland le couvre et le découvre en cadence, quelle branlette !
moi : - Hummmmmm Florence que c’est bon !Florence : - première fois ?moi - Ouiiiii, même mama..n....
Merde ! je viens de dire un mot de trop ! Quel con !
Florence : - Quoi ? tu veux dire ...... ta mère ? Tu....... avec ta mère ?moi : - Bin oui.... on......., elle ne m’a jamais fait ça.Florence : - Eh bin dites donc ! Ca alors, Maryse qui ....., incroyable !moi : - Florence continuez svp, continuez, je vais jouir c’est trop bon.Florence : - Tu aimes les femmes ... mûres ?moi : - J’adore !Florence : - Je vais te masturber avec les pieds, lâche-toi, jouis si tu veux.moi : - Hummmm, touchez-vous.
Florence ne se fait pas prier et s’enfonce le médius dans la fente, avec un mouvement lent elle se branle, sortant son doigt pour le sucer en me regardant dans les yeux. Son doigt et sa fente sont luisants de mouille.
moi : - Ohhhh ! J’en peux plus, j’en peux plus, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii ! je gicle ! je gicle !!
Je largue tout, je lui saisis les chevilles et j’accèlère le mouvement, une giclée me vient sur le visage, juste sous l’oeil gauche, une autre sur mon t-shirt, les restes forment des coulées épaisses sur les pieds de Florence, sur mes mains, sur ma queue et mes couilles et aussi sur mon caleçon. Qu’est-ce que c’est bon ! je demanderai à maman de me le faire, ce truc. Je reste assis quelques instants pour récupérer de mon orgasme ; puis me relève et me nettoie avec mon t-shirt quand Florence m’invite à m’asseoir sur le banc, à côté d’elle , me prenant le t-shirt et le jetant au sol. Elle m’enlace et lèche mon sperme sur mon visage, puis, pose ses lèvres sur les miennes , sortant sa langue en pointe pour me la fourrer dans la bouche, je la lui aspire et on se roule des patins fougeux. Je bande de nouveau, maintenant c’est moi qui met ma langue dans sa bouche , elle prend ma bite en main et commence à me branler lentement, je pose quant à moi une main sur son entrejambe, sur sa culotte, sa jupe toujours retroussée  ; la culotte est trempée, je passe un doigt dessous et l’introduis dans sa chatte inondée, Florence gémit , elle se crispe. Elle détache ses lèvres des miennes.
Florence : - Tu vois Michel, toi tu aimes les femmes mûres, et moi les jeunes messieurs, on devrait s’entendre. Qu’est-ce que tu aimerais mon petit chéri, dis moi un peu ce que tu fais avec mon amie Maryse.moi : - J’adore enlever sa culotte, ça me rend dingue d’excitation, j’sais pas pourquoi d’ailleurs, c’est comme ça. Puis après, bin, on fait un peu tout, quoi. Mais avec les pieds, c’était la première fois aujourd’hui avec vous Florence.Florence : - Bon eh bien faisons comme ça, tu veux enlever ma culotte ?moi : - Oh oui bien sûr, tout de suite ? Vous voulez bien vous mettre debout, j’aime bien regarder sous les robes et enlever la culotte quand je suis dessous.Florence : - Bien sûr mon grand, voilà.
Tandis que Florence se relève, je m’agenouille devant elle, elle me fixe droit dans les yeux, prête à se faire déculotter par un jeune qui pourrait être son petit-fils ; elle écarte un peu les jambes, mains sur les hanches, dominatrice. Je pose mes mains derrière ses genoux et commence a remonter lentement sur les cuisses, je passe la tête sous la robe et admire l’entrecuisse. Je lui caresse ensuite les fesses sur la culotte puis avec les pouces que je passe dans l’élastique au niveau des hanches je fais descendre lentement. Le tissu s’enroule sur lui même et je découvre la touffe de Florence, drue, épaisse mais bien taillée en ’V’. Je pose une joue sur le barbu, il est doux et soyeux, c’est merveilleux, je trique à faire mal.
Florence : - Alors ?moi : - C’est fantastique Florence, quelle touffe ! Comme celle de maman.Florence : - Eh bien, j’en apprends des choses aujourd’hui. Termine ce que tu as commencé.
Je fais descendre la culotte et l’enlève, je la garde à la main. Puis, elle prend tout à coup l’initiative des opérations. Dans un coin de la serre se trouve un petit local aménagé en genre de douche pour plantes et arbustes, elle veut qu’on y aille ; pourquoi pas après tout. L’accès est conçu avec une rampe pour rentrer avec le chariot chargé, le reste étant une comme douche traditionnelle, c’est néanmoins très spacieux, au moins 3 fois comme la douche de chez nous. Elle me fait asseoir dedans, dos contre le mur et reste debout face à moi. Je suis toujours nu et elle, toujours en robe, sans culotte.
Florence : - On va se caresser, Michel, masturbe-toi et regarde.
J’enroule ma bite bandante dans sa culotte et attend le spectacle. Florence, d’une main relève sa robe et de l’autre commence à se caresser, s’enfonçant un doigt. Elle avance le bassin en avant pour mieux se donner à ce doigt. Elle alterne en pénétration et titillement de clitoris, changeant souvent le rythme. Je m’astique moi aussi fébrilement, cette vieille salope est en train de s’envoyer en l’air devant moi. Elle s’avance de plus en plus vers moi, sa langue passe sur ses lèvres langoureusement, elle ferme les yeux de plaisir ; elle colle maintenant pratiquement sa chatte sur mon visage, j’ai un gros plan de ses deux doigts qui fourrage sa chatte trempée. Dans un grand râle , elle jouit , son corps est secoué de spasmes, elle s’est pris un grand pied , la vieille garce. Elle met quelques instants à récupérer, ouvre les yeux et me sourit ; elle sort les doigts de sa foune mes les fait lécher, la mouille descend sur ses cuisses ; tenant toujours sa robe relevée d’une main, elle se met à califourchon sur mon visage, je penche fortement la tête en arrière pour pouvoir lui mettre ma langue dans sa vieille chatte, j’apprécie le bon gout de sa mouille, tout à coup un flot violent et chaud me remplit la bouche, ça déborde, ça coule partout, c’est acre ; merde ! elle me pisse dans la bouche et tortille du bassin pour me lacher le reste sur tout le visage. Tout d’abord surpris et écoeuré, je trouve un certain plaisir à cette expérience. Forence finit de vider sa vessie sur moi, visiblement, ça lui a beaucoup plu.
Florence : - Ohhhhh que c’est bon Michel, que c’est bon de se branler n’est-ce pas ?moi : - Euhhh oui bien sûr, le reste était bon aussi, vous savez.Florence : - Ca t’a plu, tant mieux, j’adore pisser sur mes partenaires, tu sais.
Soudain on entend des voix dans la serre , ça vient vers nous, trop tard !!! On n’a rien pu faire, pris sur le fait ! C’est Maurice, le mari de Florence qui discute avec maman. Il est rentré beaucoup plus tôt que prévu et maman, elle, venait faire un tour pour voir si tout allait bien et si j’avais aidé Maurice correctement. Ils ont immédiatement compris ce qui se passait, pas besoin de leur faire un dessin.
Maurice : - Eh bien Michel, tu fais quoi dans cette tenue ?Florence : - Bon ça va, ça va, tu ne vas pas nous faire un foin pour ça, non !
Je soupçonne que le Maurice et la Florence doivent avoir tous les deux des relations extra conjugales, car personne ne semble outré, pas d’esclandre, tout semble naturel.
Florence : -Tu sais ce que j’ai appris par contre ?Maurice : - Dis toujours.Florence : Eh bien, le jeune Michel et notre amie et voisine Maryse, sa mère, tous les deux........Maurice : - Non ! Tu ne veux pas dire que ....Florence : - Si, c’est ce que je veux dire.Maurice : - Dis-donc Maryse, tu m’en diras tant ! Allez on rentre à la maison on va prendre un verre et discuter un peu.
Je me rhabille rapidement et on regagne la maison , j’y prendrai une douche car je sens la pisse. Il y a de l’electricité dans l’air, je crois qu’il va se passer des choses. A l’invitation de Maurice nous allons prendre un verre. Alors que les autres s’installent tous dans le salon, je vais directement à la salle de bains pour y prendre une douche. Florence m’a dit que j’y trouverai un t-shirt et un pantalon de jogging de son mari et que je pouvais les emprunter.
Florence : - Porto tout le monde ?Maurice : - Allons y pour le porto.Maurice : - Alors Maryse c’est vrai ?maman : - Eh bien oui c’est vrai.Maurice : - Ne t’inquiète pas, avec Florence, on a nos fantaisies aussi, tu sais. D’ailleurs t’as vu, elle lui a pissé dessus.moi : - J’y vais, à tout de suite.
J’ai choisi la salle de bains de l’étage qui est beaucoup plus grande que celle d’en bas. Il y a un grand coin douche, une baignoire de belle dimension un bidet et 2 lavabos, de grands miroirs sur chaque mur. Pour faire vite je prends la douche, l’eau est chaude et ça me fait du bien, je repense à la séance avec Florence, je recommence à triquer. J’ai envie de me branler, je vais devoir le faire, je ne peux pas rester comme ça.
— Coucou !!!!
Merde ! C’est Maurice qui entre, le porto à la main, suivi des deux femmes, avec les verres ; je n’avais pas verrouillé la porte, me voilà à poil devant eux, l’effet de surprise me fait tout de suite débander, je m’enroule dans une serviette et sors du carré de douche.Florence me tend un verre, Maurice le remplit et on trinque tous.
Maurice : - J’ai demandé à ta mère de nous montrer vos....... petits trucs. Enlève-moi ça !
Il tire violemment sur la serviette et me revoilà nu, la bite molle. Maurice prend mes couilles dans la paume de sa main et les soupèse, puis me décalotte lentement, je reviens en condition, ce vieux salaud doit être ’bi’. Mets-toi là Michel. Se tournant vers maman :
— Suce-le Maryse, montre-nous ça.
Nous posons nos verres sur le meuble du lavabo. Elle accepte de subir les fantasmes des vieux, de toute façon elle n’a pas le choix, maintenant qu’ils savent qu’elle ’s’amuse’ avec son fils. Je reste debout pratiquement au milieu de la salle de bains, maman s’agenouille devant moi, on est de profil par rapport aux vieux ; elle prend ma bite de la main gauche et de la droite elle soupèse mes bourses, elle donne un coup d’oeil vers les vieux et commence par me donner quelques coups de langue sur le bout du gland. Maurice s’est déshabillé et commence à dézipper la robe de sa femme, il a une bite de belle dimension, il bande. Alors que maman m’a maintenant pris en bouche et me pompe, Florence termine d’enlever son soutien gorge, elle n’avait pas remis sa culotte ; elle est nue aussi. Ses nichons sont moins gros que ceux de ma mère et pendent un peu ; on voit qu’elle a de la bouteille, à poil elle est moins séduisante qu’habillée. Elle a pris la bite de son mari en main et le branle lentement.
Maurice : - Regarde-moi ça, cette salope, Flo, comme elle suce son fils !
Maman porte une jupe de couleur beige, une culotte blanche, et un t-shirt blanc, simple, mais de marque. Maintenant bite tendue, Maurice se place à mes côtés, maman a compris et tout en me suçant elle branle Maurice puis, alterne, en le prenant en bouche également, ma mère nous suce maintenant tous les deux à tour de rôle. Florence est passée derrière elle, s’accroupit et déboutonne le corsage de maman, glisse les mains dans les bonnets du soutien-gorge et en sort les gros nichons, qu’elle caresse à pleines mains. Laissant ainsi pendre les nichons de maman par dessus le soutien-gorge, Florence dézippe la jupe, ma mère se relève pour faciliter l’opération. Brutalement, Florence saisit maman par les cheveux et pose sa bouche sur la sienne, ma mère ne résiste pas et toute langue sortie, elle embrasse Florence ; les seins des femmes se pressent les uns sur les autres, les têtons sont dressés, on est tous bien excités maintenant.
Florence : - Assieds toi sur la cuvette Maryse.
Maman obéit et prend place, l’abattant étant fermé, Florence lui ôte rapidement sa culotte, la magnifique touffe de maman nous apparaît. Florence se met à quatre pattes et écartant les grandes lèvres de la chatte de maman, lui broute le minou, maman se tortille et apprécie. Maurice vient se placer à gauche de maman et lui tend sa bite, ma mère commence à le pomper avec application, je regarde sa langue virevolter sur le gland et la hampe.
Maurice : - Hummm ! Quelle suceuse, tu fais, Maryse. Vas-y pompe-moi bien. Michel ! t’as vu le cul de ma femme ? Vas-y baise-là.
J’ai en effet très envie de baiser cette vieille bique, je me place donc, à genoux, derrière elle qui offre ses fesses, je guide de ma main droite ma bite vers sa fente et, la tenant à la hanche de ma main gauche, je m’enfonce en elle. Elle grogne, je commence à la limer, je lui pelote ses nichons qui pendent sous elle, et prends mon rythme.
Moi : - Ah ! Florence, que c’est bon ! Je n’avais jamais....Maurice : - Baisé une vieille, c’est ça ? Bin moi, je ne m’étais jamais fait aussi bien sucer.
Je vais et viens de plus en plus vite dans la chatte de Florence, elle arrive à l’orgasme, elle cesse de brouter maman et s’appuie des coudes sur ses cuisses pour gueuler son plaisir, la vieille gouine jouit ; j’éjacule presque en même temps, je gicle tout dedans. Pendant que Florence et moi restons quelques instants collés, profitant de notre plaisir, Maurice jouit dans la bouche de maman, qui recrache un peu de foutre qui tombe sur ses seins, Florence se précipite pour tout lécher ce qui fait sortir ma bite de sa chatte. Je me relève et regarde Forence lécher le jus de son mari sur le corps de maman, c’est à ce moment que Maurice, s’accroupit devant moi et me prend la bite en bouche, il lèche plus qu’il ne suce.
Maurice : - J’adore le goût du foutre.
Ouais, bon, s’il ne me l’avait pas dit, je l’aurais deviné. Je reste en érection malgré ma récente éjaculation, ce qui n’échappe pas à Maurice.
Maurice : - Mich’ ! Couche-toi sur le dos, là, sur ce drap de bain, je veux voir Maryse se faire mettre par son fils.
Maman vient donc se placer accroupie au-dessus de ma bite qu’elle branle un peu, et la dirige bien verticale vers sa fente dont elle l’approche lentement. Elle me fait face, les yeux plein d’excitation et s’empale sur ma queue en poussant un gémissement de plaisir ; je la contemple, ses gros nichons commencent à bouger en rythme, elle mouille abondamment et j’admire ses cuisses grandes écartées avec au centre sa touffe qui monte et descend sur mon sexe. Florence et Maurice se tiennent debout à nos côtés et matent avec plaisir, Florence s’est adossée au lavabo et se doigte vigoureusement tandis que son mari, bite en main, commence à pisser sur maman, et ça coule bien sûr sur tout son corps jusque sur le mien. Il l’agrippe par les cheveux et lui met presque sa queue dans la bouche.
Maurice : - Ouvre grand Maryse salope ! T’aimes ça, la pisse hein ?Maman : - Oui, encore Maurice, videz-vous sur moi.Maurice : - Et te faire baiser par ton fils, t’aimes aussi hein ?Maman (la bouche pleine d’urine) : - Hummmpf.....Maurice : - Je vais te prendre le cul, ma salope.
Il ne laisse pas le temps de répondre et se place derrière maman, à genoux ; elle a compris et se penche en avant sur moi qui la pénètre toujours, ses gros nichons viennent se poser sur ma poitrine. Je ne vois pas ce qui se passe mais à sa grimace j’imagine que Maurice est train de lui prendre son petit trou, c’est immédiatement confirmé, je sens à travers la paroi que l’autre trou est maintenant occupé aussi.
Maman : - Ooooh oui ! Dans mon cul Maurice, allez-y bourrez-moi !Maurice : - Ca y est, j’y suis, je t’encule Maryse.
On lime maintenant maman tous les deux en même temps, chacun apprécie son plaisir, on entend des grognements et quelques insultes, maman se fait défoncer et tout à coup : un cri, c’est Florence qui vient de se faire jouir en se branlant, elle s’assied sur rebord de la baignoire et nous mate.
Maman : - Je jouiiiis ! Je jouiiiiis ! Ouiiiiiiiiiiiiii !
Je sens que je vais venir, j’arrête donc de limer et laisse faire Maurice qui ne tarde pas à jouir dans le cul de maman ; je me contente de la peloter et de lui rouler des patins, toute langue sortie.
Maurice : - Ahhhhhhhh tiens ! Tiens salope ! Je te jouis dans le cul ! Tiens ! Tiens ! Prends !
Il reste quelques instants immobile dans le cul de maman puis se retire et rejoint sa femme qui a récupéré. Mama se relève en me donnant un baiser sur le front.
Maurice : - Assieds-toi sur le bidet, Maryse, je vais te nettoyer.
Elle en a bien besoin, elle est remplie de foutre et couverte de pisse, un grand lavage s’impose. Maurice commence à lui laver les intimités et en profite pour palper ses nichons et tout sont corps ; il a débandé et s’applique à la tâche, maman apprécie et se laisse docilement faire.
Maurice : - T’as pas joui Mich’ ?moi : - Heuu.. non.Maurice : - Flo ! Suce un peu Michel, regarde comme il bande, le pauvre.
Je m’adosse au lavabo et Flo s’agenouille devant moi, elle commence à me branler lentement et me prend en bouche.
Florence : - Tu ne t’es jamais fais sucer par une dame de mon âge ?moi : - heuuu.. non.Maurice : - Insulte-là Michel, elle adore ça.moi : - Mais....Florence : - Fais-le si ça t’excite.
Je fais donc comme ils disent, ça me rappelle un peu les séances avec monsieur Lucien  ; Florence commence donc à me pomper, le dessus de ses lèvres se rident, mais elle aspire bien et sa langue est travailleuse.
moi : - Vas-y suce vieille salope, applique-toi, suce moi comme maman,voilààààà aspire ; bien, continue.
Florence s’appplique et me suce très bien, me caressant les couilles, léchant mon gland surtout le frein, elle m’excite ; je regarde ses nichons qui pendent et sa touffe noire en désordre, elle fait très chienne, la vieille.
moi : - Ohhhhhhhh ! M’man ! Maurice ! Elle me doigte le cul, cette garce.
Maman et Maurice ne nous quittent pas des yeux, Florence tout en me pompant m’a glissé un doigt dans le cul, ce qui augmente mon excitation.
Maurice : - Viens -là Flo !
Elle se relève et rejoint son mari toujours affairé à caresser maman plutôt qu’à la laver. Florence, se penche en avant et s’appuie sur les cuisses de maman, Maurice se tourne vers sa femme et lui écarte les fesses à deux mains.
Maurice : - Allez Michel, encule-là maintenant.
Les fesses sont largement écartées, je m’approche de l’oeillet de Florence que m’offre son mari et y pousse lentement mon gland, puis toute ma bite.
Maman : -Vas-y mon petit chéri, bourre lui son cul comme Maurice l’a fait à maman.moi : - Oui, t’as raison m’man, je vais l’enculer à fond cette vieille bique.
Une fois rentré à fond, je m’agrippe aux hanches de Florence et commence à lui limer son cul. Je commence d’abord lentement puis de plus en plus vite, je la défonce.
moi : - Tu me sens dans ton cul, vieille salope ?Florence : - AhhhhhhhhMaurice : - Ouaiiiis à fond vas-y p’tit, défonce-lui l’oignon !
Au bout d’un court instant, Florence jouit, et crie un bon coup, ça vient de loin ! Je la laisse un peu respirer interrompant mon mouvement, elle se relève et se retourne pour m’embrasser à pleine bouche, me fourrant la langue bien profond. D’une main, elle me saisit la bite toujours dure et me dirige juste derrière son mari qui vient de prendre la même position qu’elle.
moi : - Noooon ! Vous n’allez pas........Florence : - Silence !Maurice : - A moi maintenant , encule-moi !
C’était prévu à l’avance ! C’est maman qui prend l’initiative et qui maintenant tient les fesses de Maurice, écartées. Je suis trop excité pour refuser, j’ai trop bandé, il faut que je jouisse, tant pis si c’est dans le cul de Maurice. Ces salopes avaient tout manigancé.
maman : - Touche-lui les couilles, chéri.
Avant que Florence ne guide ma bite vers l’anus de Maurice je lui passe une main entre les jambes et lui palpe les couilles et la bite. Puis le moment vient et j’introduis ma bite dans le cul de Maurice ; les femmes ne restent pas inactives, elles se touchent la chatte l’une l’autre en me regardant.
moi : - Après ta femme c’est toi que j’encule vieux salaud !
Je suis tellement excité qu’en dix aller-retour je gicle dans le fondement de Maurice. Je reste collé un petit moment puis me retire. Pour rester sur une bonne sensation, je rejoins les femmes et c’est moi qui les doigte, une main par salope; elles en profitent pour se caresser les nénés et se rouler des pelles , j’adore regarder maman se gouiner.
Maurice : - Bon bien, tu as fait du bon boulot aujourd’hui ; je te récompenserai un peu plus tard. Tu nous as bien rendu service, et dans la serre, et....... ailleurs.
Florence : - Allez ! un bain et on se revoit un autre jour, d’accord.Maman : - D’accord, c’est noté, j’ai passé une très bonne après-midi.
Avec maman on se rhabille et on prendra un bain à la maison, on laisse les vieux coquins et on rentre, on reviendra un autre jour ; maman me l’a promis. De toute façon, le vieux aura encore besoin de moi pour ses travaux domestiques, je suis certain de revenir.

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