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Maman salope et ses jumeaux

Chapitre 2

Inceste
Maman retira ma queue gonflée de ses lèvres et commença à lécher délicatement mes couilles, les prenant l’une après l’autre dans sa bouche tiède. Elle haletait tandis que ma langue fouillait son intimité humide. Je distinguais à peine sa silhouette dans la pénombre de sa chambre et la chaleur du grand lit.
Je ne pouvais me repaitre de cette chatte abondamment poilue et frisée et je l’avais recouverte de salive, y passais frénétiquement les doigts, tirant ses poils, les caressant, les écartant des lèvres du con de Maman dont s’écoulait le plaisir dans ma bouche. Maman caressait mes fesses et avait recommencé à sucer ma queue raide. Le plaisir était de nouveau prêt à m’envahir et elle marqua une nouvelle pause. Il était juste temps. Elle me fit changer de posture et remonter à sa hauteur, me pressant de nouveau entre ses gros seins dont je suçai chaque pointe avant de les pétrir doucement et de poser ma tête entre les deux globes chauds. J’étais serré contre Sophie, ma Maman, qui me prenait tendrement dans ses bras, haletant encore et caressant mes fesses encore, mes cuisses, mon dos, mes cheveux…
Elle me murmura dans l’oreille : « tu as fait l’amour avec ta sœur, Justin ? ». « Non Maman, je n’ai jamais….ni avec personne…Juliette me suce souvent, c’est tout.. ». « Tu vas me prendre, tu vas me baiser, mon Justin, d’accord ? ».Bien sûr que j’étais d’accord. Maman écarta ses belles cuisses, prit ma queue du bout de ses doigts et me guida sur sa toison touffue. D’un petit mouvement de la hanche, mon gland fut introduit entre les lèvres du sexe et une légère poussée suffit à m’engloutir tout entier dans la chatte maternelle. Je m’y sentis assez au large, malgré la taille très honorable de ma queue, mais celle-ci ne m’avait jamais paru aussi raide que dans la douceur, la chaleur et l’humidité moite de ce sexe. Je restai immobile, tétant encore, et de plus en plus fort les tétons des seins lourds de Sophie, passant aussi la main sous son ventre afin de passer une nouvelle fois mes doigts dans la douceur de ses poils, de caresser les lèvres du con jusqu’au clitoris en frôlant aussi la base de ma queue. « Ça va, mon chéri ? C’est bon ce que tu me fais ». Maman me caressa les cheveux, m’embrassa dans le cou et m’enlaça encore davantage, me serrant fort contre elle. Je marquai un temps et commençai enfin à aller et venir dans le con, agrippant les hanches pleines de Maman. Elle écartait bien les cuisses pour m’accueillir au plus profond. « Oh, c’est bien mon Justin ».
Pour la première fois, je faisais l’amour, je baisais une femme…Sophie, ma Maman… je glissais en elle en prenant ses hanches, jamais je n’avais rien vécu d’aussi bon. Maman me laissait aller et venir en elle. Puis elle arrêtait quelques instants mes mouvements en me serrant contre son ventre et ses gros seins.
Je me suis retiré d’elle quelques instants, craignant de trop vite jouir. Je passai les mains sur ses seins, sur son abondante toison et entre les lèvres ouvertes de son sexe.Comme j’allais de nouveau la pénétrer, elle me dit : « Oh, attends Justin, on va faire comme ça… ». Je sentis qu’elle se retournait, s’allongeant sur le ventre, et qu’elle prenait un oreiller pour le placer sous elle et soulever ainsi son gros cul rond.
Je posais une main de chaque côté d’elle, caressant sa taille, pétrissant ses seins, descendant le long de ses hanches, de ses cuisses pleines pour masser ensuite de part et d’autre ce cul voluptueux. Je descendis la main droite jusqu’au con et la pénétrai facilement de deux doigts, tandis que mon pouce en faisait le tour. Les poils de Maman entourait le sexe, dans l’aine, se rejoignaient en bas de sa chatte et poussaient jusqu’à son petit trou dont je sentais, toujours l’obscurité de la chambre maternelle, qu’il était également entouré de poils noirs…quelle douceur !
Je m’allongeais sur elle, glissant aisément ma queue dans sa chatte béante, mon ventre tapant sur ce gros cul à chaque coup de pine. Je pétrissais ce cul volumineux et magnifique, je glissais ma main sur la toison bouclée, entrant dans la chatte un ou deux doigts qui accompagnaient ma queue dans la moiteur humide de l’intimité de Maman que j’entendais haleter doucement, je caressais son dos, sa poitrine…j’aurais voulu avoir dix mains pour profiter de tous ces trésors en même temps !
Soudain, alors que je prenais une cadence régulière pour baiser durablement et profondément la chatte maternelle, Maman tourna la tête vers moi et me dit, dans un souffle : « Encule-moi, Justin ». Je retirai ma queue raide de son con puis elle y passa les doigts pour recueillir de quoi lubrifier le petit trou de ses grosses fesses. J’en approchai mon gland, pus l’introduire après trois ou quatre seconde de tâtonnement. Je dus marquer un temps d’arrêt avant de faire coulisser ma queue de toute sa longueur dans ce cul moelleux…quel changement de sensation…ma queue était bien plus serrée que dans la chatte. Des couilles jusqu’au gland, j’étais délicieusement compressé et ne commençais à aller et venir qu’avec la plus grande attention…Maman gémissait… « Vas-y, mon Justin, vas-y ! ». J’empoignai délicatement les hanches pleines et entrepris de la piner vigoureusement. Je la sentais s’agiter, s’échauffer, respirant de plus en plus rapidement tandis que je baisais son gros cul de salope. Comme c’était bon ! Je ne pus résister très longtemps et giclai de plaisir en enculant Sophie, ma Maman salope…..Elle poussa un petit cri tandis que ma queue vibrait en elle et se vidait de sa semence au fond de son cul. J’étais éreinté, me couchai entièrement sur Maman et la couvris de baisers dans le cou…Elle me semblait soupirer de bonheur et peinait à retrouver sa respiration habituelle.
Après quelques minutes sur le dos de Maman, je me levai, me rendis dans sa salle de bain pour me doucher rapidement et savonner ma queue poisseuse…ça y était, je n’étais plus puceau et j’avais baisé une chatte douce et accueillante, un cul voluptueux, caressé des seins ronds et moelleux…..j’eus une petite pensée pour ma chère sœur, ma Juliette chérie, sa petite bouche de suceuse tellement douée et aimante…il me sembla que je l’avais trompée et je me promis de redoubler d’attention envers elle.
Je retournais me coucher dans le grand lit de Maman. La chambre était toujours plongée dans l’obscurité. Maman semblait s’être positionnée au milieu du lit et je m’allongeai à sa droite. J’avais besoin de lui parler et me tournai vers elle : « Maman, c’était formidable, je n’ai jamais rien ressenti d’aussi intense et.. ». Elle m’interrompit avec tendresse : « Ne dis rien, mon Justin, c’était merveilleux pour moi aussi. J’ai pris beaucoup de plaisir avec toi…Comme tu m’as bien baisée ! ».
Je l’embrassai dans le cou et dans le coin de bouche, approchant dans le même temps ma main de sa chatte douce dont je ne pouvais me repaitre. Passant les doigts dans les poils frisés, je touchai soudain d’autres doigts !
« Justin, ta sœur est venue nous rejoindre, elle ne voulait plus rester toute seule ». C’étaient bien les doigts de Juliette qui, avec les miens, étaient posés sur la toison touffue de Maman. Je reconnaissais maintenant parfaitement ces petits doigts qui s’étaient aussi si souvent posés sur mon corps, sur ma bouche, sur ma queue… De nos deux mains jointes, nous parcourrions le sexe maternel, encore chaud des ébats passés, nous explorions les poils frisés quand nous arrivâmes aux lèvres et à l’ouverture du con encore frémissant et humide. Tandis que j’y passai rapidement deux doigts, je sentis la petite main de Juliette s’y arrêter. Il y eu un mouvement dans le lit, Juliette s’accoudait près de maman et elle entreprit de glisser trois doigts, puis quatre, dans le con maternel. Celui-ci était largement ouvert et les accueillit aisément. Juliette serra son pouce dans sa paume et avançait dorénavant la main toute entière dans la large chatte de Sophie. Elle commençait à effectuer quelques mouvements circulaires quand Maman, prenant doucement son poignet, la fit cesser, puis reprendre. Quelques spasmes incontrôlés témoignèrent de l’intensité de la jouissance qui venait alors de l’inonder.
Juliette murmura : « Oh, Maman, moi aussi j’ai envie de baiser vraiment, de prendre beaucoup de plaisir par mon sexe, comme toi… ». Maman lui répondit, également dans un murmure : « tu veux que ce soit Justin qui te prenne pour la première fois ? ». Juliette se pencha sur maman et vint embrasser ma bouche : « Tu veux bien, Justin ? ». Je retirai ma main des poils de maman pour caresser les cheveux de ma sœur et approcher encore mon visage du sien. Maman avait posé de nouveau sa main sur ma queue qui recommençait à durcir par ces mouvements experts : « Je crois qu’il veut bien prendre soin de toi et s’occuper de ta petite chatte… ».
Maman prit Juliette dans ses bras, ma sœur s’allongeant de tout son long sur le ventre de Maman, sa chatte contre la sienne, sa poitrine de jeune fille contre les gros seins maternels.
Sophie enlaçait Juliette avec tendresse. Elle enduisit ses doigts de salive, les passa dans son con encore humide de plaisir avant de les poser doucement sur le sexe vierge de sa fille. Ma sœur commença à soupirer tandis que Maman, ayant humecté l’entrée de sa petite chatte, caressait de deux doigts son clitoris : « Justin, viens derrière ta sœur, pose ta bouche sur elle, viens passer ta langue sur son sexe ».
Je soulevai légèrement les fesses de Juliette en les caressant puis j’entrepris de les lécher, passant par sa raie, son petit trou et posant ma bouche sur la chatte délicate que j’avais déjà léchée tant de fois avec bonheur. Cette nuit là, cette attention visait avant tout à préparer le passage de ma queue et tout en excitant son clitoris, le titillant attentivement, je veillais à enduire de toute ma salive cette chatte de jeune vierge. Maman chuchota à Juliette : « Lorsque tu te sentiras prête et que tu auras vraiment envie d’être prise, dis-le à ton frère…si tu changes d’avis, ce n’est pas grave, tu es libre… ». Juliette ondulait de la croupe tandis que je la léchais de tout mon cœur et qu’elle se pressait contre la poitrine maternelle. Je sentis le plaisir couler doucement de sa chatte. Elle soupira, haleta de longues minutes avant de me dire enfin : « Je suis prête, petit frère, Justin chéri…Prends-moi, viens me baiser ».
Je me mis à genoux, écartant mes jambes de part et d’autre de celles de Juliette et Maman, toujours enlacées l’une contre l’autre, et approchai ma queue raide. Maman avait posé une main près de la chatte de Juliette et attrapa mon gland, qu’elle positionna à l’entrée du con en lui faisant faire de petits mouvements circulaires. Je sentis la respiration de ma sœur accélérer tandis que je poussais doucement mais régulièrement ma queue en elle. Lorsqu’elle fut à moitié entrée, je la ressortis, avant de la pénétrer de nouveau, plus rapidement, et de l’emplir toute entière. Juliette gémissait dans le cou de Maman tandis que celle-ci, semblant la consoler, lui murmurait quelque chose dans l’oreille, que je ne pus comprendre. La main de Maman était posée sur la base de ma queue, touchant dans le même temps les lèvres et le clitoris de Juliette, les caressant en alternance.
Après quelques longues secondes d’immobilité, j’entrepris d’aller et venir dans la chatte étroite de Juliette, qui avait séché ses larmes et recommençait à soupirer. J’entrepris de la pilonner le plus régulièrement que je pouvais, les mains sur ses fesses douces et rondes. Juliette, détendue, se laissait aller, cherchant son plaisir, ayant elle-même positionné sa main sur sa chatte, près de la main de Maman.
L’étroitesse du sexe de Juliette était un délice pour moi, il serrait parfaitement ma queue et sa lubrification, entretenue régulièrement par son plaisir naissant, me faisait coulisser parfaitement en elle. Je sentis la jouissance venir du plus profond de moi et me retirai pour laisser passer l’alerte. Je la repris, rentrant facilement en elle, et poursuivis mon mouvement. Sentant mon plaisir venir de nouveau, je sortis du con et plaçai ma queue entre les deux chattes. Je ne pus me retenir davantage et mon sperme chaud jaillit comme par rafales dans les poils de la chatte de Maman.
J’étais épuisé et me laissai tomber dans le lit pour reprendre souffle.
Juliette se sépara aussi du corps de Maman, elle se mit entre nous deux tandis que nous approchions d’elle et l’enlacions de chaque côté. Tous trois serrés l’un contre l’autre, las et ivres de plaisir, nous allions passer une fin de nuit belle et reposante dans le lit de Sophie, notre Maman salope, avec qui nous allions vivre d’autres inoubliables moments de volupté.
FIN
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